Mes Premiers Pas En Tant Que Candauliste ( Partie 2)

Depuis quelques matins maintenant ma chérie s’apprête différemment et avec beaucoup plus de sensualité. Le sexe est plutôt conséquent entre nous depuis la visite de Gregory la semaine dernière. Ce matin-là elle me fait part du désir de le revoir un de ces jours car elle aimerait jouir comme l’autre soir. Etonné, je lui dis qu’entre nous c’est plutôt intense, mais elle sourit en me disant qu’elle aimera toujours le sexe et la vie avec moi, mais que selon son ressenti de cette première fois entre eux, il s’avère à ses yeux que je suis bien inférieur à lui en terme de capacité, de rudesse et de durée.
Bien que contrarié, je ne peux effectivement pas nier que plusieurs hommes lui feraient bien mieux et plus longtemps l’amour que moi, selon leurs propos. Je la découvrais beaucoup plus ouverte et libre de s’exprimer sur ses envies et désirs. Elle était très sensuelle avec cette facette.
Je la sentais frustrée ce matin de devoir se justifier et moi contrarié de devoir faire revenir ce mâle chez nous, car bien que j’aime offrir ma femme, avec celui-là, ça va être une autre histoire. Elle me dit que si je ne suis pas ok elle n’insistera pas, mais qu’elle serait déçue de rester sur sa faim alors que ce fantasme était plutôt le mien. Je reste contrarié par son offre et excité en même temps.
Nous sommes donc restés un peu en froid toute la semaine. Stéphanie est sortie à deux reprises cette semaine-là. Je faisais bonne figure mais dès que nous nous retrouvions seuls, je faisais la gueule et on ne se parlait pas beaucoup. A la fin de la semaine, elle revint vers moi dans le lit. Une surprise car ce n’était jamais elle qui faisait le premier pas pour arranger les choses.
Elle m’expliqua qu’elle était allée trop vite dans ses envies, c’est vrai, mais qu’elle avait vraiment apprécié Gregory sexuellement parlant. Et mon fantasme de candaulisme la travaillait encore car elle avait en plus du désir de recommencer, celui de me soumettre un peu.

Elle avait vraiment aimé me voir me branler devant eux l’autre soir. Elle m’avoua que Gregory l’avait appelé cette semaine pour la chauffer et lui donner l’ordre de ne pas coucher avec moi sans son accord. Et ce soir elle l’avait. J’étais contrarié et drôlement excité de savoir que ce soir j’aurais le droit de la posséder. Mais que ce soit parce que Gregory l’autorisait me perturbait.
Elle m’expliqua ensuite que son amant lui avait demandé de me dominer, et qu’elle aimait l’idée. Je ne répondis rien mais je me fis la réflexion que lorsque c’était moi qui lui demandais, elle n’était pas plus encline que cela à le faire, mais que là avec son amant elle avait envie de le faire…
Nous discutâmes pendant un petit quart d’heure de cette situation est après la séance intense de sexe entre nous, elle me sentit détendue et ouvert à l’idée d’essayer, juste essayer. Elle trouvait que ce serait sexuellement plus torride entre nous d’augmenter notre rayon d’action. Alors finalement, elle lâcha :
— Bon, tu es OK pour m’obéir, alors ?
Oui de la tête fut ma seule réponse
— Ok chéri, pour ce soir je vais te laisser tranquille. Mais si tu veux du sexe cette semaine avec ta chienne, tu devras te soumettre à moi. Demain soir, dès tu rentres je te veux nu avec ton collier dans le salon. OK ?

Le lendemain soir très excité quand même, je me tenais prêt depuis 45 mn, comme elle me l’avait demandé, quand elle arriva. Elle me demanda gentiment de lui servir un verre d’Amaretto et des cacahuètes, puis elle me fit mettre à quatre pattes devant elle, posa le verre de vin blanc et les cacahuètes sur mon dos en me demandant de ne rien faire tomber et alluma la télé
Elle se mit une série quelques minutes, puis un film porno ou une femme était prise par plusieurs hommes devant le mari passif. Je restai un bon quart d’heure dans cette position ; cela m’excitait terriblement d’être ainsi soumis et de visionner ce film ou ma foi cette femme pareillement baisé et dominant son mari, ne me laissait pas indifférent.
Le plus dur était d’essayer de ne pas faire tomber le verre. Elle s’est aperçue de mon excitation.
