Agnès Une Parenthèse Dans Ma Vie Épisode 1

AGNES : une parenthèse dans ma vie.
JOURNAL DE VACANCES Semaine 1

Lorsque Cédric m’a fait part de son désir de publier le récit de nos vacances au départ je n’ai pas voulu et puis je me suis dit pourquoi pas mais à conditions que je puisse moi aussi écrire tout ou partie. Il a était enfin de compte décidé que nous ferions la première partie à quatre mains et moi la suivante, vous comprendrez pourquoi en la lisant.

Préambule :
Je m’appelle Agnès, j’ai 59 ans et Malgré mon âge, je ne fais pas parait il ? J’ai un corps mince et ferme, dont je prends soins en faisant pas mal de gym, 1,65 m, 53 kilos. Visage doux et harmonieux. Des cheveux blonds sont coupés courts pour les vacances. Des yeux azur, un petit nez arrondi surmonte une bouche, aux lèvres sensuelles. J’ai une petite poitrine mais réceptive. Mes fesses sont rondes et fermes mises en valeur par ma cambrure naturelle. Mon mari Cédric 61 ans 1,87 m pour 100 kilos, cheveux courts encore bien de ma personne.
Etant maintenant en retraite, nous pouvons prendre des vacances quand nous voulons. Nous avons hésités entre Juin et Septembre choisissant Septembre certes les jours sont plus courts mais il est généralement beau et la mer encore chaude.

Ensemble depuis 40 ans, nous avons eu jusqu’à présent une vie sexuelle bien remplie. Dans l’intimité d’une chambre, je ne suis pas bloquée, je sais m’ouvrir aux désirs de mon partenaire. Je n’ai pas de dégoût particulier Mais, avec le temps, le désir s’émousse comme dans tout couple. Une fois pendant que j’étais en activité j’ai une relation adultère avec un autre homme. Je l’ai avoué à mon mari. Il m’a fait lui raconter en détails. Il m’a compris. Plus tard il a évoqué son fantasme, faire du triolisme. Etant jalouse, j’ai avouée que je ne supporterai pas de le voir avec une autre femme.
Il m’a parlé de me partager avec d’autres hommes. Sans refuser j’essayais de repousser sa proposition, sachant qu’après ce que je lui avais avoué je n’étais pas à l’aise.

Lui expliquant qu’après une telle expérience, il ne pourrait plus me regarder et m’accepter comme avant.
Un soir après avoir fait l’amour, il me redemanda si j’aimerais réaliser un trio, je lui ais répondu de manière évasive, et qu’une fois son fantasme réalisé, il en perdrait tout le charme et le mystère.

Il me laissa réfléchir plusieurs jours, et revint à la charge. J’acceptais, mais à une condition. Il devrait proposer l’homme et organiser cela lui-même.

Cette nuit-là, nous fîmes l’amour avec plus d’intensité que d’habitude

J’étais donc partante pour une partie à trois et, nous sommes passés à l’action.
Il a passer une annonce et pris un certain nombre de contact avec des partenaires,
Deux de ces contacts se sont terminés par des rapports sexuels, un passable et un fabuleux. Et là les choses se sont un peu gâtées. La première fois qu’il m’a vu de ses propres yeux faire l’amour avec un homme, et prendre autant de plaisir, il a eu énorme choc émotionnel et a mit fin à cette soirée.
Il s’est excusé de son comportement. Plusieurs mois après il m’a demandé si nous pouvions recommencer. Nous n’avons pas recommencé.

Mais, tout cela a changé… Laissez-nous vous raconter l’aventure qui m’est arrivée lors de nos dernières vacances.
Samedi 28 Août
Nous avons loué une maison pour deux semaines en Vendée. Mais étant partis très tard, nous arrivons vers 20 heures. A l’arrivée nous rencontrons le propriétaire qui nous fait visiter une RDC grande pièce a vivre avec cuisine, WC et débarras plus placard. A l’étage chambre en mezzanine et salle de bains. Il nous donne quelques instructions. Nous lui demandons si il y a un hôtel pas trop loin. Il nous en indique un. Heureusement il reste de la place.

Dimanche 29 Août
Nous nous levons tard, et allons à la maison le temps de tout installer c’est déjà le soir.

Lundi 30 Août
Nous prenons nos marques, ou se trouve les commerçants et que faut il voir dans la région.
Et aussi profitons du soleil pour buller.

Mardi 31 Août
Visite de La Rochelle qui est à 45 minutes de chez nous, la vieille ville est jolie nous y restons jusqu’au soir.

Mercredi 1er Septembre
Temps splendide nous allons à l’office de tourisme et prenons des dépliants des communes proches. En nous promenant sur le bord de mer nous découvrons la plage, la casino, la promenade qui longe la dune. Midi nous en parlant à des touristes ils nous indique un petit resto sympa. Il y a celui du Casino avec vue sur mer mais c’est plus chic. Etant en tenue de plage nous décidons d’aller à celui indiqué. En sortant un panneau attire mon attention il indique Plage Naturiste je me renseigne sur le chemin à prendre, Agnès préfère aller a la grand plage et me dit d’aller en observateur voir la plage naturiste de la pointe. Rendez-vous à 18 h. au parking en face du casino.

Jeudi 2 Septembre
Je la décide à m’accompagner lui indiquant que la plage est immense et que chaque personne est éloignée de son proche voisin. Elle accepte en précisant qu’elle gardera son slip. Adepte du naturisme j’ai découvert le plaisir d’être nus J’ai même envisagé cette situation pour dévoiler les charmes de madame, elle ne fait que du monokini, rarement du naturiste. 25 minutes de trajet, nous arrivons, nous choisissons un endroit protégé des regards. Nous en trouvons un à la lisière de la page et de la dune.
Nous installons nos serviettes, je me mets nu. Agnès garde son slip. La température chauffant nous allons nous baigner, de retour sur nos serviettes, son slip étant mouillé elle le retire et se prélasse.

Vendredi 3 Septembre
Après une matinée calme consacrée au ménage, aux courses, au repas de midi. 14 h. nous partons à la plage je lui demande si nous retournons a celle d’hier, elle est d’accord n’ayant pas vu d’importun.
Les naturistes n’attachent aucune importance à la vue de leurs voisins. Pourtant la vue d’une jolie femme nue ne peut laisser indifférents certains hommes.


14 h 30, après cinq bonnes de minutes de marche dans le sable nous arrivons sur la plage, nous allons du côté naturiste, l’endroit choisi la veille est occupé, nous en trouvons un autre un peu plus loin, il est plus ouvert sur la plage mais aujourd’hui il y a moins de monde. Serviette installée, Agnès, se débarrasse de sa robe de plage, de son soutien-gorge, surprise elle retire son slip rassuré par la veille elle s’allonge sur le dos, jambes serrées, légèrement fléchies.

