Ma Gentille Masseuse

Non pas que je sois déprimée, mais toujours énervée, anxieuse, dirai-je même. Si bien que depuis longtemps, trop longtemps sans doute, je prends des antidépresseurs qui ne me font plus grand effet. C’est mon amie Corinne, en discutant, qui m’en a fait prendre conscience.
- Au lieu de tes comprimés inutiles, m’a-t-elle dit, fais comme moi, fais-toi prescrire des massages pour te relaxer le corps et l’esprit, ce sera moins nocif que tes cochonneries et nettement plus efficace, a-t-elle assuré.
Lors d’un rendez-vous chez ma doctoresse, je lui ai fait part de mon souhait d’arrêter mon traitement et lui ai demandé de me prescrire des massages pour la relaxation.
Bien évidemment, il lui était impossible d’effec une telle prescription, mais elle a suggéré me faire une ordonnance pour des massages dorsolombaires et membres inférieurs, puis de m’arranger avec la kiné.
Sur le conseil de Corinne, j’ai donc pris rendez-vous chez sa masseuse en me recommandant de mon amie et en présentant mon souhait pour un traitement de relaxation, bien que possédant une ordonnance différente. Très gentiment, la kiné, étant donnée la recommandation de mon amie, m’a assuré qu’il n’y avait aucun souci, qu’on pouvait parfaitement s’arranger.
Puis, je suis allée à ma première séance. Je me suis trouvée face à une dame assez jeune (la trentaine), mignonne, souriante et très aimable. Après avoir lu mon ordonnance, elle m’a confirmé que, venant de la part de Corinne, nous pouvions nous arranger avec l’ordonnance de ma doctoresse et qu’elle me ferait effectivement des massages doux en relaxation. Elle m’a donc invité à entrer dans la salle et m’a demandé de me dévêtir et de m’allonger sur la table, tandis qu’elle introduisait un CD dans la mini chaîne pour diffuser, en sourdine, une musique douce.
Une fois déshabillée, ne gardant que ma culotte et mon soutient gorge, je me suis allongée sur la table, à plat ventre, comme elle avait suggéré.

Viviane (avait-elle dit s’appeler) est venue vers moi et a commencé à masses délicatement mes épaules, ses pouces effleurant ma nuque. Ses mains, douces, descendirent sur mes omoplates. Elle a dégrafé mon soutient gorge, a glissé les bretelles sur mes bras et a continué à masser le dos, avec des gestes lents et circulaires, sans appui. C’était presque caressant. Je me sentais bien. Arrivée au bas du dos, elle a insinué ses doigts dans la culotte pour masser le haut des fesses. C’était agréable, sans être tendancieux. Ensuite, elle a massé les jambes, puis est remontée sur les cuisses. Là encore, insinuation des doigts dans la culotte pour, cette fois, masser le bas des fesse., toujours sans exagération et sans insistance. Je commençais à me sentir détendue, assez à l’aise, malgré une appréhension lors de mon arrivée.
Elle m’a alors demandé de me mettre sur le dos. Comme je me retournais, mon soutien gorge s’est défait, les bretelles ayant glissé. Gentiment, elle m’a demandé :
- Voulez-vous que je le prenne ?
Sans répondre, je le lui ai laissé prendre et elle l’a posé avec mes vêtements.
Viviane a commencé à me masser la poitrine. J’étais contente que ses mains, toujours douces et caressantes ne pelotaient pas. Ses gestes, à nouveau circulaires, allaient délicatement d’un sein à l’autre. J’étais détendue et ressentais un réel bien être. Ensuite, ce fut le ventre, toujours avec les mêmes gestes délicats et doux. A deux reprises, elle a insinué les mains dans la culotte pour bien masser le ventre. Là, j’ai vu qu’elle était un peu gênée dans ses mouvements. Aussi je lui ai suggéré :
- Vous pouvez l’enlever, si cela vous gêne.
- Vrai, ça ne vous ennuie pas ?
- Ho ! Après tout, nous sommes entre femmes. Ai-je répondu.
Viviane a donc ôté ma culotte, qu’elle a posé avec le soutient gorge. Puis elle a repris son massage. Comme ses doigts, en massant, atteignaient mon mont de Vénus, j’ai commencé à ressentir, non pas vraiment une excitation, mais une sorte de bien être gagner mon intimité.
C’est alors que les doigts de Viviane, descendant sur mes cuisses, ont effleuré ma vulve. Le massage du haut des cuisses et des aines accentua cette sensation, la transformant presque en plaisir, ce qui fit gonfler mon clitoris, le laissant affleurer hors de mes lèvres.
Viviane passa à plusieurs reprises ses doigts sur mon bourgeon durci. Elle dû avoir conscience de mon émoi, car elle demanda :
- Ca vous fait du bien ? Ca vous relaxe ?
- Oui, surtout quand vous passez… Je n’osais pas terminer ma phrase.
- Là, dit-elle. C’est un endroit très sensible, et qui aide à la relaxation.
Pendant un moment encore, elle a continué à masser les cuisses et le ventre, en laissant à chaque fois ses doigts passer sur mon clitoris, maintenant en totale érection. Pour cette première séance, il n’y eu rien de plus que ces touchers subtils.
Ce fut au cours des séances suivantes, comme je m’étais dès lors mise totalement nue sur la table, que Viviane terminait ses massages par des touchers prolongés sur mon bouton et le titillait délicatement du bout des doigts, me menant à chaque fois, progressivement, vers un plaisir et une relaxation tellement plus efficace que les comprimés dont je me gavais auparavant.
Evidemment, j’ai remercié mon amie Corinne de son judicieux conseil, qui m’a dit, avec un sourire et un clin d’œil :
- Je savais que ça te plairait !
Et bien sûr, j’ai demandé à ma doctoresse de me prescrire d’autres séances. Elle a d’ailleurs reconnu que ces séances de relaxation devaient être efficaces, car elle me trouve maintenant beaucoup moins anxieuse.

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