Agnès Une Parenthèse Dans Ma Vie Episode 2

AGNES Une parenthèse dans ma vie

Cédric m’a surprise par sa complaisante, et un côté partageur que je ne lui connaissais pas il a pourtant du souffrir en me voyant en m’entendant et en me sachant avec un autre je me suis totalement lâchée sachant que ce que je vivais là ne durerai pas. Il me dit que j’ai pris du bon temps que c’était juste sexuel et avoir eu plaisir a me voir jouir dans les bras de Michel j’en doute.
C’est fou lorsque la barrière des préjugés est tombée de constater qu’il faut peu de choses pour transformer une épouse sage en une femme avide de sensations.

Suite de journal de Vacances

Dimanche 5 soir
Une fois obtenu l’accord de Cédric je m’éloigne pour continuer la conversation. Michel me demande de passer une nuit seule avec lui ? Comment faire ?

Lundi 6
Temps splendide, nous partons dans la matinée à la plage et faisons un pique nique sur place. Il nous reste plus que quelques jours alors nous profitons un maximum du soleil

Mardi 7
Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas, c’est tout gris que faire à part se promener. Direction les Sables d’Olonne la grande station balnéaire de la région. Nous faisons du lèche vitrines quand tout à coup Cédric stop devant une boutique de vêtements sexy. Il a repéré une robe en vitrine et désire me l’acheter pour suivant ses dires que je sois bandante. Je refuse tout net. L’heure avançant nous allons déjeuner, pendant le repas il insiste pour que nous retournions à la boutique. Le repas terminé nous y retournons j’accepte de rentrer car il y a un bustier qui m’attire. Nous rentrons, et faisons un tour, la vendeuse demande ce qui nous intéresse. Je lui indique le bustier. Elle va en chercher un et me conseille de l’essayer. Je vais en cabine et le passe, elle vient voir, me dit de retirer mon soutien gorge il ne faut pas en mettre avec cet article, voyant mon hésitation elle passe derrière moi, le dégrafe, me l’enlève.


Il est extensible mais seins sont visibles en dessous, je renonce, elle me propose un autre modèle j’hésite, elle insiste, j’accepte.
L’autre et noir c’est un Top sans manche mais avec un col roulé des strass dessus, il se ferme par une pression une fente sur le devant descend jusqu’en dessous de mes seins. La vendeuse passe une main dans l’échancrure, me frôle les seins et nous dit
- cette fente est pratique n’est ce pas Monsieur ?
Il lui sourit. A choisir je préfère celui là. Cédric lui demande qu’elle me passe la robe vue en vitrine, elle s’exécute j’ai beau refuser ils insistent. Je cède, je n’oublie pas que je dois lui parler de la proposition de Michel j’ai envie de cette soirée seule avec lui.
Cette robe est entièrement en dentelle extensible, avec des manches longues évasées sur les poignets, les épaules dénudées sont du plus bel effet. C’est joli mais ce n’est plus de mon âge.
Je dois en essayer une autre cette fois c’est une robe moulante noire avec un décolleté profond en V qui laisse apparaître mes seins le dos est a moitié nu, de fine bretelles la font tenir. Celle-ci est chic mais oserai-je la porter ?
Ce n’est pas terminé, maintenant une robe courte dans un tissu extensible semi transparente qui épouse les courbes de mon corps le tissu a des motifs floraux, cette robe à un petit goût d’orient avec son col Mao et son décolleté en forme de goutte.
Puis une quatrième Sobre et élégante, cette robe à néanmoins un design original avec sa coupe asymétrique, le bas de la robe est bordé en voile transparent les fines bretelles son réglables.
La cinquième je n’ai même pas voulu l’essayer c’était une robe courte et moulante en tissus extensible, de larges bandes noires satinées au niveau du buste et du bas de la robe l’entre deux est en voile résille qui dévoile le ventre avec toujours des bretelles a nouer derrière la nuque.
Bien sûr avec ces robes il faut être sans soutien gorge et mettre un string qui est vendu avec de cette façon il est assorti a la robe.

Je me laisse faire que pour le Top sans manche malgré l’insistance de mon mari, il voulait que je prenne celle qui était moulante ou celle dont le bas est en voile transparent.

Nous sortons et allons vers le bord de mer, là nous nous asseyons sur un banc, je lui parle de notre achat, qu’effectivement il me va bien et c’est vrai c’est sexy, il est content mais aurait bien voulu la robe. L’heure tourne nous repartons. En voiture mon téléphone sonne ?
Michel m’appelle pour me dire qu’il a réservé une chambre pour Jeudi soir.