Je fais de même à ses cotés. Au bout d’une demi heure je vois s’approcher un homme assez grand, d’allure sportive, bronzage intégral qui passe très doucement devant nous, il reluque du côté de mon épouse, puis s’en va. Quelques minutes après même manège mais dans l’autre sens, le temps passe et revoilà notre promeneur, nu, ses affaires à la main, il s’allonge sur la plage pas très loin de nous, l’emplacement choisi lui permet de mater Agnès, nous devons l’intéresser….

Agnès ne s’aperçoit de rien, les yeux fermés, elle écarte et a ferme ses jambes.
Je décide alors d’aller faire un tour sur la plage et de me baigner, j’en fais part à mon épouse, elle se relève un peu puis se retourne sur le ventre. Avant de partir j’installe notre petit parasol de plage, cela me fera un repère pour le retour.
Je me lève et parts en longeant le cordon de dune puis j’oblique vers la plage et revient sur mes pas, je me mets dans l’axe de notre admirateur qui assis à maintenant une vue imprenable sur les fesses d’Agnès elle semble toujours ne s’être aperçue de rien.

Je retourne vers la mer, l’eau froide a pour effet de calmer mon début d’érection, marchant dans l’eau je m’éloigne de notre point de farniente pendant une quinzaine de minutes puis rebrousse chemin curieux de voir ce qui a pu se passer en mon absence. Je cherche notre parasol, je l’aperçois, ouvert côté plage, abritant des regards. Tournant la tête d admirateur. Intrigué je monte sur la dune, m’avance encore et quelle ne fut pas ma surprise de le découvrir près d’Agnès, lui accroupit elle assise en tailleur sur sa serviette ils sont face à face, en grande conversation.
Agnès du bout des doigts frôle son torse, il semble apprécier. Ma présence met fin au dialogue.

- Cédric : je te présente Michel.

Il se lève, me salue, me demande si sa présence ne me dérange pas. Il est à peu près notre âge, brun, bel homme, un corps bronzé sans musculature excessive et comme le visage tout en finesse, il inspire la sympathie. Il ne peut cacher une belle érection qui me fait sourire, je m’assois à leurs cotés, et faisons connaissance.
Agnès boit ses paroles. Elle ne semble pas insensible à cet homme sympathique et charmant, dont elle vient de faire la connaissance. Il nous apprend qu’il est marié, grand père, est en Vendée en stage aux Herbiers, il travaille dans le nautisme pour une entreprise sur Agde. Il se laisse aller et nous fait avec beaucoup d’humour quelques confidences concernant sa vie personnelle et sentimentale. , Je vois que le courant passe bien entre eux. Il est sous le charme de cette jolie femme souriante. J’observe discrètement mon épouse, elle le dévore des yeux, entre ouvre sa bouche et passe sa langue sur ses lèvres.
Il s’est aperçu de l’effet qu’il produit sur elle. Il s’enhardit et m’avoue :

- Si je peux me permettre, sans être impoli ou déplacé, je ferais volontiers la cour à votre épouse. Puis, se tournant vers elle, il ajoute :
- Vous êtes particulièrement belle, attirante, sensuelle et désirable, j’adorerais être votre amant !
Agnès rougissant : Mon cher, aucune femme ne peut reprocher à un garçon d’être sensible à ses charmes.
J’aime la franchise de cet homme, son assurance.
Il se lève je ne peut m’empêcher de dire en souriant
- effectivement cela se voit
- Je ferai mieux d’aller me baigner.
Agnès décide de l’accompagner, elle se lève remet son slip, les pointes de ses petits seins sont toutes érigées, ses yeux brillent, et part avec lui vers la mer je suis de plus en plus surpris. Quelques minutes après elle revient écarlate.
- Tu ne sais pas ce qu’il m’a demandé ?
- Non
- Il m'a donné rendez vous ce soir…..et…… j’ai dit oui.
Ce qui m'a étonné c'est avec quelle facilité elle a dit oui !
- Mais tu est folle, rendez vous ou ça ?
- Près du Casino à la table d’orientation, c’est de la folie ça va de te faire mal mais j’ai envie d’y aller. Tu n’avais qu’à pas me rentrer dans la tête des idées pareilles. C’est toi qui a voulu que des hommes me fassent l’amour devant toi ?
- C’était il y a longtemps et tu n’a jamais voulu recommencer, Tu as envie de coucher avec lui ?
- Exactement !
- Tu n’es pas sérieuse ?
- Si, parfaitement !
Songeur, je ne réponds pas de suite, mes souvenirs de trio refont surface, je veux savoir ce que je ressentirai en la voyant faire cette fois.
- je vous ai vu entrain de vous parler, tu le frôlais, et quand tu t’es levé tes seins et tes yeux ton trahis, tu ne pouvait cacher l’attirance que tu as pour lui.
- J’étais toute mouillée, c’est pour ça que je suis allée me baigner.
- Tu me laisseras y aller ?
- de toute façon quoi que je dise ça ne changera rien, tu as l’air déterminée ?
- mais tu pourrais essayer
- ça changera quelque chose ?
Elle hausse les épaules, ne répond pas et enchaîne sur un tout autre sujet. Je propose donc que ce soir nous dînions au restaurant du Casino et après c’est elle qui décidera.
Michel s’est couché sur sa serviette il nous regarde parler en souriant, sûr de lui. Le temps passe, nous décidons de repartir. Nous voyant partir il se lève et nous lance :
- A ce soir
Elle ne se retourne pas.

Une fois à la maison, elle passe beaucoup de temps à se préparer, ne trouvant pas ce qu’elle veut, changeant plusieurs fois de tenue. Enfin elle est prête, parfumée, maquillée avec application, elle porte une robe légère en coton blanc son décolleté laisse apparaître le haut de ses seins, elle lui va si bien avec un. Elle est fermée par une fermeture éclair sur toute la longueur de son dos. Je la trouve très sexy ce soir, elle veut plaire.
Lorsque nous rentrons au restaurant du Casino, elle à une hésitation puis me regardant droit dans les yeux. La question est directe. Elle me demande
- Est-ce que l’on va plus loin, est ce que tu veux ?
Je la regarde quelques instants, et je lui réponds
- Va jusqu’au bout, si tu veux. Si tu le désires ?
- je le désire, depuis le début j’en ai envie.
Elle me prend par la main et m’entraîne vers la salle du restaurant. Les dés sont jetés. Nous avons une table près de la baie vitrée avec vue sur la mer. Notre dîner ce passe agréablement le peu d’alcool qu’elle boit lui enlève ses inhibitions, j'obtiens des sourires en lui rappelant son aventure de l’après midi. Soudain Agnès se crispe. Il est là, il passe devant la baie vitrée, elle baisse la tête, me regarde interrogative. Je lui fais un grand sourire qui a pour effet de la détendre.
Il nous a vu.

