Mado

Dans notre bande je passais pour l’idiote. En attendant c’est moi qui me payais les meilleurs coups. J’étais en seconde quand mon ami et voisin Julien m’a dépucelée. J’ai aimé et souvent il me baise. Nous n’en parlons à personne, c’est pour ça que croyant que j’étais vierge et pas sur le chemin de me faire mettre, mes copines ne me prenaient pas au sérieux. Un jour j’ai surpris mon copain avec une autre, en action chez lui. Je connaissais la salope. Le lendemain de décide de rompre avec mon amant. Je suis restée seule pas mal de temps, même si j’avais envie d’une bite. Je me tournais vers mes mains qui elles ne me tromperaient jamais. Je prends goût à mes masturbations. Tellement qu’il m’arrive de le faire plusieurs fois par jour.
La dernière fois que je me suis donné du plaisir c’est quand j’ai été surprise pas une autre fille, mon amie Mado. Je suis dans ma chambre un mercredi, presque nue, les jambes découvertes et ouvertes. Ma main sur ma chatte, je me caresse le clitoris. Perdue dans mes fantasmes je ne l’entends pas venir. Quand elle a ouvert la porte je ne me rends compte de rien, j’étais en train de me faire violer : j’aime rêver à cela. Je jouis quand ouvrant les yeux, je vois Mado une main sous sa robe, qui s’agite très fort. Elle aussi, en me regardant, se branle.
Confuse je ne sais que faire. Elle sait que je la regarde : elle ne cesse pas de se donner du plaisir.
Ce n’est que quand elle jouit qu’enfin elle me parle.
- J’ai aimé ce que tu as fait, j’ai pu me donner du plaisir.
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
- Tu te serais arrêtée et je n’aurai pas pu me masturber.
Ces quelques mots, dits, elle vient s’assoir près de moi.
- Tu ne voudrais pas qu’on s’amuse toutes les deux ?
- S’amuser comment ?
- Par exemple en se caressant.
Prise entre un brusque accès de pudeur et l’envie de jouir encore, je cède.
Elle me déshabille, sans tenir compte du fait que ma mère est en bas, elle se met nue également.

Nous nous regardons en détail. Je la trouve bien faite et sexy, elle aussi me trouve à son goût. Je suis restée couchée, elle se penche sur moi. Nous nous embrassons longuement. Je peux en profiter pour prendre un tétons dans ma main. Je la pelote sans crainte. Elle se laisse faire et me le rend. Je trouve très jouissif cette caresse. Elle pose une main sur le pubis. Je la laisse le caresser et attends qu’elle aille plus bas. Mes mouvements la persuadent de mettre sa main dans la chatte. Elle cherchait à peine mon bouton, celui que je caressais un moment avant. Après l’avoir décalotté, je sens son doigt qui va et vient sur moi. Je me cambre sous cette première caresse. Je me donne totalement jusqu’à ce qu’elle arrive à me donner un orgasme : le premier avec une fille.
Je peux passer une main derrière ses fesses, à mon tour de chercher son bouton que je trouve pas quand elle écarte les cuisses. Par contre je passais sur son anus, puis enfin j’entrais dans son con. J’y mettais trois doigts que je faisais aller et venir. Son corps accompagne mes doigts. Je ne pensais pas qu’elle soit si sensible quand elle jouit assez rapidement. Je laisse mes doigts dans cette antre de plaisir. Je sens la chaleur de son corps ainsi que la mouille de son sexe.
Je trouve que mes doigts ont enfin trouvé un bon endroit pour s’y réfugier.
Elle me demande d’arrêter pour que nous puissions jouir autrement. D’avance je sais ce qu’elle désire : que nous nous sucions. N’ayant rien contre, j’avais pratiqué le 69 avec mon copain, je n’en suis pas particulièrement gênée. Nous nous sommes installées comme il fallait : elle est sous moi, je sens sa langue fouiller ma chatte et entrer dans mon petit con qui n’a pas servi depuis longtemps. Elle me tient les fesses pour être à l’aise, je lui demande de venir dans mon cul. Je suis justement entrain de lui mettre un doigt dans l’anus quand elle me met deux doigts dans le cul. C’est délicieusement dégoutant de se faire sucer le clitoris et se faire mettre des doigts dans le cul.
Nous sommes restées ainsi plus d’une heure. Heureusement que ma mère n’est pas monté.
Mado est revenue le lendemain après midi, nous avons recommencé à nous faire plaisir.
Le plus grand plaisir était quand avant de partir en fac, ma mère acceptait que nous logions ensemble avec Mado. Nous passons notre temps à étudier, l’amour au second plan : nous ne nous permettons que de rares séances de baise. Par contre nous ne rentrons pas le week-end, nous en profitons pour baiser. Nous commençons le samedi soir pour finir le lundi dans la nuit. Le reste du temps, en cas de besoin, et c’était fréquent je me branlais seule. Nous avions ce qu’il fallait pour nous donner du plaisir. Nous possédons chacune notre gode.
Nous avons comme compagnons les godes pour nous baiser comme un véritable couple. Les godes ceintures que nous avons nous permettent de baiser ou enculer l’autre en ayant dans le vagin un autre bout vibrant. Le plaisir est garanti pour toutes les deux. J’aime particulièrement la lui mettre: elle demandais souvent une sodomie. Je pose le gode sur moi, avec des lanières qui d’avance m’excitent. Je la lui mets dans le cul et pendant ce temps, la petite verge en moi me faisait jouir. Je pouvais lui caresser le clitoris pendant que je l’enculais. Elle poussait des petits cris de jouissance assez souvent : elle jouissait mieux pas l’anus que par devant. Pourtant j’aime la lui mettre dans le con, directement, nous pouvons nous embrasser en baisant.
Et un jour je suis tombé par hasard sur un garçon qui m’étonnait par le sex-appeal qu’il dégageait. Je n’ai pu résister à ses regards. Quand il m’a embrassée j’ai cru m’évanouir. Ses lèvres étaient aussi douces que celle de Mado. Je n’ai pu résister quand il m’a couché sur son lit. Quand il m’a baisée je me suis laissée faire avec bonheur. J’ai jouis encore mieux qu’avec Mado. Le plus dur pour moi était de lui annoncer que entre nous c’était fini.
Depuis je n’ai plus touché une fille, même si parfois j’ai quelques besoins.
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