Le Temps De Sécher La Robe

Enfin seul ! J’ai tout largué : mon ex, mes parents et mon appart... J’ai trouvé une travail ailleurs, plus intéressant et bien mieux payé. Je commence demain matin dès 8 heures. J’ai du bol, j’ai trouvé une chambre dans une maisons très grande, je dispose de la chambre, d’une salle de bain, d’un coin cuisine et d’une entrée séparée. Je passe une première semaine du tonnerre, j’ai même fait la connaissance d’une fille de mon âge formidable, agréable et tout et tout. Pour le moment je ne lui ai pas parlé pour la lever, je me contente de lui dire la vérité : elle est belle.
Ca y est j’ai convaincu Gilberte de sortir avec moi. Nous allons au cinéma voir un film d’amour. Elle est très sentimentale. J’espère qu’elle est aussi chaude, au fond c’est la seule chose qui compte pour moi. Je ne vais quand même pas lui dire de but en blanc que j’ai envie de lui faire l’amour. Ce film qui me déplait lui plait tellement qu’elle pleure aux moments tragiques. Pour la consoler un peu je la prend dans mes bras. Ca doit bien lui plaire puisqu’elle me laisse la tenir, elle fait plus, elle pose sa tête sur mon épaule.
Le film est long j’en profite pour que la main qui la tient descende lentement vers sa poitrine. Je craignais un scandale. Hé bien non Gilberte se laisse faire. Je prend carrément son sein dans la main, elle se tourne vers moi et me donne ses lèvres. Je ne m’attendais pas à une telle réaction de sa part, elle qui paraissait fragile et sentimentale, sensible aux images du film ! Je profite de l’occasion bien sur. Je continue mon massage des seins, surtout quand je sens sous ma main un tétons bien durci. Je me tourne vers elle pour mieux l’embrasser. J’en profite pour poser mon autre main sur son genou. Il est doux et me conforte dans l’idée d’aller chercher sa petite boutique de plaisir. Je passe ma main entre ses cuisses qu’elle ouvre gentiment. Je vais plus haut, là où la peau est plus douce. Elle pose une main sur la mienne pour m’accompagner.

Du coup sa robe monte en même temps. Dans la pénombre je peux apercevoir la moitié de ses cuisses.
Je suis étonné de ses réactions positives. Après tout elle pourrai m’envoyer à la pêche sans problème. Quand elle sait que je suis sur la bonne voie, elle lâche ma main pour venir carrément poser sa main sur mon sexe. Je commençais à bander, elle me masse jusqu’à ce qu’elle sente que je soit dur. C’est à ce moment que j’arrive sur sa culotte bien mouillée. Je peux facilement faire passer mes doigts de l’autre coté, je suis directement sur sa chatte. Je les passe tout le long de la moule avant de me fixer sur son clitoris.
Elle sort ma queue pour la caresser, elle branle bien la salope. J’en suis content puisque je n’ai aucun sentiments pour elle, sinon une attirance pour son cul. Je pense que de son coté elle pense comme moi, sinon elle ne se serait jamais laisser faire aussi facilement, quoiqu’il existe une catégorie de filles qui se donnent dès le premier soir.
Heureusement pour sa pudeur, nous sommes peu nombreux dans la salle et surtout personne ne peux nous voir.
Je la branle comme je sais faire. J’y vais avec douceur au début, puis vite et en appuyant un peu plus par la suite. Elle laisse sa bouche sur la mienne, nos langues s’amusent entre elles. Pour être plus à l’aise, elle passe sa cuisse sur la mienne, ouvrant d’avantage ses jambes et facilitant mes caresses. Elle me fait cesser ce que je fais pour se relever un peu pour enlever la culotte et se remettre dans la même position. C’est vrai que maintenant j’ai accès partout dans sa chatte. Je sens qu’elle se crispe un peu :
- Je jouis. Merci, recommence encore une fois.
- Pourquoi une seule fois ?
- Tu vas me proposer d’aller chez toi, non ?
- Bien sur.
Je ne le pensais pas vraiment. Ma foi, si elle veut baiser je n’ai rien contre, au contraire. Je la masturbe une autre fois. Elle range sa culotte dans son sac et se lève, pressée de la suite.
Nous sommes enfin chez moi : je l’embrasse encore.
Nos langues se régalent entre elles. Je ne fais pas dans le détail, elle m’a proposé ou c’est tout comme de me faire l’amour.
Je pose ma main à travers sa robe pour retrouver son bouton. Elle proteste un peu en prétendant que je tâche ses habits alors que depuis qu’elle a enlevé sa culotte, elle est sacrément mouillée derrière. Sa réaction m’étonne encore, elle enlève sa robe et part à la recherche d’un endroit où la tremper pour la rendre présentable. Elle trouve vite le lavabo y met sa robe et revient vers moi dans une tenue assez bizarre : pas de culotte, plus de robe et un simple soutien gorge. Elle en est risible !
Au fond je m’en fout. Par contre elle revient très excitée vers moi. Sa tenue n’est pas correcte, mais la fille est très chaude. Elle revient contre moi, prend ma main pour que je la repose encore sur son sexe. Elle écarte un peu les jambes pour que j’aille partout, elle ne m’interdit rien, au contraire :
- Vas y baise moi, fais ce que tu veux de moi. Je devient ta putain si tu veux.
- Tu permets que j’enlève son soutif ?
- Excuses moi je l’avais oublié.
Elle l’enlève seule et se colle à moi. Elle me déshabille et prend à nouveau ma bite. Pour m’asticoter d’avantage, elle me branle en se levant pour être à ma hauteur et pour se planter ma bite dans son con. Elle passe ses cuisse autour de ma taille et commence les allers et venues. Elle a une cadence de professionnelle. Elle s’arrête souvent pour ne pas jouir ni elle ni moi. Pourtant elle éclate :
- Salaud, tu me fais jouir, encore, mets moi la à fond.
- Ne t’en fais pas je te baise encore?
- Tu gicleras dans mon con ?
- Si tu veux, salope.
Nos mots doux l’excite encore plus : elle jouit plusieurs fois consécutivement.
Elle jouit cette fois en hurlant son plaisir. Elle se laisse aller et une fois sur le parquet pour se mettre en levrette sur le lit, se mouille le petit trou :
- Viens me la mettre dans le cul ta larve.
- Tu vas voir ce que ma larve va te faire, je vais la faire entrer au fond de ton cul, elle ressortira par ta bouche tellement elle sera dedans !
- Tais toi, mets moi la.

Je pose ma bite juste à l’entrée de son anus. J’entre comme dans du beurre. Elle gémit tout le temps de la sodomie. Je sens mes baloches sur ses fesses. Je sens aussi sa main aller et venir sur son bouton. Quand elle baise, elle ne pense plus qu’à ça. Elle s’écroule sur le ventre totalement anéantie. Je ne suis guère mieux qu’elle.
Mais il faut un certain temps pour sécher cette foutue robe. Elle est presque sèche, il doit manquer une petite demi heure. C’est suffisant pour le programme que je lui propose, prendre une douche tous les deux. Là elle accepte.
Nous sommes sous le jet chaud. Elle s’assoit dans la baignoire, le jet sur son clitoris puis après une jouissance sur son cul, elle a son dernier orgasme. Elle met le jet à plusieurs centimètres de ma bite, habituée à ce genre de sport elle me fait jouir : mon jet de sperme se perd dans l’eau coulante.
Elle part chez elle, je ne sais où. Par contre le soir suivant c’est elle qui vient pour simplement tirer un coup. Les sentiments ne sont bons qu’au cinéma, pas dans la vie sexuelle...

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