Nuit De Cinéma

L’histoire ce passe un samedi en début de soirée, je suis tranquillement chez moi à me préparer. Ce soir je vais dans un cinéma que j’aime bien à Paris, sur les grands boulevards, pour me faire une nuit de cinéma. Trois films, et toute la nuit pour profiter de vieux films que je n’ai jamais pu voir sur grand écran. Le thème de cette nuit est Stanley Kubrick avec 2001, Orange mécanique et Full Metal Jacket. D’habitude j’ai une bande de pote qui m’accompagne mais visiblement je suis le seul à apprécier les films de ce soir. Bon, ils ont pas mal vieillit mais tous de même, ce sont des classiques !
Je me pointe donc vers 23h au ciné, étant tout seul je pourrais me glisser n’importe où. Une grosse demi-heure d’attente et nous entrons. La salle est sur trois niveaux, je me mets sur un coté, avec mon sac à dos plein de provisions pour la nuit. Comme ça je suis callé ! La salle se rempli petit à petit, mais le cinéma n’est pas complètement plein, j’ai un siège de libre entre moi et ma voisine. Une voisine assez charmante d’ailleurs, une jolie rousse un peu pulpeuse et avec un rire enjoué. Elle est avec une bande de copine et visiblement, elles s’éclatent.
Le présentateur arrive pour nous parler rapidement des trois films, puis le premier, 2001, commence. Tous le monde se tait, et j’en ai profité pour regarder ma voisine dans la pénombre, devinant ses courbes mais elle a du le sentir car elle s’est tournée vers moi. J’ai esquissé un sourire un peu gêné, puis je me suis concentré sur le film, après tout, je suis venu pour ça. J’ai tout de même jeté quelques coups d’œil occasionnels sur ma gauche.

Le premier film se termine sur des applaudissements, et je profite de la pause pour me prendre un café. Je passe devant le groupe de fille qui s’écarte et je peux noter un regard de ma voisine la plus proche, un regard avec un rien d’amusement. Je fais donc la queue au café, et une fois servit, je manque de percuter quelqu’un, ma voisine bien évidement ! Mais je me ratt juste à temps, pas une goute à coté.

Elle ricane et me dit :
- Doucement, Je sais qu’il commence à être tard, mais ne renverse rien !
- Désolé, tu m’as surpris, dis-je en souriant.
- Il n’y a pas de mal, mais heureusement que tu as rattrapé, je n’aurais pas voulue sentir le café toute la nuit.
- Oui c’est clair, d’autant que je ne suis pas assis loin, j’en aurais profité.
Nous continuons de discuter et de rigoler quelques minutes, elle est vraiment craquante. Rousse, environ 1m70, de jolies formes, mises en valeurs par un jean taille basse et un haut noir plutôt décollette. Elle m’a surpris plusieurs fois à plonger mon regarde dedans, mais visiblement ça l’amusait plus qu’autre chose. Elle a ensuite disparue vers les toilettes et je suis retourné à ma place, profitant pour manger un peu. Il est déjà 2h30.

Elle revient au bout de quelques minutes, mais je note que son groupe de fille à disparue :
- Tes copines sont parties ?
- Oui, elles ne font jamais la nuit complète.
- Dommage pour elles.
- Je suis bien d’accord !
Je lui tends la boite de gaufre :
- Tu as faim ?
- Aaa oui, merci beaucoup je n’osais pas demander ! C’est que ça demande de l’énergie de tenir toute la nuit…

Je ne sais pas si c’est le début de fatigue, mais pour moi c’était clairement un sous-entendu. Nous avons échangé des banalités jusqu’au début du second film. Nous avions toujours un siège d’écart, mais nous nous tenions tous les deux contre ce siège.

