Le Squat

Cela faisait maintenant deux mois que j’avais vécu cette folle soirée dans la cave de mon immeuble.
Cette soirée m’avait laissé un souvenir indescriptible.
Non seulement la situation avait excité tous mes sens, mais le plaisir avait été absolument fou.

M’offrir et être la petite salope de cette bande de jeunes affamés de sexe avait été un délice inimaginable et sans commune mesure.

J’avais pris un plaisir fou à me laisser baiser comme une vraie petite pute par ces lascars avide d’un trou de salope, et le fait d’avoir été prise, presque violée par ces jeunes ne me quittait plus. J’avais adoré cette expérience et le fait d’être une petite salope soumise était vraiment dans mes désirs les plus profonds.


Je me caressais chaque soir en pensant encore et encore à cette situation, à mon arrivée dans ma cave, à ma tenue qui les avait rendus fou d’excitation.
Je pensais à ces queues qui se relayaient dans mon trou dans le seul but de prendre leur pied en me limant le plus fort possible.
Je pensais à mon retour chez moi après ce moment là, ma rondelle écartelée et littéralement inondée de leur jus.

Malheureusement pour moi, je n’avais plus eu de nouvelles d’eux, depuis cette mémorable soirée.

Je m’étais pris à me promener le soir dans le quartier maghrébin qui était non loin de chez moi avec le fol espoir de retrouver un de mes lascars et de me livrer à tous ses fantasmes sans aucune retenue.
Dans un petit sac, je mettais des dessous hyper sexys, des mules, et je rêvais d’être abordée pour être utilisée comme un vrai trou à bites par des affamés de sexe.

Hélas, je dû me contenter de deux ou trois aventures avec des hommes âgés sans que cela puisse refreiner mes envies de soumise.

Un soir, alors que je quittais le quartier maghrébin pour rentrer chez moi, je me retrouvai enfin face à face avec l’un de mes dominants de cette fameuse soirée.


C’était le jeune noir dont la queue m’avait littéralement emmenée au septième ciel.

Ce dernier me prit fermement par le bras et m’entraîna dans le couloir d’un immeuble non loin.
Tout juste arrivé, il prit ma bouche avec ferveur pour me donner un baiser qui dura pour moi une éternité.
Je m’offris à son baiser et à ses mains baladeuses avec un plaisir et un élan sans aucune équivoque sur mon désir et mes envies.
Nous restâmes un moment collés l’un à l’autre, alors qu’il se frottait à moi sans aucune gène.
Son désir était fort et il ne tarda pas à sortir sa queue gonflée de désir pour la mettre dans ma bouche sans ménagement.

- Vas y ma chienne, suce à fond, vide moiiii…..ouiiiii… comme çaaaa…..

Je le suçais à fond dans ma bouche avec une avidité que je m’étais rarement connue, et il ne tarda pas à se déverser dans ma bouche à grands flots.

Je me relevais alors, et dans une attitude provocatrice, j’ouvris ma bouche pour lui faire voir son jus que j’avais gardé et je l’avalais devant lui en me léchant les lèvres de façon à ne pas en perdre une goutte.
- Tu aimes ça, la pute, pas vrai ?
- Oui j’aime le jus de ta bite et celui de tes copains, fais ce que tu veux, vas y ! Je veux être votre pute…
- Alors demain soir au squat, viens et tu en auras, sale pute !

Je rentrais chez moi dans un état second, ivre de plaisir et d’envie.
Le gout du sperme de mon lascar que je gardais dans ma bouche m’avait rendue totalement folle.

Je savais que j’allais vivre une soirée où je serais à leur disposition et j’en crevais d’envie, sans honte aucune. Je devenais une vraie pute, une salope avide de bites et de jus, et la honte du début de mes aventures disparaissait peu à peu devant le desir de me donner entierement, le désir d’être la salope
La plus sexy et chaude qui soit.

J’eus beaucoup de mal à m’endormir, tiraillée par le désir mais je ne voulais pas me caresser pour garder ainsi toute mon excitation pour le lendemain soir.


Le lendemain arriva bien lentement à mon gout.

Je fis en sorte que mon corps soit tout lisse et délicieusement parfumé, puis je choisis ma tenue, la plus sexy possible : un body échancré moulait mon corps et ne cachait rien de la rondeur de mes fesses, et mes jambes étaient gainées de bas très fins.
J’avais aussi mis une paire de mules très sensuelles à hauts talons qui donnait un galbe hyper sexy à mes jambes et pour finir un petit haut transparent arrivant à mi cuisses….

J’avais ainsi la parfaite apparence d’une jolie petite putain qui allait s’offrir à tous les vices.

J’arrivais devant le squat en début de soirée. Deux de mes lascars m’attendaient, dont celui qui m’avait donné rendez vous.

Ils me firent monter trois étages. L’endroit était sombre, mais on pouvait entendre des gens parler, rire, et même des gémissements venaient d’une des pièces attenantes à celle où nous étions entrés, et où j’avais furtivement aperçu une fille qui paraissait très jeune, en train d’être prise par un groupe de mecs.
Ce squat était en fait un bordel où le maître mot était la baise !

La pièce où nous étions était faiblement éclairée. On y voyait cependant quelques chaises, une armoire et un matelas était à même le sol.
Un des deux lascars partit et je me retrouvais seule avec le jeune noir qui m’avait donné rendez vous.

