Dépucelage Au Lycée

Je m’appelle Guillaume, j’ai tout juste 20 ans Je me suis souvent demandé comment mes copains s'y prenaient avec les filles. Je me suis aussi posé la question de ce qu'on pouvait ressentir seul avec une fille complètement nue. Je vais vous raconter le jour le plus mémorable de ma vie, le jour où je perdis ma virginité.

J’étais en terminale dans un lycée du sud de la France où j’étais nouveau car mes parents venaient de déménager. De nature timide, mes relations avec les autres lycéens étaient très limitées, tout le monde se connaissait moi, je ne connaissais personne. Je ne parlais presque jamais avec les autres et je devenais rouge quand un prof me demandait quelque chose ou pire quand je devais aller au tableau.

J’étais considéré par les autres comme quelqu’un de bizarre, mais on me laissait tranquille et je n’ai jamais été sujet à moquerie. Il faut dire que malgré ma timidité je ne me suis jamais laissé marcher sur les pieds et dans toute ma scolarité je n’ai jamais été le souffre douleur d’une classe. Inutile de vous dire que côté fille ça n’était pas le pied. Je n’étais pourtant pas quelqu’un physiquement repoussant mais je n’ai jamais eu le cran de faire le premier pas.

Aussi lorsqu'une fille de ma classe, que je voyais tous les jours me plaisait. C’était donc seul, le soir, après une dure journée au lycée, je satisfaisais mes pulsions sexuelles par la masturbation en pensant à une jolie fille du lycée ou bien, plus facile en regardant un film x ou des photos de cul sur internet…

Il y avait une fille dans ma classe qui me faisait fantasmer, c’était à elle que j’avais pris l’habitude de penser lors de mes masturbations. Elle s’appelait Florence, avait des longs cheveux bruns des yeux marrons et une peau légèrement bronzée. Sa voix avec l’accent de Marseille ne faisait qu’amplifier l’excitation que je ressentais en pensant à elle. Elle était d’une beauté à faire tourner les regards de tous les mecs même de certain profs qu’elle croisait et à rendre jalouses la plupart des filles du lycée.

En bref, elle était ce genre de fille inaccessible aux garçon de mon genre.

Il faut dire que ma Florence n’avait pas froid aux yeux et n’était pas la dernière à la participation au bordel de la classe. Je me souviens qu’une fois, en science-éco, elle avait gueulé après le prof qui venait de nous donner une interro car il y avait trop à faire ! Le pauvre ne savait plus quoi dire ni où se mettre ! Je crois que c’est à ce moment là que j’ai réellement commencé à fantasmer sur cette fille. Cela m’excitait de savoir qu’elle devait être très loin de se douter qu’un petit pervers dans la classe se branlait presque tout les soirs en pensant à elle..

Il m’arrivait de m’imaginer des scènes torrides avec elle pendant les cours de philo où elle était une table en face de moi. Je pouvais alors contempler ses superbes cheveux, le bas de son dos parfois découvert lorsqu’elle mettait un pull qui lui arrivait aux hanches. Je me rappelle qu’un jour son slip était légèrement visible et j’avais pu voir le début du creux de ses fesses… Pendant les deux heures de cours de philo je bandais comme un fou et je ne pensais qu’à une chose : aller aux toilettes pour me soulager. Ce que je fis immédiatement à la fin du cours…

En sport, la était encore plus forte. Ses magnifiques jambes, ses superbes fesses bien fermes et ses tétons qui pointaient à travers son T-Shirt me laissaient littéralement brûlant. Heureusement que les efforts physiques empêchaient ma verge de passer en érection.

Un jour, alors que j’attendais dans le couloir, Florence essaya d’engager la conversation avec moi. Elle me demanda entre autre d’où je venais, comment je trouvais la région, etc.… Mais, moi, en timide incurable que j’étais, je lui répondis juste :

- Heu. . ouais… heu… nan…

Elle n’insista pas et me dit salut. Elle devait avoir une bien piètre image de moi, après ce super échange. J’étais plus que honteux et je me maudissais de ne pas avoir été capable d’aligner plus de deux mots de conversation.
Je n’avais alors pas idée de ce qui allait se passer entre elle et moi quelques semaines plus tard…

C’était le dernier jour de la semaine, la journée de cours la plus chiante de toute la semaine. Il ne restait que deux heures d’histoire-géo à passer. Je me dirigeais vers la salle de cours, j’étais le premier, un peu en avance comme toujours. La sonnerie retentit mais il n’y avait personne de ma classe.

