La Nature Nous Invite..

La nature, généreuse et sans complexe, ma doté d’un clitoris d’une taille un peu au-dessus de la moyenne. Sans toute fois être difforme, mon bourgeon dépasse quelque peu de la fente de ma vulve. Si bien que, gamine encore, je rechignais à porter une culotte, car le frottement du vêtement m’irritait. Mais maman, estimant qu’une petite fille convenable ne devait pas se passer de culotte, insistait à m’en mettre une. J’avais beau supplier, pleurnicher même, rien n’y faisait, maman ne transigeait pas et m’affublait chaque matin de ce vêtement qui m’horripilait.
Ce fut ma tante, un jour qu’elle se trouvait à la maison et me faisant ma toilette, qui s’aperçut de l’irritation de mon bouton tout rouge. Elle appela maman pour lui montrer la chose en disant qu’elle comprenait ma réticence à porter une culotte. Elle conseilla de m’emmener voir notre doctoresse pour lui parler de mon problème. Maman accepta de montrer la chose à la doctoresse et m’y emmena le lendemain.
Après une brève exposé du motif de notre visite, notre brave doctoresse, une dame d’une quarantaine d’année, invita maman à me dévêtir entièrement pour m’examiner. Tandis qu’elle m’examinait, maman lui demanda comment on pouvait arranger, la chose ? Si une intervention était peut-être nécessaire ? La doctoresse affirma qu’il n’y avait pas de solution miracle, que je n’étais pas la seule à connaître ce problème, d’ailleurs sans importance, dit-elle et qui ne m’empêcherait pas d’avoir une vie normale et d’avoir des s. Elle convint qu’effectivement, le port d’une culotte pouvait m’irriter et sans ambages, elle suggéra à maman de cesser à tout prix de vouloir m’en faire porter une, quitte à me vêtir un peu plus longuement.
Ainsi fut fait, maman se rangeant, un peu à contre cœur, à l’avis de la doctoresse.
Et puis j’ai grandi, bien sur. Lorsque je devins pubère, les poils qui garnissaient mon sexe chatouillaient mon bouton. Au début, j’ai trouvé ces chatouilles plutôt agréables, ressentant des sensations étranges et une sorte d’excitation permanente, surtout lorsque je marchais dehors et que le vent, coquin, venait jouer avec mes poils sous ma jupe.

