Arica

ARICA
Je pilote un petit bimoteur qui transporte du cargo, des fruits, des sacs postaux ou autres objets, entre le Chili, le Pérou et quelquefois jusqu’à l’Équateur. Je suis à Arica au Chili depuis hier, comme j’y suis souvent, dans un lieu perdu avec un vieux hangar qui date de la guerre et une piste d’atterrissage. On n’a pas le courage d’appeler ça un aéroport. Il y a une petite salle dans le hangar, une salle fermée où il peut faire assez chaud, avec des matelas contre les murs et une porte fermée à clé. On m’y attend. Il fait chaud et j’ai laissé mon t-shirt dans l’avion. Je ne porte qu’une paire de shorts qui remonte un peu sur mes fesses. Je frappe et un Chilien d’une vingtaine d’année, tout nu et bandé, me fait rentrer et ferme la porte à clé derrière moi. Le Chilien va rejoindre son amant sur un des matelas. Ils viennent probablement de terminer leur baise du midi.
Un Péruvien, jeune et mince, nu comme les deux Chiliens, est debout près d’un grand bac en fer blanc. J’enlève mon short taché par l’huile et me présente de l’autre côté du bac, en face du Péruvien. On est là pour pisser, tous les deux bandés. On n’entend que le bruit de la pisse contre le métal.
« Gardez-en un peu », dit un des Chiliens, pas celui qui m’a fait entrer, mais l’autre, plus vieux, son amant.
Sans être un rituel, ce n’est pas la première fois que je me mêle à ces deux Chiliens pour une session de fesses entre garçons. J’ai l’œil sur le Péruvien depuis ma dernière visite. Je l’avais vu à poil derrière les quelques cabanes près du hangar. Je pense qu’il cherchait de la compagnie mais j’étais sur le point de partir. Je lui ai fait un signe de la main avant de monter dans mon avion. Le soir c’est souvent la fête dans les cabanes. Des hommes ensemble, des femmes aussi. C’est privé et loin de tout. Donc j’avais repéré le Péruvien. Il doit avoir 20 ans, joli visage, mince, une queue que je n’ai pas encore vue de près, mais des petites fesses qui feraient mon bonheur.

On l’avait invité pour moi ou bien il voulait vraiment me voir.
Je retiens un peu de pisse. Je suis le Péruvien sur un des matelas. On s’embrasse. Il goûte déjà bon. On se place en 69 pour se vider le fond de vessie dans la bouche. Les deux Chiliens nous regardent en souriant. Eux c’est un couple mais j’ai déjà baisé avec chacun d’eux. Ils ne sont pas exclusifs. Moi je suis versatile. Je donne ou je prends, ça dépend des mecs.
Le Péruvien et moi on se suce bien après notre cocktail d’ouverture. On se prend par les fesses. On se caresse la rondelle. Je sens sa queue qui me bande dans la bouche. Je pense qu’il est prêt. C’est une « demoiselle ». Il y en a au moins une dans tous ses petits aéroports de fortune. Il y a beaucoup de va et vient de marchandises et de personnes. Des camions arrivent remplis de fruits et repartent vides. C’est surtout désertique entre ces endroits et les grandes villes mais il y a de petits oasis, des maisons vides, des cabines de camion, des jardins privés où on peut faire des choses quand on connaît les bonnes personnes. De jeunes hommes, et quelquefois de moins jeunes, cherchent du travail occasionnel, et se collent aux Européens ou aux locaux trapus. Des regards se croisent, des mouvements de têtes ou de langues, puis on monte dans le camion et on s’arrête derrière une maison blanche abandonnée. On repousse les caisses d’oranges pour se faire une place. Puis on se fait des baisers, des caresses, les queues sortent, on suce, on baise.
Mon Péruvien me montre ses dents blanches et ouvre ses fesses avec ses mains. Il sait ce que je veux. Je lui lèche la rondelle et je tripote ses couilles. Il s’étend sur le matelas, sa queue longue et dure coincée entre le matelas et son ventre. Je mouille ma queue. Les deux Chiliens se lèvent pour me voir le pénétrer. Il est serré.
« J’aime regarder une sodo entre un Blanc et un Indien », dit le plus vieux Chilien
Mon amant se frotte sur le matelas et je le pénètre un centimètre à la fois.
Finalement je me couche sur lui. J’adore sentir ses petits coussins sur mon ventre. Je suis allé aussi loin que je peux. Je retire mon engin un peu puis je l’enfonce de nouveau. L’Indien gémit de plaisir. Puis je sens la peau rugueuse et poilue du Chilien, le plus vieux, sur mon dos. Je m’y attendais même si on n’avait pas planifié. Il me glisse sa queue dure entre les fesses. Je l’enveloppe. Il me baise le cou. Son amant pisse dans le bac. J’ouvre la bouche quand il s’approche de moi agenouillé au-dessus du Péruvien. Je reçois sa pisse et je le suce pendant que son amant me pénètre en va-et-vient qui coïncide avec mon propre va-et-vient dans le cul du Péruvien. Quatre hommes. On ne le voit pas mais le Péruvien a joui sur le matelas, puis c’est moi qui lui tire un coup dans les profondeurs. Je sens la queue du Chilien qui se gonfle et se vide dans mon cul. Il ne reste plus qu’à recevoir la jouissance de l’autre Chilien dans ma bouche et j’avale. Comme un quatuor à cordes bien rodé, on termine l’un après l’autre pour la grande finale.
