Nos Premières Vacances Ensemble (6)

Je me réveille tranquillement, ma petite amie dort encore, je reste rêvasser en regardant le plafond. J'ai du mal à réaliser que c'est déjà notre dernier jour de vacances, tout cela est passé si vite. Mais bon, je vais rentrer avec des souvenirs merveilleux. Je me remémore tous les instants que j'ai passé avec ma chérie. Notre première soirée, nos ébats torrides en forêt, notre partie de jambes en l'air à la plage, notre balade très excitante en canoë, notre soirée en trio avec Adeline et hier, que dire d'hier à part que c'était fabuleux. Nous sommes retournés à la plage où nous avions aperçu Adeline pour la première fois, mais ce coup-ci, elle nous accompagnait.
Dès que nous avons été seuls sur le sable, nous nous sommes initiés aux joies du naturisme. Tous les trois nus sur nos serviettes, nous avons profité des derniers rayons de soleil pour parfaire notre bronzage. Cela nous a beaucoup plu avec Virginie, d'ailleurs on s'est dit que ça pourrait être sympa d'essayer des vacances naturistes un jour.
Les choses sont devenues intéressantes quand les filles ont commencé à se taquiner et j'ai pu assister à un somptueux 69 que j'ai filmé tout en me branlant. Virginie était surexcitée et c'est dans sa bouche que je me suis vidé après qu'elle m'ait sucé comme une chienne. Mais le meilleur moment s'est produit avec Adeline, qu'est ce qu'elle est chaude cette nana. Je l'entends encore me dire '' Oui, vas-y, défonce-moi le cul '' pendant que je l'enculais au bord de l'eau.
Repenser à tout ça a fait monter le chapiteau, j'ai une gaule d'enfer que je soulage un peu en me caressant, mais ce n'est pas suffisant. Je décide de faire une petite surprise à ma chérie. Je retire le drap et je m'allonge entre ses cuisses pour déguster son intimité. Je lappe sa minette foncée en douceur, comme un petit chat qui boit son bol de lait. Virginie sort de son sommeil en me souriant.
- Hum, bonjour petit coquin.
- Bonjour ma princesse, ça va ?
- Comment ça ne pourrait pas aller avec un réveil comme ça.


- Je continue alors ?
- Évidemment, maintenant que tu m'as réveillée, tu ne peux plus t'arrêter.
Je dévore son abricot avec délectation, savourant chaque gorgée de son jus qui coule dans ma gorge, puis j'enfonce mon majeur entre ses lèvres pour la doigter en même temps. Ma bien-aimée se tortille, s'arqueboute en gémissant de plus en plus fort. J'ajoute un doigt entre ses fesses pour la faire partir en vrille et atteindre le summum du plaisir. Son clito est gonflé de désir, elle ne tient plus et me réclame. Je remonte sur elle et la pénètre en douceur. On fait l'amour tendrement en missionnaire, les yeux dans les yeux.
- Tu es magnifique ma chérie, je t'aime vraiment très fort.
- Moi aussi mon amour, je t'aime plus que tout.
Après toutes nos frasques sexuelles de ces derniers jours, ce petit moment romantique nous fait du bien à tous les deux. On s'embrasse encore et encore sans s'arrêter, elle caresse mes fesses et pousse dessus à chaque pénétration pour que je m'enfonce profondément en elle. Virginie miaule timidement dans le creux de mon oreille et elle me murmure:
- Hum c'est bon, continue, plus vite.
- Tes désirs sont des ordres ma chérie.
Je prends ses jambes que je pose sur mes épaules et j'accélère le mouvement, je la possède de plus en plus vite, en lui donnant des grands coups de reins. Elle me sourit.
- Oui, comme ça, encore
J'augmente encore la cadence, regardant mon sexe pourfendre sa foufoune humide pendant qu'elle couine de plaisir. Mes assauts virils ont raison d'elle, son vagin se contracte et elle atteint sa jouissance dans laquelle elle m'emmène en même temps. Je reste en elle jusqu'à la débandade, caressant ses cuisses, son ventre, ses seins, puis je me retire en laissant sa minette s'écouler de jus blanc. Elle m'attire contre elle, me serre fort dans ses bras et m'embrasse une dernière fois pour mettre fin à notre étreinte charnelle.

