Dans La Nature

Virginie et moi après avoir vécu quelques histoires chaotiques étions venu à nous dire qu’il fallait prendre les choses comme elles sont. Ma belle me trompait allègrement. Non pas que cela était son ambition. Non, elle reconnaissait que j’étais l’homme idéal mais se faire draguer, se faire séduire et je dirais se faire démonter était plus fort qu’elle. La belle ne résistait pas à toute queue qui pointait vers elle, prête à surgir et voulant bien d’elle. Car, il faut se souvenir, n’était de loin au lycée la plus belle fille de toute la classe et la plus courtisée. Elle ne faisait pas partie du groupe de filles qui avait du sex-appeal et du succès phénoménal auprès des garçons. Aussi, je pus la garder secrètement pour moi durant ces premières années passées ensemble jusqu’à ce que les choses fassent qu’elle rencontra davantage d’hommes, plus entreprenants les uns que les autres et plus séducteurs. C’est ainsi que ma belle rencontra Brunon puis Domi puis les autres, dont Alex et entre-temps, Olivier, qui fut pour elle comme un autre grand amour.

Ma belle, c’était une fille sage et réservée, toujours mignonne et franchement charmante. Charmante dans son sourire, charmante dans ses gestes, dans son parfum et dans son paraitre. Certains ne s’y trompèrent pas et c’est ainsi que ma chérie connurent ses premières histoires extra-conjugales : avec Nono dans la voiture, plusieurs fois. Domi, venant chez elle un dimanche matin ; Alex et l’autre gars dont je ne connais pas le nom et surtout Olivier qui lui avait fait découvrir les joies du gang-bang à trois hommes rien que pour elle.

De ces histoires notre couple a failli plusieurs fois éclater :
- « Mais comment as-tu pu me faire ça ? Comment ? » lui crais-je.

Ma belle regretta et se mit à pleurer ne demandant pardon. Il n’en fallait pas moins pour m’attendrir et lui pardonner. Néanmoins, je procédais avec elle comme un vrai salaud en lui disant après cela :

- « OK, je vais te pardonner mais d’abord tu vas me sucer.

».
Ma belle était en larmes et je m’apprêtais à sortir mon sexe de mon futal et lui présentait devant sa bouche :
- Tiens, c’est ça que tu veux ? » lui dis-je.

J’étais aussi énervé dans ces moments-là, qu’elle m’avait trompé. Devant son mal-être (elle était sincère), je renonçais à me faire sucer par elle, du moins dans l’immédiat. De plus, que je ne bandais pas vraiment ; la situation étant difficile à admettre pour le coup.

Puis, il y eut un jour, puis deux puis trois qui passèrent et la rage fit place à la compassion. Je cherchais à comprendre ma chérie et à comprendre ce qu’il s’était passé. Pourquoi ce gang-bang ? pourquoi cette fellation et cette sodomie dans la voiture ? etc.

Etrangement, au final, je comprenais ma chérie et ses explications ; et petit à petit, je les admettais. Pire, je me surpris un jour d’admettre que cela m’excitait et en fit finalement part à ma chérie. C’est ainsi que nous avons fait notre premier trio, rue du Midi à Vincennes avec Olivier. Un formidable souvenir. Olivier avait sauté Virginie quelques mois avant en gang-bang. Je laisse les lecteurs qui veulent en savoir plus, lire le récit que j’ai fait sur le sujet. J’aurais pu détester ce mec, lui foutre mon poing sur la gueule, Mais non. Déjà que, un, je ne suis un violent mais deux, finalement Olivier et moi sympathisons, au grand bénéfice de Virginie. Ma belle continuait un peu à le voir (en fait pratiquement tous les jours, ils travaillaient ensemble dans la même boite). Nous vivions alors une drôle de situation tous les trois, jusqu’à ce que ma belle veuille bien faire un trio avec moi et lui. Je crois me souvenir que ce fut moi le premier à lui proposer :

- « T’aimerais pas te faire sauter comme ça en double ? » lui demandais-je alors que nous étions chez elle à mater un film de cul.
Ma chérie répondit par un « tu te rends compte de ce que tu me demandes ? » comme si c’était la première fois et choquant ce que je lui demandais là.
Ma belle, dans l’immédiat, ne me donna pas de réponse, mais ne me donna pas non plus de non catégorique. Elle ajouta peut après « je vais y réfléchir », essayant peut-être pas ce moyen, de botter en touche.

A suivre…

Quelques jours après notre conversation, ma belle s’attacha à me donner une réponse et essaya sans le dire de me faire parler du sujet :

- « Cela serait bien un petit trio, tous les trois ? » m’eut dit-elle, subitement dans une conversation me parlant d’Olivier.

