Dressage D'Une Chienne - Partie I

Tout avait commencé par un simple échange de photos. Anaïs et moi nous étions rencontrés par internet, et le hasard faisant bien les choses de temps à autre, nous avons immédiatement accroché. Elle me confia qu’elle cherchait depuis longtemps un homme qui lui permette d’assouvir ses fantasmes, mais que jusqu’à présent, ils se montraient faible et peu entreprenant. Je lui demandai alors ce qu’elle attendait réellement d’un homme.

-Qu’il me traite comme sa femelle, que je sois réduite à l’état de chose, juste pour son bon plaisir.

-Autrement dit, tu aimes être soumise et te sentir traitée comme telle

-Oui, j’ai énormément d’envie sexuelles, mais ce qui m’excite encore plus c’est qu’on me les impose. J’aimerai pouvoir me sentir comme une chienne, une chienne docile.

-J’ai toujours adoré les animaux : )

-Alors pourquoi ne pas m’adopter ? Je suis sans maitre depuis trop longtemps…

-Hum…pourquoi pas…Mais tu es consciente que tout animal a besoin d’une période de dressage ?

-Je ferai tout ce que vous m’imposerez…Maître…

Mon corps fut immédiatement parcouru d’un frisson en lisant ce mot. Depuis trop longtemps je n’avais pas eu de soumise à mes pieds, et cela me manquait atrocement. La simple lecture de ce mot m’électrisa.



-Entendu, alors je te donne une heure pour m’envoyer des photos de toi. Laisse libre court à ton imagination, sois provocante et impudique.

-Oui, maître.



21h15 – Plus qu’à prendre mon mal en patience pendant une heure. Et voir si elle osera aller suffisamment loin pour que ça m’intéresse.



-Je suis là maître.

-Bien, tu es ponctuelle, c’est déjà un début. Envoie-moi tes photos.



Je reçois le dossier et l’ouvre. Je souris en regardant la première photo. A genou par terre, jambe écartée et mains derrière le dos, ma chienne me tourne le dos en cambrant bien ses fesses.

A première vue jambes fines et jolies fesses rebondies. Elle a la peau claire et des cheveux auburn qui lui retombent en crolles le long du dos. La deuxième est plus explicite, gros plan sur son entrejambe qu’elle feint de cacher d’une main. Elle montre juste assez pour montrer qu’elle est lisse et jeune. La suivante est une photo de son décolleté, pris de dessus. A vue de nez du 90D et des seins ronds. Je n’ai toujours pas vu son visage mais je le devine fin avec une expression feinte de candeur. Elle avait fait exprès de garder le meilleur pour la fin…A quatre pattes, gros plan sur ses fesses qu’elle écarte de ses mains. Au feutre noir on peut lire le mot Slut écrit en bas de ses reins, et du foutre lui coule dans le bas du dos et le long de sa raie.



-Cela vous plait maître ?

-Oui, ce n’est pas mal, mais dis-moi qui t’a giclé sur le dos ?

-Mon voisin de palier maître, j’ai pensé que cela vous plairait.

-Bonne initiative. Veux-tu commencer ton dressage au plus tôt ?

-Dès que vous le souhaitez, je suis à votre disposition.

-Très bien, alors demain 20h30, je t’envoie l’adresse. Interdiction de porter un soutien-gorge, string, jupe courte et bottes hautes.

-Oui maître.

-Tu vas aller te coucher maintenant et penser à tout ce que tu vas pouvoir subir pendant ton dressage, mais interdiction de te toucher, c’est bien clair ?

-Oui maître, j’obéis.

-Alors bonne nuit, petite chienne.

-Merci Maître…



Je la guette en bas des escaliers, caché dans un recoin. Elle apparait enfin. Je n’ai aucun mal à la reconnaitre, ses longues jambes fines la trahissent. Elle passe devant moi sans me voir et sonne à ma porte. Je m’avance discrètement derrière elle et la colle brutalement contre moi. Elle pousse un petit cri de surprise, mais ne cherche pas à se débattre.

-Ne bouge pas, lui soufflais-je.

