Nos Premières Vacances Ensemble (1)

Ma compagne et moi sommes un couple ordinaire en public, mais en privé nous aimons nous lâcher. Nous avons une sexualité assez débridée, sans tabou. Virginie, ma belle métisse au 95C est très demandeuse pour mon plus grand plaisir et elle est rapidement devenue ma soumise. Nous sommes sur la même longueur d'ondes en ce qui concerne nos fantasmes et nos envies et c'est lors de notre premier voyage ensemble que nous avons compris que l'on était fait l'un pour l'autre.

Pour nos premières vacances ensemble, nous avons loué un mobile-home dans un camping dans les Landes. Nous sommes début septembre, la rentrée scolaire est faite, donc il y a moins de monde et surtout les prix sont beaucoup plus attractifs.
Virginie était super contente à l'idée qu'on puisse s'évader de notre quotidien pendant une semaine et notre première soirée allait donner le ton de nos vacances.
Après avoir visité rapidement le camping, nous avons pris l'apéritif sur la terrasse de notre bungalow. Après ses deux verres de rosé et la fatigue du voyage, ma copine est pompette et elle me regarde de manière lubrique. Je lui souris.
- Bah alors, qu'est ce qu'il y a ?
- Ca te dit qu'on aille à l'intérieur, j'ai envie de faire des folies.
- Hum, avec plaisir petite coquine.
Aussitôt à l'intérieur, Virginie me demande de m'asseoir sur la banquette et elle démarre un strip-tease très sensuel. Elle enlève le haut, puis retire son soutif pour me dévoiler ses gros seins que j'aime tant. Elle les masse et les lèche en me regardant dans les yeux pour m'exciter et ça marche. Je bande comme un âne. Voyant que je commence à me caresser par dessus mon short elle m'ordonne:
- Sors ta queue, je veux voir l'effet que je te fais.
Je me déshabille immédiatement et lui révèle ma tige gonflée de désir. Je la regarde poursuivre son effeuillage, tout en me cajolant doucement. Elle continue son numéro, retirant le reste de ses vêtements habilement.

Elle est entièrement nue, danse sensuellement en baladant ses mains sur tout son corps, puis elle s'assoit au sol devant moi, écarte les cuisses en grand pour me montrer sa belle fente humide qu'elle frotte de la paume de sa main. Je l'observe béat, sans un mot en astiquant ma verge tendrement. Elle se met à quatre pattes, se retourne et m'expose ses fesses, elle en étire une pour me dévoiler son petit trou. Je ne retiens plus mes mots.
- Whaou, tu es trop bonne ma chérie, j'ai trop envie de toi.
Cette phrase met un terme au spectacle. Virginie, toujours à quatre pattes, s'avance vers moi et se place entre mes jambes. Elle empoigne mon membre et elle l'engloutit dans sa bouche. Elle me pompe comme une vorace en me fixant droit dans les yeux. Je grogne, je râle, au rythme de ses succions, je sens sa salive qui coule sur mes boules. Elle s'en occupe également, elle dresse mon sexe à la verticale et elle s'amuse avec mes bourses. Elle les lèche, les suce, les gobe avec appétit en se tripotant l'abricot. Je gémis de plus en plus.
- Hum, c'est trop bon, je ne tiens plus, viens sur moi.
Virginie se lève, m'enjambe, passe sa main derrière ma tête et la rapproche de ses seins que je dévore avec plaisir. Elle redresse ma queue et s'empale dessus, ça glisse tout seul tellement elle mouille. Elle me chevauche lentement au départ, puis elle accélère la cadence petit à petit, ses seins balotent de haut en bas et elle gémit de plus en plus.
- Hum oui, oh c'est bon
- Oh oui ma belle, continue comme ça.
Virginie pose alors ses deux pieds sur le rebord de la banquette, agrippe ma nuque à deux mains et elle se baise sauvagement sur mon dard, ses fesses claquant fort contre mes cuisses. Je la laisse faire, j'apprécie cette fougue en regardant ses nichons qui tressautent, elle me rend fou.
- Continue encore ma petite salope, je kiffe trop.
- Hum oui, tu m'excites quand tu m'appelles comme ça.
- T'aimes ça petite chienne.
- Hum oui, j'adore ça, qu'est ce qu'elle est bonne ta queue, oh je la sens bien.