Ce n’est pas la première fois que je baise à trois avec les Chiliens. Dès qu’on se voit, on bande. C’est comme ça. On remplit un bain et on s’y sauce l’un après l’autre. Je rejoins mon avion. Je vérifie le niveau d’essence. Presque vide. Je m’informe. L’essence n’arrivera que demain. Bon. Je n’ai que des sacs de lettres et quelques colis. Rien de qui va pourrir. Je suis habitué. C’est l’Amérique du Sud.
Je fais une sieste dans le cockpit qui est à l’ombre. J’entends frapper. On m’invite à manger un morceau ce soir en ville. J’accepte avec plaisir. Je continue ma sieste.
Vers 20h, un vieux camion s’arrête près de l’avion. On me fait des signes. Le siège avant est déjà rempli avec le conducteur et deux hommes. Je vais derrière. Une grande boîte en bois recouverte d’anneaux de fer et d’une toile. Ça sent l’huile de ricin. Il fait très noir. Je vois quelques paires d’yeux. Les peaux sont bronzées. Deux visages blancs, ceux de deux femmes que je n’ai jamais vues.
Quelqu’un allume une lampe de kérosène. Je discerne les deux femmes qui sont enlacées et qui portent une robe longue identique, puis il y a trois hommes, des locaux sans doute. Les femmes ont visiblement peur. J’aurais peur à leur place moi aussi.
Un des trois hommes me sourit depuis mon arrivée dans le camion. Je pense que c’est un mécano à l’aéroport. Il a le visage anguleux et brulé par le soleil. Il est plus vieux mais pas laid du tout. Je parle espagnol mais pas le dialecte local. Finalement le camion s’arrête. On descend. J’aide les femmes qui semblent avoir moins peur d’un Européen que d’un Chilien. Elles s’engouffrent dans une maison. Les deux hommes disparaissent dans les rues étroites. Je suis seul avec le mécano. Il se prénomme Felipe. Il semble connaître le quartier. Une nuit sans nuages avec un ciel couvert d’étoiles. Felipe s’arrête derrière une maison. On est à l’ombre des phares des quelques voitures qui passent. On s’embrasse. Puis on regarde autour de nous pour être certains que personne ne nous voit. On s’embrasse de nouveau avec passion. On se suce la langue à tour de rôle. Je mets la main entre ses cuisses et je peux sentir sa queue dure. Il fait de même avec moi. On doit trouver un endroit pour s’accoupler.
Felipe s’était momentanément égaré mais il a retrouvé ses repères et je le suis. On descend une rue. On s’enfonce dans un autre quartier qui semble moins éclairé. On croise des prostituées. On s’arrête devant une petite maison. Felipe frappe à la porte. On attend quelques minutes puis il frappe de nouveau. Finalement une femme nous laisse entrer. C’est une Indienne, un petit bout de femme mais qui n’est pas si jeune. Elle discute avec Felipe qu’elle semble connaître. Il regarde sa montre, puis on suit la petite femme à l’étage. Elle nous laisse dans une chambre avec deux lits. Il m’explique par signes qu’on doit attendre mais qu’on peut se déshabiller. En quelques minutes on est à poil et on passe à la salle de bain pour une douche.
Felipe a un beau corps bien musclé. On pourra se lécher partout après cette douche. En retournant dans la chambre, on entend quelqu’un monter l’escalier. Une femme avec une perruque blonde nous sourit. Non c’est un homme…non une femme…elle a un soutien-gorge…non c’est un travesti. Elle est grande et belle. Elle embrasse Felipe puis se dirige vers moi. Elle me parle en espagnol. On s’embrasse sur la bouche et nos langues se mêlent. Elle porte une jupe très courte et un chemisier à moitié déboutonné. J’ai déjà senti son parfum mais je ne souviens pas où. Elle enlève ses talons aiguilles et sa veste de cuir. Elle me fait bander. Elle se prénomme Natalia. Je sais qu’elle ne se mettra pas à poil mais c’est beaucoup plus excitant comme ça. Elle a une peau lisse avec une crème qui la fait pâlir car elle a le teint foncé des Indiens quand on voit ses pieds et ses cuisses.
