Par Amour De La Peinture

J’aime bien les œuvres d’art. Je suis connue pour ça en ville: je suis même souvent invitée pour des vernissages où je peux bavarder avec les artistes, surtout les peintres. Je suis plutôt attirée par le modernisme et pourtant un jour je stoppe devant un nu très réaliste: une femme nue, assise les jambes écartées qui montrait tout son sexe. A ma décharge c’était le premier sexe de femme que je voyais, il était très détaillé. L’auteur me voyant attirée venait pour me donner des explications: C’était une représentation fidèle de son épouse qui lui avait demandé de bien montrer les détails. Voyant mon émoi il osait me poser la question que le turlupinait:
- Etes vous une amatrice de femme ?
- Moi, non, je ne pense pas.
- Voulez vous rencontrer ma femme ?
- Pourquoi pas.
- Laisser moi vos coordonnées et si elle est d’accord je vous le fais savoir.
Plusieurs jours passent, je ne pense plus à cet incident quand je reçoit un coup de fil d’une inconnue: c’est la femme-modèle qui prend contact avec moi. Plutôt que de parler dans un téléphone impersonnel elle me propose de nous rencontrer.
Nous sommes ensemble dans un petit bistrot de son quartier à déguster un café;
- Vous savez, je ne pose pas souvent pour mon mari. Là, il m’a vu un jour dans une pose suggestive, celle du tableau et il a voulu immortaliser le moment: il a du passer une bonne quinzaine à me faire poser. J’étais satisfaite du résultat.
- En tout cas c’est réussi.
- Il m’avait promis de le garder et de ne pas l’exposer.
- Il a eu raison, vous êtes remarquablement attirante ainsi.
- Merci, ce n’était que pour nous exciter.
- Peut être, en tout cas moi qui suis hétérosexuelle, j’avoue avoir eu une certaine attirance pour votre corps.
- Vous ne l’avez plus cette attirance ?
- A dire vrai, en vous voyant maintenant je pense qu’elle revient, je vous trouve très attirante même.
- Vous êtes aussi attirante pour moi.