« Alors ça t’excite ce genre de situation de femme au milieu de plusieurs hommes ? »
Tu as intérêt à débander très vite, sinon cela m’enverra un signal de tes désirs…. Puis elle posa ensuite ses jambes sur mon dos et passa un coup de téléphone :
— Coucou ! Oui, c’est moi […] Oui, il est à quatre pattes, là […] Non, il n’a rien dit […] Oui, c’est une bonne idée […] Bisous. Je te rappelle.
Puis elle raccrocha et continua à regarder son film ainsi que ma queue gonflée à bloc, rien n’y faisait. Voir cette femme remplie de plusieurs queues de mâles, suçant, malaxant et recevant pareil traitement me faisait bander ardemment.
Cinq minutes plus tard, je lui fis remarquer que je commençais à fatiguer. Elle répondit simplement :
— Gregory veut que tu restes comme ça jusqu’à 22 h 15. Encore 15 minutes à tenir. Gregory, le revoilà avec ses ordres alors que je pensais faire le jeu de ma femme. Et il allait arriver et me voir comme ça, quelle gêne !
Elle reprit alors son téléphone et prit plusieurs photos de moi avec ses pieds posés sur mon dos, puis enchaîna :
— Je trouve assez pathétique que tu bande depuis 20 mn devant ce film alors qu’au lit avec moi, tu tiens max dix minutes. Et aussi que tu appelles mon amant pour lui demander de ne plus me voir. Tu as donc si peu de fierté et de confiance en toi ? Tu aurais mieux fait de me demander directement.
« Le salop lui avait raconté »
Mon sang ne fit qu’un tour. Non seulement Gregory lui avait parlé de notre discussion, mais en plus il demandait à ma femme de me faire à moi, ce que j’aurais aimé lui faire à elle. J’étais le dindon de la farce : ma femme était plus complice avec son amant qu’avec moi. Mais j’arrivais enfin à vivre ce fantasme de domination, et la situation était tellement excitante que je gardai les yeux baissés.


Au bout de longues minutes interminables, elle me libéra enfin de ma position.
J’avais les bras complètement engourdis. Elle me fit mettre alors sur ses genoux et me fessa très rudement à cause de mon érection, puis elle prit une photo de mon derrière tout rouge en ajoutant :
— Gregory veut des preuves de ta soumission. Ne t’étonne pas que je prenne des photos : c’est pour lui envoyer.
Je lui fis remarquer que je ne voulais pas qu’elle prenne de photos de mon visage. Elle répondit :
— Non, non, te n’inquiète pas ; il s’en fiche de ta tête.
Elle ne sortit pas cette semaine-là, mais tous les soirs elle me domina, me poussant à chaque fois plus loin. Le mercredi soir, elle s’allongea sur le canapé avec obligation de la regarder se masturber et de la filmer avec son téléphone ou Gregory était en direct depuis chez lui et interdiction pour moi de me masturber.
Il donnait des ordres à ma femme qui me les répétaient. Rapproche-toi, gros plan, recule, mets-toi là, etc…
J’avais toujours mon collier autour du cou. Je me surprenais à lui obéir aussi aveuglément, d’autant que toutes ces idées venaient de son amant. Mais je prenais un tel plaisir à être à ses pieds…
Le vendredi soir, elle m’annonça qu’elle partait jusqu’au samedi soir chez Gregory : Par respect pour moi, elle ne resterait pas tout le week-end end, car je restais son mari.
— Je pense que tu as eu ta dose de soumission. À moi maintenant de pouvoir assouvir mes fantasmes. Tu as quelque chose à dire ?
Non, je n’avais rien à dire. Je me sentais bien et j’étais aussi content de pouvoir me reposer, car même si j’avais pris un plaisir immense, le traitement de soumission me pesait un peu.
— Très bien. Je rentre samedi vers 19 heures. Je veux que la maison soit impeccable. Et tu rangeras le garage car c’est plus possible.
Elle me demanda également de lui préparer son sac en y mettant quelques affaires sexy. J’y ajoutai le caméscope en lui demandant si elle pouvait filmer un peu… Elle prit le sac et ne répondit rien.
Le vendredi soir et le samedi fut très long car je ne reçus pas un coup de fil, pas un texto, pas une nouvelle.

À son retour le lendemain soir, elle m’expliqua que Greg souhaitait l’avoir pour lui tout seul : dorénavant, je n’aurais plus le droit de la pénétrer. D’autant plus difficile quand on dort dans le même lit. Je fantasmais depuis quelque temps sur l’idée de porter une cage de chasteté, mais elle n’aborda pas le sujet. Cela faisait déjà plus de deux semaines que nous n’avions pas couché ensemble. Je lui demandai alors de me raconter le week-end dans le détail.