Je laisse le plaisir de faire les premiers pas à Felipe. Natalia est assise sur le lit, les jambes croisées. Felipe s’agenouille devant elle et met les mains sur ses cuisses qu’elle écarte. Elle se couche un instant sur le lit pour soulever ses fesses et retirer son string. Natalia a maintenant les cuisses bien ouvertes et on peut voir sa queue bandée. Felipe commence à la sucer. Sa queue est longue. Elle me sourit et me lance son string. Je le mets dans ma bouche puis je m’approche de Felipe. Je veux lui lécher les fesses depuis l’épisode du camion. Je le sens tressaillir quand il s’aperçoit que je lèche sa rondelle. Je le pénètre avec ma langue puis je lui lèche la raie des fesses de bas en haut. Ses jambes sont poilues mais pas ses fesses. Je lui caresse la queue. J’ai terriblement envie de l’enculer mais je ne sais pas s’il aime ça.
Je monte sur le lit et Natalia se couche et m’attend. Je mets mes genoux de chaque côté de sa tête et je lui propose ma queue. Je suis à quatre pattes et si Felipe n’était pas là, Natalia et moi on serait en 69. Felipe arrête de la sucer et se prépare à la prendre en missionnaire. Chanceux va ! Elle me suce avec encore plus d’entrain lorsqu’elle sent la queue large et courte de Felipe la pénétrer. Je m’étire le cou et j’embrasse Felipe qui est visiblement surexcité. Natalia laisse ma queue s’échapper de sa bouche et recule sa tête pour que sa bouche soit sous mes fesses. Je sens sa langue qui me taquine les petites lèvres de mon cul. Elle me pistonne. Je veux mourir. Felipe nous observe tout en continuant son va-et-vient dans le cul de Natalia. Le mécano prend ma queue dans sa main et me masturbe lentement. Il avance la tête et me suce. Je suis léché de partout. C’est une situation explosive. C’est moi qui a tout fait éclater quand j’ai à peine touché la queue de Natalia. Elle gicla contre le ventre de Felipe qui laissa partir son coup dans le cul de sa belle, et moi je gicle dans la bouche grande ouverte de Felipe. Un feu d’artifice. On se retire, se roule, se lèche, s’embrasse. C’est terminé. On s’aime.
On a fait une petite sieste mais on est réveillé par des gens qui montent l’escalier. Nous sommes dispersés sur le lit : Natalia à moitié nue, Felipe qui est nu et moi aussi. Dans l’embrasure de la porte, on voit les deux femmes du camion accompagnées de la petite Indienne. On leur laisse le lit et on se retrouve sur un grand canapé. La petite femme remet un nouveau drap. Je ne sais pas ce qui se passe. Soudain je remarque que la petite femme est à poil. Elle est rasée ce qui lui donne un air jeune mais elle doit avoir 35-40 ans. Natalia me chuchote en espagnol que les deux femmes sont attirées par sa compagne qui est lesbienne. Les deux femmes du camion enlèvent leur robe et elles sont nues. Elles sont rondes mais belles et ont une toison bien fournie. Natalia me dit qu’elles ont fait un spectacle dans une maison avant de venir ici. On voit d’ailleurs des traces de liquide séché sur leur ventre et leurs gros nichons. Felipe est tout souriant. Il adore les lesbiennes et les combats de femmes. Il se déplace à chaque année au Pérou pour voir le festival Yakanakuy où les paysannes se battent. Il promet de m’y amener l’année prochaine.
En attendant nous sommes les privilégiés à une baise entre trois lesbiennes. Les femmes du camion se ressemblent et on les prendrait pour deux sœurs. Elles attaquent la petite Indienne sans pitié. Une est assise sur son visage et lui frotte sa motte contre le nez et la bouche tandis que sa compagne est à l’autre bout et suce la petite femme rasée comme un aspirateur. Puis ça se lèche le cul, la petite entre les deux autres, recevant et donnant. Felipe, Natalia et moi sommes bandés à bloc. Les femmes ont joui plusieurs fois déjà. Elles sont fatiguées et étendues sur le ventre côte à côte sur le lit. C’est tentant. Natalia nous dit qu’elles s’attendent à ce qu’on les fasse. Je ne dis pas non car c’est dans le cul qu’elles nous recevraient.
Natalia encule sa petite compagne, comme il le fait régulièrement. Felipe et moi sommes prêts pour les deux femmes. On prend celle qui est la plus proche. Elles sont à quatre pattes et on leur lèche leur grande rondelle mauve. Elles gémissent. Combien de fois peuvent-elles encore jouir ?
Nous les enculons en même temps. Elles ne sont pas à leur première visite de ce côté. On leur prend leurs gros nichons pendants dans nos mains. Nos queues glissent bien. Elles se masturbent pendant qu’on les ramone. Ce sont de vraies machines à baiser. On jouit presque ensemble et les femmes nous suivent peu après mais une fois délivrées de nos queues, et en s’embrassant. La fiesta se termine ainsi.
Le lendemain matin, je retourne dans un camion que je ne connais pas. En arrivant à mon avion, je vois que le plein d’essence a été fait. Au revoir Arica et à bientôt.
FIN

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