Mercredi 8
Réveil 6 heures il part faire une journée de pêche en mer et le rendez-vous et à 7 heures 30 avec la marée il faut faire avec. Je le charrie un petit peu car à chaque fois qu’il va à la pêche il revient bredouille. Pour moi c’est bien j’ai une journée pour moi seule. Je passe la matinée à faire du rangement et un peu de ménage.
Une idée me vient pour lui faire plaisir et aussi pour l’amadouer je retourne aux Sables ce n’est pas loin une demie heure de route. Le plus difficile est de retrouver la boutique enfin je la trouve, il est presque midi, la vendeuse sourit en me voyant. Je demande à ressayer les deux robes, elle s’approche de moi.
- moi c’est Sophie et toi
- Agnès
Sophie me tend celle avec le décolleté en V, c’est bizarre elle est plus grande que celle d’hier, ses mains se font baladeuses au niveau des seins, elle pousse un peu loin la conscience professionnelle. Après mes seins ce sont mes cheveux puis de nouveau mes seins. L’ambiance devient lourde, sensuelle. Sa bouche s’approche, se pose sur la mienne. Surprise, je ne réponds pas à son avance. Elle insiste. Ma bouche s’ouvre, accueillant cette visiteuse inattendue. La langue de Sophie, s’insinue entre mes lèvres frémissantes, prend possession de ma bouche, je suis envahie de plaisir. Elle passe sa main dans l’échancrure du décolleté la pose sur mes seins nus qui pointent pour mieux s’offrir, les caressent délicatement.
Je sens mes pointes se durcir. Elle m’embrasse dans le cou. Bien que très émue, je la laisse faire, ces gestes de tendresse m’excitent au point de ressentir une chaleur qui, part de mon entrejambe et arrive à mes seins.
C’est la première fois avec une femme me demande t’elle ?
- oui
Alors laisse-toi- faire
J’en profite pour me lâcher je ne me reconnais plus, moi la femme de 60 ans entre les mains de cette femme libérée que je ne connais pas.

En réalité je m’abandonne complètement à cette femme. Elle sait quoi faire pour me donner du plaisir. Je la laisse faire, elle me retire la robe et je me trouve en Tanga de dentelle noire qui en montre plus qu’il n’en cache. Je l’attire contre moi, nos deux corps entrèrent en contact nous nous enlaçons. Et nous embrassons nos langues se rencontrent, se mêlent, nos corps, se serrent l’un contre l’autre, ses seins écrasent les miens. Ce baiser d’une grande sensualité s’arrête, nous nous regardons et lisons dans les yeux de l’autre du plaisir.

Sa bouche se pose sur mes seins, les lèchent pour enfin venir sur mes tétons et les sucer, les aspirer. Elle me fait un bien fou. Elle continue ses travaux de sape en posant une main sur ma cuisse. Sa bouche sur mes seins et une main qui commence à remonter vers mon entrejambe m’excite encore plus.
Je veux sentir quelque chose en moi. Elle le sait une main se pose sur mon sexe, encarte les élastiques de mon slip.

Ses doigts passent le long de ma fente de bas en haut, ils se posent sur mes lèvres qu’ils effleurent simplement avant de rentrer dans ma vulve et trouver mon point le plus sensible. Elle ne bouge pratiquement pas sa main le frôle rapidement et arrête avec de recommencer. Je pousse de petits gémissements, mon bassin ondule sous le rythme de ses doigts. Je l’encourage à continuer. Cette caresse provenant d’une femme est inédite pour moi, à mon grand étonnement je jouis. Elle l’a senti aux contractions de mon sexe sur sa main, elle m’embrasse.
Je lui rentre ma langue dans sa bouche sans qu’elle ne fasse rien pour ça.

Sophie ferme sa boutique, revient me débarrasse de mon tanga. Elle se déshabille, elle plus jeune que moi, légèrement plus grande, un beau visage, ses cheveux descendent jusqu’au niveau de ses seins. Sa poitrine a de belles proportions, bien ronde un 90 C, un piercing orne son nombril, l’ensemble de son corps est terriblement sexy. Je lui retire son string pour découvrir un magnifique triangle sombre très bien taillé ses fesses sont rondes et fermes. J’ai envie d’elle et le lui dit. Elle ne dit rien, me sourit, m’assoie sur un divan. Elle m’écarte les jambes, et pose sa tête sur ma cuisse, l’approche sa langue se pose sur mon bouton ça m’électrise. Elle prend mon clito entre ses lèvres et le suce délicatement. Je jouis une nouvelle fois.

J’ouvre les yeux, comblée, pressée de la goûter à mon tour et de lui rendre le plaisir qu’elle m’a donné. J’écarte ses cuisses, son odeur délicieuse de femme m’enivre. Je l’embrasse, la caresse et descend lentement vers son bas ventre qui frissonne, elle me dirige en chuchotant pendant qu'un de mes doigts effleure le contour de tes petites lèvres, j’effleure son bouton. Je le caresse comme si c’était le mien. Elle appuie sur ma main guide mes doigts vers sa fente, j’entre deux doigts la branle. Je n’ai pas longtemps à attendre, elle jouit en me mettant plein de ses secrétions sur mes doigts. Elle me prend une main et pose un de mes doigts sur son cul. J’ignore comment faire. Je laisse mes doigts dans son vagin y plonge le doigt de l’autre main, l’enduit de mouille et cherche un peu son petit trou, l’ayant trouvé il pénètre facilement j’enfonce mon doigt sur toute sa longueur et commence de petits va et vient. Je sens mes doigts de l’autre côté de la paroi, je fais aller mes deux mains en même temps. Je l’embrasse continuellement. Je ressens les contractions de son vagin sur mes doigts quand elle jouit. Nous terminons en faisant un 69. Elle se place sous moi, ma bouche se pose sur son sexe, sa mouille est salée ma langue joue avec son clito.
Sa langue à son tour envahie mon sexe Je la sens me fouiller, je dois l’inonder. Puis elle remonte Ses doigts m’écartent encore davantage les cuisses elle remonte sur mon anus elle se met à lécher avidement le trou de mon cul. Je sens sa langue s’y glisser et son doigt m’écarter encore plus de manière à agrandir le passage. Moi qui suis vierge de cet orifice, je découvre là une ébauche du plaisir qu’il peut m’apporter.
Petit a petit je sens comme une sorte de bien-être sa langue va plus loin, je lui tends mes fesses, elle se saisit de ce quelle a sous la main, sa brosse a cheveux la mouille dans mon sexe et me l’introduit dans le cul, ce fut immédiat je jouis. Je lui rends la pareille. Nous avons joui ainsi je ne sais combien de fois.

