Le Fantasme De Ma Femme

Je suis marié depuis 8 ans. Mon épouse à comme moi 32 ans. Elle n'est pas très portée sur le sexe et ne s'habille pas sexy. Elle n'a dans sa garde-robe qu'un seul string au milieu de ses slips classiques blancs. Elle enseigne dans une grande école de la ville. En bref c'est une épouse fidèle qui n'a aujourd’hui, connu qu'un seul homme, moi.
Un soir ma femme comme d’habitude me raconte sa journée :
- Tu sais la nouvelle ! La remplaçante de Martine pendant son congé maternité, n'est pas une femme mais un homme Il a 35 ans il est très sympathique.
Je l'écoute d'une oreille distraite. Elle m'en parle pendant plus d'une heure. Et ce fut ainsi chaque soir de la semaine. Elle lui donnait un coup de main en lui prêtant des cours. Il était enchanté d'avoir une collègue si dévouée. Le mardi suivant ma femme me dit :
- Pourrais-tu manger seul demain midi ?
- Oui, bien sûr. Mais demain on est mercredi, d'habitude on mange toujours ensemble le midi.
- C’est seulement parce que demain, le nouveau, Christian m'a invitée à manger au resto pour me remercier. Cela ne te dérange pas ?
- Non, pas du tout.
C'est bien la première fois que mon épouse va manger en tête-à-tête avec un autre homme que moi. Je la regarde, elle est souriante, elle me dit :
- Tu peux commencer à regarder le film à la télévision, je prends un bain et j'arrive.
Assis dans le canapé, je regarde tranquillement le film. Elle darde à revenir, elle se fait sûrement belle pour demain. Ce Christian lui ferait de l'effet ? Oserait-elle ? L'idée de voir ma femme dans les bras d'un autre m'excite plus qu'elle ne me rend jaloux.
C'est vrai qu'elle en parle beaucoup. Mais de là à…. non pas elle. Après plus d’une heure dans la salle de bain, elle revient et me demande :
- Il est bien le film ?
- Oui. Je te résume l'histoire ?
- Non merci.
Elle se blottit contre moi. Je l'embrasse dans le cou. Elle sent très bon, ce n'est pas du parfum.

C'est sa crème épilatoire. Alors ! Elle s'est épilée pour lui, j'en suis sûre. Je bande en pensant qu'elle a envie d'un autre homme. Le film se termine. Je veux l'embrasser tendrement mais elle sent ma queue bandée. Un petit bisou sur la bouche suivi par un :
- Non, pas ce soir s'il te plait je suis fatiguée.
Le lendemain matin, je la regarde mettre son slip. Zut, je n'ai pas su voir ce qu'elle a épilé hier soir. Son slip est classique, jupe mais pas très courte. Alors ! Me serais-je trompé ? Oui, certainement, je me fais des idées. Lorsqu’elle rentre le soir. Je lui demande :
- Alors ! Tu as bien mangé ?
- Oui, et il a absolument voulu payer l'addition. Et, tu sais avant d'enseigner il a :
Et une demi-heure de blablabla à propos du nouveau. Je n'écoute pas, je la regarde. Elle est très belle, ces yeux sont clairs et brillants. Dans le lit, je l'embrasse comme tous les soirs. Elle me dit :
- Je t'aime. Viens sur moi. J'aime sentir ton corps sur moi.
Sa bouche vient à la rencontre de la mienne. J'ai envie d'elle. Je caresse sa poitrine par-dessus sa chemise de nuit. Elle écarte doucement ses cuisses. L'appel est clair. Mes mains descendent, parcourent son ventre, descendent encore. Mes doigts arrivent à sa petite touffe. Ma femme les coupe d'habitude assez courts mais là son triangle est vraiment tout petit. Je glisse un doigt à l'entrée, j'écarte ses lèvres et lui dit :
- Tu es trempée. Tu devais déjà être excitée avant que mon doigt indiscret ne te touche. Tu avais des envies ?
Pour toute réponse, sa main vient serrer ma queue au garde à vous.
- C'est ton dîner de ce midi qui ta donner des idées ? Il te plait ce Christian ?
- Il est sympa.
- Tu le trouves beau ?
- Il est Charmant.
- Tu crois que tu lui plais ?
- Peut-être bien.
- Qu'est-ce qui te fait dire cela ?
- J'ai senti son genou frôler le mien pendant presque tout le repas et à la fin j'ai eu l'impression qu'il avait envie de m'embrasser.