Agnès tourne alors la tête vers la baie il nous fait signe de la main. Pas le temps d'en dire plus Michel rentre dans le restaurant il vient nous saluer. Je lui propose de prendre le dessert avec nous, il accepte, et s’assoit en bout de table à côté d’elle. Ses deux là se dévorent à nouveau des yeux un flash érotique est passé entre eux, leurs mains une nouvelle fois se frôlent. Michel me regarde, interrogateur, je lui réponds en hochant la tête, en souriant Il descend une main sous la nappe. Agnès a un petit mouvement de surprise, mais se détend aussitôt. Dessert et café sont pris rapidement.

Elle désire se rendre aux toilettes, prend son sac, se lève, pendant ce temps je règle l’addition, nous l’attendons en s’observant en silence, il me fixe avec un air de défi comme pour me dire tu vois elle va bientôt être à moi. Elle est longue. A son retour je manifeste moi aussi l’envie d’aller aux WC. Je me lève et me dirige vers les toilettes. Elles se trouvent au fond du restaurant, arrivé à la porte je me retourne ils se sont levés, il lui prend la main, l’entraîne, mon cœur bat la chamade ou je stop tout ou je laisse faire, Agnès me cherche du regard, cherche une aide, je rentre aux toilettes et ressort aussitôt trop tard ils partent.
De retour des toilettes il ne reste que sur la table désertée que son pull et son sac.
Je demande au serveur quelle direction ils ont pris il m’indique la plage. Le cœur à 100 à l’heure je sors du restaurant, la promenade du remblai est bien éclairée je les aperçois ils tournent vers la plage. Je reste parmi les promeneurs et les observent de loin.

Ils se tiennent tendrement par la main, ils s’arrêtent se parlent, repartent, il glisse sa main droite à hauteur de ses fesses et d’un geste ample, les pelotent franchement.
Mon cœur s’est mis à battre à tout rompre dans ma poitrine, d’autant plus que dans le même temps ma femme se tourne vers lui et se jette littéralement dans ses bras. Leurs lèvres se sont soudain unies dans un long baiser sensuel.
Il la prend par le cou et marchent sur l’allée, arrivés au bout ils tournent sur la gauche, vers la cabine de voile, l’endroit est moins fréquenté. Je passe par la dune. M’allonge à l’abri d’un bouquet de genet.

Maintenant ils sont assis ils regardent la mer tout en parlant. Agnès se dirige tranquillement vers la mer et attend, le clair de lune me permet de voir sa silhouette bientôt rejointe par Michel qui s’est débarrassé de ses affaires, Il est nu. S'apprêtent-ils à prendre un bain de minuit ? Agnès au bord de l’eau remonte sa robe il est derrière elle, il s’en saisit elle lève les bras, l’a fait passer par-dessus sa tête il la jette sur le sable, ils rentrent dans l'eau arrivée au niveau du ventre elle fait demi tour et sort de l’eau suivie par Michel. Il l’a serre contre lui, masse ses épaules, ramasse sa robe et le restant des affaires. Il lui passe sa veste sur ses épaules. Main dans la main ils se dirigent vers le cordon de dunes juste dans ma direction, des picotements m’envahissent partout. Ils sont à cinq mètres de moi, je n'ose plus respirer. Agnès nue s'assoie entre ses jambes s’appuie contre lui. Elle est enlacée par un presque inconnu qui la réchauffe. J’ouvre son sac ses sous vêtements sont à l’intérieur. Je comprends pourquoi elle était aussi longue. Je n’entends pas tout ce qu’ils disent les mots sont par instant couvert par le bruit des vagues.

Il entoure les épaules de mon épouse. Elle grelotte relève la tête la tourne et lui tend ses lèvres, il s’en saisit. Michel pose un main sur un sein l’autre s'active sur son ventre. Agnès se lève, se met face à lui, pose ses mains sur ses seins puis les descend vers ses cuisses les écartent, ses doigts se posent sur sa chatte la caresse, et rentrent à l’intérieur, ils s’activent. Il ne reste pas insensible au spectacle qui lui est offert, il veut participer, il s’approche d’elle, a genoux, elle s’écarte davantage il passe sa tête, sa bouche se colle a sa rivière des parfums. Agnès lui prend la tête, le guide. Les sensations procurées par son amant sont si fortes qu’elle tombe a genoux. Il l’a prend dans ses bras et restent sans bouger, puis ils s’allongent l’un contre l’autre.

Michel se met sur le dos le sexe bandant, il lui demande de venir sur lui.
-Tu as des préservatifs.
-Oui dans ma poche de veste, prend le.
Agnès a genoux hésite. Elle déballe le préservatif et l’enfile sur la queue bien raide, elle a quelques difficultés ce qui les fait rire. Prenant appuis des deux mains sur sa poitrine, elle l’enjambe se met en contact avec sa queue se fait aller et venir dessus une de ses mains écartent ses lèvres intimes et les pose sur le bout de son sexe et descend doucement jusqu'à reposer sur son ventre. Elle reste empalée sur lui le temps de s’habi. Il lui donne de petits coups. Elle se met a bouger lentement son bassin d’avant en arrière ses fesses montent et descendent elle accélère. Il prend le contrôle des opérations la saisissant par les hanches il la calle sur son ventre et lui donne de violents coups de reins pour aller au plus profond de ses chairs. Ses seins s’agitent devant son visage, il s’en saisi, les malaxent. Elle ouvre la bouche un long gémissement s’en échappe elle cherche l’air, il se redresse, s’agrippe a elle, leurs mouvements sont de plus en plus rapides, un cri animal s’échappe de sa bouche au moment ou il explose en elle. Le calme revenu, elle dépose un bisou sur ses lèvres, se lève met sa robe et retourne vers le Casino il se rhabille rapidement et court derrière elle il l’a ratt, la discussion est animée
Je me hâte vers le parking du Casino et sur la grande allée me mêle aux personnes qui reviennent de la plage. Regagne notre voiture jette dedans son sac et son pull, m’appuie contre la carrosserie et attend.
Elle arrive peu de temps après moi.
- Mais ou étais tu ? cela fait deux heures que je te cherche je suis fou d’inquiétude
- J’étais avec Michel nous nous sommes promenés sur la plage
- tu te moques de moi
- Ce n’est pas la peine de hurler, il ne s’est rien passé, te voilà jaloux maintenant ? C’est un peu tard, tu m’as laissée libre. Allez vient on rentre j’ai froid.
Rageusement je claque la portière
- Tu veux savoir ce qui c’est passé, tu ne cries plus sinon je me tais.
- Oui je veux savoir mais oseras tu tout me dire.
Elle me raconta pendant le trajet sa promenade mais sa version est différente.