Je suis épuisée par ces délicieux moments mais il me faut partir Sophie m’offre la robe pas celle que j’avais essayée elle avoue m’en avoir fait passer une avec une taille au dessus pour pouvoir me caresser et suivant ma réaction improviser. Elle me demande de penser à elle à chaque fois que la porterai.

Je me dépêche de repartir devant récupérer Cédric, j’arrive à l’endroit convenu, une affiche attire mon attention c’est le spectacle au Puy du Fou, je me renseigne a l’Office de tourisme pour connaître les jours, il y a un spectacle demain Jeudi. Cette fois j’ai mon prétexte pour être absente une soirée.
Cédric arrive, ravi de sa journée, tout heureux il me montre sa pêche, 4 maquereaux c’est mieux que rien et ça tombe bien car avec ma journée je n’ai pas eue le temps de prévoir de quoi dîner.

Dans la voiture sur le chemin du retour je lui explique qu’il y a un spectacle au Puy du Fou, comme je m’y attends il n’est pas enchanté, je lui demande si je peux y aller seule, le départ ce fait en car de l’Office de tourisme, il est d’accord. Cette journée fut excellente.

Le soir j’appelle Michel et lui confirme que je serai a lui demain soir.

Jeudi 9
Je suis anxieuse malgré tout, en cachette je me prépare un sac avec tout ce qu’il faut pour un rendez-vous galant. Lui ne doute de rien et tranquillement il va faire les courses pour le midi, pour me faire plaisir il apporte crevettes et bulots, il prépare une mayonnaise. Je n’ai pas très faim. Cédric mange de bon appétit. Après le repas je fais une sieste en prétextant que comme je rentrerai tard je souhaite me reposer. Il me laisse dormir. Je passe ensuite à la salle de bains où je procède à une minutieuse toilette, m’enduisant le corps de ma lotion favorite. 18 heures je suis prête, j’ai réussi a glisser dans le coffre mon sac sans attirer son attention i est l’heure de partir. Arrivés à l’Office de tourisme je fais semblant d’être consterné en ne voyant pas de bus, je vais demander et il me confirme qu’il est parti depuis 30 minutes. Je suis désappointée. Cédric :
- c’est pas grave tu me reconduis et puis tu y vas comme cela tu peux assister au spectacle.
- je lui saute au cou.
Nous retournons à la maison je le dépose et roule vers mon amant.

20 heures je passe un SMS à Michel : Je t’attends je suis garé au fond du parking de l’hôtel. J’ai retiré ma culotte, j’ai la chatte en feu, vient vite.

Il arrive il m’a repérée. Un grand sourire illumine son visage.
Il s’approche, me prend dans ses bras. Je lui saute au cou mon corps se plaque sur le sien pour un baiser enflammé, nos langues se mêlent. Une boule de feu enfle dans mon bas-ventre, la bosse dure de son sexe se colle contre mon ventre.

Nous partons, vers l’hôtel enlacé, il remonte ma jupe pour me mettre la main aux fesses. Nous n’avons pas fait deux mètres.
- Je vais te prendre ici, tout de suite, m’annonce-t-il.
Ses mots me font un effet dingue je sens ma chatte, s’ouvrir, s’inonder.
- Non pas ici, il y a sûrement des caméras de surveillance, balbutiai-je.
- Et alors ? les arbres nous cachent et puis c’est un cas d’urgence.

Il me couche, le dos sur le capot de sa voiture, remonte ma jupe, j’ai les fesses a l’air, il libère son sexe et m’embroche d’un coup de rein, à la hussarde. Un cri m’échappe tellement la sensation est forte. Instinctivement je noue mes jambes dans son dos pour l’accueillir le plus loin possible. Quelques coups de reins, nous suffisent, pour décoller en même temps.

Il se retire, je cherche un kleenex pour m’essuyer. Nous partons vers la réception la tête pleine d’idées perverses. Je suis certaine qu’il en as plus que moi,

- Tu m’as mis une sacrée dose, ça me coule le long des cuisses.

La réceptionniste nous tend une clef et nous guide vers notre chambre, elle est belle et spacieuse avec un très grand lit. Arrivés à la chambre nous déposons nos affaires. Je vais à la salle d’eau pour me nettoyer car le sperme de Michel coule sur ma cuisse et mettre une culotte. Puis nous allons dîner, c’est délicieux mais très long, nous parlons surtout lui de sa famille. Une fois notre repas terminé nous retournons rapidement à notre chambre. Dans le couloir j’appelle Cédric il est sur répondeur. Je lui laisse un message, lui indiquant que j’ai un pneu de crevé, que je suis sur un parking que je vais essayé de trouver un hôtel et de faire réparer demain avant de partir, qu’il me rappelle. Les mensonges plus ils sont gros plus ils passent. Une fois la porte fermée il me débarrasse de ma veste, et tout en m’embrassant, il dégrafe et fait tomber ma jupe, et fait glisser ma culotte je l’aide en me dandinant et l’enjambe. Il me pousse vers le lit et me fait écarter mes jambes. Je suis là offerte.
Il s’agenouille entre mes cuisses, me lèche. Je prends sa tête entre mes mains pour la caresser, pour le coller à ma fente, pour lui faire comprendre ce que j’adore. Sa langue est entrée dans mon vagin, elle entre, elle sort, il joue avec mes petites lèvres, les étire, les suce, il aspire mon clito, souffle dessus, il me rend folle. Je me laisse aller. Je m’abandonne. Mon bouton est affolé de plaisir, mon ventre va au devant de sa bouche, mes tétons sont durs.
Il baisse son pantalon et son slip, me débarrasse de mon top sans manche acheté mardi. Il me prend les mollets, met mes jambes sur ses épaules.

