Eliette

J’ai horreur d’être seule. Ceci posé voila mon histoire:
Je vivais avec Lucien, mon copain: nous nous entendions bien. Avec lui la vie de paraissait très agréable; nous nous aimions. Je ne voyais pas le temps passé. Mais voilà, l’accident bête: quand je lui disais que je n’aimais pas le savoir en moto, il en riait. J’en pleure maintenant qu’il est passé au crématoire.
Je m’ennui mortellement maintenant seule, toute seule: mes parents sont à des centaines de kilomètres, mes amis éparpillés. J’ai pour oublier mon travail. Je m’y donne à fond. J’ai la chance d’avoir un boulot qui me met en contact avec des gens plus malchanceux que moi.
Ma collègue fait ce qu’elle peut pour moi. Moralement elle me berce pour me consoler.
Elle m’invite chez elle avec des copains. J’allais refuser quand elle insiste. J’accepte surtout pour ne pas la vexer. Elle a eu une bonne idée. Ce soir je me laisse aller, surtout que je bavarde comme jamais un peu avec tout le monde, surtout avec Eliette une fille que je ne connaissais pas du tout qui me parait simplement fréquentable. Elle se confesse:
- J’avais mon copain qui est parti sans rien dire avec ure autre nana plus moche que moi. Je me suis vengée.
- En faisant quoi ?
- J’ai changé de cible.
Je ne comprends riens à ce qu’elle dit; changer de cible ? Comme on dit chez moi « ba sei pas » je ne sais pas.
- Oui je ne fréquente plus de garçon.
- Tu fréquentes qui alors ?
Je suis resté dans les schémas d’antant ou alors si je comprends elle est devenue bi ?
- Je fréquente celles qui, comme moi, sont dégoutées de donner du plaisir à des gens qui n’en rendent pas. Je préfère les filles; c’est plus direct: c’est oui ou non, mais c’est clair. Toi par exemple je suis sure que si tu le voulais un tout petit peu tu viendrai avec moi.
- Si je venais avec toi que ce passerait -il ?
- Il se passerait que nous pourrions dormir ensemble.


Je crois comprendre ce qu’elle veut: que nous fassions l’amour ensemble. Pour moi, faire l’amour c’est une fille et un garçon qui la pénètre. Pour elle c’est différent.
Elle me tanne tellement et me raconte de telles histoires que je commence à être excitée. Etre excitée pas une autre fille …….une autre fille jolie, certes qui me parait surtout manquer de bite.
Elle s’accroche à moi: je sens qu’elle me veut absolument. Elle me désire tant qu’elle me caresse une main. Sa caresse m’est agréable. Et puis zut, tant pis pour les convenances, je vais me laisser tenter. Comme je n’ai pas le cœur à sortir avec un autre, je sortirai avec une fille;
Le lendemain je reçoit un coup de fil:
- Bonjour, c’est Eliette, Peux tu venir chez moi ce soir pour la soirée.
- Bien sur, c’est où ton chez toi.
Elle m’explique comment aller chez elle.
Le soir j’arrive même un peu en avance, je sonne, elle ouvre et j’entre. Elle me prend dans ses bras, m’embrasse sur les joues pour me faire assoir dans son séjour. Jusque là rien de particulier entre nous. Tant mieux, sauf qu’au bout d’un court instant elle me dit que je lui plait, que je suis sexy (on me l’a déjà dit) qu’elle aimerai me faire l’amour. Enfin le grand mot est lâché. Elle veut que je lui serve de jouet.
En guise de jouet je lui sert bien pour un jeu, un jeu plus complexe. Eliette me veut comme amante. C’est un rôle que je ne connais pas encore. J’ai bien réfléchi avant de venir. Si j’accepte de coucher avec elle je ne risque qu’une seule chose: jouir certainement; si je refuse, je passe pour une rétrograde passéiste. Je choisis de jouir
Tout mon cheminement elle le connais pour être passé par là elle aussi. Ma seule présence la rassure.
Elle me fait assoir à ses cotés, m’embrasse encore sur les joues, sauf qu’à un moment, sa bouche dé vers la mienne. Je ne sais pas encore pourquoi ma bouche s’est ouverte à ce moment. Elle n’a marqué qu’un léger temps d’arrêt avant d’entrer sa langue dans ma bouche qui l’a accepté.