— Non, je préfère garder ça pour moi, c’est mon jardin secret… Mais je t’ai rapporté une surprise. Avant de te la donner, tu vas te mettre sur le dos, écarter tes cuisses et me présenter ton anus de cocu.
Pas besoin de me le dire deux fois. Elle commença à enfoncer ses doigts en moi, et en même temps elle sortit une capote remplie de sperme qu’elle agita au-dessus de mon nez…
— Je t’ai ramené un peu de semence pour m’amuser avec toi. C’est un cadeau de Gregory et il a exigé que sa chienne t’en fasse profiter. Sinon je serais punie.
Elle positionna le préservatif sur mon visage et commença à me mettre plusieurs doigts. Je criais mais elle continua, et en profita même pour mettre la capote dans ma bouche pour me la faire sucer. Elle s’enfonçait de plus en plus.
Je serrais les dents mais j’essayais de me retenir car elle prenait un malin plaisir à mettre la capote entre mes dents, justement. Elle cherchait clairement à ce que je la déchire et que le sperme de son amant se répande dans ma bouche. Finalement je parvins à me maîtriser. Elle ne s’avoua pas vaincue ; attrapant des ciseaux, elle la découpa et déversa toute la semence sur mon visage. Une fois fait, comme une bonne épouse, elle me branla et je jouis instantanément.
— Tu sais que je n’ai jamais aimé le goût du sperme (oui c’était l’un de ses seuls tabous), mais Greg pense qu’un bon cocu doit connaître le goût du sperme de l’amant de sa femme.
Un peu plus tard en m’endormant, je me dis que ça commençait aller trop loin, mais tous ces petits jeux m’excitaient, et voir ma femme prendre plaisir à me dominer m’excitait encore plus.
Stéphanie était redescendue. Elle était au téléphone. J’entendis une bribe de conversation :
— Non, elle n’a pas éclaté […] Ben oui, c’est dommage […] OK, on fera comme ça.
Je me posais de plus en plus de questions. Je me disais aussi que je n’avais rencontré cet amant qu’une fois et que j’avais peut-être commis une erreur de jugement. Elle vint finalement se coucher. Quelques minutes plus tard, mon téléphone se mit à vibrer. Je lus sur l’écran :
Quelle journée ! Je lui en ai mis plein le cul à ta femme. » Une photo accompagnait le message. On voyait son amant la prendre par derrière, en levrette. Je restai la bouche ouverte, n’y croyant pas. Sa queue était rentrée aux trois-quarts dans son petit trou, et on sentait qu’il allait lui mettre un grand coup de reins pour la faire rentrer jusqu’aux couilles. La capote n’arrivait pas jusqu’à la base de son sexe, tellement il bandait.
— À voir ta tête, tu as reçu la photo de Gregory, on dirait. Ça te plaît ? me demanda-t-elle.
— Oui, marmonnai-je sans trop savoir quelle attitude adopter.
— Tant mieux ; on va pouvoir bien dormir tous les deux.
Sur ces paroles, elle m’embrassa furtivement sur la bouche et se tourna sur le côté.


— Il t’a enculée combien de fois depuis hier soir? » demandai-je, curieux et encore sous le choc de cette photo.
— Oh, je n’ai pas compté, mais c’est vrai qu’il aime bien mon cul et me l’a mise plus souvent par-là que par-devant. Tant mieux, tu sais que je jouis plus par là.
Voyant que j’allais reposer une question, elle prit les devants :
— Bon, tu as ta photo, moi j’ai pris mon pied. Tout le monde est content, non ? Alors maintenant on dort. Bonne nuit.
Là-dessus elle éteignit la lumière et s’endormit presque aussitôt.
Je me suis branlé quatre fois cette nuit en repensant à tout ça. Le lundi matin allait être difficile.
Le jeudi suivant, au travail, vers 15 heures je reçus un autre texto de son amant, précisant « Bon courage pour le travail. Je t’aurais bien passé ta femme, mais elle a la bouche pleine, là. Elle me fait te dire qu’elle ne pourra pas aller faire les courses et de ne pas l’attendre ce soir, elle rentrera tard ». Comme pour le premier texto, je fus saisi d’une excitation immédiate. Mais chaque message me provoquait un choc. Surpris, je lui renvoyai un SMS lui demandant où ils étaient.