Il me pénètre en savourant ce moment, il regarde son sexe entrer, écarter mes lèvres il s’enfonce lentement centimètre par centimètre. Sensation divine les parois de mon vagin le serrent, elles s’ouvrent lentement. Une fois entré à fond. Il me cale les pieds contre sa poitrine, il me tire par les hanches, il se penche en me poussant les cuisses contre mes seins. J’adore cette façon d’être pénétrée à fond cela permet d’avoir un vagin bien serré.

Michel me ramone de tout son long, sortant lentement, presque complètement, pour se renfoncer à fond avec force, violemment. Les yeux dans le vague, je me mets à gémir. Chaque coup de rein et de plus en plus violent et m’arrache des cris de plaisir. J’aime cette façon d’être prise.
Je manque d’air, je ferme les yeux, je balance ma tête de droite à gauche, je creuse les reins, sentant la vague du plaisir monter, monter, grandir, atteignant un niveau jamais atteint je hurle, Je ne suis plus qu’une femme qui va exploser de plaisir.
Un nouveau coup de rein, son sexe est encore plus dur, plus gros, plus violent. La vague gigantesque déferle, me tétanise, son sexe tressaute. Il éjacule. Je hurle encore avant de basculer dans le néant.

Nous restons soudés l’un à l’autre. Je le ceinture avec mes jambes pour le bloquer, le temps que mon cœur se calme. J’ai un besoin immense de tendresse et d’amour. Il m’embrasse, et me serre très fort.

- Je n’ai jamais joui comme ça, c’était inouï, d’une intensité incroyable, mais comment tu as fait pour résister si longtemps en me défonçant comme ça ?
- À cause du premier round au parking mais là il faut attendre un peu je ne pourrai recommencer tout de suite. Je suis comblée, il me prend dans ses bras, je m’endors de suite.

Vendredi 10 matin
Dans la nuit je me réveille, une envie pressante. Je profite d’être dans la salle de bains pour me faire une toilette intime, en cas ou !
7 heures je m’éveille, le lit est vide, mais j’entend l’eau couler dans la salle de bains. Je m’étire repousse le drap et je l’attends.
Michel est de retour, il me voit retourne a la salle de bains et revient sa silhouette se dessine à contre jour. Il sent bon. Me voyant offerte comme ça et lui rendant les bras, il se met a genoux me tire un peu et colle sa bouche à ma chatte, le contact de sa bouche m’électrise, il me goutte, m’explore, écarte mes lèvres pour rentrer sa langue dans mes profondeurs, son nez frotte délicatement mon bouton. J’aime être réveillée comme ça ! N’y tenant plus, je l’agrippe par ses cheveux pour le presser encore plus fort sur ma chatte. Il enfonce sa langue, plus fort, plus loin.

Un doigt indiscret descend entre mes fesses. Joue avec mon petit trou, l’agace. Son doigt enduit de gel finit par le perforer, je ne suis pas fanatique de la sodomie je lui fais comprendre. Un autre doigt, se glisse à l’intérieur de mon sexe.
Il s’amuse de me voir me tortiller, son doigt rentre, sort, affole ma chatte. Je resserre mes sphincters pour lui bloquer son doigt. Sa langue se colle à mon clito.

Il se couche sur moi enfonce son pieu dans ma chatte. Il alterne les mouvements doux et furieux, je me fais étroite, il entreprend de m’élargir, je ne me laisse pas faire, je le serre autant que je peux. Ses va et vient son plus amples, il me laboure consciencieusement. Son pénis se tend, des jets de sperme viennent buter au fond de mon vagin. C’était un réveil bien agréable. Je me lève et vais dans la salle de bain.
Il faut nous décider à partir, nous prenons un petit déjeuner réparateur et partons. Nous prenons chacun notre voiture. Il me dit :
- à toute à l’heure, et ce soir je t’initie tu sais a quoi ?
Il m’embrasse violement et part. Je suis songeuse, que dire à Cédric ? J’ai une heure pour réfléchir.