Après cinq minutes d’attente, je décidai d’aller à l’étage au-dessous voir s’ils n’étaient pas dans une autre salle où on avait cours d’histoire. Juste au moment de passer la porte qui mène à l’escalier, je tombai nez à nez avec ma jolie Florence qui, visiblement, ne semblait pas pressée d’aller en cours…

- Il n’y a personne ?

- Heu… non ! Mais ils sont peut-être dans une autre salle ?

- Ben non, je viens de passer devant toute les salles et il n'y a personne.

Nous attendîmes un peu dans le couloir. J’étais adossé au mur et elle était assise en face de moi sur le rebord d’une fenêtre. Je sentais qu’elle me jetait des coups d’œil furtifs mais n’osait la regarder de peur que mon regard ne croise le sien. Après trois longues minutes d’attente avec elle dans ce couloir bien vide, une fille d’une autre classe qui passait par-là s’arrêta au niveau de Florence et lui fît la bise…

- C’est le prof histoire-géo que vous attendez ? Car si c’est lui il n’est pas là. Il est absent jusqu’à mardi, ils viennent de l’écrire sur le tableau en bas.

- C’est vrai il n’est pas là ? C’est trop bien ! dit Florence.

- Bon bah moi j’y vais, je suis déjà en retard, à plus ! dit la copine de Florence.

Le prof était donc absent. Ca m’arrangeait pas mal car je n’avais pas fait la synthèse de la leçon précédente qu’il nous avait demandée de faire. Florence semblait, elle aussi, très contente de cette heureuse nouvelle…

- On n’a pas histoire jusqu’à mardi ! Chouette ! Alors, tu fais quoi là maintenant ?

- Heu… bah là… je vais rentrer chez moi !

- On vient te chercher ? Tu n'habites pas ici je crois ?

- Non ! Je vais rentrer chez moi et prendre le bus.


- Ah, ok ! Bon, alors à demain alors…

- Ok, oui, à demain Florence.

Je suis toujours aussi nul avec les filles “, me disais-je en la voyant s’éloigner. Je devais me dépêcher si je ne voulais pas rater mon bus et attendre une heure avant que le prochain n’arrive. Avant de partir, je me suis dirigé vers les toilettes qui se trouvaient au fond du couloir, je n’avais plus de kleenex, il me fallait à la place du papier toilette. Bien sûr, il n’y en avait plus dans les toilettes des garçons et j’ai dû aller à côté, dans celles des filles pour en avoir. Au moment de ressortir des toilettes, quelle ne fût pas ma surprise de voir là, juste devant moi, Florence qui me dévisageait de ses yeux ravageurs avec un léger sourire aux coins des lèvres…..

- Et bien, qu’est ce que tu fais dans les toilettes des filles petit voyeur ?

- Non… c’est que… en fait, j’ai besoin de me toucher… heu… de me moucher. Je n’ai plus de Kleenex et il n’y a plus de papier dans les toilettes des garçons.

Alors que je m’apprêtai à sortir, elle me barra la route en se mettant juste devant la porte. Sans dire un mot, elle me poussa doucement, avec sa main contre ma poitrine, et ferma derrière elle la porte à clé. J’étais pétrifié, tétanisé, je ne savais plus quoi faire… je n’arrivais pas à croire ce qui se passait ou plutôt, ce qui allait se passer.

Je voyais dans ses yeux qu’elle était tout aussi surprise que moi, de cette situation dans laquelle nous nous trouvions. Elle s’approcha alors de moi, me caressa le visage avec sa douce main et m’embrassa langoureusement, en enlaçant sa langue avec la mienne. C’était merveilleux… Jamais je n’aurais pensé que cela pouvait être aussi agréable d’embrasser une fille de cette façon…

Sa bouche se retira de la mienne et nos deux langues se séparèrent. Elle retira son T-shirt puis son soutif. Ses seins étaient magnifiques, bien fermes et de taille généreuse avec de beaux tétons érigés qui ne demandaient qu’à être sucés.
J’approchai ma bouche de son sein droit et donnai un petit coup de langue à son téton en érection comme pour le goûter. Elle me pressa la tête contre son sein et je me mis à le lui téter comme un bébé tout en prenant de ma main gauche son autre sein que je malaxai. Je lui mordillai son téton et la fis gémir de plaisir. Elle me repoussa alors et baissa son jeans ainsi que son slip blanc. Je ne pouvais encore voir son sexe caché par son T-shirt qui lui arrivait au-dessous de la taille…

- Fais moi jouir avec ta bouche, me demanda t’elle !..