- Hum toi aussi tu m'excites quand tu me parles comme ça, je ne vais plus tenir longtemps.
- Oui viens, je veux te sentir jouir dans ma chatte.
Elle remue sur moi encore plus vite pendant quelques instants et soudain j'explose en rugissant tel un lion.
Après ce corps à corps virulent, ma partenaire se retire et se dirige dans la chambre. Je regarde ses fesses nues, avachi sur la banquette, le sexe encore dégoulinant. Elle revient quelques secondes plus tard dans sa nuisette blanche très courte et transparente. Elle prend le paquet de cigarette dans son sac et va fumer sur la terrasse sans gêne que quelqu'un puisse la voir dans cette tenue.
- Tu sors comme ça ?
- Oui pourquoi ? On s'en fout, on ne connaît personne ici.
N'étant pas jaloux de nature, cela ne me dérange pas plus que ça. J'enfile mon boxer et la rejoins à l'extérieur. J'allume une clope, je me rapproche d'elle, l'embrasse sur l'épaule et lui caresse les fesses.
- Ca t'a plu, me demande-t-elle ?
- Ha bah ça oui, si c'est comme ça tous les jours, on va passer de super vacances.
- Les vacances vont être excellentes, fais-moi confiance.
- Oh mais je te crois, et je compte bien en profiter un maximum.
- Hum, prêt pour un deuxième round alors ?
- Évidemment, on finit la clope et je m'occupe de toi.

De retour à l'intérieur, on se saute dessus à nouveau. On s'embrasse, on se caresse avec passion. Mes mains se glissent sous sa nuisette, caressent ses fesses et mon majeur titille son anus, pendant que madame introduit sa main dans mon boxer pour me redonner de la vigueur. On retire ces tissus inutiles et nous nous bécotons debout et nus dans le hall du bungalow. Mon désir monte crescendo, j'ai envie d'elle, de lui donner du plaisir, de la faire jouir. Je la soulève par les fesses et l'amène dans la chambre pour être plus à l'aise. Je la jette sur le lit et monte debout dessus à mon tour. Je lui tends ma queue.
- Allez, suce-moi petite coquine.

Virginie s'exécute immédiatement avec un grand sourire. Elle me gâte divinement, alternant les coups de langue et les succions bien baveuses. Elle sait comment s'y prendre pour m'exciter comme un fou. Mais c'est à mon tour de lui faire du bien et la meilleure des façons, je la connais...
- Mets-toi à quatre pattes et retournes-toi.
Elle m'obéit sans discuter en me souriant, elle a deviné quel traitement je lui réserve. Virginie se met en position en appui sur ses coudes, elle se cambre et tend son cul en l'air, m'exposant ainsi son petit trou. Je me poste à genoux derrière elle, mes mains caressent ses fesses telle une boule de cristal, puis je les écarte avant de mettre un grand coup de langue sur son œillet. Ma chérie soupire de plaisir aussitôt, elle adore ça, alors je ne me prive pas pour lui donner sa récompense. Je lèche le contour de sa rondelle, puis je darde ma langue pour la faire rentrer dans son cratère. Je fais des va-et-vient de plus en plus profond afin de préparer le terrain. Je lui glisse un doigt, puis un second. Je lui fouille le cul de plus en plus vite afin de le dilater au mieux. Virginie se trémousse en poussant de petits cris.
- Ouh oui, ouh oui, ouh oui.
Impatiente, elle me réclame :
- J'ai trop envie, je ne tiens plus, mets-la moi.
J'accède à sa requête avec une certaine fierté. J'empoigne ma tige, je crache sur son anus et je m'enfonce doucement. Mon gros gland s'avance difficilement dans son conduit étroit et lorsque ce dernier passe le seuil critique, le reste de mon sexe est entièrement aspiré à l'intérieur. Sentant son fondement rempli, ma petite cochonne jubile.
- Hum, vas-y mon amour, fais-moi jouir.
Accroupi au dessus d'elle, je la sodomise avec force et en rythme pendant de longues minutes. Virginie prend un pied d'enfer, la tête dans l'oreiller pour éviter d'alerter les voisins et moi je vibre de pouvoir la posséder ainsi. Mais mes cuisses finissent par me brûler, alors j'entreprends une nouvelle position.
Je m'allonge derrière elle, soulève sa jambe et je lui remets mon engin entre les fesses.
Je l'encule encore et encore pendant que ma douce extériorise son bonheur et se tripotant la figue. Son orgasme est proche, je le sens, je m'agrippe à ses gros seins et je lui balance des gros coups de reins. Elle explose en plein vol quelques secondes plus tard, elle hurle, prise de spasmes, mais je continue de la culbuter et dans un dernier assaut, je gicle au fond de son trou en beuglant tel Rocky après un combat de boxe. En sueur tous les deux, nous nous câlinons quelques instants, mon glaive toujours planté en elle, que je retire lorsque je me ramollis envoyant avec moi le trop plein de sperme.
Nos ardeurs calmées, nous avons pris une douche, nous avons dîné, puis nous avons été faire un tour à la soirée du camping. Nous sommes allés nous coucher en rentrant et nous avons refait l'amour, plus tendrement cette fois-ci et nous nous sommes endormis paisiblement en sachant que ces vacances allaient être riches en émotions.

À suivre.

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