Bande De Cinglées

Nous devenons folles, à notre âge, nous sommes une bande de cinglées. Nous sommes toutes soit veuves, soit séparées. Après 45 ans, on dit qu’il faut cesser toutes activités sexuelles: c’est mauvais pour la santé, etc.….. Nous nous sommes rencontrées dans divers endroits, au court de notre vie, c’est pourquoi nous sommes une bonne trentaine à nous retrouver souvent, pas toutes ensemble heureusement. Le but de notre club, nous envoyer en l’air le plus possible. Aujourd’hui c’est mon anniversaire: j’ai 48 ans. Quand je me regarde, nue, dans une glace, je vois bien que mes sens tombent un peu, je dis bien un peu, j’ai la peau du ventre normale, j’ai des cheveux à peine grisonnant, comme ma fourrure intime ce qui, à mon avis; me donne un attrait supplémentaire. Plusieurs copines doivent venir chez moi. Les hommes nous ont oubliées, tant pis pour eux: nous savons-nous en passer. J’espère que les amies se souviendront de mon vœu. J’espère avoir un jouet sexuel comme plusieurs d’entre nous. Je pourrai égayer mes masturbations journalières.
Je me pose la grave question de ma toilette, j’opte finalement pour un pantalon style matelot et pour faire bonne mesure, un t-shirt à rayures. J’ai oublié de mettre une culotte et un soutien gorge. C’est plus commode pour ce qui risque de se passer, enfin j’espère. Il est 15 heures; normalement elles ne devraient plus tarder. La première arrivée est ma copine de toujours, bien que nous ne nous dévoyons quelques fois ensemble que depuis peu. J’aime bien Aline, avec ses longs cheveux. En plus nous sommes presque voisines et il nous arrivent souvent de nous amuser ensemble. C’est bien elle: nous nous embrassons sur la bouche, nos langues jouent ensemble. Nous sommes bien excitées par ce baiser quand viennent Nicole et Monique, les inséparables. En principe nous sommes au complet.
Tout ce beau monde passe dans le salon aménagé pour la suite à venir. Monique me donne le cadeau. J’ouvre avec joie le paquet.