Je buvais un verre et j’ai failli m’ du moins avaler de travers :
- « Tu es sérieuse ? » lui demandais-je.
- « Oui, parfaitement sérieuse, c’est ce que tu voulais, non ? »

Virginie me surprit toujours par sa spontanéité et sa réactivité. Je peinais parfois à comprendre ce genre de femme pas du tout salope mais coquine à outrance en dépit d’une timidité fortement affichée. A croire que ce sont les femmes qui en montrent le moins qui en font le plus. Je me demande si cela ne serait pas finalement très vrai. Toujours, est-il, nous fîmes notre trio de la rue du Midi. C’était vers l’hiver car les nuits arrivaient vite et le jour le matin mettait du temps à se lever. Nous avons passé tous les trois une nuit d’enfer, même si je me souviens en pleine nuit m’être réveillé, croire ma chérie à côté de moi dans le lit, voir qu’elle n’était pas là et constater qu’elle suçait et se faisait démonter par Olivier sur le clic-clac de notre salon. J’ai fait comme si de rien n’était et j’ai maté en toute discrétion sans les déranger et sans me faire remarquer. Je retournais me coucher avant que ma chérie vienne me rejoindre. Quand elle vint se recoucher, je fis celui qui fit semblant de dormir.

L’histoire avec Olivier est terminée, mais nous fîmes tout de même un autre trio, dans les bois celui-là où plutôt en campagne, dans un champ de maïs ! Evidemment non, pas dans un champ de maïs, mais à proximité d’un champ de maïs. C’était un jour où il faisait très beau, sans doute en aout parce que je champ était bien poussé avec des épis presque prêts à être récoltés.
Olivier, Virginie et moi, décidâmes de bien profiter de cette belle journée ensoleillée avec la ferme intention de baiser tous les trois en pleine nature.

Nous ne commençâmes pas trouver une prairie près d’un chemin où nous randonnions. Virginie s’allongea dans l’herbe. Olivier vint la rejoindre. Moi, inquiet qu’on puisse nous voir, je regardais debout à gauche et à droite voir si quelqu’un venait. Il n’y avait personne qu’aussitôt j’allais rejoindre ma chérie et son amant. Quand je m’approchais d’eux le compère n’avait pas perdu son temps : il embrassa déjà ma chérie à pleine bouche et farfouillait d’une main à l’intérieur de sa culotte. Ma belle avait mit une robe légère d’été comme il s’en vend plein en ce moment pendant l’été.

Olivier se fit. J’approchais mon sexe de même de la bouche de ma chérie qui nous regardait tout les deux dans les yeux. Jamais je n’ai vu de femmes aussi heureuse et aussi amoureuse. Nous étions Olivier et moi à genoux l’un en face de l’autre et ma belle était allongée sur le dos dans l’herbe à jouer avec nos deux sexes, l’un dans chaque main. Olivier me dit :

- « Elle suce trop bien ta copine ».
- « Je sais » lui répondis je laconiquement.

Virginie alternait nos deux sexes dans sa bouche en suçant tantôt l’un tantôt l’autre. Nous ne cherchions pas à battre des records de positions et de caresses mais Olivier la baisa le premier comme un fou. Pourquoi faut-il que je cède toujours ma place ? Il la pilonna de grand coup de reins tandis que ma belle s’efforça de garder mon sexe en bouche. Olivier me tapa sur l’épaule :
- « Hey, viens. A ton tour » me dit-il.

Virginie se redressa et vint se placer en levrette devant notre hôte. La belle goba le sexe de l’homme et je me surpris à la prendre en levrette plusieurs minutes durant comme cela. Soudain, j’avais trop envie de jouir que j’ai dû me retenir pour ne pas venir trop tôt. J’attrapais ma belle par les hanches. Elle avait un gros cul magnifique qui aurait fait tourner la tête à plus d’un.
Je m’abstins alors à continuer à la baiser dans cette position. Ma belle suçait toujours Oli jambes bien écartées le salaud. Ma chérie avait la croupe bien remontée :
- « Dommage qu’il n’y ait pas un de plus ? » lui dis-je ne regardant son petit trou et sa fente, « On t’aurait prise par tous les trous en même temps ».
Virginie lâcha la bite d’Oli qu’elle avait encore dans sa bouche :
- « La prochaine fois peut-être » me répondit elle

Ma chérie était une vraie salope. Elle n’aurait pas vu d’inconvénient à faire cela avec trois hommes dont moi. En réalité, peu lui importait que je sois de la partie ou pas, dès lors qu’elle avait ce qu’elle voulait pour la satisfaire. C’est dans cet esprit qu’elle avait fait quelques mois à un an plus tôt, son premier gang-bang, chez elle avec Oli et deux autres lascars.


Voilà, c’est le récit de notre deuxième vrai trio avec Oli, un an environ après le premier mini gang-bang de ma chérie. J’espère que cette histoire vous aura plus. A suivre.

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