- Toi ! Tu avais aussi envie de l'embrasser ?

- Oui, beaucoup.

- Alors ! Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?
- Je n'avais pas envie de te tromper. J'avais aussi peur que tu sois jaloux. Mais ta queue durcit encore dans ma main. Tu bandes à l'idée que j’embrasse un autre homme. Tu es un cochon.
- Non ! Je suis un peu jaloux mais l'idée m'excite c'est vrai.
- Tu serais prêt à accepter que je l'embrasse. Pour du vrai ?
Mon petit doigt masse toujours son clito. Son cul se met à bouger en faisant des allers-retours.
- Si tu en as vraiment envies, oui.
- Il ne se limitera sans doute pas à un baiser. Tu serais d'accord qu'il me fasse l'amour et qu'il me perfore avec sa tige ?
- Oui mais je voudrais être là. Je veux te voir jouir.

- Tu es encore plus vicieux que je l'imaginais. Ton doigt m'excite.

- Seulement mon doigt ou l'idée que tu te fasses sauter par un autre ?

- Les deux. Je crois que je vais accepter ces avances. D'accord, tu veux être présent mais moi j'ai des conditions.

J'étais de plus en plus exciter.

- Tout ce que tu veux.

- Premièrement, c'est moi qui mène la danse. Deuxièmement, cette queue que je tiens dans ma main ne pourra plus jouir en moi, avant que celle de Christian n'y soit passée.

- C’est beaucoup me demander. Tu ne vas tout de même pas me laisser les couilles pleines pendant des semaines.

- Ne te tracasse pas. Je te ferais jouir mais pas question de me la mettre. Et puis j'ai envie de sentir une autre tige bien dure dans mon trou, je tâcherais d'inviter Christian un de ces jours.
Déjà huit jours, huit jours sans pouvoir faire l'amour à mon épouse. Je n'ose pas lui demander quand elle compte inviter son fameux Christian.
Neuvième jour, vendredi 18h45. Je rentre du travail. Pas de femme en vue. La maison à l'air vide. Je monte à l'étage, il y a de la lumière dans la salle de bain.
La porte est fermée.
- Ne rentre pas. Je suis dans mon bain.
- Depuis quand je ne peux pas entrer lorsque tu prends ton bain ?
- Depuis aujourd'hui. Va préparer la table. Tu as 3/4 d'heure. Ah oui, et puis mets trois couverts.
C'est donc aujourd'hui ! Je ne dis rien et descends préparer la table. Mon cœur bat de plus en plus vite que l'heure avance. 19 h15 et toujours rien, ma femme est encore à l'étage. J'essaye de penser à autre chose en regardant la télé. J'entends ces pas dans l'escalier.
- Bonjour mon chéri. J’espère que tu as passé une bonne journée ? Tu vas voir la soirée sera encore meilleure. J'ai invité Christian.
Je la regarde, elle est magnifique, elle porte une robe bleu marine avec un petit col, des boutons sur toute la longueur. Une robe que je n'avais jamais vue. Elle est bien courte, elle s'arrête mi-cuisses. Ses chaussures sont également neuves avec des talons. J'aimerais savoir ce qu'elle porte en dessous, je m'approche pour passer une main dans son dos.

- Non, non, toi, continues à regarder la télé et surtout ne me touches pas.
Elle me connaît trop bien. Ma femme, sait ce que j'avais dans la tête.