Tout d’abord il me faut te dire que j’avais repérer Michel avec son physique d’homme a femmes qui me correspondais tout a fait. Lorsqu’il était passé devant nous a deux reprises tu ne t’es pas rendu compte mais nous avons échangé un grand sourire. Dès qu’il s’est installé en contre bas de nous et que tu es parti je me suis redressée, j’avais besoin de me prouver que je plaisais. Je l’ai regardée fixement et enfin je lui décrochais mon plus beau sourire et comme de juste il s’est levé et venu près de moi et a ce moment là j’avais deux solutions, la première je jouais les femmes vertueuses un peu offensées la seconde je l’écoutais et j’essayais de savoir ce qu’il cherchait, un vrai gentleman à l’esprit fin, cultivé, ouvert. Il a était tout a fait clair dès le début me faisant comprendre qu’il était libertin, bien que marié et que dans les relations amoureuses ce qui l’intéressait c’était la volupté, la sensualité, et le respect de l’autre. Je décidais donc de voir comment les choses évolueraient, et comment tu réagirais. La tu m’as étonnée par ta nonchalance.
Ce soir évidement que j’avais envie de m’amuser, je m’étais maquillée et habillée pour la circonstance. Pendant le dessert il me manger des yeux. J’attendais de ta part une réaction pour me sortir de là. Mais tu restais sourd et aveugle à mes appels muets, je ne sais si tu t’es rendu compte de l’attrait qu’i y avait entre nous.
Il était évident que j’avais envie de Michel, était ce parce que son physique me troublait ou alors était ce ta docilité qui m’excitait le plus ?
Moi je n’avais rien a perdre. Si au début c’est lui qui me draguait maintenant c’était moi. Nos gestes se font plus érotiques, nous menons un combat et nous savons qu’il y aura deux vainqueurs et un vaincu toi. Ça m’excite de le draguer sous tes yeux, l’aguicher en souriant, en le provoquant, en l’excitant. Je suis dans mon rôle de femme facile. Je ne me suis pas trompée, voyant ta passivité il a posée une main sur ma cuisse elle a remontée jusqu'à la jonction de mes jambes. Je les écartées autant que je pouvais. Il accentue sa pression sur mon entrejambes, passe sous l’élastique il me caresse et entre un doigt dans mon sexe. Je le laisse faire. A partir de ce moment je sais qu’il va ce passer des choses avec lui.

Quand je suis revenue des toilettes et que tu as dit que tu y allais, je t’en ai voulu, que tu me laisses seule avec un homme rencontré si peu de temps avant, une sorte de colère contre toi naquit en moi, je me suis dit il nous laisse seuls, il nous donne son accord, tant pis pour lui il arrivera a partir de maintenant ce qui doit arriver.
Quand il m’a prise par la main et m’a dit vient, j’ai regardée dans ta direction mais je n’ai vu que ton dos. Je me suis alors laissée guider. J’étais prête pour lui.

Arrivés, un blanc s’installa et notre conversation elle reprit une fois couchée.
- tu continues
Bon, quand nous sommes sortis du restaurant, nous avons marchés vers la plage. En marchant il me caresse les fesses, me les pelote, insinue un doigt entre, ça me plait de sentir sa main. C’est là qu’il m’embrasse pour la première fois. Je réponds à son baiser, je m’abandonne dans ses bras.
Nous sommes repartis vers la plage, sa main me caressant franchement les fesses. Nous avons tournés a gauche vers le club de voile, nous nous sommes arrêtés et assis et parlé.
Je me suis levée et dirigée vers la mer je regarde le clair de lune qui se reflète dans l’eau et j’attends, il me rejoint, se colle à moi, je sens son sexe érigé contre moi. Il fait descendre ma fermeture éclair, me demande de me déshabiller. Je lève les bras il fait passer ma robe au dessus de ma tête et il la jette sur le sable. Je suis nue dessous.
- Quoi tu étais nue dessous ?
- Oui si je suis restée longtemps aux toilettes c’est pour ça.
Je reprends nous rentrons dans l’eau, pas longtemps et ressortons rapidement, je frissonne. Il ramasse nos affaires passe sa veste sur mes épaules.
Arrivés près des bateaux, je m’assoie entre ses jambes dos contre son torse. Il me parle doucement langoureusement, puis me demande à voir ma chatte. Je veux m’exhiber devant lui, je suis une femelle qui veux exciter son mâle, je me lève lui fait face, mes mains se posent sur mes seins les caressent, descendent vers mes cuisses, les écartent, remontent vers mon sexe, le masse, l’ouvre, je rentre sans problème un puis deux doigts à l’intérieur tellement il est humide. Je me creuse pour les faire rentrer, je me prépare pour lui, pour qu’il me prenne.
Il est comme hypnotisé devant ma nudité. Il s’avance a genoux passe sa tête entre mes jambes. Je me cale bien les pieds dans le sable. Il demande que je m’ouvre plus, je le fais. Il colle sa bouche à mon sexe, me lèche lentement sur toute la longueur plusieurs fois, il a enfoncé sa langue et m’a sucée, c’était divin. J’ai posé mes mains sur sa tête et l’ai guidé dans ses mouvements le laissant faire ou le retenant, aussi en la poussant pour qu’il s’enfonce plus. Il me prend à pleine bouche, c’est tellement bon que je tremble, mes jambes flageolent, je tombe sur le sable ivre du plaisir qu’il m’a donné. Il m’a prise dans ses bras, doucement, je me suis blottie sans bouger contre lui, nous nous sommes allongés et embrassés. A ce moment je crois que j’étais amoureuse de lui.
Je lui ai fait des bisous partout et suis lentement descendue vers son ventre que j’ai embrassé, mes mains se sont posées sur son sexe, il est pas trop long mais gros. Je n’ai jamais attacher beaucoup d’importance aux dimensions, mais se serait mentir si dans ce contexte là une différente avec la tienne m’excite.
Ma bouche remplace mes mains, je le prends entre mes lèvres le bout, je le caresse. Il bande, grossit encore plus, mes lèvres se sont ouvertes et je le fais entrer complètement dans ma bouche distendue, je ne suis pas habituée a ce calibre. Alors je me suis mise a le sucer, doucement puis plus vite, sur toute le longueur. Ma bouche c’est habituée à son sexe. Il s’arrête se lève. Je me suis mise à genoux devant lui, il s’enfonce entre mes lèvres, il me baise la bouche en me maintenant la tête contre lui. J’ai mes mains sur ses fesses, je le sent se crisper il a joui dans ma bouche.
Voila c’est comme ça que je me suis donnée à lui.