Je suivais le film distraitement, car cette fille avait réveillé des envies en moi et j’étais vraiment perturbé par sa présence. Je profitais de chaque occasion pour admirer ses formes dans la pénombre. Il fallait que je tente ma chance. J’ai attendu environ 30 min de film, puis j’ai lentement glissé une main contre son épaule. Elle était un peu loin mais je n’avais pas besoin de trop tendre le bras. J’ai ressenti un peu sa surprise mais elle s’est laissé faire. Je me suis enhardi et j’ai commencé à lui caresser le bras, toujours pas de réaction.
Je suis descendu jusqu’à ces hanches, et là il m’a semblé la voir sourire. J’en ai eu confirmation lorsque je l’ai vu se lever doucement pour s’assoir juste à coté de moi.

Nous avons commencé un long et lent jeu de caresse, le long des bras et des hanches, à la base du cou. Je me suis enhardi jusqu’à lui caresser le décolleté et ses seins par-dessus son haut. Je commençais à avoir vraiment chaud. Nous faisions notre possible pour rester discret, mais tout le monde semblait accaparé par le film et on entendait même déjà un ou deux ronfleurs dans la salle. De son coté je l’entendais soupirer doucement lorsque je passais sur ses tétons et elle a répondu de plus belle en caressant mon sexe bien dur par-dessus mon jean. Elle souriait à pleine dent.
Nous avons ensuite déboutonné chacun le jean de l’autre, bouton par bouton, tout doucement pour faire monter le désir, et j’ai plongé ma main contre son clito pendant qu’elle caressait ma queue. C’était super excitant, je sentais sa dentelle trempée, je la voyais se morde la lèvre pour ne pas gémir. De mon coté j’étais dur comme du bois. Nous nous sommes caressé un long moment, j’étais bouillant, elle me branlait comme une reine pendant caressais son clito, j’ai écarté sa dentelle pour la doigter, elle a failli couiner a ce moment là.

Puis elle a souris et a commencé à approcher sa bouche de ma queue, je frémissais d’impatience et bim, fin du second film ! Autant dire que nous n’avions rien suivi du tout et nous voilà tous les deux très frustrés ! Elle s’est éclipsée tandis que je suis resté à ma place, incapable de me lever pour le moment.
J’ai attendu de me calmer et j’ai bu on longue gorgée d’eau. Je suis retourné prendre un café puis je suis retourné à ma place, où elle m’attendait. Elle avait un petit sourire coquin, ce qui me fit sourire à mon tour. Nous avons mangé un peu et puis échangé nos numéros, ce qui nous a permis de discuter par texto sans être entendu :
- Même si j’adore ce film, je pense que je ne vais pas le suivre beaucoup…
- Haha je suis assez d’accord…
- Après le ciné, on va chez moi ?
- Ça va dépendre… de si tu arrives à me convaincre…
- Challenge accepted.

La pause est plus brève, et le troisième et dernier film débute. Nous attendons 10 minutes que l’action s’installe, la salle est assez clairsemée. Puis ma main retourne déboutonner son jean, suivi rapidement par la sienne. Et là surprise, elle n’a plus sa culotte. Elle sourit à pleine dent, ça l’amuse beaucoup. Je commence donc à titiller son clito avec un sourire carnassier, ce qui remplace son sourire par un mordillement de lèvre très sexy.
Nous continuons de nous chauffer pendant environ 15 min, je la caresse et la doigte, elle me branle lentement sous mon jean. Puis elle se penche vers moi pour continuer ce que nous avions interrompu. Je baisse mon pantalon sur mes chevilles, et elle engouffre ma queue dans sa bouche comme une morte de faim. C’était trop bon, je suis devenu dur très rapidement, elle me suçait comme une reine, en alternant les rythmes. J’ai posé une main sur sa tête pour appuyer le mouvement, elle est passé proche de la gorge profonde, j’étais aux anges. Je voyais du mouvement entre ses cuisses, elle se caressait en même temps, elle était vraiment chaude, et moi, chanceux…
Je soupirais de plus en plus au rythme de sa langue, elle alternait les mouvements lents et rapides, profonds et cours et je suis passé proche de jouir plusieurs fois, mais elle maitrisait bien et elle faisait durer le plaisir. De temps elle avait un soubresaut, comme si elle se caressait trop fort, et puis reprenais le rythme. Mais j’ai tenu bon, jusqu’à ce que visiblement sa mâchoire lui fasse un peu mal, et j’ai pris les choses en mains… Elle s’est assise lentement, et j’ai remis mon pantalon. Puis j’ai disparu entre les rangées de siège, pour abaisser son jean au niveau de ses chevilles. J’ai alors pu accéder à sa petite chatte trempée, pour glisser directement ma langue sur son clito. A peine un soubresaut, et la voilà déjà qui s’abandonne au plaisir, alors que je découvre son sexe avec gourmandise. Je le fais tourner ma langue sur son clito, je le fait tourner dans tous les sens, en changeant de rythme.