Je sors un foulard noir de ma poche et je le noue autour de sa tête afin de lui bander les yeux.
Je pousse la porte et la fait entrer en la guidant par les hanches. Elle reste droite, immobile, attendant les ordres. Je la fais languir, je la détaille du regard. Elle porte de longues bottes en cuir noir et une jupe très courte à volants. Son chemisier fin et moulant laisse deviner ses seins nus en dessous. Son visage est tel que je l’imaginais, fin, des lèvres fines et des tâches de rousseur sur le nez. Ne me reste que ses yeux à découvrir. Je pose mes mains sur ses épaules et la force à se mettre à genoux, adossée à la porte. Je déboutonne mon jean et sors ma queue que je lui passe contre la joue. Aussitôt, sa bouche me cherche.

-Tututut, une bonne chienne doit réclamer avant d’avoir sa friandise.

-Est-ce que je peux vous sucer, maître ?

-Une bonne chienne ne parle pas, elle suce les boules de son maître avant d’avoir le droit à sa queue.



Aussitôt, elle penche la tête et commence à sucer mes couilles. Je les rase toujours, et elle semble apprécier de les prendre dans sa bouche.

-Elles sont lisses maitre, c’est agréable.

-Ta gueule je t’ai dit.

Elle trésaille sous la rebuffade mais continue son travail. Elle suce, les tète avec application. J’ai envie de prendre sa gorge. Je lui fais redresser la tête.

-Ouvre ta bouche en grand.

Elle obéit.

Je fais glisser ma queue entre ses lèvres bien ouvertes. Elle se referme sur moi. Lentement, elle commence de petit va-et-vient avec sa bouche. Je sens sa langue qui s’enroule autour de mon gland. Elle a de l’expérience, mais ça ne me suffit pas. Je l’att derrière la tête en agrippant ses cheveux, et mon autre main vient lui saisir la gorge. Je m’enfonce brusquement au fond de sa gorge. Elle essaye de se retirer, mais elle est bloquée par mes mains, et de toute façon, par la porte. Je la maintiens quelques secondes dans cette position et elle s’habitue peu à peu. Puis je commence mes allers-retours au fond de sa gorge.
Je sens sa salive qui lui coule sur le menton et sur ses vêtements. Je retire ma queue de sa bouche, un flot de salive coule de sa bouche et vient s’écraser par terre. Elle halète. Je ne lui laisse pas de répit et je reprends sa gorge aussitôt.

-Tu vas avoir ta friandise petite chienne. Garde tout en bouche.

J’enfonce ma bite au plus profond de sa gorge et je jouis violemment. Surexcité par cette rencontre, les jets de foutre ne semblent jamais vouloir s’arrêter. Enfin vidé, je me retire doucement.

-Montre-moi.

Elle ouvre la bouche et me montre sa langue couverte de sperme.

-C’est bien, maintenant avale et remercie moi.

Elle déglutit et comble de la salope, se lécha les lèvres.

-Merci maitre de m’avoir juté dans la bouche. J’aime votre goût.

-C'est bien tu es obéissante, on va peut-être pouvoir faire quelque chose de toi. Viens par ici.



Je l'aide à se relever et l'emmène au milieu du salon.

-A genoux, mains derrière le dos.

Elle obtempère aussitôt. Je passe derrière elle, et lui retire son foulard.

-Tu n'as pas honte de te livrer ainsi comme une petite pute devant un parfait inconnu? De t'exhiber comme une chienne en châleur?

-Si maître...

-Mais ça te plaît on dirait...

-Beaucoup maître...Je suis trempée...Mais vous m'avez interdit de me toucher...

-Baisse les yeux.

Je m'avance devant elle. La seule chose qu'elle connait de moi sont mes pieds et le bas de mon jean. Je la sens vraiment chienne, soumise à tous mes désirs.

-Regarde-moi.

Elle lève timidement les yeux vers moi. Des yeux verts et doux, un regard docile. Je m'assois dans un fauteuil.

-Lève-toi et déshabille-toi.

Elle se redresse et commence à se dévêtir. Lentement et sensuellement. Elle me tourne le dos en déboutonnant son chemisier, et me lance un regard coquin par-dessus son épaule.
Le vêtement glisse le long de ses épaules et tombe par terre. Elle se retourne vers moi, cachant ses seins avec ses bras, prenant un air innoncent qui méritera une correction. Elle se retourne de nouveau et se penche en avant en faisant glisser sa jupe. Gros plan sur son petit string ficelle noir. Son cul est décidémnt magnifique. Face à moi, elle garde une main sur son intimité.

