Dressage D'Une Chienne - Partie 2

Je n'avais plus de nouvelles de mon maître depuis la semaine dernière. Il m'avait congédié comme on balaie un parasite en
me disant qu'il avait des choses importantes à faire, et qu'il me contacterait quand il aurait besoin d'un trou. Je me sentais
seule et délaissée, dans tous les sens du terme...Il m'avait en plus de cela, interdit toute caresse personnelle, je brulais de
désir sexuel, mais je n'avais pour autant pas le droit de le faire. Je suis obéissante. Je remplis les ordres de mon maitre.
Une enveloppe glisse sous la porte. Je me lève d'un bond mais les pas s'éloignent déjà dans l'escalier. J'ouvre le courrier,
le cœur battant. Une clé tombe dans ma main. Je déplie la lettre qui l'accompagnait.
 
Bonjour petite chienne,
j'espère que ton initiation au dressage t'a plu. Non, en fait pour être honnête je m'en fous, ton plaisir ne compte pas. Tu as
la clé de chez moi, je te veux sur place ce soir à 21h. A genoux devant la porte, ton collier autour du cou, les mains derrière
le dos. Tu ne porteras rien mis à part tes accessoires habituels.
Au plaisir de te bourrer ce soir,
 
ton Maître.
 
PS : j'espère pour toi que tu as suivi mes instructions à la lettre cette semaine.
 
Je souris en tâtant le plug qui dépassait de mon cul. Comme mon maître me l'avait ordonné, il avait établi résidence tout au
long des journées et des nuits. 21h, il était 15h. Quel supplice de devoir attendre encore ! Je décidait de passer le temps
qu'il me restait à me faire belle et désirable pour mon maître. Je pris une douche, pris soin de raser tout mon sexe et me
massait le corps pour le rendre bien lisse. J'enfilai un tanga très échancré blanc, une robe par-dessus et partis faire un tour
en ville en attendant l'heure du rendez-vous.
 
Au cours de ma promenade, je passai devant un sex shop. Une idée subite me vint.

Peut-être mon maître apprécierait-il
que je prenne une initiative? Je rentrai dans le magasin et détaillait les vitrines sous l'œil moqueur des vendeurs. Je jetai
mon dévolu sur un martinet, dont la poignée était formée d'un sextoy en latex. Mon maître aimerait surement ça, pouvoir
me punir, et le ranger dans un lieu bien choisi lorsqu'il en aurait fini. Arrivée à la caisse, je fus intriguée par un pot sur
lequel était marqué Spécial fist.
-Alors on a des projets pour la soirée ma p'tite dame?
-Pardon?
-Je vous demande si vous êtes prête à vous faire éclater ce soir.
Rouge de honte, je déposais le pot de lubrifiant à côté du martinet.
-Elle a perdu sa langue la p'tite dame? Pas bien grave on ne voit pas la différence avec une bîte dans la bouche!
Il m'agrippa par les cheveux et me fit faire le tour du comptoir.
-Aïe! Vous me faites mal, arrêtez!
-Ta gueule.
Il me mis à genoux de force devant lui et déboutonna son jean.
-Suce salope!
-Non, je ne suis pas celle que vous croyez! Laissez-moi tranquille!
Il ricana et saisit ma tête par les cheveux.
-Ne mords pas sinon je testerai ton nouvel achat en direct
Il dirigea ma bouche vers son sexe et força l'entrée. Résignée je l'avalais, et je le mordis légèrement. Il m'asséna une
claque violente sur la joue, et s'enfonça profondément en moi. Je suffoquais, je voulais me retirer mais il me tenait la tête. Il
relâcha sa pression et commença à faire des allers-retours dans ma bouche. Il jouit au fond de ma gorge en poussant un
long râle, lâchant un sperme épais et abondant.
J'avalais sans même réfléchir, comme mon maître me l'avait inculqué.
-Hé bien, il va y avoir un heureux ce soir, ricana le vendeur.
Je me redressais, mortifiée de ce que je venais de faire, et sortis de quoi le payer.
-Non ça ira ma belle, on va dire que tu as payé tes achats. N'hésite pas à revenir si tu veux autre chose!
Je bredouillai un remerciement et sorti précipitamment.
Je venais de remercier un homme de m'avoir prise pour une
chienne et de m'avoir joui dans la bouche. J'arrivai à me surprendre encore. J'avais hâte de montrer à mon maître ce que
j'avais pris pour lui, et surtout lui dire comment je l'avais obtenu.
 