Arrivée devant la maison je voie que tout est fermé, je m’étonne. Je me gare descend de voiture et entre. J’appelle, inquiète personne en bas je monte jusque la chambre et je voie Cédric couché.
- Qu’est ce que tu as ?
- J’ai fait venir le docteur hier soir j’ai fini les crevettes et bulots et cette nuit malade comme une bête, le crâne qui tambourine et le ventre hyper gonflé. Peux tu aller me chercher les médicaments ?
- Bien sûr ou est l’ordonnance ?
- En bas sur la table.
- J’y vais de suite.
Je vais à la pharmacie et revient rapidement il avale les cachets indiqués. Je profite du manque de lumière pour déposer mon sac avec mes affaires dans le placard puis j’ouvre les fenêtres.
Cédric ne me pose pas de questions, c’est aussi bien. Midi approchant je me prépare un déjeuner, mais que faire pour ce soir ?
Mon repas terminé je remonte près de mon mari c’est pas brillant.
Je vais voir le proprio et lui demande si c’est possible de partir le Dimanche au lieu du samedi vu l’état de santé de mon mari. Il me répond que Oui, n’ayant personne la semaine suivante. J’en fais part a mon mari et profite du temps libre pour faire du rangement. Le téléphone sonne, je décroche, c’est Michel, il m’indique qu’il sera chez nous vers 18 heures, je lui indique que Cédric est malade, ça l’ennuie.
Cédric alors me surprend totalement
- Ne change rien, vous n’avez qu’à prendre une chambre d’hôtel vous serez plus tranquille, je suis certain qu’après avoir attendue toute la semaine vous avez envie de vous retrouver. Et seule avec lui tu te lâcheras. Moi pour ce soir je suis hors course.

Je ne sais quoi répondre, Michel qui a entendu est aux anges, il s’occupe de la chambre tout de suite, et passera me chercher.

- je t’adore : mais lui aussi se lâchera j’ai senti de la retenue en lui… en me faisant l’amour… Mais sans le dire… Je crois qu’il n’osait pas devant tout toi…

Vendredi 10 Soir
J’ai passée ma nouvelle robe très ajustée sur moi, elle révèle mon corps mieux que si
j’étais nue, Cédric est content de ma décision d’achat mais ça l’ennuie que je la mette pour un autre. Michel passe me chercher, il vient saluer Cédric qui fait une triste figure il nous congédie.
- Partez maintenant car si vous attendez je suis capable de demander à Agnès de rester.
Nous insistons pas et partons main dans la main. Sitôt la porte fermée il m’embrasse goulûment, passe une main dans le décolleté palpe un sein libre. Michel m’ouvre galamment la portière côté passager et en profite, lorsque je passe à sa portée pour me caresser les fesses.
Il referme la portière et m’emmène vers notre belle nuit d’amour. Pendant ce court trajet, je n’ai pas pu m’empêcher de mettre ma main sur sa cuisse et de la caresser en remontant même jusqu’à la bosse de son pénis en érection à l’idée de ce qui allait bientôt se passer.

L’hôtel et fort agréable la vue sur le mer très belle, Pendant le dîner, nous avons parlé de ce que nous ressentons l’un pour l’autre, un désir physique fort et intense, nous avons du mal à ne pas nous jeter l’un sur l’autre et à rester corrects dans ce restaurant. Nous avons mangé très rapidement, car nous n’avions qu’un seul souhait, nous retrouver enfin seuls pour laisser libre cours à notre désir. Je ne me reconnais pas, ce n’est plus moi, pas a mon âge c’est pas possible tous ces changements en moi ? Il a réveiller la chienne qui dort en moi Je pense à mon mari.
- j’ai du remord a l’avoir laisser.
- L’infidélité donne du remord, la fidélité donne du regret me dit Michel ?
Tu l’as tout le temps pour toi, combien de fois avez vous fait l’amour ensemble, il s’est épanché un nombre incalculable de fois dans ta chatte, dans ta bouche. Et tu le referas encore avec lui à ton retour, alors ne penses plus à lui mais seulement à nous en ce moment.

Il s’efforce de me faire rire en allant vers notre chambre, nous sommes à nouveau seuls il s’approche de moi défait les bretelles de ma robe, ses mains la font glisser sur le sol. Je suis devant lui en tanga. Il me demande

- Caresse toi devant moi, donne toi du plaisir, fait toi jouir ?

Je fais descendre très lentement mon slip, et là debout face à lui, je me caresse le corps effleure mes seins descend sur mon ventre, remonte, puis de ma main gauche je malaxe un sein et de la droite je commence à jouer avec mon bouton, je fais danser mon bassin de façon suggestive.

Ma main gauche quitte mes seins de mes deux mains j’écarte ma fente en tirant un peu vers le haut pour mieux dégager mon bouton, le faisant saillir. J’écarte mes petites lèvres, je mouille un doigt dans ma bouche et l’enfonce délicatement tout en caressant délicatement mon bouton de l’autre main.

Je commence à onduler sous ma propre caresse, j’enfonce un deuxième doigt. Mon bassin va au-devant de mes doigts, je m’écarte les cuisses pour aller plus profond, je frotte du bout de mes doigts cette petite bosse fripée qui nous fait tant jouir. Mon vagin commence à émettre un bruit de clapotis et se met à couler le long de mes jambes, j’accélère la cadence de mes caresses.

Ma jouissance arrive, elle arque mon corps, je tombe sur les genoux.

Michel m’aide à me relever, il me couche sur le lit se positionne au dessus de moi. Je m’ouvre il se place entre mes jambes, les remontent contre ses épaules. Ma chatte luisante de mes sécrétions le réclame.
Il va me prendre comme ce matin hélas non je comprends ce qu’il veut. Connaissant son fantasme, je savais que je risquais de me faire sodomiser, je me suis préparée cet après midi avec mon sensilube et le manche de ma brosse à cheveux, méthode Sophie. Le faire par derrière, ce n’est pas mon truc, mais depuis Mercredi il tente beaucoup de personnes. Ce soir pour Michel je veux lui faire ce plaisir, heureuse de l’accueillir où il veut.