-Viens-là.

Elle s'approche timidement de moi. Je l'att par le bras et je la fais tomber à plat ventre sur mes genoux.

-Tu apprendras que je n'aime pas la provocation délibérée.

Je commence à lui asséner des claques sur les fesses. Elle encaisses sans broncher. Je claque encore et encore, jusqu'à ce que son cul devienne rouge. Ma main glisse vers son intimité. Je sens le string complètement détrempé.

-On dirait que tu aimes te faire corriger?

-Oui maître, j'obéis, faites ce que vous voulez...

-Tu vois la porte là-bas, c'est celle de ma chambre. Il y a quelque chose sur le lit pour toi, va le chercher et rapporte-le moi.

Elle se redresse et se dirige vers ma chambre.

-Non, tu es une chienne, n'oublie pas ou je devrais te punir de nouveau.

Elle s'arrête net. Puis comprenant, elle se met à quatre pattes et marche lentement vers la porte, en ondulant du cul. Décidément, je suis tombé sur une vrai salope. Elle revient un instant après et me ramène le collier et le martinet que j'avais posé sur le lit. Prise au jeu, elle me les ramène entre ses dents.

-Et bien, ma petite chienne veut faire une promenade?

Pour toute réponse, elle lâche les ustensiles sur mes genoux, et pose sa tête sur mes cuisses, attendant les ordres.
-Remonte tes cheveux.
Docile, elle remonta ses cheveux sur sa nuque; Je lui passai le collier autour du cou, et y attacha la laisse. Je pris le martinet et me levai.
-Suis-moi.
Elle me suivit, marchant à quatre pattes à côté de moi. Je l'emmenai dans la chambre.
-A quatre pattes sur le lit, cambrée.
Elle obéit et applatit son buste sur le lit pour bien tendre ses fesses. Je levai le martinet et lui assénai quelques coups rapides sur le cul. J'attrapai un tube de lubrifiant et enduit légèrement mes doigts.
-Ecarte tes fesses avec tes mains.
Elle s'empressa d'écarter ses lobes, et je tirai de côté la ficelle de son string. J'enfonçai brusquement un doigt dans son cul. Elle trésaillit légèrement mais ne se retira pas. Je le tournai lentement, le sortit, puis le rerentrait. J'en ajoutai un deuxième. Son cul commençait à s'ouvrir. Je retirai mes doigts et lui fourrai dans la bouche. Elle lécha avec application. Je sortis un plug du tiroir, et lui enfonçais jusqu'à la garde. Elle encaissa sans broncher.
-Assieds-toi et écarte les cuisses.
Je sorti un vibromasseur et lui insérai dans la chatte à pleine puissance avant de remettre le string en place. Puis j'attachai la laisse au bois de lit, et lui entravait les poignets de menottes, derrière le dos.
-J'ai un diner important ce soir, enfin, plus important qu'un objet ou qu'une sale chienne. Je reviens dans deux heures, ne t'inquiète pas, ton jouet a une autonomie de plusieurs heures.
Elle me regarda et me lança un sourire provocant. D'un regard froid je lui collai aussitôt un baillon boule dans la bouche. Avant de partir, je jetai un dernier coup d'oeil à ma victime. Elel qui voulait être chienne, elle avait déjà perdu beaucoup de sa superbe.

Vision d'Anaïs...