Tout en continuant à m’embrasser, elle pose directement une main sur mon genou. Je la sens monter vers l’aine et certainement entre mes cuisses. C’est vrai que je sens bientôt sa main sur ma culotte. Sa caresse montante m’excite bien plus que je le croyais. Il faut dire qu’elle sait y faire. Sans qu’elle me le demande je me soulève pour enlever mon sous vêtement. Quand je suis assise à nouveau, elle remet sa main là où elle était, sauf que je n’ai plus de tissu pour me protéger de ses assauts. Eliette caresse les lèvres avant d’aller me branler le clitoris. Qu’elle le fait bien !!! C’est meilleur que quand je me branle. Je me laisse aller à la douceur d’un orgasme naissant. Je mordille ses lèvres pour manifester le contentement de mon corps. Je gémis assez fort, je cris quand j’ai enfin la délivrance. Il y a des lustres que je n’ai pas pareillement joui. Je me trouve écroulée, inapte à lui rendre ce qu’elle vient de me donner;
Ses baisers me réveillent: à mon tour de lui faire du bien. Je suis maladroite: je sais bien me branler, je ne sais pas le faire aux autres filles. Après tout je prend exemple que ce qu’elle vient de me faire: je passe du genou à son sexe trop vite à mon gré. J’ai la surprise de découvrir sa chatte nue et rasée. Je suis moins surprise de la trouver très mouillée. Je trouve le clitoris que je ne fait que caresser en passant: j’ai envie d’aller dans son vagin, directement pour la doigter. J’y met deux doigts que je fait aller et venir. Ca doit bien lui plaire; j’ai mes doigt la pulpe en haut. Je dois certainement lui caresse le point G. Elle n’arrête pas de me dire des
- Oui, Oui, n’arrête pas, encore, oui, putain que c’est bon, encore.
Je ne fais que suivre ce qu’Eliette me demande: ma caresse doit bien durer 1/2 heure. Quand enfin j’arrête, elle se lève pour nous déshabiller. C’est vrai qu’elle est sexy. Moi qui suis hétéro, je la trouve baisable. J’ai même envie de lui faire des chose que je n’ai jamais fait à une autre.
Nous faisons un concours à celle qui pelote l’autre le mieux: c’est elle qui doit gagner. Elle me caresse surtout les tétons qui pointent maintenant comme jamais.
Elle embrasse mes seins, alors que je ne fais guère plus que les caresser.
Elle me fait coucher sur le dos. En posant sa tête sur mes jambes, elle me les fait écarter. Elle peut voir toute ma chatte et ses recoins. Sa tête est très près de moi. Je sens son souffle sur le bord de mon sexe. Je ne sais qu’un chose elle me fait mouiller.
Sa langue se pose encore sur le clitoris, elle l’aspire pour le relâcher. Jai envie qu’elle reste là: elle s’en va vers mon anus qui n’a pas servi depuis un trop long moment. Elle me lèche le cul. C’est très agréable de la sentir surtout quand elle entre légèrement. Je ne veux pas qu’elle parte: je lui tiens la tête en lui caressant les cheveux. En forçant un peu elle me met la moitié de sa langue dans mon fondement. J’en jouis rapidement, trop vite.
Maintenant elle se trouve sur moi, renversée, son sexe contre ma figure. Je n’ai aucune peine à lui lécher toute sa chatte. J’apprécie particulièrement le gout de sa cyprine. Il me semble qu’elle est plus forte que le mien. Nous sommes bien ainsi en 69.
Nous n’arrêtons pas de jouir. Eliette semble bien aimer ce que je lui fait, comme moi j’ai aimé ses caresses avec ses mains ou sa langue. Ah, sa langue, elle fait un bien fou.
Je commence à me demander si elle n’a pas raison. Si les amours féminins ne sont pas meilleurs que les amours mixtes. Il manque quand même un petit quelque chose, une vrai bite d’un vrai homme.

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