Travaux De Peinture

Il y a 28 ans, pour arrondir mes fins de mois d’employé, je faisais quelques travaux de bricolage chez les particuliers, dans le village proche de mon taf.
Après mon service, cette semaine-là, un couple de personnes agées m'avait embauché afin de repeindre les 25 volets de leur maison. Ce n'est pas le travail qui manquait et je leurs avais indiqué que j'en avais pour 2 ou 3 semaines, le temps de décaper et remettre tout cela en couleur. Après les conventions d'usage sur ma rémunération, papy me présentait mon domaine, en l'occurrence son atelier qui sentait bon le cambouis, la ferraille et la sueur.
Il s'agissait d'un appentis avec, pour laisser passer la lumière, une petite fenêtre qui donnait sur le jardin.
Celle-ci me donnait donc l’occasion de voir pépère sortir sa queue pour pisser contre le cerisier ou mémère s’accroupir sur la pelouse et baisser sa culotte pour larguer un jet jaune tout en se soulageant. En m’approchant un peu de la vitre, je pouvais donc distinguer les anatomies de mon couple de patron. Dans l’atelier, j'avais aussi remarqué une porte au fond de la remise qui après essai un peu plus tard, se trouvait fermée à clé, bizarrement, le trou de la serrure était trop gros pour être honnête...
A l'époque j'étais plutôt beau gosse, je venais de me marier et comblai ma femme aussi souvent qu'elle le voulait... Dans le feu de nos actions, elle était très gourmande et me prenait souvent la bite en bouche, au moins tous les matins avant de partir au boulot... Et je dois dire que la fréquence de nos échanges sexuels, n’avait de limite que lorsque nous nous séparions pour aller travailler.
Moi-même j'étais très sexe, et bien souvent, j'éprouvai le besoin de me branler, en plus, sur mon lieu de travail pour apaiser men tensions, mais ça, c'est une autre histoire...
Je peignai donc, et ce jour-là, les mains tachés, je mélangeai les couleurs, quand Chantal est entrée dans la remise, elle avait entre 60 et 70 ans mais était encore plutôt pimpante pour son âge, pas trop ridée et plutôt bien dotée coté nibards, avec des seins biens ronds, comme des gros pamplemousses, doux, odorants et assez laiteux.