Venez chez moi pour en parler plus profondément.
Je me suis embarquée dans une drôle d’aventure avec cette femme. Je veux quand même savoir jusqu’où elle va me mener.
Chez elle, elle m’installe sur un divan confortable, s’assoit à mes cotés: juste en face, le tableau. Je le regarde avec plaisir, je compare la copie à l’original. Au moins pour le visage c’est comme une photo. Pour le reste je ne peux rien dire. Elle se lève et devant moi se déshabille tranquillement. Elle s’assoit sur un fauteuil, écarte ses cuisses sans honte:
- Vous avez le tableau et le modèle. Comparez.
- La comparaison est vite faite, il n’y a pas de différence.
- Vous êtes sure, regardez bien.
- Si je commence à la voir, vous êtres excitée puisque je vois que depuis tout à l’heure vous mouillez.
- C’est-ce que je voulais dire. J’ai envie de vous.
C’est bien ce que je pensez elle va me demander de la baiser.
- Déshabilles toi aussi, que je te vois nue;
- Non, tu m’excites.
- Si, je te caresserai.
Cette perspective ne m’effraie plus. Je n’ai même pas honte de me montrer en petite tenue puisqu’elle-même est nue. Quand elle s’approche de moi, elle me prend la taille pour m’approcher d’elle. Je sens un grand plaisir quand ses seins sont sur les miens. Je sens ses tétons durcir contre les miens.
Elle pose sa bouche sur la mienne pour que nos langues se caressent. Je mouille depuis que je suis nue, et là maintenant il me semble que je ruisselle. J’ai envie de ses caresses que j’espère efficace. Nous restons embrassées un bon moment. Même quand je suis avec un homme ça ne dure jamais autant. Je mets mon pubis contre le sien. Nos corps sont littéralement collés.
Enfin elle prend la seule décision qu’il faut: elle nous fait assoir sur le divan. Nos bouche s’embrasent encore pendant que nos mains cherche le corps de l’autre. Si je compare avec un corps masculin, il y a la même différence qu’entre le pelage d’un chien pour l’homme et celui d’un chat pour le femme.
Elle est très douce.
- J’aime ton corps. Le dis-je
- Moi aussi, tu est douce, j’ai envie de toi.
- Moi aussi, baisons;
Il est des mots qu’il faut éviter de dire trop vite: je ne sais pas baiser une femme et visiblement elle non plus. Tant pis. Nous nous caressons les seins: agréable n’est pas le bon mot, il faut trouver juste au dessus
Nous allons d’un commun accord sur le sexe de l’autre et cherchons les clitoris. Elle arrive sur le mien avant que je trouve le sien. Elle commence par me branler lentement et quand je suis enfin sur le sien, elle accélère. Nos mouvements sont coordonnés: nous regardons nos sexes avec la main de l’autre. C’est drôlement excitant de voir une main de femme sur son sexe. Elle fait comme pour elle: elle entre deux doigts dans ma chatte: mon meilleur moyen de jouir quand je me masturbe. Elles les fait aller et venir pas très longtemps. Je sens que je vais aller vers le paradis. Ca ne manque pas, elle me fait jouir. Que c’est bon, que c’est bon cette main de femme dans mon ventre.
Je l’ai oublié. Elle m’embrasse encore:
- Continues de me branler, je n’ai pas joui.
- tu veux où ?
- Comme je t’ai fait.
Donc sans avoir à me r pour savoir comme la faire jouir, je la doigte aussi. Ca ne manque pas je fais jouir pour la première fois une autre femme. J’attends qu’elle finisse son orgasme pour aller lui caresser l’anus. Je sens qu’elle l’ouvre, alors je n’hésite pas j’entre mes deux doigts dans son cul en les faisant aller et venir. Elle m’oublie à son tour: c’est moi seule qui agis je la sodomise à ma façon. Il faut crois que c’est bon puisque je la sens jouir encore.
J’ai envie de connaitre son véritable gout: elle reste assise les cuisses écartées. Je me mets à ses pieds pour la lécher depuis les genoux jusqu’à sa chatte.
Elle ferme les yeux pour me laisser faire. J’arrive à son sexe. D’abord je sens son odeur; une odeur attirante, enivrante. Son gout arrive après quand ma langue la touche sur ses lèvres.
Un gout épicé et musqué. Je lèche les lèvres lentement, en passant de l’une à l’autre. Je monte insensiblement jusqu’au petit bouton que j’aspire comme j’aime qu’on me fasse.
Elle gémit tout le temps de ce morceau de cunnilingus. Je ne sais trop comment j’ai fait: mon menton est sur sa chatte. Elle remue pour qu’il soit en contact intermittent avec sa chatte. Enfin je la fait éclater. Je sens son orgasme autour de mon menton: il est puissant.
J’ai pris gout à sa fente, je passe ma langue sur son entrée, la survole pour aller sur son anus: je tiens à la sodomiser avec la langue: dans mon esprit se doit être plus jouissif qu’avec les doigts. Je ne me trompe pas. Elle gémit longuement, son orgasme est encore plus fort, d’après ce qu’elle dit.
Elle me veux encore, j’ai envie moi aussi d’être sucée; Alors nous nous mettons en 69.
C’est encore une belle aventure d’être avec une femme de lui donner un plaisir qu’elle rend immédiatement. Nous n’arrivons pas à nous arrêter. Pourtant l’heure tourne, il faut que je rentre et elle attend son peintre de mari. Nous ne voulons surtout pas mêler les hommes à nos jouissances.
C’est ainsi qu’une fois par semaine nous passons de longs après midi, chez elle ou chez moi à nous aimer de plus en plus en inventant des positions inédites.

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