Je n’arrivais pas à y croire… Elle s’adossa au mur et écarta ses jambes m’invitant à venir lui lécher la chatte. Je ne me fis pas attendre et m’accroupis devant son sexe magnifique, que je pouvais enfin contempler. Sa croupe était gonflée et légèrement poilue. Je bandais comme un fou et je me demandais bien comment j’allais pouvoir faire pour ne pas jouir trop vite…

- Je suis vierge, tu sais ? Maintenant lèche-moi !

Elle était vierge ! Je l’étais aussi mais ne lui dis pas. J’approchai ma bouche de son sexe et l’embrassai. C’était à la fois doux et chaud. Je me mis à lui lécher le minou avec ma langue. Elle gémit doucement, ce qui ne fit qu’accroître mon excitation. Je lui introduisis enfin ma langue dans son trou ce qui la fit gémir de plus belle. Elle me saisit alors la tête à deux mains et la plaqua contre sa chatte qu’elle se mis alors à frotter contre mon visage par des va-et-vient rythmés du bassin.

C’était tout simplement incroyable. Cette fille était en train de se masturber sur moi ! Et pas n’importe où. Sa mouille commença à inonder mon visage. Cela sentait bon et je me plaisais à penser que j’étais sans doute le premier à goûter à cette merveilleuse substance issue du plus profond de ses entrailles. Ses va-et-vients étaient de plus en plus rythmés et elle gémissait de plus en plus fort…

- Oui !!! C'est bon !!!

Son jus coula à flot sur mon visage avec même un peu d'urine en prime. Ca dégoulinait sur mes joues, mon nez, mon menton. Je ne pensais pas qu’une fille pouvait autant juter lorsqu’elle jouissait. Elle reprit sa respiration après ce premier acte qui l’avait quelque peu épuisée. Son petit sourire me fit comprendre que j’avais apparemment été à la hauteur, cela me fit plaisir.

- Merci Guillaume ! C’est la première fois que je jouis autant. Cela change des masturbations solitaires sur mon lit avec un oreiller. Maintenant, à toi, baisse ton pantalon !

Je m’exécutai et baissai mon pantalon, puis mon slip qui avait bien du mal à contenir ma verge qui ne demandait qu’à sortir. Elle sembla un peu surprise à la vue de mon sexe…

- C’est la première fois que je vois en vrai une bite, enfin le pénis d’un garçon.

Je n’en revenais pas. J’étais là, devant cette fille ultra-mignonne, la bite à l’air prêt à me faire sucer…

Elle s’accroupit à son tour devant mon sexe érigé, le regarda avec délicatesse puis le saisit dans sa main douce. Elle lécha timidement mon gland, puis le mit dans sa bouche. Je dus faire des efforts surhumains pour ne pas lui jouir directement dans sa bouche. Je lui enfonçai ma queue un peu plus profondément dans sa bouche et commençai à faire des aller-retours, je la pénétrais par la bouche ! Je bandais tellement que j’en avais mal au gland et croyais qu’il allait exploser.

Mais ce mal que je ressentais, conjugué à l’intense plaisir que ma Florence me donnait. Mes va-et-vient étaient de plus en plus fort. Je voulais lui enfoncer les 15 cm de ma bite au plus profond de sa gorge. Elle compris mon stratagème, compatit en ouvrant grand sa petite bouche innocente et m’aspira la queue entièrement. Elle étouffait presque mais ses gémissements me faisaient comprendre qu’elle aimait bien cela aussi.

- Oui !!! C'est bon !!! Continue !

Cette fois ça y était, je ne pouvais plus me retenir et décidai d’ouvrir les vannes… Je sentis le premier jet de sperme remonter pour exploser au fond de la gorge de ma jolie Florence. Je jouis par saccade dans sa bouche que je remplissais de ma semence. Je dus bien lui envoyer une dizaine de jets de foutre. Je retirai ma queue toute recouverte de mon sperme mélangé à sa salive et lui peignis le visage avec mon gland transformé pour l’occasion en un gros pinceau.

- J’ai avalé tout le sperme que tu as juté au fond de ma gorge ! C'est bon !