Après ce très sympathique câlin matinal, nous prenons un copieux petit déjeuner, puis nous prenons une douche revigorante sous laquelle ma coquine me gratifie d'une bonne petite pipe.

Nous allons ensuite faire un petit tour dans un marché local afin de rapporter quelques produits régionaux.
De retour au camping, nous profitons de notre dernier après-midi pour buller au bord de la piscine. On espère y apercevoir notre copine rousse, mais elle n'est jamais venue.

Ce n'est qu'en fin de soirée que nous l'avons retrouvée. Pour notre dernier soir, j'ai invité ma chérie à dîner dans un restaurant très sympa où nous avons très bien mangé. En rentrant, la musique bat son plein au camping car il y a une soirée dansante. Aimant tous les deux faire la fête, nous décidons d'aller danser et nous amuser avant d'aller nous coucher.
En arrivant sur place, on s'aperçoit qu'il y a pas mal de monde, les gens ont l'air de bien s'amuser. On s'installe sur une table et je vais commander deux mojitos au bar. Nous sirotons notre cocktail tranquillement et on s'imprègne de l'ambiance quand une voix nous interpelle.
- Ha bah vous êtes là aussi.
Je reconnais la voix d'Adeline, je tourne la tête dans sa direction et j'aperçois la charmante rousse avec un verre vide dans chaque main, qui nous sourit, elle a l'air pompette.
- Salut Adeline, ça va, tu as l'air en grande forme.
- Oui, je suis avec une de mes amies, on profite de notre dernière soirée de vacances pour nous amuser.
- Nous c'est pareil, on vient de rentrer du resto et on est venu faire un peu la fête.
- Cool. Je vais reprendre à boire, ça vous dit de vous joindre à nous, on est sur une table, là-bas au fond.
- Avec plaisir.
En nous installant à sa table, Adeline nous présente sa copine Cynthia, une ravissante brune aux cheveux longs qui possède un piercing sur la narine gauche. Elle lui explique ensuite qu'elle nous a rencontré à la piscine sans lui avouer qui nous étions vraiment.
Tout se passe pour le mieux, sans aucune allusion sur la vraie raison de notre rencontre, on s'amuse comme des petits fous, on rigole, on chante, on danse et on enchaîne quelques cocktails.
L'ambiance est bonne et je perçois chez Adeline, une certaine excitation car sa façon de nous regarder en dit long. Ca ne m'étonnerait pas qu'elle ait des envies coquines. Cynthia regarde sa montre, étonnée elle annonce à son amie.
- Il est déjà minuit, Adeline, on va peut être aller se coucher non, on a de la route demain.
- Vas-y si tu veux, je vais rester encore un peu.
- Comme tu veux, à demain alors. Au revoir les bretons, ravie de vous avoir rencontré.
- Plaisir partagé, bonne nuit et bon retour chez toi.
Aussitôt qu'elle part, je m'adresse à Adeline qui est bien saoule, tout comme moi et Virginie.
- Alors comme ça tu n'as pas envie de rentrer, tu n'es pas fatiguée.
- Si un peu, mais c'est les vacances merde, j'ai encore envie de m'amuser et puis je voulais rester encore un peu avec vous.
- C'est très sympa de ta part, dit Virginie, et tu envisages quoi ?
- Je ne sais pas, mais j'ai envie de faire des folies.
- Hum, tu serais pas un peu excitée ? Dis-je d'un air coquin.
- Viens vérifier, je n'ai pas de culotte.
Sans hésitation, je glisse ma main sous sa jupe et je caresse sa fente.
- Et bien, tu es toute mouillée petite coquine.
- Et c'est pas la seule, me lance ma compagne.
- Oui, mais toi ça ne m'étonne pas, mais je vais quand même vérifier.
Je faufile ma main sous sa robe et je constate en lui mettant un doigt dans la chatte, que ma chérie est trempée.
- Et bien les filles, c'est moi qui vous fait cet effet-là ?
- Oui.
- Bon, et bien puisque vous êtes chaudes toutes les deux, ça vous tente un bain de minuit dans la piscine ?
- Mais c'est fermé à cette heure-ci, c'est interdit d'y aller.
- Justement, on est sûr qu'il n'y aura personne, on sera tranquille.
- Mais si on se fait prendre ?
- Qu'est ce qu'on risque, tu crois qu'ils vont nous virer alors qu'on part tous demain.
- Non, c'est clair, bon bah go alors.