Mon maître était parti depuis longtemps. J'étais un peu engourdie, et les vibrations qui s'insinuaient en moi étaient un supplice. J'avais envie de me toucher, qu'on me baise violemment, mais j'étais entravée et incapable de bouger. J'avais bavé comme une folle à cause du baillon, ma salive coulait sur mes seins qui brillaient désormais. Je me sentais sale, humiliée. Mais j'étais tellement excitée...Je rêvais du moment ou mon maître me prendrais, me possèderai enfin.
J'entendis le bruit d'une clé dans la serrure, et la porte s'ouvrir. Bientôt, mon maitre apaprut dans l'encadrement de la porte, et il rit en me voyant.
-Brave petite chienne, me dit-il. Tu n'as pas bougé d'un pouce.
Comme si je pouvais...Il libéra mes mains, mais me laissa la laisse et le baillon, et me remit le foulard. De nouveau dans le noir, je suivis ces gestes. Il me retourna et me mis à quatre pattes.
-Tu as envie que je te fourre petite chienne?
J'acquiesçai vivement. Je ne rêvais que de ça! J'entendis des vêtements tomber à terre, et ses doigts écarter mon string. Il tira d'un coup sec sur le vibro, m'arrachant un cri étouffé apr le baillon.
-Tu es détrempée pauvre petite chienne en chaleur, tu as bien besoin d'un coup de bite pour te calmer...
Je sentis son poids sur le lit, et son gland se frotter sur mon intimité. Il me pénétra d'un coup, violemment. Je tremblai de désir et de fièvre. Il commença à me limer sans ménagement, m'arranchant des gémissements à peine audibles. Ses mains s'abattaient sur mes fesses dans de grandes claques qui me faisait jouir comme une folle tandis qu'il me trait de pute, de salope en rut, et j'en passe...La vulgarité à mon égard pendant le sexe m'a toujours fait beaucoup d'effet.
-Tu aimerais sucer ton maitre petite chienne?
Je fis un signe de tête affirmatif, pour montrer mon obéissance. Je sentis ses mains qui me libéraient de mon baillon, mais les coups de butoirs dans ma chatte ne s'arrêtèrent pas pour autant. Je mis une fraction de seconde à comprendre. Ce n'est pas mon maître qui me baisait depuis tout à l'heure! Je n'eu aps le temps de prononcer un mot que la queue de mon maitre s'engouffra dans ma bouche. Je me sentis partir. Je ne me sentais plus femme, mais objet, chienne qu'on bourrait pour le seul plaisir des hommes. La queue sortit de ma chatte en même temps que celle de mon maitre quitta ma bouche. Une grande giclée de foutre s'écrasa sur mes fesses, mon dos, ma nuque. Mon maitre ne tarda pas non plus et jouis longuement sur mes joues et mes cheveux. Il retira mon foulard, et je jetai un coup d'oeil en arrière. Mais l'homme s'était déjà éclipsé.
-Alors, quelle impression ça fait de se faire baiser par un inconnu à son insu? ricanna t-il. C'était bon petite pute? Tu as aimé?
-Oui maître...soufflai-je.
-Allez on va te netoyer maintenant, tu es vraiment une sale petite chienne.
Il dénoua ma laisse et m'entraina derrière lui dans la salle de bain. Il retira mon string et mes bottes, et me fit mettre debout dans la baignoire.
-Je te laisse te laver seule. Interdiction de te toucher toujours, et interdiction de retirer ton plug, me dit-il.
Et il claqua la porte derrière lui. Je tremblai. Non pas de peur mais de désir. Je ne sentais plus mes jambes, et allumer l'eau me prit quelques minutes. Quand je me jugeai plus présentable, j'appelai mon maître et lui demandai si j'avais la permission de sortir chercher mon sac. Il me fit sortir nue. Je filai en vitesse récupérer mon sac dans l'entrée et regagnai la salle de bain. Je voulai me faire provocante pour lui ce soir. Je remis mes bottes, ainsi qu'une petite robe noire achetée pour l'occasion. Très courte, on voyait tout mon cul lorsque je me penchai en avant. Elle était dénudée dans le dos, et ajournée sur le ventre. Le tissu qui cachait mes seins était juste suffisant pour cacher mes tétons, laissant apparent tout le galbe de ma poitrine. Je me regardai dans le miroir et je me souris. Je me trouvai jolie et désirable. Je sortis de la salle de bain et allait rejoindre mon maître.

Je parle...