Un ange passe puis :
- Ca t’a drôlement excité de savoir qu’un autre m’a embrassée, caressée, sucée. Elle passe ma mains entre ses jambes elle est toute mouillée, elle m’attire contre elle en elle, ce soir pas besoin de sensilube.

Samedi 4 Septembre
Nous avons tous les deux le sommeil agité, mais pour des raisons différentes, j’étais à la fois heureux qu’elle est bien voulu refaire ce dont je rêvais depuis longtemps, surtout que je n’avais rien prémédité c’est elle toute seule qui l’a décidé, une question me taraudait pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi ne pas m’avoir dit qu’ils avaient fait l’amour ensembles ?
Elle arrive au petit déjeuner:
- Tu as eue du mal à dormir… ? Lui demandais-je.
- Oui… Un peu…
- Pourquoi… ? Qu’est-ce qui te tracasse ? C’est votre aventure d’hier ?
- Non… Commence-t-elle. Enfin oui… Un peu, pourquoi tu nous a laissé hier nous comportait comme nous l’avons fait ?
- Pour voir jusqu’ou tu irais, tu ne m’as pas tout dit…
- Non…. Mais… Je ne peux rien te cacher
- Que cherches-tu à me cacher… ? Lui demandais-je tendrement.
- Oh rien de grave C’est moi Hésite-t-elle. Mais je ne veux pas que tu le prennes mal.
Je décide alors de l’aider :

- Il te plaît… ?
- Oui, c’est vrai Hésite-t-elle encore. Mais ça n’est pas que ça J’ai senti avec lui quelque chose que je n’ais pas senti avec les autres…
- De sexuel ? de plus en plus intrigué.
- Oui Sexuel. Je veux aller plus loin. Avec lui et toi…
- Tu veux que nous le fassions tous les trois.
– Oui
- j’avais envisagé cette situation en te voyant agir avec lui, tu m’as étonné, je croyais que pour toi c’était une histoire classée.
- je dois te dire aussi qu’il m’a fait promettre que nous retournerions à la plage
- Et alors
- J’ai dit OUI, il faut que tu saches qu’il a voulu hier soir que je fasse l’amour avec lui, je n’ai pas voulu car il n’avait pas de protection. Je lui ai indiqué que je coucherai avec lui si tu es d’accord, si tu es là, je ne veux pas faire ça dans ton dos. Il n’y voit pas d’inconvénient.
- Tu es décidé pour ce soir ?
- Tu veux bien, tu es certain ? il va me baiser devant toi. La dernière fois me voyant trop complice tu n’as trop apprécié a la fin.
- Oui… ! la gorge nouée par l’émotion.
- Tu nous laisseras, tu le laisseras faire avec moi ce dont il a envie.
- Oui mais dit moi la vérité vous avez fait l’amour hier soir vous ne vous êtes pas contentés de ce que tu m’as raconté.
Elle ne répond pas et part se doucher.

Plus la matinée avance plus elle est nerveuse. Midi elle mange peu, regarde sa montre continuellement, toute conversation est éludée. Elle est certainement troublée par les évènements qu’elle a accepté, provoqué ?
Elle me demande souvent
- quand partons nous
Et quand je lui demande pourquoi tu es pressée
Elle se contente de hausser les épaules
-Tu as envie de lui ?
agressive,
- OH Oui j’ai envie.
13 heures 30 les affaires prêtes, nous sortons de la maison et tombons sur le propriétaire
- Vous partez ? Pouvez vous restez un peu j’ai mis la maison en vente et j’ai deux visites, une à 13 h 45 et l’autre à 14 h 15, et comme il y a vos affaires je vous demande d’attendre qu’elles soient terminées afin qu’il n’y ait pas de problèmes.
Nous restons Agnès bout intérieurement. Les visites se déroulent sans incidents, 14 h 45 nous sommes libres de partir.
Arrivés sur la plage nous cherchons un emplacement il y a du monde, nous en trouvons un mais éloigné des précédents. Nous nous installons. Je ne l’ai que rarement vu se déshabiller aussi vite, elle est fébrile, elle se lève fréquemment et regarde autour de nous, personne ?
Enfin vers 16 h. elle l’aperçoit, et fait de grands signes, il s’approche, elle l’embrasse, il me serre la main, et s’assoit d’autorité contre elle sur la même serviette.
Nous discutons, elle lui caresse, le dos, les jambes, les cuisses, je ne serai pas là c’est certain qu’elle le masturberai voir plus. Il me regarde inquiet, d’un signe je le rassure. Alors il s’enhardi pose une main sur son épaule, va jusqu'à son cou qu’il effleure puis descend au creux de ses seins, soulignant d’un doigt la base d’un sein puis descend encore il passe le long de sa cuisse et s’arrête, me regarde à nouveau, me voyant souriant sa main palpe la cuisse d’Agnès, remonte et s’insère entre ses cuisses fermées, il écarte ses doigts mais sans résultat alors il retire sa main. Se lève, il bande, son sexe est dressé, il est effectivement un peu plus long que le mien surtout plus large. Il l’interroge du regard, elle se lève aussi et contrairement aux jours précédents ne met pas son slip. Ils partent vers la mer, se sachant libres il ne peut s’empêcher en marchant de lui palper les fesses, passant un doigt entre les deux globes, s’insinuant entre, elle ne fait rien pour l’arrêter. Arrivés ils se jettent dans l’eau, elle s’agrippe à lui, ils tournent sur eux même, s’embrassent. Je les regarde gorge et ventre noués.
De retour ils se sèchent mutuellement et s’allongent. Agnès entre nous deux, nous parlons de choses et d’autres éludant le sujet qui nous brûle les lèvres.
Pourtant c’est elle qui d’une voix sensuelle, murmura.
- Ce soir, je me sens d’humeur d’essayer un truc à trois, pas vous ?
Ce fut comme un coup de fouet « Qu’est-ce qui lui prend » me dis-je
Je suis incapable de dire un mot pour toute réponse je lui souris, caresse sa joue.