5 minutes plus tard, nous voilà tous les trois au bord de la piscine, on se dénude entièrement, la lueur de la lune me permet de distinguer les corps de mes deux belles créatures, je suis subjugué par la beauté de leurs seins.
Nous nous immergeons dans l'eau le plus discrètement possible, chacun nage librement dans une direction avant que l'on se retrouve au milieu de la piscine. L'atmosphère devient électrique, on échange des baisers, des caresses, j'embrasse les seins d'Adeline pendant que Virginie cajole mon sexe qui prend de l'ampleur, puis les filles s'embrassent entre elles, elles s'enlacent, se caressent un peu partout. Je m'éloigne un peu pour les laisser s'encanailler, je m'assoie sur la marche la plus haute de la piscine pour les observer, elles sont si belles. Elles m'excitent beaucoup, mon érection en est la preuve, je me branlote gentiment en attendant qu'elles veuillent bien s'occuper de moi, chose qui ne tarde pas à arriver.
Ma chérie est la première à s'approcher de moi, suivie de près par Adeline, elle empoigne ma tige et l'enfourne entièrement dans sa bouche. Elle me suce goulument sous le regard envieux de sa camarade qui ne pense qu'à en faire de même. Et c'est ce qu'elle fait aussitôt que ma compagne me délaisse pour reprendre son souffle avant de revenir me lécher les testicules. Je soupire de plaisir sous les bienfaits de ses deux bouches qui s'activent sur mon entrejambe, c'est un réel bonheur de subir un tel traitement.
Tout se fait à l'instinct et ma Virginie, toujours impatiente, se lève, se retourne, m'enjambe, s'accroupie en tenant ma queue à la verticale en la plaçant à l'entrée de sa chatte et elle s'empale dessus jusqu'à la garde. Elle commence alors ses aller-retour pendant que la rouquine me roule une pelle. Elle se baise en silence, les mains en appui sur mes genoux. Elle augmente le rythme, ses fesses claquent contre mon bas ventre et je sens une main qui me malaxe les boules, puis une langue qui lèche, une bouche qui les gobe. Ma respiration accélère, j'ai du mal à rester muet.
- Hum oui, c'est trop bon les filles, vous êtes trop bonnes. Adeline vient me donner ta chatte, j'ai envie de la bouffer.
Sans attendre, la belle rousse lâche mes couilles et vient s'accroupir au dessus de ma tête. Allongé sur le sol de la piscine, je m'applique à lui lécher la chatte pendant que ma nana remue toujours sur ma queue. Sa chatte est trempée et c'est avec délice que je lappe et avale ses sécrétions visqueuses. Elle halète discrètement pendant que je me régale, mais je veux lui donner encore plus de plaisir, elle le mérite bien.