La clé tournait, mon maître ne s'était pas moqué de moi. Je fermai la porte derrière moi, et déposais mes achats dans un
coin. 20h30, j'étais en avance...Je me déshabillai, ne gardant que mon tanga, mon plug et mes bottes. Je pris mon collier
que mon maître avait laissé dans la corbeille près de l'entrée. Je le fixai soigneusement autour de mon cou, le sentir me
serrer la gorge me mis aussitôt dans un état d'excitation total. Je me mis à genoux et attendis que mon maître rentre. Il me
verrait ainsi dès qu'il poussera la porte. Ce n'est qu'à ce moment là que j'avisais une gamelle d'eau près de la porte,
marquée du nom Slut. Je tournai la tête, et je vis la caméra qui me regardait. Je souris. Mon maître m'observait à distance,
pour voir si je lui obéissait. Je jouais le jeu. Je me mies à quatre pattes, et allais laper l'eau dans ma gamelle. Je me
sentais chienne, humiliée, mais tellement excitée...
 
J'entendis une clé. Je repris aussitôt ma position, en mettant mes mains derrière le dos. Mon maître apparut dans
l'encadrement de la porte. Il ne m'adressa pas un regard, passant devant moi comme si j'étais un meuble. Il vaqua
quelques minutes à ses occupations, puis s'approcha de moi. Toujours sans un mot, il déboutonna son pantalon et me
tendit sa queue. Je penchai la tête et allai laper ses couilles.
-C'est bien tu as retenu la leçon, me dit-il en me flattant la tête comme à un animal.
Pour toute réponse, j'engloutis son sexe au plus profond de ma bouche et me mis à le masser avec ma gorge. Quand je le
sentis venir, je voulus le sentir jouir sur mon visage. Il m'arrêta d'un geste. Obéissante, je reculai et attendis.