. En plus, elle était vraiment sympa ; toujours le mot pour rire sans compter des regards coquins et bien appuyés sur la bosse de mon pantalon dès que papy avait le dos tourné.
Ce jour-là, son mari n'était pas là, et elle avait revêtu simplement une blouse à manches courtes et un short délavé un peu long, mais lui moulant les cuisses comme souvent en portent les gens de la campagne. J'avais remarqué qu'elle ne portait pas de 'haut' car la blouse en nylon laissait entrevoir le balancement de seins, gros globes, lourds et fermes.
En fait, c’était aussi normal d’être presqu’a poil, il faisait très chaud ce mois d’aout, d’ailleurs elle suait beaucoup, mais sans odeur et le coté mouillé m‘excitait plus que je ne le pensai.. . Moi, je ne portai que ma salopette taché et une plaire de Tongs ; Depuis longtemps je prenais du plaisir à ne pas enfiler de slip, d’une part parce que je suai du cul et d’autre part car le contact et le frottement de mon gland sur le coton de la salopette me collait toujours une ½ molle, ou plutôt une ½ dure entre les cuisses, toujours prête à s’emballer au moindre cul qui passe, à la moindre caresse administrée...
Déjà, 2 ou 3 fois, seul dans l’appentis, je m'étais accordé des petits plaisirs solitaires et, isolé près de la porte du fond de la pièce, je me branlai pour apaiser mes tensions et m’accorder une petite pause.. J'adorai activer ma longue tige nerveuse et gorgée de sang, raide, comme un bâton, la frotter, longuement, et puis enfin serrer fermement mon gros gland rouge de plaisir juste avant l'éjaculation qui libérait du coup, une semence épaisse par 5 ou 6 jets longs, discontinus et rapides, mais guidé par le rythme de la main.
Inconsciemment j'avais entendu du bruit derrière la porte verrouillée, et comme ce passage donnait sur la maison, je me doutais, en tous cas je m’imaginai qu’il y avait, en restant devant l’axe de la serrure, quelqu’un, un (une ?) Voyeur (euse ?) derrière la porte. M’exhiber ainsi, seul devant ce trou de serrure m’excitait plus, et quand j'explosai je larguai mon sperme dans un pot de peinture, au moins, ce n'étais pas perdu comme diluant et aucune trace dans l’atelier.
..
Mon petit manège en tout cas avait dû ravir Chantal, qui me matait depuis la porte, car alors que j’avais le dos tourné vers l’entrée, je ne l’avais pas entendu arriver derrière moi :
-Te gêne surtout pas mon p’tit, mais continus, c’est un ordre si tu veux garder ton boulot.. Pépère n’est pas là, alors tu vas bien t’occuper de la patronne. D’abord remballe ton gros pinceau sous ton pantalon et occupe-toi de moi…
Et tout en baissant son short, je découvrais une chatte très velue, odorante et dotée de grandes lèvres longues, larges et déjà bien mouillées ;Pour son âge, je dois dire que Chantal était quand même bien foutue , son cul d’ailleurs était un peu potelés, avec des fesses encore fermes. Après avoir détaché mes doigts à la térébenthine j’étais donc parti à la découverte de son cul. Je glissais le plat de ma main entre ses fesses, fermes et douces à la fois. Sur la tranche de mon index, je sentis sa rondelle fermée et tendre. De là, j’avançais vers sa chatte poilue, et tout en prenant quelques secondes pour démêler ses poils mouillés, j’enfonçais mon pouce dans son cul, puis mon doigt continua vers les lèvres ouvertes, je n’avais plus qu’à introduire mon majeur dans le trou chaud et mouillé. Quel plaisir, l’odeur de térébenthine, de nos corps mêlés à nos sueurs nous grisaient. Avec mes doigts fichés dans ses 2 trous.
Je bandais comme un fou, et tout en l’aidant à s’assoir sur l’atelier, ma main greffée en elle je dégrafais de mes doigts libres, ma salopette et sortais une belle bite longue, dressée et prête à enfourner mamy. C’était la première fois que je me tapais une personne plus âgée que moi, mais quelle importance ? le plaisir était là, tout prêt à m’enfourner. Le pantalon descendu sur les mollets, à la hussarde, je la pilonnais maintenant sur l’atelier, face à elle, matant mon gros gland rouge entrant et sortant de sa chatte noire et poilue. Des gouttes de plaisirs tombaient au hasard, sur les volets décapés, ou dans les pots de peinture rejoignant des taches de spermes déjà rependues sur le plan de travail.

Je n’y tenais plus, il fallait que j’explose, mais comme c’était ma ‘patronne’ et par une sorte de pudeur aussi, je préférais sortir ma gaule de sa chatte au dernier moment et, tout en la basculant un peu en arrière, larguer la purée à l’entrée de son cul. Comme c’était bon, c’était même encore meilleurs qu’une sodomie, je ne l’avis pas défoncé, mais j’avais juste appuyé le frein de mon gland sur sa rondelle fermée et largué rapidement 4 ou 5 jets longs, étouffés mais chauds, tendre et bien ajusté devant son trou sombre.
Chantal ‘remballait’ déjà la marchandise et après s’être essuyé le cul, m’avais roulé une pelle, puis,
-t’es un bon p’tit gars, mais maintenant fini l’amusement, peints les volets car papy va rentrer.
A l’époque, je n’avais pas encore les moyens de partir en vacances, mais c’était un bon début de mois d’août qui commençait bien, d’ailleurs, la suite de mes travaux allait encore me réserver avec Madame, puis ensuite avec Monsieur, bien des surprises coquines et salasses …
On n’est employé à tout faire, ou on ne l’est pas !

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