Au Temps De La Rome Antique

L’été s’achève en un orage extraordinaire. Les dieux montrent leur puissance à Carthage. De la villa au bord de la mer, je vois des éclairs sur la montagne en forme de volcan. Je sens mon corps frémir, comme quand j’ai envie. Mes esclaves préférés sont allongés près du vestibule. La nubienne, toujours aussi portée vers le cul se donne avec plaisir à la queue du Dace. Je reconnais qu’il est bien fichu, sa queue est juste un peu grosse. Je regarde ses couilles battre la cadence sur les fesses. Je n’y tiens plus, après tout ils sont à moi….
Il bande toujours, j’ai demandé à l’autre de le prendre dans ses lèvres. Elle me regarde dans les yeux comme si elle m’offrait la fellation. Ses lèvres humidifiées serrent la queue qui sort juste de son cul. Elle est magnifique ainsi. Lui la laisse lécher, sucer, le faire jouir. Excitée elle se caresse la chatte. Je vois qu’elle se doigte facilement : la pudeur n’existe plus entre nous. Elle s’est fourré deux doigts dans le con et un autre dans le cul. Le sperme est sa récompense. Une goute est resté sur ses lèvres, elle la lèche avant que j’ai pu la récupérer ;
Dans mes relations je suis la seule à posséder un tel couple destiné depuis que je l’ai acheté sur le marché, à vénérer Eros. J’aime regarder quand il la baise, qu’il n’est pas entièrement couché sur elle. Je vois les poils se mêler, la bite entrer doucement, de plus en plus vite. Quand je me suis près d’eux je mets un doigt sur les fesses du Dace. Il ouvre son cul facilement maintenant. Je suis arrivée à lui faire aimer la sodomie passive avec un autre homme. Je savais que l’esclave de mon amie aime particulièrement les culs, y compris celui de sa maîtresse. Lors de sa dernière visite, nous nous embrassions sur la bouche comme souvent en nous caressant les seins avant de nous sucer les sexes. J’ai demandé au Dace de donner son cul devant nous. Il était en levrette, les fesses un peu hautes. Je sentais qu’il n’avait pas envie : il ne bandait pas du tout.

L’autre est venu derrière lui, a prit la pine dans une main, l’a caressé doucement : il ne bandait toujours pas. Quand il a mis sa bite dans la raie, il commençait à bander un peu. Je me suis arrêtée de lécher la foufoune de mon amante. Nous regardions la queue envahir lentement l’intestin de mon esclave. Eros nous a écouté, il a fait bander celui qui aller se faire enculer.
Les mouvements de la queue étaient rapides et profonds. La main de l’autre a prit la bite dans sa main. Il l’a branlé aussi bien que la Nubienne, mieux que moi en tout cas. Tout ce que contenait les couilles est sorti d’un seul coup. Je ne pensais jamais qu’il puisse jouir autant d’une simple bite dans le cul. Le sodomite a sorti sa pine juste avant de cracher. Il a continué vers son orgasme en se branlant. Il montrait une belle queue, assez grosse pour empaler n’importe qui. J’en avais mal au ventre de le voir faire : il jouissait simplement devant moi, son jet aller loin de sa queue. Je ne sais combine de fois il crachait. Il fermait les yeux, insensible au monde qui l’entourait.
Nous reprenions notre étreinte avec mon amante. J’avais envie de lui faire un peu mal en lui mettant deux doigts justes dans le cul. Pourtant les mouvements de ma langue sur son bouton l’envoyaient en l’air plusieurs fois. Elle m’a surprise en mettant deux doigts pile sur l’anus. Elle oubliait le reste pour me faire connaitre un autre plaisir. Je me mettais sur le dos, les jambes relevées en les tenants par les chevilles. J’étais guidée par je ne sais quel dieu du plaisir.
Elle prenait de ma cyprine cueillit dans ma vasque, ajoutée à la sienne : je sentais avec plaisir deux doigts entrer, puis elle en a rajouté un autre. Poussée par je ne sais quoi, ou qui, elle entrait un autre doigt. Mon anus était dilaté comme jamais. J’avais un peu mal, je voulais, sans le lui dire qu’elle arrête. Je sentais encore quelque chose entrer. C’était toute sa main qui m’enculait. Il me semble que je criais. D’après ce qu’elle m’a dit plus tard, elle m’a mit son poignet en entier dans le cul.
Après une instant d’immobilité elle s’est mit à aller et venir. J’étais les épaules au sol, le torse plié contre les seins, le ventre tordu de plaisir. Et sa main qui sans pitié me donner cet étrange plaisir inconnu. J’aurais voulu à la fois qu’elle arrête, qu’elle sorte de mon ventre et qu’elle continue. Elle devenait une réincarnation du dieu égyptien Apis. Pour la première fois de ma vie j’ai eu plusieurs jets de cyprine venant du vagin. J’ai du en mettre un peu partout, heureusement léchée par la Nubienne.
Pour me venger un peu j’ordonnai au Dace de la sodomiser. Ce n’était pas une punition, elle adore cette bricole, une bite dans le cul. La seule condition était que la Nubienne participe aussi. Elle faisait coucher le Dace sur le dos, le faisait bander en le suçant un peu, en léchant les couilles puis le fut de la queue avant d’engamer le gland ; Elle aime la douceur sur sa langue d’un bout de la bite. Elle est venue les jambes ouvertes sur son anus. Après s’être empalée jusqu’au manche elle demandait à la Nubienne de venir s’allonger en face d’elle, de lui prendre l’abricot dans La bouche. Elle commençait à geindre sans cesse, au point de m’exciter encore. Voir la tête de mon esclave s’agiter sur le con d’une autre me donner d’aller moi aussi lécher cette autre chatte. Ma bouche se posait sur les fesses de la Nubienne, je lui faisais ouvrir les fesses. J’introduisais ma langue dans la fente. Gourmande je goutais au trou du cul avant d’aller me fixer sur le con de l’esclave. Elle devait être excitée pour mouiller ainsi. Tans pis pour moi, je gardais le désir de jouir jusqu’à faire jouir mon esclave avant moi. Dès que je sentais l’orgasme dans celle que je suçais, je me levais pour donner ma fente à la langue de celle qui se faisait mettre pas le cul. Elle léchait à grand coup de langue de bas en haut. J’étais tendue vers elle. C’est un coup de tonnerre inhabituel qui nous a fait cesser. Jupiter nous signifiait par là que nous en avions assez.
Je me suis retrouvée seule avec mes esclaves.
Le dace m’a poussa contre le mur, embrassé comme un chien enragé. Il bandait dur comme airain. Derrière lui la Nubienne a prit sa queue. Elle le voulait aussi. Il m’a allongée, fait ouvrir le sexe, mit sa queue au fond de moi, c’était bon. La Nubienne est venu près de moi, il a posé sa bouche sur elle, la léchée longuement. Voir ce cunnilingus juste à coté de moi m’excitait que je ne finissais plus de jouir.
Je ne comprends toujours pas comment il se fait que je garde leur liberté et qu’ils me font si bien l’amou

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