Mes Premiers Pas En Tant Que Candauliste ( Partie 4)

Elle voit bien que je lui mens quand je lui affirme que j’ai suivi ses ordres. Mon erreur c’est d’utiliser un mouchoir à chaque éjaculation. Elle en retrouvera 7 dans la poubelle. Mais quel imbécile !
Mais elle ne se démonte pas et me dis que pour la peine, elle va se toucher en me racontant sa soirée, que j’aurais le droit de la caresser, de la lécher mais pas de jouir, terminé pour ce soir.
Elle exige que je mette ma cage de chasteté et que je range cette pauvre queue qui ne mérite pas le cadeau que ma chérie voulait me faire. Laisser ma verge la pénétrer et jouir en elle lorsqu’elle me raconterais la soirée. Pour la seconde fois, je réalise que je suis un imbécile !!!
Encagé et allongé sur le lit, elle se déshabille devant moi et quel spectacle érotique que de la voir se dévêtir et quelle cruauté de se rendre compte que je n’obtiendrais rien d’elle ce soir et que je resterais en cage toute la nuit. Elle s’allonge et se caresse délicatement le con. Elle me demande de me rapprocher et de la caresser. Elle est dégoulinante de cyprine et gonflée d’excitation. Elle prend ma tête et la plonge entre ses cuisses en des termes très directifs et crus. « Voilà branleur. Ecoute mon récit et goûte, lèche, dévore, mordille et fais-moi jouir comme tu sais le faire avec ta langue et tes doigts et ne t’arrête pas avant que tu m’entendes jouir sinon j’arrête.
Mon visage est immédiatement recouvert de son jus tellement elle est excitée. Elle me raconte donc sa soirée dans les grandes lignes.
Je suis arrivée dans ce bar remplit d’homme et de quelques femmes. Il est arrivé de suite pour m’enlacer et m’embrasser tendrement dans le creux du cou. Il m’a présenté, puis sommes allez nous installer à une table. Il s’appelle Michele, il est Italien, il est marié mais aime convoiter ce qui ne semble pas l’être et il a aimé ma frimousse, mon regard très sexuel et mon attitude générale qui pue le sexe. A la première minute il a su que j’aimais vraiment la queue.

Nous avons ri, il m’a demandé ce que le fait d’être cocu te procurait et quel plaisir j’en retirai.
Il a très vite compris mon intérêt, le tien et évidement le sien.

Au bout de 45 mn il m’a dit vouloir m’embrasser car il ne tenait plus en place, ce que j’ai accepté. Son baiser devant tout le monde était intense, long et d’une grande tendresse. Il est venu près de moi afin de se coller et de continuer à m’embrasser dans le cou, me titiller le lobe et enfin mettre ses mains sur mon corps. J’ai su à cet instant que je voudrai de lui entre mes cuisses.
Nous avons repris notre conversation mélangée à d’innombrables caresses. Ses mains remontaient mes cuisses, forçaient mon entre cuisse pour réussir à discrètement effleurer et pénétrer légèrement ma vulve en ébullition. Mes mains ont elle aussi gentiment pris possession de son corps. Quelles plaques d’abdos, quels pecs, quelle odeur sexuelle il dégage et ma foi quel organe il possède. Ma main à la découverte de sa tige alors qu’il me visitait de ses mains, a découvert un mandrin dans son écrin. Je ne réussissais même pas à le caresser sur toute sa longueur. Quant à son diamètre, ma petite main en faisait juste le tour. Les gens commençaient à nous regarder et nos sexes étaient tous les deux en réelle demande d’en obtenir plus.

Je n’en pouvais plus, ma queue gonflée de son récit était à l’étroit dans sa cage mais ma langue faisait son travail en nettoyant cette chatte humide et reluisante de jus. Elle gémissait entre deux narration et je la sentais venir. Je me régalais de son excitation et la pompais généreusement pour ne rien perde de son nectar sucré.
Elle continua en me disant que discrètement, bien que les gens aillent compris, ils se sont dirigés séparément en direction des toilettes. Les deux directement chez les hommes, dans une cabine au hasard. Michèle n’y tenant plus m’a collé à la paroi, a ouvert mon chemiser puis après avoir malaxer mes seins, s’est mis à les téter come un affamé tout en continuant de visiter mon antre avec ses doigts.
Mes doigts caressaient sa tige veineuse et ma main le branlait énergétiquement. Il bandait tel un âne et cette verge me faisait presque peur.
Il se mis à genou passa une jambe sur son épaule, puis l’autre sur la seconde et me souleva de terre pour finir coller contre la paroi a 1 m 80 du sol avec sa tête entre mes cuisses à me dévorer le minou comme tu le fais maintenant.
Je réalisais que cet inconnu était à la même place que moi il y’a moins d’une heure. J’étais jaloux et tellement excité de pouvoir essayer de faire mieux que lui que j’aurais pu jouir. Elle jouit d’ailleurs en me contant sa soirée en même temps qu’elle m’explique avoir explosé dans un orgasme machiavélique sous les coups de langue expertes de Michele.
Après avoir pris 5 mn pour récupérer de son orgasme avec moi, ou grâce à lui, je ne saurais jamais, elle m’intime l’ordre de continuer de me branler dans ma cage en écoutant son récit avec interdiction de jouir.
Elle se positionne de façon à me fourrer un doigt dans le cul pour essayer de me faire cracher, car comme elle me l’a dit : « Si tu jouis, tu seras puni »