« Ding dong ».
- Chéri ! Va ouvrir stp.
C'est vrai, il a l’air sympa. Mais sans plus ! Je le trouve banal, pas très beau. Mais, je suis sans doute un mauvais juge. Le repas se déroule très bien. Notre invité ne devine sûrement pas la suite des événements.
Comment ma femme va-t-elle s'y prendre pour passer au stade suivant ? Notre invité rougit tout à coup et me lance un regard furtif. Il se passe quelque chose sous la table. J'avance mon pied afin de découvrir ce qui fait rougir notre ami. A peine ais-je toucher la jambe de mon épouse, elle me dit :
- Chéri, tu veux bien débarrasser et préparer le désert on le prendra dans le salon. Christian, je t'en prie va t'asseoir dans le divan. J'arrive.
Nous nous levons de table. Christian vers le divan.
Ma femme vers les toilettes et moi vers la cuisine les bras chargés. Je me dépêche afin de ne rien rater de la suite mais ma petite chérie réapparaît assez vite et va rejoindre son Christian.
En passant, je remarque qu'elle a déboutonné les deux premiers boutons de son chemisier, ainsi que le dernier du bas. Je prépare la glace tout en tendant l'oreille vers le salon car de la cuisine je ne peux les voir.
- Tu sais Christian, c'est la première fois que je m'entends aussi bien avec un de mes collègues masculins. D'habitude je les trouve tarte.
- C'est sans doute parce que tu as eu peu de collègue masculin.
- Non, ce n’est pas cela. Je te trouve sympathique et même attirant.
Silence….
Je fonce vers le salon en tenant les raviers de glace. Notre invité est assis dans le canapé alors que ma femme est juste en face de lui dans le fauteuil. Ses cuisses sont entre ouvertes. Il a du mal à détacher son regard des jambes de ma femme.
Je m'assieds à côté de lui et je comprends qu'il a du mal à regarder autre chose. On voit très nettement son string bleu foncé par-dessous sa robe. Aucun de nous n’arrive à faire sortir le moindre son.
- Je disais justement à Christian combien il était agréable de travailler avec un homme. Bien d'autres collègues sont jalouses. Même toi, mon chéri. N'est-ce pas ?
- Oui, enfin, un peu.
- Un peu seulement c'est vrai. Et puis c'était avant notre conversation de la semaine passée. J'ai beaucoup appréciée ton invitation de la semaine passée. Je l'ai trouvée très romantique. C'était le but non ?
- C'était pour te remercier.
- J'ai cru que tu allais m'embrasser à la fin du repas. Tu en avais envie n'est-ce pas ?
La question n'amena pas de réponse. Il est vrai que ma présence ne facilitait pas les choses. Mais ma femme voulait l'avoir.
- Mon amour, cela t'aurai dérangé que j'embrasse Christian ?
- Non, je ne crois pas.
- Je suis sûr que tu aurais même aimé. Tu vois, Christian, tu as raté l'occasion de goûter la douceur de ma bouche. En parlant de bouche. Bon appétit.
Je ne peux détacher mes yeux de ma petite femme. Sa poitrine est presque apparente, elle ne porte sûrement pas de soutien. Je devine la pointe de ses seins. Elle mange sa glace tout en regardant Christian droit dans les yeux. Je me lève pour mettre un CD car l'ambiance est tendue. Je suis terriblement stressé mais également excité, même si ma queue ne bande pas encore.
- OH ! ZUT ! dit ma femme.
Ma femme vient de faire tomber un bout de sa glace sur sa robe. Je veux l'aider.
- Laisse ! Ça ira. Tient, Christian, stp. Tu veux bien prendre les essuie-tout sur la table et me donner un coup de main. Tu viens m'enlever, là sa coule, vite, c'est froid.
De la glace glisse sur sa peau et descend dans son décolleté. Le pauvre Christian fait du mieux qu'il peut.
- Ouvre encore un bouton. Il a glissé encore plus bas.
Je n'en reviens pas. Le CD en main, je regarde Christian lui caresser les seins. L'essuie-tout est par terre, il les touche à même la peau, puis lèche sa poitrine. Elle approche son visage. Il ne peut résister à l'appel. Leurs lèvres se touchent. Ils s'embrassent doucement. Les langues sortent et se frôlent. Les doigts de Christian effleurent les pointes des seins. Je dépose le CD.
- Mets-nous de la musique mon Chéri. C'est bon, il embrasse bien. Maintenant, monte dans notre chambre. Tu trouveras un petit mot sur notre lit. Suit les instructions et viens nous rejoindre. Dépêche-toi, j'ai envie de lui. De sentir ces mains sur mon corps.
- J'aurais voulu rester près de toi.
- Vite ! Monte à la chambre maintenant, Sinon !
Ma femme ne m'a jamais parlé sur ce ton. Le 'sinon' me faisait peur. Des frissons me parcouraient le ventre. En quelques secondes, j'étais dans la chambre. Une lettre et un sac en plastique trônaient au milieu du lit.
- « Oui, j'ai envie de Christian, de son corps mais c'est toi que j'aime. Je vais faire l'amour devant toi et pour toi. Ouvre le sac. Déshabille-toi et enfile ce que je t'ai acheté. Ensuite, viens nous rejoindre ».