Son gland se positionne sur mon petit trou je suis inquiète. Mais j’ai tellement envie de le sentir en moi que j’accepte. Son gland copieusement enduit de gel se pose sur l’entrée, la force. Lorsque l’anneau s’est détendu j’ai ressentie une forte douleur. Je le retient de la main, lui demande de faire plus doucement il reste immobile et me parle de pousser comme ci j’allais aux toilettes je m’exécute anxieuse. Quand son sexe pénètre en entier j’ai le souffle coupé il reste immobile, son sexe fait machine arrière, puis machine avant. Mon anus rend les armes. Alors il commence doucement a faire des va et vient je le sens bien au fond de mes entrailles, heureuse d’être enfin remplie. Je glisse un bras sur mon ventre pour que ma main atteigne ma vulve mes doigts s’agitent dans ma vulve. J’ai la mâchoire serrée. Ce n’est pas facile pour moi l’intrusion d’un sexe par cette entrée, je sais que pour arriver au plaisir qui suivra sans nul doute, il faut en passer par cette douleur préliminaire. Michel bouge doucement dans mes reins avec des mouvements circulaires, puis de petits va et vient et enfin de plus grands mouvements sortant presque complètement de mon étroit fourreau pour mieux replonger à fond. Je me laisse aller. Pendant qu’il m’encule, mes doigts s’activent sur mon clito. J’essaie de me faire jouir pendant cette pénétration anale.
- on va essayer autrement. Mets-toi à quatre pattes, en levrette.
Ainsi il aura une vision superbe, celle d’une femme cambrée à quatre pattes que l’on sodomise.

Michel m’écarte m’enduit les fesses de gel et reprend possession de mes reins. Me cambrant au maximum je fais rouler mes fesses. Il me saisit par les hanches, son pubis vient à chaque coup taper sur mes fesses, ses couilles butent sur ma chatte. Il me défonce complètement, je suis comme une poupée de chiffons il fait de moi ce qu’il veut, il me besogne plus vite, j’atteins l’orgasme. Ma respiration s’accélère, mes hanches se contractent. Je pousse des gémissements plus ou moins étouffés, envahie par le plaisir. Et, détail divin qui ne trompe pas, je sens mon anus se contracter, je ressens sans doute possible mon sphincter se resserrer à plusieurs reprises, en rythme avec mes vagues de plaisir. Il explose en même temps que moi.
Il reste en moi, attend que son sexe dégonfle et que je l’expulse. Il se retire lentement.

Je reste abasourdie d’avoir ressenti un plaisir que j’ignorai. Lentement je me remets et regarde mon amant, son sexe est tout rétrécit flasque. Je souris.
Mais la nuit n’est pas finie.

Michel se lève va dans la salle de bains.
Il revient et se tient debout devant moi. Son sexe pend. Tout en le regardant dans les yeux, je m’en saisis avec précaution dans ma bouche. Le serrant avec mes lèvres, je le suce d’abord, tout en tournant délicatement tout autour du gland avec ma langue, d’une main je le masturbe. Je le sors pour voir le résultat, je suis satisfaite, il reprend vie.

- Tu peux m’avaler totalement ? demande t-il.

Je prends ma respiration et courageusement, centimètre après centimètre lil s’enfonce. Comment font les filles pour arriver à s’enfiler ça jusqu’au fond de la gorge ? Il y a un truc qui m’échappe. Ma langue joue avec son frein, l’endroit est sensible, ma main le branle. Je lèche et pompe son gland. Mes coups de langue répétés lui procurent un plaisir intense, je sens dans ma bouche de petites contractions.
Il est prêt à exploser. Le sortant de ma bouche, je prends son gland entre le pouce et l’index et je compresse fortement. La montée du sperme est stoppée nette.

Je reprends ma fellation, lui donnant de petits coups de langue. Descendant et remontant le long de sa veine gonflée de sang, je m’attarde dans un massage délicat de ses bourses. Il écarte les cuisses pour me laisser le champ libre.
Il me saisit la tête des deux mains, la bloque et d’un coup de bassin s’enfonce dans les profondeurs de ma gorge. Il crie. Il éjacule dans le fond de ma bouche.
IL rétrécit rapidement. Je peux enfin respirer, levant les yeux j’accroche son regard, j’avale tout. Il s’allonge sur le flanc, son sexe est tout flasque.
Je crois que pour cette nuit c’est fini mais je suis ravie.

Samedi 11
Ce lendemain matin le réveil est difficile. Après la séance de cette nuit, je pensais avoir mal, mais rien.
Ses mains caressent mes fesses, ses doigts s’insinuent lentement entre elles, je décide de me laisser faire, d’être passive. Mes grandes lèvres s’ouvrent, un index conquérant me pénètre le vagin dont il explore les parois faiblement lubrifiées.
Mais ce matin je ne souhaite pas faire l’amour, je veux seulement de la tendresse, je suis un peu triste, dans 24 heures tout sera fini, nous retournerons vers notre vie.
L’heure tourne nous prenons notre petit déjeuner, puis nous faisons quelques courses pour le midi, j’ai promis à Cédric que nous déjeunerions tous les trois.
Le repas se passe calmement une discussion entre trois amis proches. L’après midi nous allons prendre notre denier bain de soleil. Mon mari reste il se sens encore un peu faible et en profitera pour préparer les affaires demain nous devons quitter la maison avant midi.
Il nous demande si le soir nous dînons là. La réponse de Michel est sans réplique : c’est Non.
Alors en me regardant : essaie de ne pas rentrer trop tard.
Je lui promets.