Je reçus alors un message, de ma femme cette fois-ci, un quart d’heure plus tard : « On t’a dit qu’on était occupés, alors tu fais ce qu’on te dit et tu t’occupes des courses. Et je t’interdis de répondre à Gregory. »
Je reçus une photo ce jeudi-là, vers 18 heures, pile alors que sortais du magasin, sans commentaire. J’y vis Stéphanie à genoux en train de le sucer, le regardant droit dans les yeux, ou plutôt dans l’objectif du smartphone. Son regard en disait long…
Pendant environ un mois, ce petit jeu continua. Je recevais des photos tous les 3 ou 4 jours et me branlais très (trop ?) souvent. Les commentaires de son amant étaient de plus en plus vicieux, du genre « T’inquiète pas, ça reste ta femme, mais c’est ma salope maintenant. » ou bien « Tu savais que ta femme était capable de jouir rien qu’en prenant mon foutre sur sa petite gueule d’ange ? » Je me rappelle d’un message qui m’avait particulièrement marqué : « Toujours aussi bon de baiser ta femme jusqu’à l’os. Elle en redemande. » Je ne parle pas des photos. Stéphanie n’avait déjà quasiment pas de tabous, alors là.
Une des photos qui m’avait le plus excité présentait son magnifique cul avec écrit dessus au feutre « Ta femme, ma pute. »
Steph découchait toujours 2 ou 3 nuits par semaine. Elle continuait de me dominer régulièrement, mais elle n’avait pas beaucoup d’efforts à faire. Je devais m’occuper des tâches ménagères
Un soir, elle me rapporta le linge de son amant.
— Sa machine à laver est en panne. Merci de t’en occuper au plus vite.
J’aurais dû trouver que c’était trop. Qu’il ne fallait pas accepter. Mais cette demande me provoqua au contraire une très grande excitation. Le coup de grâce, ce fut quand elle m’assena :
— Attention, ce pull est très fragile. Il faut le laver à la main.
J’ai fait la lessive immédiatement et lavé son pull dans une bassine. Une heure plus tard, je recevais un SMS de sa part : « Merci pour le linge. On se rend des services. Comme ça, ta femme a une vraie queue, et moi mon linge propre. Ses messages faisaient mouche à chaque fois. Il trouvait toujours la petite phrase avec le juste équilibre entre excitation et humiliation.
Stéphanie, de son côté, semblait beaucoup plus épanouie qu’avant, plus confiante. Toujours de bonne humeur, beaucoup plus sûre d’elle. Elle me narguait aussi et m’humiliait de plus en plus souvent, notamment quand je lui posais des questions. Ses réponses étaient du style « Évidemment que j’aime baiser avec lui. Au moins ça ne dure pas quinze minutes. Et pourtant il me baise comme un vide-couilles. Il sait que j’aime ça. Imagine, si j’étais sa princesse… » Ses formules me faisaient à chaque fois plus d’effet.
Puis après la période des photos, ce fut au tour des vidéos. La première que je reçus présentait Ma femme ou plutôt sa pute, en levrette en train de se faire prendre par derrière. L’équivalent de la première photo qu’il m’avait envoyée. Mais là, il y avait le son. J’entrais dans une autre dimension.
Certes, la qualité de la vidéo était médiocre ; c’était filmé au téléphone portable, mais je voyais très bien qu’il se déchaînait sur elle. J’avais même peur qu’il lui fasse mal tellement il la baisait fort. Stéphanie hurlait sous ses coups de bite. Ça, c’était pour le côté excitant. Pour l’aspect humiliation, il n’était pas en reste. Ses commentaires semblaient faire encore plus jouir ma femme : « T’aimes ça, hein, ma salope ? Te la prendre dans le cul ! Regarde, je filme pour ton cocu. Il va être content. » Elle ne répondait pas, mais quand elle entendait ces mots elle gémissait (enfin, gémissait, hurlait plutôt) encore plus fort.
Sur les vidéos suivantes, il prenait un malin plaisir à la faire parler. Il la baisait par exemple en missionnaire en la filmant et lui disait : « Alors, c’est autre chose qu’avec ton mari, hein ? Dis-le que c’est bon. » Et de la voir, elle, le regard dans le vague, complètement en sueur lui répondant « Oui, c’est bon. Vas-y, mets-la-moi bien au fond. »
Cela faisait maintenant trois mois que je n’avais plus pénétré ma femme. J’avais juste eu le droit de la lécher 15 jours auparavant, mais ça avait été très rapide avec une rapide branlette de sa part. Il avait aussi pris son temps pour racheter une nouvelle machine.