J'ouvre le sac. Un slip noir en latex. Je ne savais pas que ma femme avait de tels goûts. Je ne me suis jamais aussi vite déshabiller mais pour mettre le slip, il me colle à la peau, il est trop juste mais tant pis.
Je reviens dans le salon, je les retrouve tous les deux en slips : Christian en caleçon américain et ma femme avec son string. Elle est assise dans le divan Christian à genoux entre ses cuisses qui lui suce les tétons.
- Viens me montrer cela. Il est parfait ce slip. Je voulais que tu ais les couilles bien coincées et que ta queue aie du mal à se déployer. Regarde, Christian ! On dirait que mon petit mari commence déjà à bander.
- Il me sert un peu trop.
- Je ne t'ai rien demandé. Je ne veux pas t'entendre dire un mot sans que je ne te le demande. Je t'avais dit que ce serait moi qui mène la danse. Je voudrais vous avoir tous les deux rien que pour moi. Pour une fois, c'est moi qui décide de tout. Vous êtes tous les deux d'accord j’espère ?
- Ok.
- Oui ! D'accord répond Christian.
- Regarde-le comme il me suce bien les tétons. Ils sont tout durs. Descend. Embrasse mon ventre. Encore plus bas. Oui, donne des bisous à ma petite chatte par-dessus mon string. Tu as envie de me l'enlever ?
- Oui.
- Que me ferais-tu juste après ?
- Je continuerai à lui faire des câlins.
- Décris-moi tout. Excite-moi et fais bander mon petit mari.
- Je glisserai ma langue entre tes lèvres. Je l'enfoncerai doucement comme un petit sexe. Je boirai ta liqueur. Je prendrai ensuite ton bouton entre mes lèvres. Ma langue le frottera. Lorsqu'il sera bien dur, je fermerai ma bouche dessus. Tu sentiras mes dents et je l'aspirai de plus en plus fort.
- Mon chéri, tu crois que cela excite aussi Christian de me raconter tout cela ?
- Sans doute.
- Alors, viens vérifier. Touche-lui la queue.
- La situation m'excite mais je n'aime pas faire cela.
- Tu m'as donné carte blanche. C'est moi qui décide. La situation dans laquelle on se trouve, c'est un peu ta faute. Et puis n'oublie pas, je tiendrai parole, si tu refuses, ta queue ne reverra plus jamais ma chatte.
Je n'avais pas le choix. Je la connais, elle en est capable. Et puis, toucher une autre queue ne me dérangeait pas vraiment. Le faire devant elle me dérange plus. Christian est toujours devant elle. Ma main passe par derrière entre ces cuisses. Je touche sa queue. Elle est grosse et dure. Il se laisse faire.
- Alors mon chéri ! Comment est-elle ?
- Elle est raide. Il me semble qu'elle est plus courte que la mienne mais elle est beaucoup plus épaisse.
- Chouette ! Je vais avoir le trou bien remplis alors. Et toi Christian tu as envie de me faire tout ce que tu m'as raconté ?
- Bien-sûr ! J'en crève d'envie.
- Lève-toi et mets-lui cela.
Ma femme tend un masque, style 'loup’ mais sans les trous pour les yeux. Où a-t-elle été cherchée ce truc ?
- Non, chérie, on avait dit que je voulais te voir.
- C'est moi qui décide. Tu m'avais juste demandé d'être présent ! Et puis maintenant, c'est tout. Soit on continue soit on arrête tout. Au risque que je te trompe quand-même derrière ton dos. Tu choisis.
- Je t'aime et tu m'excites beaucoup. J’accepte.
Je ne vois goutte. Le noir absolu. Pas même une ombre. Je n'ai que mes oreilles pour vivre la suite de cette expérience unique.
- Mets-toi derrière Christian. Enlève-lui son caleçon et masse-lui la tige. Maintenant, toi Christian, enlève mon string, et dis-lui ce que tu vois.
- Elle a la chatte toute lisse. Je ne vois pas un seul poil. Ses lèvres sont collées l'une à l'autre.
- Écartent mes lèvres avec tes doigts. Et continue !
- Sa chatte est mouillée. Je peux même voir des gouttes.
- Allez, maintenant, fais-moi ce que tu m'as décrit tout à l'heure. Et toi mon chéri. As-tu réussi à faire grossir sa queue ?
- Un peu oui. J'ai senti que cela l'excitait lorsqu'il examinait ta chatte.