Après mon orgasme, il m’a redescendu puis la queue raide comme une barre à mine, me suppliait de le laisser me baiser à même la cuvette des toilettes. Je souhaitais ardemment que cette queue me transperce mais je me refusais à céder aussi vite à ses pulsions. Je me suis donc agenouillée devant lui et son ami « la teub » puis après l’avoir intensément regardé dans les yeux, j’ai commencé le branler légèrement. Ma langue effleurait délicatement toute sa longueur, ses bourses pleines et son gland violacé par le désir. Mes mains et ma langue faisait corps à corps avec sa verge. Je commençais à accélérer mon mouvement de branlette. Je le sentais respirer plus fort, haleter. Ses mains prenaient mon visage pour tenter d’imposer son rythme mais je m’y refusais en les retirant. Me voilà maintenant à gober son gland tout entier, mes doigts caressent ses couilles, ma bouche effectue des va et vient sur cet imposant appareil reproducteur.
Je n’arrive pas à l’avaler plus que les deux tiers et sa circonférence m’écarte les lèvres, mais j’ai envie de faire l’effort pour cette bite qui viole ma bouche et pour remercier le propriétaire de cette langue qui m’a fait grimper au rideau.
Je suis à deux doigts de jouir sur les exploits de ma femme dans ces WC avec cet inconnu. Les images défilent et ma verge est compressé dans cette cage de métal. Quelques gouttes s’échappent de mon urètre. Je bande petit mais je pourrais jouir.
Je prends plaisir à sucer cette engin, je la ressors et je le laisse prendre sa verge en main afin de me la coller sur le visage, me biffler avec, il se branle devant moi et me la fourre à nouveau dans la bouche, je me surprends à vouloir être sa pute. A ce qu’il fasse de moi ce que bon lui semble mais le fait que je me suis promis de t’avertir avant, me retient dans mes désirs et pulsions. Non il ne me baisera pas sans que je t’ai averti.

Je continue énergiquement à pomper ce mandrin de chaire, je suce et gobe ses couilles car mon désir et de le faire jouir lui aussi. Je m’emploi à lui faire la meilleure pipe de sa vie. Je l’entends haleter, gémir et parler seul. Ma main excite toute la longueur de sa verge pendant que la langue enrobe son gland et tourne autour, le lèche l’aspire et le tète.
Je sens que cette queue se contracte que l’explosion est proche, il me regarde en essayant de me dire qu’il va jouir mais je lui fais comprendre avec un simple regard et mes mains qui garde possession de son énorme engin que je suis prêt à le recevoir.
Ma femme qui va recevoir le foutre d’un inconnu sans même reculer ou refuser par principe, je sens que la sève monte aussi en moi, je sens que je vais jouir mais je ne veux pas être puni, je résiste, je pense à autre chose.
Je sens sa tige se contracter, ses jambes flageoler, sa tête qui part en arrière et un râle de plaisir qui s’extériorise de sa bouche. C’est parti il jouit et je suis face à lui la bouche ouverte.
Je reçois une première salve qui ne pénètre aucunement ma bouche impatiente mais qui s’étale sur la moitié de mon visage, il geint de plaisir. La deuxième et troisième éjaculation finit directement au fond de mon gosier. Le goût est fruité et peu amer. La surprise est bonne. Il continue de cracher son jus encore et encore, deux ou trois sur le visage et encore une ou deux entre mes lèvres. Rarement vu un tel nombre d’éjaculations pour un homme, On doit être à 8 ou 10….
Une fois fini, je le reprends en bouche afin de retirer les dernières gouttes et de le rendre propre à sa femme. Je sens sa tige se détendre entre mes lèvres et je finis de la lustrer. Ma chatte est à nouveau en train de dégouliner mais je pense à ce moment, ce sera pour mon petit cocu de mari qui m’attends sagement à la maison.
Nous nous sommes rhabillé, sommes remontés finir nos boissons, puis il m’a raccompagné à ma voiture en demandant de me revoir. J’ai pris son numéro et suis immédiatement rentré te retrouver sans rien lui promettre. Dans la voiture je pensais à ce que tu allais me mettre, mais c’était avant que je découvre que tu avais passé ta soirée à te branler.

Sur ces mots, elle me regarda et vu que j’avais malheureusement joui dans ma main. Elle me fit part de son mécontentement et m’informa que j’allais avoir une punition. Vient ici et embrasse-moi longuement et profondément afin de gouter au sperme de mon amant d’un soir, ensuit j’irais me brosser les dents et me doucher.
C’était la première fois que j’étais dégouté d’embrasser ma femme car je savais qu’elle l’avait fait exprès de garder cela pour moi. La pelle dura 5 bonne minute, jusqu’à ce que je ne sente plus ce gout acre dans la bouche de ma femme et qu’elle soit à nouveau parfumé de son gout naturel.
Elle partit se doucher et je réalisais que le fait d l’avoir embrassé et d’avoir pour la première fois gouté le sperme de quelqu’un d’autre m’avait beaucoup excité finalement.
Mais je garderais cela pour moi

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