Mon excitation commençait à monter en flèche et elle augmenta lorsque mon lascar m’ordonna d’un ton sec de m’assoir sur une chaise.
Il sortit alors sa queue et me l’enfourna dans la bouche sans aucune douceur. Je me mis alors à le sucer goulument pendant qu’il me traitait de petite pute.
Mais je ne voulais pas en rester là.
Je lâchai sa queue et me mis debout face à lui dans une attitude provocante.

- Maintenant tu vas ouvrir ma chatte et la lubrifier avec ton jus et je serai la chienne la plus salope que tu aies jamais eu !
Je pris mon poppers et inhalais alors une bonne dose de produit, ce qui eut pour effet de me rendre folle d’excitation.


Ma tenue l’excitait au plus haut point. Il se mit à caresser mes jambes, mes fesses et descendit jusqu’aux mules que je portais. Je sentais sa respiration accélérée, et sa queue était droite et gonflée de désir.
Je m’écartais alors de lui et tout en lui tournant le dos, me mis à marcher en ondulant les fesses et en cambrant mes jambes de façon à l’exciter au maximum, puis je revenais vers lui et mis une jambe sur la chaise de façon à ce qu’il puisse bien voir la cambrure que me donnait mes mules.
Il me saisit alors et me tourna brusquement pour me plaquer au mur.
J’écartais alors les jambes et je me cambrais bien afin de le recevoir.
Il cracha alors sur sa queue et m’enfila d’un coup.
La douleur fut forte mais le plaisir le fut encore plus. Il commença à me limer à fond en poussant des grognements.

- Vas y.. tu la veux ma chatte, alors défonce moi… ouiiiiii…ahhhh… FOOORRRTTTT… OUIIII

Excité par mes mots, il me défonçait de plus en plus fort. Je sentais sa queue envahir mes entrailles. Soudain je sentis ma rondelle se détendre complètement.
Toute volonté s’annihilait en moi et le plaisir se mit à monter et à m’envahir completement.
Mon cœur battait à tout rompre et mon lascar se mit à pousser un cri de plaisir alors que son jus se déversait en moi.

Je sentais ma rondelle complètement ouverte, et de celle-ci, s’écoulait une quantité incroyable du jus de mon lascar.

- Tu en veux de la queue, eh bien tu vas en avoir petite salope !!! tu sais ce qui t’attends, pas vrai ? Tu vas faire la pute du squat, sale chienne, et régale les, sinon…

Encore ivre de plaisir, je m’allongeais alors sur le lit, dans une position qui ne laissait aucune équivoque, tout en regardant mon lascar droit dans les yeux.
J’avais envie, terriblement envie, et tout mon corps trahissait cette envie.
Ma rondelle était complètement ouverte, et de celle-ci s’échappait un filet du sperme de mon baiseur.
Mon cœur battait la chamade.

Je repris du poppers et me retournais alors, les coudes sur le matelas, les fesses redressées, en position de levrette, désirant me livrer complètement sous le regard de mon lascar.

- Je suis prête à tout, chéri, vas y ! tu ne vas pas être déçu !

J’entendis alors la porte s’ouvrir, et des hommes parler en arabes à mon baiseur, qui leur répondait en riant.

Je sentis soudain un souffle au dessus de moi et une première queue me pénétra sans ménagement.
Ma rondelle était offerte et le premier homme se déversa complètement en moi dans un cri de bête alors qu’un nouvel orgasme me traversait.

Alors que j’étais en plein plaisir, une autre queue me pénétra et me lima à fond alors que je perdais peu à peu toute maitrise de moi et de mon corps.

- Allez yyyyyy…..baisezzzz….enculezzz moi, je vous en supplieeee..ouiiiiii…ouiiiiiii, c’est bonnnnn ohhhhhhh ahhhhhhhhh

Il se passa environ une heure, où je fus pénétrée, baisée, insultée. De ma bouche dégoulinait du sperme que je n’avais pas pu avaler. Ma tenue était en partie déchirée et mes bas étaient recouverts de sperme.

Ma rondelle s’était transformée en trou à bites. Je n’arrêtais plus de jouir, de crier, de demander encore et encore.

Mon corps était en sueur, et j’étais trempée par le jus de mes assaillants, mais mon trou ne cessait de s’ouvrir en signe d’accueil pour ces affamés qui, voyant mon désir, ne se privaient pas de me donner leur jus, de m’enculer le plus profondément possible, de claquer parfois mes fesses.

Je perdis peu à peu presque connaissance, tellement le plaisir était intense et c’est une belle claque sur mes fesses qui me refit faire surface.

C’était mon lascar qui était revenu et qui me possédait avec violence tout en me traitant de chienne, de trainée…

- Tu as pris ton pieds, chienne, t’es une pute, je vais finir de te remplir ta chatte de salope…

Mes jambes gainées de bas pendaient du lit et mon lascar me baisait comme un fou, me tirant de nouveau des cris de plaisir et de jouissance.
Il se mit à jouir en poussant un cri de plaisir énorme, et je sentis une immense quantité de foutre se rependre en moi. Je serrai ma rondelle afin de garder son jus, mais peine perdue car je me mis à jouir comme une folle, ce qui eut pour effet de détendre complètement mon corps entier. De mon sexe s’échappa du jus (ce devait être mon cinquième orgasme) et de mon trou se déversa une quantité monstrueuse de sperme sur le matelas.

Je mis un moment à récupérer et me retrouvais seule dans la pièce. Carrément inondée, tremblante du plaisir reçu et donné, je pris alors dans mon sac un jogging, quittais mes vêtements de salope, et rentrais chez moi, à moitié ivre.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!