- Maintenant, mets un doigt devant l'entrée de ma chatte. Enfonce-le moi tout doucement. Pas si vite. Je veux le sentir rentrer millimètre par millimètre. Approche-toi mon amour viens m'embrasser. Hmmmm. Sors ta langue. Je veux la sucer.
Ma femme, suce ma langue, l'aspire dans sa bouche jusqu'à me faire mal. Sa main vient caresser mon sexe comprimé par mon slip.
- Tu bandes bien mon salaud. C'était une bonne idée ce slip. Je crois que je t'obligerai de le porter mercredi prochain au bureau. Je t'appellerai au téléphone et te ferais bander en te racontant tout ce que Christian me fait. Viens j'ai envie d'autre chose.
Dans l'obscurité le plus total, je sens les corps en mouvements. Christian se couche sur le tapis. Ma femme me pend la main, me force à me mettre à genoux, me pousse vers l'avant.
- Ouvre la bouche. Suce ! Allez vas-y.
- Pour la première fois de ma vie j'ai une queue en bouche. Elle a un petit goût, difficile à définir.
- Tiens un préservatif. Enfile-le sur sa barre. Suce-le à nouveau. Mouille-la bien. Prépare-la j'ai envie qu'elle glisse bien.
Je fais de mon mieux, les yeux bandés j'ai vraiment du mal à m'exécuter. L'idée que mon épouse se fasse prendre par ce boudin bien épais me donne des frissons.
- Alors ! Sa queue est prête ?
- Je crois, oui.
- Tiens-la dans ta main. Je vais m'asseoir dessus. Tu la guideras toi-même dans mon trou.
Elle va vraiment le faire. Il y à 2 semaines d'ici je n'aurais pas imaginé qu'elle fasse l'amour à un autre homme que moi.
- Hmmm. C'est bon. Elle est grosse. Elle est bien épaisse. Bien plus que la tienne. Dis-lui, Christian, comment ma chatte est bien chaude et accueillante.
- Tu es bonne. C'est la première fois que je fais l'amour avec un couple et c'est délicieux. Ton sexe aspire ma verge. Ma queue va et viens.
Ma femme me griffe la poitrine. Ses ongles me font mal. Elle me pince les tétons.
- Cela me fait mal. Hmm ! Chérie ! Pas trop fort stp.
- Il faut bien un peu souffrir, non ? Tu as mal mais je suis sûr que tu aimes.
- C'est vrai cela m'excite aussi.
- Viens mon chéri. Approche ! Touche-moi mes seins. Sent mes bouts comme ils sont durs. Tu sais comme c'est bon de se faire pincer les tétons n'est-ce pas. Tu as envie que je pince ceux de Christian aussi.
- Oui, vas-y. Pince-lui plus fort. J'aimerais l'entendre gémir de douleur et de plaisir.
- Hmmmmm. Doucement stop.
- Tu me demandes de serrer moins fort et ta queue me montre que tu en désires encore plus.
- Retire-la. On va changer de position. J'en veux plus.
Ma femme me retire mon slip et ma tige lui saute à la figure. Sa bouche s'en empare. Je n'ai, hélas, droit qu'à quelques secondes de ce traitement. Elle m'enlève le bandeau. La lumière m'aveugle.
- Couche-toi sur le dos. Viens goûte ma chatte, renifle-la. Sens ! Une autre queue que la tienne vient de lui rendre visite. Reviens vite Christian et remets-la-moi.
Couché l'un sur l'autre en 69. Christian s'approche, son membre en main. J'ai une vue imprenable. Sa queue glisse vers le trou de mon épouse. Les lèvres s'écartent. Il entre. Sa queue disparaît entièrement.
- Suce bien mon clito. Oui ! Il me bourre bien. Je suis remplie. Je sens ces couilles contre mes cuisses. Ta femme se fait prendre sous tes yeux et tu bandes. Je vais prendre ta sucette en bouche et je veux que tu jouisses en même temps que Christian.
Christian lime, lime ma femme. Je vois sa chatte gonfler de désir. Presque dix minutes de ce traitement. Je dois me concentrer pour ne pas jouir. Je n'en peux plus. Christian aussi à envie de jouir, je vois les veines de son sexe.
- Allez-y envoyer moi votre sauce.
Christian et moi, nous jouissons de concert. Ma femme était devenue notre maîtresse. De petite femme modèle, elle s'est transformée en une dominatrice hors pair. Va-t-on participer un autre jour, à la réalisation de la suite de son fantasme ?
L'avenir nous le dira. Pour aujourd’hui, c’est fini, nous restons tous les trois, bien sage dans le lit jusques au petit matin.

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