Comme espéré, il contient d’autre paquets et j ’y trouve ce que je voulais, plus une surprise. La surprise consiste en une paire de boules de geisha. Je vais pouvoir marcher et jouir à la fois. Le reste est bien ce que je désirais: un gode vibrant avec des ailes pour le clitoris et l’anus; il me tarde même d’être seule pour l’essayer, à moins, ce qui ne m’étonnerai pas qu’elles insistent pour que je me masturbe devant elle;
Nous prenons chacune au fauteuil pour d’abord bavarder, raconter nos souvenirs de baises d’avant. Aucune de nous n’avait jamais fait l’amour avec une autre femme. Bavarder de choses excitantes nous excite bien sur. La première à réagir est Nicole. Elle a encore le feu au fesses. Sans complexe, elle passe une main dans son jean: nous voyons sa main s’agiter pendant qu’elle se donne du plaisir. Nous la regardons toutes avec envie. Pour ma part je sens que je mouille pas mal. Il faut que je retire mon froc. Je sens les regards de autres sur mon bas ventre.
Nicole passe sa main derrière elle pour se caresser l’anus: son péché mignon nous le savons toutes. Les deux autres s’approchent pour s’embrasser.et commencer à se ca resser. Elles se déshabillent lentement avec des gestes de femmes très habituées à ce genre d’exercice. Les mains parcourent le corps de l’autre pour s’arrêter par exemple sur les tétons. Les lèvres suivent les mains, jusque et y compris entre jambes.
Avec Nicole nous les regardons avec envie. Je me branle pendant un bon moment, sans me faire jouir. Nicole me voyant faire a envie de jouir, surtout pas seule. Elle vient vers moi, me met la main au panier. Ce n’est pas la première fois entre nous. Pourtant c’est à chaque fois un recommencement.
Pendant que Monique et Aline sont embarquées vers les orgasmes en 69, nous nous contentons de nous masturber.
Certains se posent la question de savoir pourquoi à nos âges nous nous faisons du bien comme des lesbiennes. C’est simple, au départ il y a eu une discussion entre deux d’entre nous.
J’en étais. Ma camarade Nicole, était une femme divorcée à cause de la tenue de son mari: pour lui ne comptait que son plaisir immédiat avec des jeunes femmes qui savaient pratiquer la fellation. Elle aimait baiser comme tout le monde, avec sa bite de son homme dans le vagin ou dans le cul. Sucer la bite de son époux n’était pas tellement son truc: elle avait horreur de recevoir du sperme dans la bouche, pas comme moi.
J’étais veuve depuis peu: il me manquait réellement la queue de mon mari. J’avais beau me masturber, je n’était pas satisfaite.
Nous discutions de ces choses quand elle me disait qu’elle aimerai bien que je la branle pour la soulager. J’étais réticente: masturber une amie n’était pas pour moi un bonne chose, elle insistait tellement que je cédais. Elle relevait sa robe, descendait sa culotte et écartait les cuisses. Je voyais là une chatte mouillée désireuse de jouir. Je me plaçais derrière elle pour pouvoir la branler comme moi. Le plus fort est que j’arrivais à la faire jouir. Ce jour là, elle aussi insistait tellement pour me donner du plaisir que je cédais. Je ne regrettais pas du tout, j’avais eu un bel orgasme.
Nous en avons parlé autour de nous: petit à petit notre groupe de femmes particulières naissait.
Nicole donc est avec sa main sur ma chatte. Elle passe un doigt, comme souvent sur le clitoris. Elle me connais assez pour savoir me faire jouir comme j’aime. Son simple doigt fait d’abord sortir de son capuchon le bouton et ensuite elle le frôle longuement. Arrive le moment où il me tarde qu’elle me fasse jouir. Je murmure des mots comme, » vas-y, branle moi fort…. »
En même temps, de mon coté de pose deux doigts sur son bouton. J’indique la cadence qui me convient. Pour qu’elle ait plus de plaisir j’embrasse ses tétons que je suce longuement ensuite. Le résultat immédiat est que j’ai un bon orgasme, elle tarde un peu pour avoir le sien.
Nous finissons toujours en nous embrassant, et en tombant sur le siège.
Normalement elle est sur mes genoux. Elle écarte encore les cuisses. C’est le moment de changer d’endroit. Je passe ma main tout le long de sa chatte, en suivant sa fente pour arriver là où elle aime: son anus. Je n’ai aucune prudence dans ces moments; je fait le tour de son anus avant de poser deux ou trois dois dessus pour les enfoncer dans son cul. C’est bizarre, dès que je suis dedans elle commence à fermer son sphincter comme pour me garder prisonnière. Elle arête ma progression un instant: je ne peux continuer que quand elle ouvre son cul en grand. Là, je ne me gêne plus, je vais et vient dans cet antre de plaisir. Elle ouvre sa bouche en grand pour respirer en poussant de nombreux soupirs de soulagement. J’ai son cou à portée de ma bouche: je l’embrasse et lui fait des suçons, elle adore.
Je me laisse exciter en attendant qu’elle jouisse. Je sais que la prochaine fois se sera pour moi. Je la sens jouir quand son cul a des mouvements réguliers d’ouverture et fermeture. Je sorts mes doigts! Il faut que je les lui donne pour qu’elle les suce, pour elle une obligation.
A mon tour, elle sort de mes genoux, me fait ouvrir les jambes, passe sa tête entre elles. Elle lèche toute la vallée menant à ma chatte. Son but, je le connais: elle va loger sa langue dans mon vagin où elle la fait tourner longuement à l’intérieur. Je sursaute souvent à chaque orgasme.
Elle pense au cadeau qu’elle m’a fait. Je pensais m’en servir seule. Pas question, toutes mes trois copines sont là pour assister à ma première masturbation avec le nouveau gode. Je ne veux pas me branler assise, je me couche sur le tapis épais. Je me caresse le bouton un instant, puis je prend le gode, je le manipule dans tous les sens pour en comprendre le fonctionnement. Les autres sont déjà installées à mes pieds pour ne pas perdre une miette de mes essais.
Je mouille rien qu’en pensant à ce que je vais faire. Mes amies me caressent l’une les cuisses, l’autre le pubis et enfin une s’occupe de ma poitrine.
Je suis heureuse qu’elles assistent à ce que je vais faire.
Je pose juste le bout sur l’entrée quand je mets en route les vibrations. Quelle surprise de sentir cette nouvelle sensation. J’enfonce le plus possible: j’ai le vagin plein de plaisir. Ce n’est pas fini, quand les billes entament leur tour dans le vestibule je sens arriver un orgasme. J’arrête tout pour faire durer le plaisir. Quand je remet en route le vibreur, j’enfonce encore un peu pour que j’ai le clitoris caressé. En même temps c’est au tour du cul d’être aussi caressé. Mon orgasme arrive, fort, incontrôlable, long et divin. Je sens que ma tête se cambre vers l’arrière. Je crois que je n’ai jamais jouis autant.
Je fais la jalousie des autres aussi je le leur prête pour qu’elle aussi connaissent le même plaisir. Elles y passent toues les trois. Aucune ne regrette cette masturbation. J’ai de la chance, si j’ai ce gode en cadeau, chacune doit en acheter un pour elle.
Il me tarde d’être à demain pour essayer les boules de geisha en allant faire mes courses: je me vois déjà devant le primeur, me tenant à son étal pendant que mon sexe se tord sous le plaisir.

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