Les Fantasmes De Ma Femme (3° Partie)

Ma femme a plein de fantasmes. Elle a pu en satisfaire quelques uns à sa grande satisfaction. Il lui en reste un tas. Il me tarde qu’elle les satisfasse. Je ne sais qu’une seule chose aujourd’hui : elle a «oublié» de mettre ses sous vêtements que j’ai trouvé sur le lit après son départ. Je pense bien qu’elle doit avoir un désir enfoui pour être partie ainsi. Si elle vit une aventure, elle m’en parlera se soir quand je rentrerai. Evidemment c’est ce qui arrive, après un baisé bien senti sur la bouche, elle ouvre le peignoir de bain : elle est nue. Elle s’assoit sur un fauteuil, les jambes ouvertes pour que je vois bien son sexe. Et me raconte sa journée chargée, sa main ne quittant pas les abords de sa fente pour la caresser en cas de besoin

« En m’habillant ce matin je n’ai pas mis de sous vêtements pour voir l’effet que faisait l’air frais sur mon petit trésor, comme tu l’appelles. J’ai eu un peu froid aux fesses juste en sortant et petit à petit je m’y suis habituée. Je ne frissonnais pas, j’avais simplement envie d’avoir une bite dans ma vulve, là où tu me la mets. Je ne pouvais pas revenir pour te demander de me baiser. J’ai décidé d’attendre d’être au magasin pour aller faire un tour du coté des toilettes pour me branler. D’ailleurs c’est de ta faute, pourquoi tu m’as appris à bien me branler ?
Donc une fois aux toilettes je lève ma robe pose un pied sur la cuvette, écarte les lèvres que normalement tu me lèches, pout faire ressortir mon petit clitoris. J’ai commencé à me caresser doucement, comme je fais devant toi. Je pensais à toi pendant toute la durée de ma branlette. J’ai bien jouit, à tel point qu’à partir de maintenant je ne porterai plus de sous vêtement.
J’ai ouvert le magasin. J’étais en train de ranger quelques bricoles quand un jeune d’une vingtaine d’années est entré. Il voulait voir un costume pour une cérémonie : le mariage de sa sœur. J’ai agit avec lui comme avec n’importe quel client, je lui ai montré ce qui me semblait correspondre à ses besoins.