Arrivés a la plage nous prenons notre emplacement nous nous mettons nus.
Je demande à Michel de me mettre un peu de crème solaire dans le dos. Il m’applique la crème avec beaucoup d’attention. Il prend plaisir à étendre la crème partout sur mon corps. Il a un malin plaisir à passer et repasser sur mes fesses. Puis il en passe sur mes omoplates, ses mains ont tendance à descendre sur le côté de mes seins dont je sens la pointe se durcir. Il a vu que nous étions seuls, il passe une main entre mes jambes. Je me redresse, me crispe et tourne la tête de chaque côté, nos plus proches voisins sont beaucoup trop loin pour voir quoi que ce soit. Il a un petit rire et me dit de me détendre. J’écarte mes jambes, Michel s’empresse de reprendre ses caresses. Je sens ses doigts venir en contact avec mon sexe. Ses caresses se font plus précises elles ne relâchent presque plus mon sexe. Il enfoui un doigt, il s’aventure un peu plus loin puis un deuxième en moi. Je suis sur le dos, les yeux fermés. Moi qui il y a 10 jours ne voulait pas me mettre nue, je suis là allongée nue sur cette plage entrain de me faire caresser par un homme qui n’est même pas le mien, c’est trop bon, je m’abandonne entre ses doigts, le soleil me caresse, mon amant s’occupe bien de mon sexe. Je suis bien. J’ouvre les yeux, il me regarde, il semble heureux. Je suis heureuse de m’abandonner ainsi. Je n’aurais jamais pensé me faire caresser ainsi sur une plage et surtout, d’aimer ça. Je referme les yeux et profite pleinement de ses caresses. Je vais jouir, Michel s’en rend compte et il accélère le rythme. Que c’est bon…
Je jouis, j’emprisonne ses doigts entre mes jambes, je me détends il les retire doucement. Je prends sa main, et l’a ramène sur mon sexe, je referme les yeux. J’en veux encore.

Il ne se fait pas prier bien longtemps et recommence à jouer avec mes lèvres, il prend son temps. Je suis très excitée, je prends ses doigts pour les enfouir dans mon sexe. Michel commence des va-et-vient avec ses doigts il les rentre de plus en plus profond en moi. Il insère ensuite son pouce entre mes lèvres et commence à frotter mon clitoris pendant qu’il me pénètre de ses autres doigts. Mon ventre ondule sous son rythme et il en profite pour passer son petit doigt dans ma raie. Il passe son doigt sur ma rosette. Il sait maintenant que tout lui est permis. À chaque fois que ses doigts entrent en moi, il en profite pour accen la pression sur mon anus. Je commence à aimer cette caresse, il fait pénétrer le bout de son doigt. Après quelques mouvements, j’ai son doigt presque en entier dans mon anus. Je retiens mon souffle pour ne pas crier tellement, le plaisir est intense. Après cette seconde jouissance, je passe ma main sur le sexe de Michel Sans attendre sa réponse, je me mets à genou. Prends son sexe dans mes mains et ensuite le prends dans ma bouche, je pompe et branle Michel avec force et je sens que ça ne sera pas long avant qu’il éjacule. Il me fait signe d’arrêter qu’il va jouir, mais je ne l’écoute pas et le pompe davantage, son pénis se gonfle, des jets de spermes arrivent au fond de la gorge. J’avale tout Michel affiche un air heureux.

Nous allons nous baigner. Nous nous couchons sur nos serviettes, nos mains se serrent nous apprécions ce moment qui sera l’un des derniers de nos vacances et restons étendus nus tant que le soleil nous chauffe. Il nous faut partir, nous regagnons son Hôtel et nous préparons pour notre dîner. Nous sommes tout deux un peu triste je lui demande de m’emmener danser, Cédric n’aime pas et ça fait une éternité que je ne suis pas allée en discothèque. Nous en trouvons une. Il y a beaucoup de monde.

Michel m’entraîne sur la piste de danse. Je me déchaîne au rythme de la musique. J’ondule de tout mon corps et mes cheveux virevoltent dans tous les sens. Soudain la lumière se tamise et une série de slow remplace la musique assourdissante. Michel se colle a moi, je passe mes bras autour de son cou et l’accompagne dans son slow. Je colle ma tête au creux de son épaule, il passe sa jambe entre mes cuisses je ferme les yeux. Mon bassin, commence à onduler sur sa cuisse. Son sexe durcit.
La série se termine il veut rentrer a l’hôtel. Le temps passe trop vite. A regret je quitte la piste. Nous rentrons, une fois dans sa chambre, j’ôte mes vêtements, je m’assoie près de lui sur le lit, nous buvons un verre d’eau sans rien dire, sans nous regarder. Il pose son verre, toujours sans rien dire, et met sa main sur ma cuisse. Je passe mon bras autour de ses épaules. Et je l’embrasse, avec force. Il répond à mon baiser avec fureur, me bascule sur le lit, je lui happe le cou, ma main le caresse.

D’un doigt câlin et fouineur, il va grattouiller le haut de ma vulve pour y dénicher mon clitoris. D’un bout du doigt léger et appliqué il en fait consciencieusement un tour complet, l’agaçant souvent, au passage, avec l’ongle. Cette caresse insidieuse, a pour conséquence de déclencher des ondes de plaisir qui me traversent le ventre et se terminent en soupirs.