Nous changeons de position, Virginie s'allonge sur un transat, les jambes écartées, Adeline se met à quatre pattes entre ses cuisses et moi je suis debout derrière. Je besogne notre amie rousse en levrette pendant qu'elle s'occupe de lécher la chatte de ma chérie. Les yeux dans les yeux, Virginie et moi échangeons des sourires complices, heureux de vivre ces instants ensemble et cela m'excite de la voir prendre son pied en se pétrissant les seins. J'accélère le tempo, je lime Adeline de plus en plus fort en la tenant fermement par les hanches, je lui donne une fessée de temps en temps, ses plaintes, qu'elle ne peut contenir, sont étouffées entre les cuisses de ma chérie. Elle est sur le point d'exploser, elle tremble, son vagin se resserre contre mon gourdin, et elle jouit en fermant la bouche.
- Mmmmmmmmhhhhh
Elle reste immobile, ses jambes flanchent, elle semble ne plus avoir de force, je me retire pour la laisser récupérer, elle s'affale sur le transat.
Je regarde Virginie :
- A ton tour, viens là que je m'occupe de toi.
- Oh oui mon bébé, j'arrive.
Debout à côté du transat voisin, je l'embrasse passionnément avec une main sur son sein et l'autre sur ses fesses, ma verge palpite, j'ai les sacoches pleines, je ne tiens plus tellement je suis excité. Je titille sa rosette du bout du doigt et lui annonce que j'ai envie de son cul, elle frissonne. Je m'installe sur la chaise longue et je me branle pendant que ma petite salope crache dans sa main et étale le tout sur son petit trou. Comme tout à l'heure, elle s'accroupie dos à moi et elle s'enfonce elle-même ma bite dans le cul. Je la sodomise lentement au départ, puis de plus en plus vite. Nous sommes en sueur, Virginie devient un peu bruyante, elle ne peut éviter de lâcher quelques gémissements, mais qu'importe, c'est trop bon, je ne peux pas m'arrêter et je continue de lui pillonner le fion pendant qu'elle masturbe son clitoris.
- Hum, t'arrête pas, je vais jouir.
Je la martèle encore de plus en plus vite sous le regard d'Adeline qui nous observe en se doigtant et soudain elle se mord la main pour ne pas hurler son orgasme. Elle reste plantée sur mon pieu quelques secondes sans bouger, elle reprend son souffle, mais moi je n'en peux plus, il faut que je me vide.
- Allez les filles, maintenant que vous avez chacune votre compte, vous allez me finir. A genoux mes cochonnes.
Elles se mettent en place et aussitôt je leur donne ma queue. Elle la suce à tour de rôle, crache dessus, m'avale en malaxant mes couilles. Je grogne de plaisir tellement c'est bon et je sens que la fin approche. Je me saisis de mon membre dégoulinant de salive, je me branle rapidement et leur ordonne d'ouvrir la bouche.
- Oh putain, oui ça vient.
J'expulse les premiers jets épais sur la langue de Virginie qui se fait un plaisir de tout avaler, puis je vise celle d'Adeline qui attend également sa récompense. Mon foutre s'étale sur sa langue et sur ses lèvres qu'elle lèche avec délectation pour ne pas en perdre une goutte, puis cette dernière me reprend en bouche pour me sucer et aspirer mon gland afin de me vider entièrement.