- Michel, je crois que Cédric aimerait beaucoup nous voir faire l’amour.
- Chéri tu es toujours d’accord ?
Michel est aussi surpris que moi, elle le regarde et :
- Michel tu veux.
- Oh Oui avec grand plaisir.

Fébriles, nous rassemblons nos affaires. Agnès sort d’un petit sac un ravissant ensemble slip soutien gorge blanc en tulle brodé et passe sa robe, elle demande à Michel de la boutonner, il met le minimum de boutons.

Après 5 minutes de marche et un petit quart d’heure de voiture et nous sommes à la maison. Michel suit. A peine arrivé il dit.

- C’est superbe un couple comme vous, … J’ai une formidable envie de lui faire l’amour.
Agnès a de la chance d’avoir un mari comme vous.

- Nous ne sommes pas un couple d’habitué, c’est très très rare que j’accepte ça. Pourquoi cette fois, je ne sais pas, dès que je t’ai vu j'étais comme électrisée. Mon cœur s'est mis à battre fort dans ma poitrine. Tu m’as juste fait un compliment et j'ai complètement craquée. Je me suis mise à redevenir féminine, convoitée.
J’ai eue aussitôt envie de faire l’amour avec toi. Et je sais Cédric heureux que nous le fassions tous les trois.

- Ce soir il ne faut pas considérer Agnès comme mon épouse, mais seulement comme une femme libre.

Je les invite a s’asseoir sur le canapé et propose Champagne, jus de fruits, je dispose un plateau avec verres, coupes et aussi fruits gâteaux, de quoi prendre des forces qu’ils acceptent, je mets un CD de soul musique pour l’ambiance Nous buvons en silence, apprécions ce moment chargé d’attente et d’érotisme. Nous savons tous les trois que tout va bientôt basculer il sait Agnès consentante prête à s’offrir et a prendre du plaisir. Il attend.
Lentement, sans brusquerie, je prends la main de Michel et la pose sur elle. Je m’écarte d’Agnès, je les laisse maintenant, je ne serai qu’un spectateur, acteur peut-être. La main de Michel ouvre un à un les boutons de sa robe, commençant par le haut il écarte les pans du vêtement, qui tombe, dévoilant sa peau, ses seins aux bouts érigés sont visible sous le voile transparent, son ventre frissonne, ses cuisses halées se serrent. Elle est, immobile, attentive, les yeux brillants, bouche entrouverte, respiration haletante.

Elle est devenue l’objet de nos convoitises, nous, nous voulons que son plaisir.

Sa peau douce, délicate réclame la caresse. Il lui caresse doucement le cou tout en lui parlant, et passe la main derrière sa tête et l’attire vers lui, il l’embrasse. Elle lui rend son baiser qui dure longtemps, quand elle rouvre ses yeux sont brillants de désir. Elle n’a qu’une pensée s’abandonner, se laisser faire, le laisser la caresser et l’embrasser la prendre comme il veut, elle sait que je les laisserai faire sans intervenir La délicatesse dont il fait preuve me fait penser que c’est effectivement le bon partenaire.
Elle se cambre, gémit doucement quand sa main caresse son pubis à peine protégé par la fine couche de dentelle. Il insinue un doigt sous la culotte et entame un imperceptible mouvement rotatif, de caresse sur son clitoris.
J’invite Michel du regard à continuer.

- Cédric aide la à retirer son soutien gorge et son slip pendant que je me déshabille me demande Michel.
Le souffle court, j’avance, elle me défie du regard, se décolle du canapé se tourne je dégrafe son soutien-gorge et fait passer les bretelles puis mes mains descendent vers ses jambes serrées, d’une légère pression je l’incite à les ouvrir. Elle écarte ses jambes je passe mes mains prend de chaque côté son string et le tire délicatement, Agnès soulève ses fesses, elle était maintenant nue devant nous. Je fais courir mes mains sur son corps.
Elle m’écarte d’elle, se tourne légèrement, glisse une main le long de son ventre et du bout du doigt, écarte ses lèvres de sa chatte épilée, c’est d’un érotisme fou, d’une indécence totale.
Elle cherche mes yeux, je l’incite à faire plus.
Il se penche sur elle l’une de ses mains glisse sur son sein. Sa peau est douce. Le temps se fige l’espace d’une seconde. Sa bouche avide remplace sa main et passe d’un sein à l’autre embrassant, tétant avec ardeur ses bouts dressés. Une main glisse sur la cuisse d’Agnès. La réponse est immédiate elle avance ses fesses au bord du canapé et ouvre en grand ses jambes. Son souffle s’accélère, un imperceptible gémissement s’échappe de ses lèvres entrouvertes. Sa main arrive au bord de son sexe.
- Tu es toute mouillée.
Elle est parcourue d’un long frémissement, Michel abandonne son sein, s’accroupit à ses genoux elle s’ouvre plus.

Pour la première Michel voit en gros plan son sexe épilé sur lequel il ne reste plus qu’un petit triangle de poils courts. Elle remue ses fesses et lance son bassin au devant de sa bouche, il dépose un baiser remonte un peu et met sa bouche sur le haut de son sexe, maintenant sa langue lui fouille délicieusement l’intérieur de son sexe, il lui mordille, aspire ses lèvres alternant avec les va et vient de sa langue, Agnès s’écarte sans retenue bouge son ventre pour être au maximum en contact avec cette bouche qui lui procure tant de plaisir. Il enfonce un doigt dans son sexe brûlant et trempé et doucement le fait aller et venir. Agnès commence à se tortiller, le suppliant, j’entends les clapotis que fait son doigt en s’activant dans le sexe détrempé.

Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, Michel se sert de ses doigts comme d’un sexe, allant et venant à l’intérieur de son puits d’amour. Ses soupirs sont devenus des cris, elle remue son bassin, le précipite vers sa main.