 
-Je vois que tu as fais des achats?
-Oui maître, j'ai pensé que cela vous ferai plaisir...
-Regardons ça...Hum, bonne initiative, tu apprends vite...Tu as payé en liquide?
-Non maître, c'est plutôt moi qu'on a payé en liquide.
-Je vois, tu ne recules devant rien petite chienne!
-Non maître, je veux que vous soyez fiers de moi...
-Alors commence par me dire ce que tu mérites pour avoir sucé un homme sans ma permission?
-Le fouet, maître...
-Combien de coups?
-10 me semble suffisant maître.
-Partons pour 20 alors. Redresse toi, face au mur en appui sur tes mains. Cambre ton cul.
J'obéis, bombant mes fesses en arrière.
-Tu vas compter avec moi.
Le martinet s'abattit sur mes fesses, je gémis.
-Un...
Le deuxième coup me mordit la deuxième fesse.
-Deux...
Le troisième fouetta mon entrejambe, je criai.
-Trois!
...
Lorsque mon maître eut fini, j'avais les fesses rouges et marquées des lanières. Je sanglotai mais il ne semblait pas s'en
émouvoir. Il me remis à genoux et me passa la laisse. Me guidant à quatre pattes, il m'emmena dans le salon, ou il me fit
mettre en levrette. Il écarta mon tanga et me flatta la croupe en constatant le plug bien enfoncé dans mon cul.
-Nous allons tester ton deuxième achat petite salope. Ecarte tes fesses avec tes mains.
J'obéis. Mon maître était parti dans la chambre. J'attendais, docile.
Il revint avec le pot que j'avais acheté, si l'on peut dire, et un gant noir en latex qu'il enfila sur sa main. Il plongea ses doigts
dans le pot et commença à me doigter la chatte. Je sentais ses doigts qui heurtaient le plug à travers ma paroi. Je le sentis
mettre plus de doigts, et les tourner à l'intérieur. Soudain, il enfonça sa main toute entière en moi. Je hurlais. C'était à la
limite du supportable. J'essayais de me dégager, mais il m'asséna une grande claque sur les fesses pour m'en dissuader.
Il
commença à me démolir le sexe à coups de poings, le retirant puis l'enfonçant complètement, d'un seul coup. Une chaleur
nouvelle commença à envahir mon bas-ventre. Je n'allais pas tarder à jouir. Il le sentis car il s'arrêta aussitôt. Il retira mon
plug d'un coup sec et caressa mon trou ouvert avec ses doigts. Je compris ce qu'il voulait faire et je me débattis.
-Non!
-Qu'est ce que j'ai entendu?
-Pardon maître, pardon, mais j'ai peur d'avoir mal...
-Ta douleur m'importe peu, seul compte mon plaisir. Tu mérites une correction.
Il se redressa et quelques secondes après je sentis de nouveau le fouet mordre ma chair.
-Alors, que disais-tu?
-Rien maître, dilatez-moi, faites ce que vous voulez, je suis à vous, je susi votre chose...
-Je préfère ça.
Il se remit à genoux derrière moi et m'enfonça trois doigts dans l'anus. Il s'amusa à les tourner, à les retirer, puis à les
remettre. Quand il jugea que j'étais suffisamment dilatée, il commença à plonger sa main à l'intérieur de mon petit trou. Je
me mordais les lèvres pour ne pas crier. Je dirigeai une main vers mon sexe pour me masturber afin de rendre la douleur
moins présente. Il me laissa faire et continua de s'enfoncer en moi. Je sentis mon cul se resserrer autour de son poignet.
Mon dieu, il avait rentré sa main dans mon cul...Il me masturba pendant quelques minutes et retira ensuite ça main d'un
coup sec, laissant mon trou dilaté, impudique. Il me traita de trainée et pris une photo de mon cul ouvert, puis il enfonça le
manche du martinet à l'intérieur.
-Ma petite chienne a une petite envie?
-Oui maître, j'aimerai aller aux toilettes, s'il vous plait maître...
-Des toilettes pour chien? Soit sérieuse...Allez viens on pars promener!
Il tira sur ma laisse et morte de honte, je le vis ouvrir la porte qui donnait sur le parc. Il me fit sortir et me fit marcher à côté
de lui, avant de s'arrêter devant un arbre.
-Allez pisse salope.
Je m'accroupis et essayai de me vider la tête.
-Non, pisse comme une chienne, me dit-il en me lançant un regard mauvais.
Je compris. Je me mis à quatre pattes, et levai la jambe contre l'arbre...Comme une chienne. J'étais mortifiée. Mais je
prenais un plaisir nouveau à me faire complètement humilier de la sorte. Quand j'eu finis, il me donna une tape affectueuse
sur les fesses, et me fis rentre à la maison.
Il m'entraina dans sa chambre, ou il me fit entrer dans une cage montée sur roulettes. J'entrai en baissant la tête, résignée
et soumise à ma condition. Il referma la cage avec un petit rire, et la recouvrit d'un grand draps qui me plongea dans
l'obscurité totale.
-Je reviens te chercher ne t'inquiète pas, me souffla t-il en faisant mine de me rassurer.
 