Il remplace sa main et ses doigts par sa langue. Elle est dure, longue et aussi fouineuse et habile que ses doigts. J’aime intensément ces instants où l’on s’occupe de son sexe. Je m’abandonne à toutes ses caresses avec volupté. Je m’ouvre totalement pour lui faciliter l’accès à mon intimité. Il sait si bien me lécher, me sucer, m’aspirer, me mordiller mes chairs intimes, déclencher de longs spasmes de plaisirs et d’interminables ondes de jouissances. Je crie mon plaisir. Je n’en peux plus et réclame qu’il me pénètre, partout. Il lui obéit. Il se couche sur moi, me chevauche, m’écarte les cuisses, il me pénètre avec lenteur. Il a un art consommé de la montée du plaisir. IL passe ses jambes de chaque côté des miennes et les serre avec force, mon sexe est plus étroit, j’ai l’impression de recevoir un homme pour la première fois. Il me pilonne rapidement, intensivement. A chaque nouveau palier vers la jouissance, j’ai l’impression que cette fois c’est celle de l’extase, mais non, il ralentit pour mieux recommencer. J’ai crue devenir folle. Folle de plaisir. Folle de désir. Folle de jouissance. Sans bouger de position, il me sodomise sans coup férir, je suis dans l’incapacité de réagir. Pire, j’écarte mes fesses pour qu’il me prenne encore mieux tant j’ai envie de lui. Et quand, enfin, il explose en moi, j’ai crue défaillir de plaisir, de bonheur, de jouissance. Je reste près de lui ruisselante de sueur. Il me faut le quitter, j’ai promis à mon mari de ne pas rentrer trop tard et il est déjà 2 heures du matin.

Nos adieux sont longs nous n’arrivons pas à nous séparer. Ce genre d’aventure n’arrive pas tous les jours. Ces moments font partie d’inoubliables expériences que l’on peu vivre de temps à autres, quand les circonstances s’y prêtent. Je repars. Cédric dort je me couche sans bruit près de lui et me colle contre son corps chaud, j’ai des difficultés à trouver le sommeil.

Au matin, quand je me suis réveillée. Je me sens épuisée mais bien malgré tout, sereine. C’est comme si rien ne s’était passé mis à part mon sexe ou par endroits mes poils pubiens sont collés entre eux par le fruit du plaisir.

Pendant le retour Cédric me demande Alors
Ma réponse est plus tard.
Nous roulons avec la radio en fond, je n’ai pas envie de parler. Heureusement que je conduis. Arrivé chez nous, nous vidons la voiture, dînons, il se couche, me laisse seule avec mes souvenirs, je prends mon temps attend qu’il s’endorme et monte me coucher.

Epilogue
Dans les jours qui suivirent il me repose la question ma réponse est toujours la même.
Notre vie reprend son cours habituel. Je n’ai pas de nouvelles de Michel et je n’ose lui téléphoner. Tout doucement je referme la parenthèse. Et puis fin Novembre un appel
- Allo, c’est moi Michel, je serai au Salon nautique à Paris du 2 au 12 Décembre, je t’envoie ce soir une carte, prévient moi du jour ou tu viendras.
Je reste sans voix, tous les souvenirs refont surface. Je regarde comment m’organiser, dans les jours qui suivent en discutant avec une amie elle m’apprend qu’elle va à Paris Jeudi prochain. Je le rappelle. Il m’indique le nom de son hôtel il se trouve juste à côté de la Porte de Versailles et précise.
- téléphone moi la veille afin que je prenne mes dispositions pour que nous passions du temps toi et moi.
Le Jeudi arrive j’ai un billet pour le train du matin. 9 heures je suis arrivée, le temps du trajet en métro et 9 heures 45 j’arrive radieuse près de l’hôtel et a ce moment là
tout s’écroule. Je le voie au bras d’une très belle jeune femme, ils sont bras dessus bras dessous. Leur complicité ne fait pas de doutes. Je m’avance vers eux, mes jambes flageolent, je me tiens a un arbre, me reprend. Michel me voie, il lâche le bras de la fille.
- que fais tu là ? tu devais me prévenir
- je voulais te faire une surprise, c’est fait.
- On se retrouve pendant ma pose de midi ?
- Non ce n’est pas la peine tu as mieux a faire.
Je tourne les talons et part, il me rappelle, je lui fais alors un petit signe en guise d’adieu de la main.

La parenthèse vient de se refermer définitivement.
J’ai un coup de blues, heureusement Cédric est là, et l’approche des fêtes de fin d’année nous occupent.

Il me fait lire les histoires et me parle d’écrire notre histoire, vous comprenez pourquoi j’ai voulu écrire la seconde partie. Cédric ne l’a lue qu’une fois terminée, il a été de surprises en surprises. Depuis, nos relations intimes sont boostées et me sachant maintenant ouverte a tout, il sait en profiter pour notre plus grand plaisir.

P. S. :

Dans mon sommeil, j’ai l’image de Michel qui m’a terriblement excitée et surtout de son sexe qui m’a fait tant de bien.

Et je pense a la chance que j’ai eue de rencontrer un homme qui me convenait a ce point et qui a su m’amener a repousser un peu plus mes limites.

Il fut pour moi un amant, mais avant tout :
un coup de cœur irrésistible
de la tendresse, de la complicité, des fous rire, et surtout pas le quotidien
Une bouffée d’oxygène
Un lifting naturel
Du plaisir encore du plaisir

Agnès Janvier 2011

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