Anaïs me rejoignit dans le salon. Je me retournai pour la contempler, elle savait se mettre en valeur la chienne! Elle sourit devant mon regard. Provocante avec ça...
-Puisque tu t'es habillée convenablement, tu vas avoir l'honneur de diner à table ce soir, lui dis-je.
-Merci maître, vous m'honorez.
-Ne fais pas trop la fière, je saurai te rappeler ton rang bien assez tôt! Allons viens t'asseoir.
Je tirai sa chaise et lui désigna sa place. Je lui remis aussitôt mon collier de chienne autour du cou. Je n'avais de cesse de la dévorer des yeux tout le long du diner, elle était extrêmement désirable. Je me levai.
-Va faire la vaisselle et rejoins moi après.
A peine revenue, je la forçai à me rejoindre à quatre pattes. Avec la robe qu'elle portait, on voyait tout son cul, c'était délicieux. On devinait le plug qui pointait à travers le string. Je m'essayai confortablement dans le canapé et mis un film. Elle se plaça à mes pieds, attendant les ordres. Je savais qu'elle brûlait de désir pour moi, désir réciproque, mais je savais qu'en la faisant languir, ce n'en serait que plus bon. Pour mettre un peu de piment à son supplice, je me mis totalement nu. Elle ne cessait de me jeter des regards implorants auxquels je ne prêtai même pas attention.
Au bout d'un moment je ne pu résister davantage. J'empoignai ses cheveux et plaquai sa tête entre mes cuisses, la forçant à me lécher les couilles et le cul, tandis que je me caressais. Elle se mit à la tâche avec vigueur, comme si elle n'attendait que ça. Quand je me sentis venir, je tirai ses cheveux en arrière et lui fourrai ma queue en pleine bouche, qu'elle avala d'un seul coup. Sa langue caressait mes couilles tandis que sa gorge massait mon gland. C'était délicieux, et elle y prenait plaisir, à en juger par ses gémissement de petite chienne. Je me retirai de sa bouche et la fis s'allonger sur le canapé. J'arrachai son string, et lui écartai les jambes brusquement. Enduisant mes doigts de sa mouille, je fis pénétrer un doigt, puis deux, puis trois dans sa chatte. Elle se cambrait sous les ondes de plaisir. Je la sentis s'ouvrir comme une fleur sous mes doigts, et lui massant le clitoris de ma main libre, j'introduisis le reste de mes doigts. J'accentuai mes va-et-vient poussant chaque fois un peu plus loin. Puis violemment, je forçais l'entrée de sa chatte et mon poing entier disparut dans sa fente ouverte. Elle poussa un cri mais ne s'écarta pas. Je me mis à masser son intérieur et elle hurla son plaisir. Un jet de mouille puissant s'échappa et s'écrasa sur mon bras et ses cuisses. Je retirai mes doigts et la fit mettre à genoux. Je lui tendis ma main et elle la lécha consciencieusement jusqu'à la rendre bien propre.
-Allez viens ma chienne, on va faire un tour, dis-je en ricanant.
Tirant sur la laisse, je l'emmenai vers la chambre. Je la fis s'arrêter sur le palier, passait derrière elle et retirait le plug doucement. Son cul s'ouvrit sous son passage.
-Resserres tes jambes et cambres-toi!
Elle obéit. Elle offrait un spectacle réjouissant...Je me mis au-dessus d'elle, pointai mon gland sur son cul, et la pénétrai d'un seul coup, jusqu'à la garde. Elle cria sous le coup, mais je commençait mes allers-retours sans y faire attention. Je la limai, lui défonçant le cul à chaque coup, je la vis se caresser la chatte en même temps et ne l'en empêchai pas.
-Tu as vraiment un bon cul, il a été créé spécialement pour être puni!
-Oui maître, allez-y, je suis à vous!
-Tu aimes ça? Que je t'encule?
-Oui maître...
-Dis-le moi!
-J'aime quand vous m'enculez maître, j'aime que vous me défonciez le cul !
Je me sentis venir, et la tira par le bras pour la mettre à genoux.
-Ouvre ta gueule!
Elle ouvrit la bouche et tira la langue. Je jouis sur son visage, aspergeant ses joues, son nez et ses lèvres de mon foutre. Puis je lui fis nettoyer ma bite jusqu'à ce qu'elle ressorte bien propre de sa bouche de chienne. Je la congédiai et l'envoyai à la douche. Elle revint quelques minutes plus tard dans la chambre. Je la fis s'allonger à côté de moi, attachait sa laisse au lit et lui remis son plug, avant de la laisser s'endormir...

Sutie à venir! Si vous avez aimé cette histoire, vous pouvez me contacter sur ma boite : maitre_domination@live.fr

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