Je sens que la cage remue. Une porte s'ouvre, mon maitre tire la cage dans une autre pièce. J'essaie de lui parler mais il
ne me répond pas. Puis le silence, total. J'attends patiemment, de toute façon, je suis prisonnière...
-Tu es à l'aise petite chienne?
-Oui maître, mais votre queue me manque, j'aimerai la voir, la toucher...
-En manque de queue petite salope?
-Oui maître...
Le drap tombe, et là...je suis dans une salle que je ne connaissais pas, et une vingtaine d'hommes nus me regardent avec
envie. Que va t-il faire de moi?! Mon maître me regarde avec un petit sourire en coin. Il ouvre la cage et accroche ma
laisse à mon collier. Je remarque qu'il a posé ma gamelle à coté de la cage. Il me traine derrière lui comme son animal et
m'arrête devant un des hommes, qui caresse un sexe épais et long.
-Suce
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus, je me mets à la tâche.
- Mieux que ça petite chienne, fais-moi honneur!
Je le gobe, le lèche, ma salive vient s'écraser sur mes seins et sur le sol. Il me fait changer d'homme. Je n'ai plus la notion
du temps, j'engloutis des bites à la chaine, les hommes me traitent comme le trou que je suis, en se servant de ma bouche
comme d'un objet. J'ai mal à la mâchoire mais je ne m'arrête pas, je veux que mon maître soit fier de moi. Je n'ai pas le
droit de faire jouir les hommes, je m'arrête avant qu'ils me giclent dans la gorge. Mon maître tire sur ma laisse et me
ramène au centre de la pièce, à genoux. Il me tend ma gamelle que je prend dans mes mains, je ne comprends pas. Il
monte mes mains au niveau de mon menton, et m'ordonne d'ouvrir la bouche. J'obéis. Les hommes font cercle autour de
moi. Le premier jet de foutre s'écrase sur ma joue et coule sur mes lèvres. Je décide de jouer la vraie salope. Je sors la
langue et j'att le sperme qui passe à portée avec un sourire gourmand. Les hommes jouissent rapidement, parfois à
plusieurs en même temps. Des vagues de foutre s'écrasent sur mon visage, dans mes cheveux, sur mes lèvres. Je
dégouline de sperme, et ce qui ne finit pas dans ma bouche coule sur mon menton pour finir dans la gamelle. Ma gamelle.
-Bravo ma chienne, tu as vidé 22 hommes.
Vingt-deux, mon dieu...Je suis folle...Mais j'aime ça, ça me rend dingue. Mon maître congédie le groupe et s'approche de
moi. Il tire une petite cuillère de sa poche, et entreprend de ramasser le foutre resté sur mes joues et sur mon front. Il me
tend la cuillère pour que j'avale son contenu. Puis il prend ma gamelle de mes mains, et la pose à terre. Il me donne un
léger coup de pied sur les fesses et je me mets aussitôt à quatre pattes.
-Mange.
J'obéis. J'avale tout ce cocktail de foutre qui me coule dans la gorge. Je sens mon maître qui passe derrière moi et qui
arrache le martiner de mon cul. Mon trou est aussitôt comblé par sa queue. Il me bourre comme une chienne tandis que
mes doigts ramassent les dernières gouttes de sperme. Mon maître pousse un râle, sors de mon cul et m'enfonce sa bîte
dans la gorge. Il reste un moment sans bouger, puis m'ordonne de tirer la langue. J'obéis. Il se masturbe devant moi, et
jouit sur ma langue.
-Garde tout en bouche.

Je n'avale pas, j'attends qu'il ait fini.
-Montre-moi.
Je lui montre ma bouche rempli de sa jouissance.
-C'est bien, brave chienne. Avale maintenant.
Je déglutis et je lui montre ma langue propre.
-Tu as été bien sage, tu as gagné le droit de te reposer, on sors ce soir...
Je tremble en entendant la façon dont il a prononcé les derniers mots...
 
Merci à tous les lecteurs qui ont commenté mon texte précédent voir m'ont envoyé des mails privés, j'espère que ce
deuxième épisode vous semblera aussi excitant que le premier:)

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