Mais, après quels temps, je me suis lassée de cette excitation continuelle, qui me titillait sans cesse et ne m’apportait pas d’apaisement. Aussi ai-je pris mes poils en grippe et un beau jour, j’ai décidé de les supprimer en les coupant.
Un matin, alors que j’étais dans la salle de bains, m’escrimant avec les ciseaux, maman est entrée et s’est inquiétée en me voyant faire, du risque qu’il avait à me couper. Quand je lui ai dis que ça me gênait d’avoir des poils qui me chatouillaient tout le temps la nénette, elle me proposa de m’emmener chez l’esthéticienne, au coin de la rue, pour me faire épiler. La jeune femme accepta de m’examiner dans le salon à côté, tandis que maman attendait dans le magasin. Une fois dévêtue et allongée sur la table. L’esthéticienne m’a examinée et j’ai ressenti un certain plaisir lorsque ses mains m’ont touché. Elle m’a proposé de m’épiler, en m’avertissant que l’arrachage des poils, à l’aide de la cire chaude ne serait pas bien agréable, mais m’a rassuré tout de suite en affirmant que cela était supportable.
En effet, l’opération, en elle-même, fut quelque peu inconfortable, mais compensée ensuite, lorsqu’elle me massa après avec de la biafine pour m’ôter le feu de la cire. Ses mains, qui allaient sur mon ventre, le haut de mes cuisses, mon sexe, étalant la biafine, me caressaient agréablement, me procurant un immense bien être. J’aurai voulu que cela ne finisse pas.
J’attendais avec impatience mes séances chez l’esthéticienne, qui m’apportaient de plus en plus de plaisir, surtout lorsque la jeune femme, devinant mes sensations, laissait ses mains me toucher en me massant plus longtemps qu’il n’était nécessaire, touchant sans façon mon bourgeon gonflé du désir.de ces caresses. Je n’osais pas jouir pour de bon, mais je goûtais la sensualité de son toucher, et acceptais avec une joie non dissimulée lorsqu’elle me demandait si je voulais qu’elle me mette un peu plus de biafine.
Il en était de même lorsque j’allais consulter notre doctoresse et que celle-ci m’examinait, touchant mon intimité en me demandant si tout allait mieux maintenant de ce côté.
Même si ses attouchements ne valaient pas le massage de mon esthéticienne, j’appréciais la sensation de ses doigts lorsqu’ils palpaient mon clitoris et sentais mon bouton se gonfler d’un plaisir que je ne pouvais toutefois pas satisfaire sans avoir l’air vicieux.
Pendant plusieurs années, ce furent ainsi, ces visites privilégiées chez l’esthéticienne et chez la doctoresse, mes seuls moments de plaisir.
L’année dernière, j’ai eu une mutation pour mon travail. Ce qui m’a obligé à déménager. Je ne pouvais pas refuser, bien évidemment, mais j’en conçue quelque amertume du fait que l’allais devoir quitter les deux personnes qui me procuraient un plaisir, masqué sans doute, mais pourtant bien réel.
Contrairement à mon appréhension, j’ai vite trouvé une jeune et charmante esthéticienne qui ne rechigna pas à utiliser la biafine comme prétexte à me masser longuement après l’épilation, pour me soulager, disait-elle ; laissant ses doigts caresser mon bouton gonflé, et même parfois éclater mon plaisir.
Ne connaissant pas le quartier, je ne trouvais pas de doctoresse. Ce fut ma gardienne qui m’indiqua, un peu plus, un docteur, un vieux monsieur, très gentil mais près de la retraite et qui, par conséquent, ne prenait plus de nouveaux patients. Elle m’offrit cependant de me recommander et j’ai eu bientôt un rendez-vous.
Chez ce docteur, j’ai expliqué que je n’avais sans doute rien de bien particulier mais que j’avais l’habitude, jusqu’ici, de consulter trois fois par ans, pour des visites préventives. Il m’a répondu que c’était là une très bonne habitude, que tout le monde devrait adopter, qu’il n’était pas raisonnable d’être complètement malade pour consulter un médecin une seule fois dans sa vie et qu’il lui était préférable de bien connaître ses patients, afin de mieux les soigner lorsque cela s’avérait nécessaire.
Puis, il m’a demandé de me déshabiller pour m’examiner. Je me suis exécuter, en m’excusant de l’absence de culotte et en expliquant mon problème de clitoris un peu proéminent et la gène de l’irritation du vêtement proscrit.
Aimable, le docteur me dit que ce n’était pas gênant et qu’il allait voir tout ça !
Lorsque je fus allongée sur la table, il prit ma tension, puis pratiqua une longue écoute stéthoscopique. Après quoi, il a commencé à me palper le cou, puis les seins. Il est descendu sur le ventre, m’appuyant doucement partout et enfin, en me disant qu’il allait regardé mon petit problème, il a posé ses mains sur mon sexe, titillé mon clitoris, le décapuchonnant à deux ou trois reprises. J’ai senti mon bourgeon se gonfler sous ses doigts et me suis sentie un peu gênée de ce qu’il pouvait bien penser. Mais le docteur continua son examen, ouvrant ma vulve me touchant un peu partout, tout en continuant de titiller délicatement mon bouton. Lorsqu’il eut terminé son examen, il me dit tout simplement que tout allait bien de ce côté et que j’avais une réaction tout à fait naturelle et parfaitement saine. C’est lui-même qui me proposa un rendez-vous pour deux mois plus tard. J’ai accepté avec empressement de depuis, à chacune de mes visites, j’ai droit à un examen très complet, qui a même tendance à se prolonger.
Je me demande si je ne vais pas finir par faire comme chez l’esthéticienne, laisser venir un plaisir qui se fait de plus en plus pressent. D’autant qu’à ma dernière visite, alors que j’étais allongée et que le docteur, en m’examinant, s’appuyait contre ma main posée sur le bord de la table. Il m’a bien semblé sentir que le toucher qu’il effectuait ne devait pas le laisser indifférent.
Peut être était-ce un signal…

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