Puis j’ai glissé un doigt dans son vagin, elle n’a pas émis un son mais j’ai senti son corps se raidir de plus en plus au fur et à mesure que je la doigtais. J’ai commencé doucement, avant d’accélérer le va et vient tout en continuant de jouer avec son clito. Elle ne faisait toujours pas de bruit, malgré un traitement de plus en plus intense, j’entendais le léger clapotis de sa mouille, j’espère que ça restait discret, même si dans l’état actuel des choses, je n’en avais rien à faire. Elle passait ses mains dans mes cheveux, la tête rejetée en arrière.

Du coin de l’œil, j’ai eu confirmation que nous n’étions pas ment discrets, car une fille nous regardait sur une rangée plus loin. Elle semblait sourire, les autres dormaient à coté d’elle et en regardant mieux j’ai pu voir du mouvement sous sa jupe. Elle se caressait en nous matant !!!

J’ai redoublé d’effort, empli d’excitation. J’ai vu la fille jeter des coups d’œil autour d’elle et soulever un peu plus sa jupe. Au hasard d’un flash de lumière en provenance du film, j’ai entrçu un shorty en dentelle, probablement noir, écarté pour dévoilé une chatte en ticket de métro. J’ai du laisser échapper mon étonnement d’excitation car ma partenaire à tourner la tête et à aperçu la fille. Elle a alors souris et à fait un clin d’œil, posant sa main sur ma tête pour que je continu. Un petit concours à alors commencé entre les deux filles, l’une se faisant lécher le plus vite possible, l’autre ayant son shorty sur une cheville, en train de se doigter de plus en plus fort, avec deux doigts. Je ne sais pas comment la « gagnante » devait être désignée, j’ai senti ma partenaire se crisper dans un orgasme étonnamment silencieux, vu le flot de mouille venant couvrir ma bouche gourmande. Nous avons attendu une minute ou deux puis je lui ai remis sa culotte et nous nous somme assis. L’autre fille avais fait de même, mais n’arrêtait pas de nous regarder du coin de l’œil.

Le troisième film s’est terminé, de même que la nuit. Ma partenaire s’est dirigée vers l’autre fille et elles se sont murmuré des choses visiblement amusantes, car elles ont gloussée toute les deux pendant 5 minutes. J’étais moi assis sur mon siège, le temps de me calmer un peu. Puis je me suis levé vers ma partenaire, et avant que je n’aie le temps de lui dire quoi que ce soit, elle m’a embrassé. Le message était clair et nous sommes donc sortis ensemble, en échangeant des banalités sur les films que nous n’avions pas vraiment vus. Nous avons pris le métro, je la suivais jusque chez elle, sans même demander où nous allions, elle me souriait souvent, et le trajet m’a paru interminable ! Nous sommes finalement sortis, elle m’a conduit devant un immeuble et 4 étages plus tard, nous étions chez elle.
C’était un appartement d’environ 30 m², décoré sobrement mais assez sympa. Le petit matin luisait à la fenêtre :
- Voici mon chez moi, pose toi dans le canapé, et sert toi dans le frigo si tu as envie, je vais prendre une douche, me dit-elle dans un clin d’œil.
- Pas de soucis.
Mais j’avais d’autres choses en tête. Elle s’est déshabillé devant moi, sans aucune gène, puis à disparue dans la salle de bain. De mon coté, je me suis également déshabillé. J’ai rapidement bu une gorgé d’eau, puis me suis dirigé vers la salle de bain.