Évidemment, j’avais matière à me branler pour les cinq années à venir avec toutes les photos et vidéos que j’avais reçues !
Nous avions trouvé une sorte d’équilibre – sans doute précaire, j’en étais conscient – mais dans notre vie quotidienne nos rapports s’étaient améliorés. Seule ombre au tableau : je ne pouvais pas mettre sur mon blog les photos et les vidéos qu’il m’envoyait ; on aurait pu les reconnaître trop facilement. Mais surtout, je n’avais rencontré qu’une seule fois son amant.
Un soir, profitant de l’amélioration de nos rapports, je lui demandai si je pouvais venir avec elle chez lui. ’était le moment ou jamais. Elle fut un peu amusée de ma demande et me dit qu’elle y réfléchirait.
Trois jours plus tard, elle me dit que Gregory était d’accord. Nous irions donc chez son amant le lendemain samedi vers 15 heures. J’étais évidemment aux anges, mais partagé entre excitation et appréhension. Le matin, je préparai mon appareil photo et mon caméscope. Stéphanie me regardait, amusée en levant les yeux au ciel.
En arrivant chez lui, un frisson me parcourut le dos : il n’était pas seul. Un ami était avec lui, en train de discuter devant sa voiture. Je me dis « Il n’a quand même pas prévu de la prendre avec son pote devant moi ? » Ma chérie semblait très calme et au courant. Mais ça n’était pas ment pour me rassurer. Je la sentais tout à fait capable de me faire un coup comme ça.
Il avait une maison avec un jardin. Une fois garés dans l’allée, tout le monde se dit bonjour. Juste avant d’entrer dans la maison, Steph me prit à part et me dit discrètement
— Dis-moi, mon petit cocu, la voiture de Nicolas est très sale. Ça ne te dérange pas de la laver avant de rentrer dans la maison ? Regarde, il t’a sorti le tuyau, une éponge et du produit. Tu fais ça bien, hein ? Après, tu auras le droit de venir nous voir.
Livide, je lui demandai :
— Mais il y a son copain. Vous n’allez quand même pas faire ça à trois pendant que je lave sa voiture ?
Elle me répondit simplement :
— Qui sait ? Il est mignon, tu ne trouves pas ? De toute façon, tu n’as rien à dire et moi non plus, c’est le deal. Et il n’a jamais été question que je n’aie droit qu’à un amant. Allez, au boulot, et applique-toi. S’il reste des traces, je me ferai un plaisir de te corriger sévèrement !
Mon cœur battait à cent à l’heure. Je me jetai sur le tuyau d’arrosage pour commencer sans tarder. Je me disais que ce n’était pas possible. Heureusement, la voiture était garée juste à côté de la fenêtre du salon. Je pouvais donc les apercevoir. Je regardais toutes les 30 secondes pour vérifier qu’ils n’étaient pas en train de se la faire tous les deux. Mes craintes se dissipèrent quand je vis sortir son ami de la maison, cinq minutes plus tard. Il me fit un signe de la main pour me dire au revoir et me souhaita bon courage en rigolant. Après ce léger soulagement, je m’inquiétai à nouveau. Qu’avait-il pu dire à son ami ? « Oui, son mari lave ma voiture pendant que je baise sa femme. Ça vaut le coup, non ? »
J’en étais à ces réflexions quand je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux seuls désormais. Depuis au moins cinq minutes. En regardant par la fenêtre, je remarquai qu’ils avaient disparu du salon. Je me dépêchais de passer l’éponge sur la carrosserie pour aller les retrouver. Finalement, n’y tenant plus, je bâclai la tâche qui m’était confiée pour aller les retrouver.
En entrant dans la maison, des bruits parvenaient de l’étage. Je montai les escaliers avec mon sac à dos. En entrouvrant la porte de la chambre, je découvris ma moitié en train de se faire prendre à quatre pattes sur le lit. Discrètement, je m’empressai de sortir ma caméra pour immortaliser ce moment. Je réussis également à prendre quelques photos. Vu qu’ils étaient de dos, je n’arrivais pas à voir s’il la prenait par-devant ou par derrière. En tout cas il l’insultait copieusement :
— Ça te plaît, petite pute, de te faire baiser pendant que ton mari lave ma voiture ? Oh oui, je vais décharger !