Cela me fis bizarre de savoir que cette jolie Florence avait avalé mon sperme, qu’il devait maintenant être en train de dégouliner dans son œsophage et qu’elle allait ensuite le digérer. Elle se releva, et alla se le nettoyer le visage au lavabo. Elle revint vers moi et me dit :

- J’ai envie de faire pipi. Tu as déjà vu une fille pisser ? Non ? Et bien tu peux me regarder faire si tu veux…

Elle se dirigea vers un WC sur lequel elle s’assit, et écarta les jambes pour que je puisse voir sa pisse sortir de sa fente. C’était vraiment excitant à voir et mon érection ne tarda pas à reprendre de la vigueur. Je m’approchai d’elle et mis ma main droite sous sa pisse toute chaude qui continuait à tomber. Le fait de lui caresser le minou alors que sa pisse coulait. J’avais le bras trempé de pisse jusqu’au coude… Une fois qu’elle eut terminé, elle me pris la queue tout encore recouverte de sperme et de salive…

- Maintenant tu vas me prendre dans la chatte, je veux te sentir dans mon ventre !..

Là encore, je ne me fis pas prier. Je vins me coller contre elle et lui plaçai mon gland juste au niveau de sa croupe, toute gonflée d’excitation. J’y introduisis alors le bout de mon gland. Ce n’était pas facile, elle était encore vierge et il fallait forcer le passage pour pouvoir entrer. Je forçai comme un fou, je ne pensais qu’à la pénétrer. Tout mon pénis rentra enfin, ce qui la fit hurler de douleur…

- Han !..

Je n’aurais pas cru que cela puisse lui faire autant mal. Après tout, elle m’avait demandé de la prendre et c’était bien ce que j’étais en train de lui faire. Je lui enlevais sa fleur avec des va-et-vient d’une rapidité telle que je semblais lui faire plus de bien que de mal, mais je ne pouvais plus m’arrêter tellement cette excitation me rendait fou. Au bout d’une dizaine de seconde, elle se mit à jouir de tout son être en hurlant, cette fois-ci de plaisir…

- Ho ouuuiiii !!

Je ne m’arrêtai pas pour autant car je n’avais pas encore jouis en elle, l’éjaculation dans sa bouche m’avait pas mal épuisé et avait du pas mal vider mes couilles.

- Oh ! Ohhh oui ! C’est trop bon ! Je ne savais pas que ça pouvait faire autant de bien d’avoir mal ! Maintenant j’ai envie que tu me sodomises et que tu éjacules ce qu’il te reste de sperme dans mes fesses.

Je la retournai sur-le-champ. Elle se cambra en avant et pris appui sur le mur…

- Vas-y, je suis prête. Défonce-moi !

J’approchai ma bite de son petit trou du cul aux contours marron brun et déposai mon gland à l’entrée de cette caverne qui me semblait bien étroite. Mon sperme et la salive de Florence qui recouvraient mon sexe serviraient de lubrifiant…Je forçai fort et réussi à entrer mon gland à l’intérieur de son anus. Je forçai encore plus fort tout en la maintenant par la taille avec mes mains et réussi à entrer encore plus en elle. J’avais très mal au sexe et ses cris me laissaient comprendre qu’elle était dans le même cas. Je parvins enfin à rentrer entièrement, ce qui eut pour effet immédiat de lui arracher des hurlements une nouvelle fois.

Cette fois-ci, je sentais vraiment que cela lui faisait mal. Mon sexe entier était introduit dans son cul. Je sentais que ses parois anales étaient vraiment très étroites et cela m’excitai au plus haut point. J’étais en train de faire hurler de plaisir ma Florence en la sodomisant profondément. Je lui ramonai littéralement l’anus par des va-et-vient ravageurs et incessants qui durèrent bien deux ou trois minutes. Je giclai enfin en elle tout ce que j’avais encore comme sperme et je fus vraiment surpris de constater que je possédais de sacrées réserves. Je du lui envoyer au moins cinq puissants jets de foutre au fond de l’anus…

Après m’être assuré que je m’étais bien vidé en elle, je retirai mon organe tout rouge tellement je l’avais ramonée. Puis, comme par réflexe, je me baissai et lui léchai activement le trou du cul encore béant. Je mis ma langue à l’intérieur. Jamais je n’aurais cru que ce serait de cette façon que je goûterai pour la première fois à mon sperme. C’était pour le moins original. Je me relevai enfin après lui avoir nettoyé le petit trou.

Sans me dire un mot, elle remit son pantalon et son T-Shirt, me donna un dernier baiser et partit en courant. Je suis resté là, essayant de réaliser ce qui venait de se passer. Le fait de savoir que Florence devait penser à moi en ce moment me comblai. Je me sentais bien et pour la première fois dans mon existence, j’étais heureux de vivre.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!