Elle était dans la douche, me tournant le dos. J’ai pu mater le galbe de ses fesses à loisir. Quel cul !! Bien bombé, accueillant. J’en avais presque déjà une érection. Je me suis déshabillé sans bruit, elle continuait de me tourner le dos. Je suis entré dans la douche, ce qu’elle a ment entendu, mais elle ne s’est pas retournée. Je me suis collé à elle, profitant de la chaleur de l’eau chaude. Elle faisait d’imperceptibles mouvements pour frotter ses fesses contres les miennes. Ma queue se durcissait doucement. J’ai passé mes mains le long de son corps, sur ses hanches, collé à elle je l’embrassais dans le coup. Elle ne disait toujours rien, mais frissonnait de temps en temps.

Je lui ai pris les seins à pleine main pour les malaxer, elle s’est cambrée pour mieux sentir ma queue maintenant parfaitement dure titillant la raie de ses fesses. Ses tétons étaient durs. Puis les choses se sont accélérées. Ma main a glissé entre ses jambes, pour aller caresser son clito déjà gonflé. Elle ne mit pas longtemps avant de gémir sous l’eau, ce qui augmenta encore mon ardeur d’un cran, j’ai aussi plaqué une main sur ses fesses pour les caresser vigoureusement.

Notre petit manège a duré un bon quart d’heure, puis elle s’est agenouillée pour me sucer. Là, j’ai commencé à perdre pied… La pipe du ciné ne lui rendait vraiment pas justice, car j’ai décollé rapidement, sa bouche me suçait avec précision, le plaisir montait vraiment vite. Je voyais ma queue disparaitre dans sa bouche, l’eau qui ruisselait entre ses seins. Elle me jetait régulièrement des regards gourmands. J’ai attrapé sa tête pour amplifier le mouvement, jusqu’à complètement baiser sa bouche. Elle se caressait d’une main, et gémissait sur ma queue. La meilleure pipe de ma vie…
J’ai tenu bon, et elle s’est levée, face au mur, et en tendant ses fesses. Je n’ai même pas hésité… Je l’ai attrapée par les hanches, et j’ai attaqué direct en levrette. Elle a lâché un cri, suivi de nombreux gémissements au fur et à mesure de mes coups de rein. Je la prenais comme un fou, j’étais galvanisé par la pipe, je n’étais plus que plaisir et rien d’autre. Ses gémissements résonnaient dans la douche, c’était vraiment excitant. Nos corps claquaient l’un contre l’autre, je la poussais plus près de la paroi à chaque coup de boutoir. J’étais aux anges, je la prenais de plus en plus fort, le plaisir grimpait à toute allure, elle se cambrait au maximum pour mieux ressentir, et gémissait comme une dingue.

D’un coup, je l’ai sentie s’effondrer dans un cri, les jambes en coton, elle venait de jouir… Je suis resté à la câliner quelques minutes, puis elle s’est tournée vers moi en souriant, et m’a embrassé. Elle s’est ensuite genouillé lentement pour me sucer. J’étais encore dur comme du bois, j’ai vite retrouvé le niveau de plaisir intense de la levrette alors que sa bouche chaude enveloppais ma queue. Elle me pompait et me branlais rapidement, dans un but plus qu’évident, et je gémissais doucement sous ce traitement. Elle me regardait gémir, s’était excitant. Le plaisir montait de plus en plus, et lorsque j’étais proche de la fin, elle s’est écartée et m’a branlé, langue tenue, un regard gourmand qui me perçait le corps. Il ne m’en pas pas fallu plus pour gicler de long flot de sperme dans sa bouche et son visage, zébrant le sourire qui s’est dessiné sur son visage d’ange. Elle a gardé son sourire une bonne minute, avant de se relever et de m’embrasser.
Nous avons terminé de nous laver, puis nous sommes allé nous écrouler sur son lit. Un sommeil sans rêve, mais je me suis réveillé avec ma queue dans sa bouche, elle soupirait déjà de plaisir…

Mais ceci, est une autre histoire…

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