Nous nous rhabillons et nous restons papoter un petit moment. Nous remercions Adeline pour les bons moments que nous avons partagés, elle nous remercie également en nous disant que sans nous, ses vacances n'auraient pas été aussi agréables. Nous nous quittons sur un dernier baiser, c'est la dernière fois que nous la voyons.

Le lendemain, nous partons aux alentours de 10h, la route du retour se fait bien, pas d'embouteillage, pique-nique sur une aire de repos comme des vrais touristes qui rentrent de vacances. Une heure après le déjeuner, alors que nous sommes sur l'autoroute, je regarde Virginie qui s'est assoupie légèrement, sa jupe est relevée, je sais qu'elle ne porte rien dessous et j'entrevois pratiquement sa fente. J'ai alors comme une pulsion, je pose ma main sur sa cuisse, la remonte lentement jusqu'à atteindre sa grotte à plaisir, je caresse ses lèvres un instant avant de lui mettre un doigt. Elle réagit aussitôt, en même temps, ce n'est pas compliqué avec elle, dès qu'elle a un doigt dans la prise, c'est le court-circuit.
- Hum, tu as envie de jouer ?
- Oui, j'avais envie de te chauffer.
- Bah c'est réussi, je vais faire comment pour me calmer maintenant ? Tu t'arrêtes quelque part ?
- Non, mais j'ai envie que tu te caresses.
- Hum, prépare-toi alors, je vais t'exciter à mort.
Sans réfléchir, ma belle métisse défait sa ceinture de sécurité et elle se déshabille entièrement pendant que je roule. J'en reste bouche bée, pensant qu'elle allait juste soulever sa jupette.
- Putain, tu es vraiment une belle salope, tu m'excites trop.
- Je sais, c'est pour ça que tu m'aimes non ?
J'enclenche le régulateur pendant qu'elle s'assoit dos contre la porte passager, les jambes fléchies et grandes ouvertes. J'ai une vue imprenable sur sa petite chatte trempée. Elle commence par se caresser les seins, elle les lèche, les suce en me lançant un regard lubrique. Elle s'attaque ensuite à son berlingot qu'elle masturbe d'une main en faisant des mouvements circulaires. Elle me fixe du regard en gémissant.
- Alors, je te file la gaule? Je parie que tu as envie de me baiser hein ?
- Évidemment que j'ai la gaule, petite salope.
- Hum, ça m'excite de savoir qu'elle est bien dure. Sors-la, j'ai envie de la voir.
Je jette un œil sur la route pour voir ce qu'il se passe devant, rien à l'horizon. Je soulève mon bassin et tire sur mon short, sous lequel je n'ai rien, pour le baisser jusqu'à mes cuisses. Virginie contemple ma queue tendue en se mordant les lèvres avec 2 doigts au fond de la chatte.
- Hum j'adore voir ta grosse bite, qu'est ce qu'elle est belle, j'ai envie de la bouffer.
- Bah viens, tu crois que je l'ai sorti juste pour que tu la regardes.
Ni une, ni deux, elle se met à genoux sur son siège, elle empoigne ma teub et elle se penche pour l'introduire dans sa bouche. Elle n'est pas là pour jouer, elle me pompe à vive allure comme si elle voulait me faire jouir le plus vite possible. Elle est très excitée, pourtant ce n'est pas la première fois qu'on fait ça pendant que je conduis, mais c'est vrai que les fois précédentes, elle n'était pas complètement à poil. En tout cas, elle me fait un bien fou, je grogne de plaisir en caressant son dos et ses fesses, j'ai du mal à me concentrer sur la route, d'ailleurs heureusement qu'il n'y a pas grand monde car je fais quelques écarts sur la voie de gauche. Heureusement la délivrance approche, alors que Virginie me suce toujours énergiquement en malaxant mes bourses, je sens que la moutarde me monte au gland et sans la prévenir, je décharge tout mon foutre dans sa bouche. Elle avale tout sans sourciller, puis elle se relève avec un grand sourire.
- Alors heureux ?
- Carrément, c'était trop bon, merci ma chérie.
- Mais de rien, ça m'a fait plaisir, par contre, je ne suis pas calmée.
- Ne t'inquiète pas, quand on sera à la maison ce soir, je te rendrais la monnaie de ta pièce.
- J'espère bien.

Cette gâterie dans la voiture fut notre dernière folie des vacances pendant lesquelles nous avons découvert et expérimenté de nouvelles choses. Le constat est simple, on a adoré s'éclater comme ça et la seule chose à laquelle nous pensons en rentrant est, vivement notre prochain voyage.

FIN

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