Ses contractions, ses cris sont de plus en plus aigus, l’orgasme est imminent son corps s’arque, ses muscles intimes se serrent autour des doigts de Michel, une plainte s’échappe de sa bouche Michel continue pour l’amener à la jouissance ce qui ne tarde pas, un cri rauque fuse de sa bouche, son corps est secoué de tremblements, elle écarte la tête de Michel. Elle se détend, retombe lourdement. Avec une grande douceur il continue à lui caresser le sexe

Pendant deux ou trois minutes, elle reste ainsi allongée. Sa respiration se fait plus calme, elle se redresse, dirige un bras vers l’entrejambe de son partenaire. Sa main se pose sur sa cuisse puis ses doigts se font plus hardis, ils glissent vers le sexe tendu l’agrippe et doucement le branle. J’ai sous les yeux le sexe de Michel qui grossit. Elle approche sa bouche de son sexe et pose ses lèvres aspire son gland et la moitié de son sexe. Ses joues sont déformées par sa caresse, à genoux devant lui, ses seins se balancent doucement au rythme de ses mouvements. Elle lui prodigue une fellation comme jamais elle ne m’a fait, ses couilles gonflent, Elle a sortie sa langue, l’a fait courir le long de cette veine descend jusqu’aux testicules. Une à une, elle les prend en bouche, les fait tourner sur sa langue, les aspirent avec délicatesse, elle le fait jouir avec sa bouche, Michel retire son sexe de sa bouche, elle le regarde implorante, il le remet et lui baise la bouche avec force. Tout en lui pinçant ses tétons. Son regard brille comme jamais et ses tétons sont cramoisis. J’imagine l’état de son sexe. Elle le repousse.
-Je suis trempée, J’ai vraiment envie que tu me baises, Là, tout de suite je veux te sentir en moi, fais-moi l’amour, prends moi, fais moi jouir !

Leurs visages se tournèrent vers moi
- allons dans la chambre
Je passe le premier suivi d’Agnès et de Michel qui doit apprécier la vue. Arrivé près du lit Agnès s’allonge. Je me recule. Mes doigts tremblent, mon cœur bat à tout rompre.
Elle lui tend la main, il s’allonge près d’elle, lui relève ses bras, écarte ses jambes. Agnès s’offre a nous, elle s’exhibe devant nous pour notre plaisir.
- Cédric quel effet cela te fait de la voir comme ça ?
Après un silence
- Elle est très belle mais je dois avouer que ça me cause un trouble, à la voir de cette manière, exhibée, offerte, et de te voir la caresser, l’embrasser et bientôt..

Michel sait qu’il peut disposer d’Agnès. Il se lève, enfile un préservatif et revient près d’Agnès. Il la prend par les hanches et l’invite à s’agenouiller sur lui. Docile, elle se laisse guider.
Me voyant debout hypnotisé par la scène elle me fixe un moment qui me parait une éternité, dans ses yeux il y a de la provocation.
J'entend un cri suivi d'un long râle, Agnès s’est assise sur lui s’empale sur son amant, ne bouge plus, leurs deux sexe font connaissance, s’apprivoisent elle commence un mouvement lascif de la croupe, la bouche ouverte les yeux mis clos, chaque mouvement du bassin est ponctué par un gémissement. Il l'agrippe des deux mains, lui tient fermement le bassin il accompagne son mouvement, mais il en veut plus, accélère, Agnès gémit sa respiration est de plus en plus forte, elle se mord le poigné pour ses cris. Elle tombe sur lui. Il reste planté en elle caressant ses cheveux, la laissant reprendre son souffle. Elle rouvre les yeux lui sourit et elle l’embrasse amoureusement.
Michel remue. Il l’a fait se lever et mettre à quatre pattes, il se positionne derrière elle, lui écarte les fesses, frotte son sexe d’avant en arrière entre les lèvres trempées en résistant au désir de le faire rentrer tout de suite. Agnès gémit et donne des coups de reins pour le faire venir en elle, il positionne son gland juste à l’entrée la saisit par ses hanches et l’attire avec force contre lui, il s’enfonce brutalement en elle. Elle pousse un cri de surprise, mais s’efforce de l’attirer le plus loin possible en creusant ses reins et en écartant au maximum ses jambes. Je vois le sexe de Michel se retirer lentement puis s’enfoncer a nouveau jusqu’au fond lui arrachant a chaque fois des râles de bonheur il continue ses va et vient puissants. Agnès met sa tête sur l’oreiller, la vue de ses fesses rondes le stimule d’avantage, il la besogne longuement. Elle ne peut garder le silence et commence a laisser échapper des gémissements signe du plaisir qui monte en elle. Il ralenti se retire d’elle.
Ils s’enlacent, roulent sur eux-mêmes. Agnès profite qu’il se trouve sur elle pour le stopper, et lui saisissant les fesses elle s’arque boute jusqu’au moment ou les deux sexes sont en contact. Michel d’un petit mouvement de bassin enfonce son sexe qui prend toute sa place dans le sien. Elle soupire, ses va et vient commencent lent puis s’accélérèrent, les vagues de plaisirs arrivent rapidement il continu plus fort et plus vite, ses couilles battent contre ses fesses un orgasme arrive, contractant sa chatte sur sa queue qui n’arrête pas il continue d’autres orgasmes arrivent de plus en plus fort, il lui met ses jambes sur ses épaules et lui demande si elle veut encore en guise de réponse elle l’attire et s’enfonce leurs ventres se touchent. Il ressort doucement mais sans se retirer et s’enfonce à nouveau, il répète ce mouvement plusieurs fois puis remonte jusqu’à l’entrée de sa chatte il fait de petits mouvements circulaires puis brusquement il l’envahie pleinement. Elle se laisse aller. Michel la pilonne avec force s’enfonçant au maximum, la tête d’Agnès se balance de gauche à droite une longue plainte diffuse sortait de sa bouche, ses mains accrochent ses hanches, son ventre se projette contre le sien. Il sent monter son plaisir en lui. Agnès se déchaîne sous lui, ses jambes formèrent un étau autour des fesses de Michel.
- d’une voix que je ne lui connaissait pas elle
- Oh oui, oui, ….. Maintenant
Il la pénètre le plus profondément et le plus rapidement qu’il peut. Agnès ne résiste plus, elle crie son plaisir Michel emporté lui aussi par le plaisir se déverse en elle.

Ils restent l’un dans l’autre un long moment. Leurs corps brillent de leurs sueurs mélangées. La tension retombe il se séparent. Elle regarde son amant langoureusement, heureuse, comblée.

- Avec toi c’est fabuleux, comment aurai-je pu passer à côté de si bonnes choses. Cédric ne me fait pas jouir comme toi, lui la première fois c’est rapide la deuxième c’est mieux mais rien à voir avec toi.
- C’est l’attrait de la nouveauté contre l’habitude, tu t’es lâchée complètement, tu avais tout à découvrir de moi comme moi de toi, tu as ressentie d’autres choses. Cédric te connaît trop te respecte trop c’est l’amour en copains. Dans mon couple au bout de tant d’années c’est pareil. Si mon épouse voulait faire avec un autre ce que tu as fait et quelle s’abandonne comme tu la fait avec moi elle dirait certainement les mêmes mots.