Il est entré dans une des cabines pour essayer son costume.
Il m’a appelé un instant après pour que je vienne voir si ça lui allait. Je suis entré dans la cabine et j’ai vu un homme nu, la bite en l’air. J’allais presque crier au viol, mais une bite bandée, c’est pas grave, pas vrai mon chéri ?
J’avais deux solutions, le faire partir tout nu, j’aurai eu une bonne réputation dans le quartier. Ou, faire ce que j’ai fais : je lui ai pris la bite et l’ai branlé. Il prenait bien la chose, tu sais que je branle bien, j’ai fais comme pour toi.
Ce n’était pas suffisant, il n’avait jamais fait l’amour. J’ai eu une attirance, une pulsion. J’ai eu envie de lui faire connaitre les plaisirs de la baise. C’est ainsi que je l’ai embrassé sur la bouche, ma langue est entrée dans la sienne. Il a découvert mes seins qu’il a caressé honorablement. J’ai fait descendre un main dans mon jardin des plaisirs. Je lui au montré comment me branler. Il l’a fait maladroitement, je n’ai même pas eu un début de plaisir avec ses doigts.
J’ai pris sa bite et l’ai dirigée vers ma chatte. Il s‘est baissé pour être à ma hauteur. C’est même moi qui ai fait les premiers mouvements. Quand il a eu bien gouté à mon con, de lui-même il a continué. J’ai senti son jet de sperme dans mon ventre ça ma faite jouir.
Il a passé son beau costume, son premier, a payé avant de partir. Il a posé ses lèvres sur les miennes en un court baiser.
J’ai eu plusieurs autres clients ou clientes jusqu’à midi. J’ai fermé pour aller déjeuner. Le resto habituel était plein pour je ne sais qu’elle raison. Le garçon m’a placé à une autre table. Je n’étais pas plus mal qu’à l’habituelle. Le garçon un peu plus tard est venu me demander si j’acceptais une autre personne en face de moi. J’ai accepté bien sur. C’est une femme un peu plus jeune que moi. Tant mieux, nous avons bavardé de ce qui intéresse les femmes : de chiffon. Je lui disais que j’en vendais justement des chiffons. A la fin du repas, elle a voulu venir avec moi voir ce que je vendais.
Il était tôt, j’avais encore presque 2 heures avant d’ouvrir.
Nous avons fait le tour du magasin, rayon femme : elle regardait pas mal de nouveautés. Elle m’a demandé de voir deux robes en particulier. Je l’ai conduite aux cabines. Un instant après, elle m’appelle. Je vais la voir avec un modèle. Je ne peux que lui dire qu’elle ressemble à une gravure de mode, ce qui est vrai.
Il me tardait qu’elle en finisse, j’avais encore envie de me faire jouir. Je sentais ma cyprine dégouliner sur mes cuisses. Bref je ne pouvais plus tenir. Je m’étais même installée à la caisse, avec une main sur le bouton. J’étais prête à jouir.
Elle m’appelle encore et avant d’essayer la deuxième elle se déshabille devant moi. En moi même je me dis qu’elle a un beau châssis. Je n’avais pas tout vu, elle était nue, totalement nue sans sous vêtement.
- Pouvez vous m’aider à enlever ce que j‘ai.
- C’est-à-dire ?
- Ce que j’ai entre les jambes.
- Qu’avez-vous entre les jambes ?
- La même envie que toi !
Elle me prend dans les bras. Tu sais que je ne rejette pas les femmes, mais là, elle me surprend par la rapidité de son geste. Sa langue est vite sur dans ma bouche dès que ses lèvres sont sur les miennes. Ce baiser m’excite immédiatement.
Je l’emmène dans l’arrière boutique, tu sais là où j’entrepose les vieilleries que j’ai arrangé en ce qui pourrait ressembler à un matelas. Elle m’embrasse à nouveau :
- Je crois que tu aimes les femmes !!
- C’est vrai j’aime AUSSI les femmes.
- Nous allons baiser si tu peux.
Je n’ai plus mon mot à dire. Elle me déshabille vite fait. Elle ne fait même pas attention que je ne porte rien sur moi, mise à par ma robe. Elle se colle à moi pour mieux sentir mes seins. Ce qui l’intéresse pour le moment ce n’est que ma main pour lui caresser l’intérieur des jambes et surtout son sexe. Tu sais que j’ai déjà baisé avec une fille devant toi, elle était mouillée, celle-ci était trempée.
J’ai compris quand elle a retiré de son vagin les boules de geisha qu’elle y avait. Elle ne voulait plus jouir avec ses boules, mais avec une autre femme.
Elle s’est couchée, je me suis mise sur elle, comme quand tu me baises. C’est moi qui jouais le rôle du mâle. Il me manquait le principal. Je faisais les mêmes mouvement que toi quand tu me la mets. Je ne sais comment j’ai fait, je ne l’ai pas touchée et elle jouissait. Hé puis j’ai eu envie de sa moule, je l’ai léché complètement, elle était presque sèche quand ma langue a pris toute sa cyprine, qui entre nous est bonne. J’ai léché le clitoris, j’ai entré ma langue dans son con, j’ai léché l’anus. Je l’ai faite jouir je ne sais combien de fois.
Quand elle en a eu assez, nous avons fait un 69. 69 vachement bien fait. Elle m’a faite jouir plusieurs fois, surtout la dernière quand sa langue était dans ma cachette et ses doigts dans mon cul.
Elle est parti par la porte de derrière sans plus rien me dire, après avoir payé le prix fort ce qu’elle avait acheté. Je me suis faite payé pour baiser une autre femme !!! »
Que faire après cette confession. Ma femme a des envies qu’elle veut satisfaire à tout prix, j’en profite indirectement. Pendant son récit ma bite me faisait mal. Maintenant elle est comme moi, excitée. Elle n’attend pas que je la baise, elle a déjà ses jambes écartées, une main sur son sexe : elle commence à se caresser lentement, quand elle commence ainsi, je sais qu’elle va faire durer sa masturbation. J’ai trop envie d’elle, alors plutôt que de me branler, je lui donne ma bite en guise de sucette. Elle enfourne ma pine jusqu’au fond de sa bouche. Sa tête fait des mouvements de vas et vient. Elle connait le moment juste avant l’éjaculation. Elle ne garde dans le bouche que le gland. Je gicle en elle pour qu’elle avale toute ma semence.
Tout à l’heure en baisant elle va me demander de la sucer et surtout de l’enculer : elle n’a pas eu de sperme dans ses reins aujourd’hui.
Que me font ses écarts de conduites ? A dire vrai un pincement au cœur, qui s’efface vite, nous nous aimons trop et aimons nous faire l’amour.
Même par intérim.

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