Je remercie du regard Michel.
Elle se lève va vers la salle de bains Michel la suit j’entends des rires et je regarde la porte étant restée ouverte, ils sont sous la douche se frottent l’un l’autre ils font couler l’eau partout sur leurs corps. Agnès se penche sur son sexe, veut lui redonner vigueur. Ses mains massent ses testicules, sa bouche le gobe, l’aspire, le suce, le branle, petit à petit il prend de belles proportions, contente d’elle, elle lui demande :
- on continue
Michel la saisit par la taille l’a soulève elle noue ses jambes autour de sa taille il la fait descendre sur son sexe a nouveau dressé elle s’accroche a son cou, colle sa bouche sur la sienne et la chevauchée reprend. Toujours enlacés ils sortent de la salle de bains et retournent sur le lit il s’assoit au bord, elle toujours accroché à lui se met a monter et descendre. Sa queue entre et sort avec vigueur. IL lui donne de grands coups qui la font gémir. Le plaisir l’irradie complètement la fait se creuser pour qu’il s’enfonce toujours plus en elle. Michel joue avec elle comme il le veut. Son corps est soulevé par ses coups de boutoirs, ses petits seins ballottent, dansent devant son visage.
- Oh Ouiiiiiiii Ouiiiiiiii c’est bon j’adore ta queue fait moi jouir encore une fois prend moi comme tu veux, baise moi.
Elle empoigne ses fesses les écartent largement pour que sa queue puisse aller loin rentrer et sortir et de plus en plus vite et quelle lui touche le fond.
Ils sont tous les deux au bord de l’explosion quand Michel se déverse en elle.
- Ah Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiii
Après la fureur de leur abandon mutuel ils s’écroulent elle l’embrasse encore. La chambre est saturée d’odeur de cyprine, de sperme, de sueur.
Enfin ils prennent conscience de ma présence.
- Agnès : Mon chéri, laisse nous passer la nuit ensemble.
Michel me regarde d’un air embarrassé, comme pour s’excuser.

Mes doigts tremblent, mon cœur bat, et je sens mon sexe irradié d’ondes de chaleur je ne sais quoi répondre, alors je fais ce quelle me demande.
Le sommeil n’arrive pas, trop de choses se bousculent en moi. La mezzanine donne sur l’endroit ou est le canapé. Je les entends, le calme vient le sommeil aussi ……. Cette soirée fut difficile mais a qui la faute, c’est moi qui l’ai encouragé à le faire la première fois, elle m’avait prévenu et encore aujourd’hui………..

Dimanche 5 Septembre
Je me lève, regarde l’heure 9 h 30 tout est calme, je me lève monte à la salle de bains je les regarde, ils dorment collés l’un contre l’autre.
Je reste longtemps sous la douche, j’ai un peu la gueule de bois ce matin et pourtant je n’ai rien bu.
Je passe un peignoir et descends prendre un petit déjeuner afin de me remettre les idées en place.
10 h 30 Est-ce l’odeur du pain grillé, mais tout à coup des pas se font entendre dans l’escalier.

J’ai découvert ce matin là une nouvelle Agnès, plus coquine, plus sensuelle, elle vient vers moi nue elle s’assoie sur mes genoux et m’embrasse goulûment.

- Merci encore merci
Voyant que je fais la moue, elle prend mon sexe dans sa main et le masturbe, le trouvant assez raide, ses doigts écartent son sexe, guide le mien il rentre facilement, l’intérieur est chaud, large, on dirait que quel qu’un est déjà passé par là il y a peu ?
- baise moi fort, venge toi, reprend ton bien.
Je me mets a lui donner de violents coups de reins elle m’encourage .
- oui encore baise moi ça ne fait rien si tu viens vite j’ai envie de toi.
- Sa queue est bonne, endurante elle m’a bien fait superbement jouir c’est un super amant mais c’est la tienne que j’aime, c’est toi que j’aime.
- Allez vient maintenant remplie moi.
Toute la tension accumulée ces deniers jours s’évacue au moment où j’éjacule en elle. Elle me tend sa bouche.
Après cet intermède elle déjeune et court à la salle de bains.
Michel descend lavé et habillé.
-tu ne m’en veux pas pour cette soirée et nuit nous t’avons oublié c’est pas sympa de ma part, mais j’ai cru que tu voulais être seulement voyeur c’est le cas demande t’il ?
- Non j’aurais volontiers participé mais j’ai vite compris que j’étais de trop, et je n’ai pas voulu casser l’ambiance je l’ai fait une fois ça m’a servi de leçon.
- Si nous passons d’autres soirées je suis partant pour faire un vrai trio. Tu sais, elle le désire aussi, elle s’en veut un peu.
Agnès revient habillé. Je vais m’habiller à mon tour, quand je redescends, nous parlons tous les trois, une question m’angoisse je la pose
- quand vous étiez sous la douche et que vous avez refait l’amour, c’était sans préservatif ?
- Oui et les autres fois aussi, la dernière était ce matin, nous t’avons entendus te lever, t’approcher, tu nous as vu l’un contre l’autre, nous étions l’un dans l’autre. Agnès et tu le sais aime sentir l’éjaculation, ça lui procure plus de plaisir. Mais ne vous inquiétez pas j’ai fait un test HIV dernièrement il était négatif.

Nous changeons de sujet et évoquons la semaine prochaine. Ils ont envisagé certaines choses, Agnès doit me l’expliquer. Michel part, il est invité à déjeuner le midi. Ils s’embrassent une dernière fois, il me serre la main.
-Alors quel est ce programme ?
- voila, comme il travaille et loge à 80 kms d’ici, le programme de la semaine est chargé, il ne pourra revenir à la plage que vendredi prochain son stage se termine ce jour là mais il ne sait pas si ce sera le midi ou le soir. Si tu le veux encore nous pourrons passer le vendredi après midi, la soirée, et le samedi nous devons repartir mais pourquoi ne pas reprendre une chambre et ne rentrer que le Dimanche, personne nous attend. Lui s’arrangera avec sa famille pour reculer d’une journée son départ ? Alors qu’en penses tu ?

- laisse moi un peu de temps.
Le midi nous mangeons surtout elle de bon appétit, l’après midi nous allons à la plage. Et nous en repartons vers 18 heures.

Son téléphone sonne, c’est lui elle lui parle et m’interroge du regard, est ce que je peux dire non je ne le crois pas alors je fais un signe de tête pour accord.
Telle une midinette elle s’enfuie dans la cour pour poursuivre avec lui cette conversation.
Le soir nous nous couchons tôt elle se fait très câline…

Fin de la semaine 1

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