Il l’attrapa alors par les cheveux, la retourna, retira la capote et éjacula sur son visage. Il lui en envoya de longs et grands jets, très abondants. Ce n’est que lorsqu’ils s’allongèrent sur le lit qu’ils remarquèrent ma présence.
— Tu es déjà là ? Tu as fait vite. J’espère que la voiture de mon amant est propre, me dit ma femme, le visage encore plein de sperme.
La voiture… je l’avais complètement oubliée ! Elle se leva, enfila sa jupe et passa devant moi en récoltant un peu de semence sur ses lèvres pour me la coller sur le bout du nez avec son doigt. Arrivés en bas, le véhicule semblait propre. Je le leur fis remarquer.
— Oui, à part là, ici, ici aussi, et encore là ! me rétorqua ma femme.
Elle me colla l’éponge dans les mains en me signifiant qu’il fallait recommencer, attrapa son amant par la main et lui dit :
— Viens, j’ai envie que tu me prennes sous la douche.
Un quart d’heure plus tard, la voiture était propre. Ma femme et son amant aussi. Quand je pénétrai à nouveau dans la maison, ils m’attendaient dans le salon. Elle me fit un geste pour m’indiquer que je devais m’allonger sur ses genoux. Elle prit soin d’enlever ma ceinture et de baisser mon pantalon au préalable.
— Tu as vu comment il devient obéissant avec son dressage ? Plus aucune protestation.
— Effectivement, c’est impressionnant ! répondit son amant, amusé.
— Je t’avais dit que si la voiture n’était pas propre, je te corrigerais moi-même, me lança-t-elle.
Sur ces mots, elle m’administra une fessée retentissante. Oh, la douleur était à peu près supportable, mais le bruit des claques, et surtout le regard de son amant me pétrifièrent. Quand elle eut fini, elle m’envoya au coin du salon, le pantalon toujours baissé, les fesses rouges, avec interdiction de me retourner. J’avoue que je ne me rappelle pas vraiment de la suite de l’après-midi ; la honte était telle que ma mémoire préféra oublier leurs ébats.
Ce sentiment dura jusqu’au retour à la maison. Curieusement, la vie reprit son cours tout de suite et cet épisode s’effaça dans la soirée. J’eus même le droit de la lécher et elle me mit un doigt ce soir-là.
Mais quinze jours plus tard elle m’annonça qu’elle partait pour un week-end de trois jours avec lui au bord de la mer. Je fis des pieds et des mains pour venir, lui disant que je serais à leur service, que je ferais tout ce qu’ils me demanderaient. Je ne voulais pas qu’elle me laisse seul. Bizarrement, quand elle allait chez lui, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mais le fait de les savoir en vacances et moi seul à la maison m’était insupportable. Finalement, après nous être entretenus avec lui, ils acceptèrent. Mais sous certaines conditions, qu’elle m’énonça :
— Comme tu me l’as dit, tu seras à notre service, donc tu nous obéiras :
> Je dormirai avec Greg dans la chambre ; toi, tu auras le canapé ou la deuxième chambre, s’il y en a une. Tu devras avoir le regard baissé en notre présence. Donc interdiction de nous regarder dans les yeux.
Nous voulons le petit déjeuner servi au lit samedi et dimanche matin, avec jus d’orange pressé, café et croissant. Je t’interdis de te tripoter ou de sortir ta queue en notre présence, sauf si on te le demande.
Tu as interdiction de jouir pendant tout le week-end.
C’est Nicolas qui paiera pour la location, et toi qui paieras pour les sorties.
Nous partons avec ta voiture, et c’est toi qui conduiras.
Cela me paraissait juste. Il n’y avait que l’interdiction de jouir qui me dérangeait ; mais comment le sauraient-ils, puisque je ne portais pas de cage de chasteté ? Je demandai à mon tour s’ils pouvaient laisser leur porte entrebâillée la nuit si jamais ne je désirais venir les regarder baiser. Elle éclata de rire et répondit :
— Mon pauvre, tu en es rendu là ? Eh bien tu verras bien. Si elle est ouverte, tu auras le droit de regarder, et si c’est fermé, il te restera tes oreilles… Mais n’oublie pas : interdiction de jouir de tout le week-end.
Le jour J arriva. Son amant avait loué un petit appartement sur la côte. Nous avions rendez-vous avec lui sur un parking de supermarché. Quand nous arrivâmes, Stéphanie sortit de la voiture et ils se roulèrent une pelle pendant au moins 15 secondes. Je priai pour ne reconnaître personne que je connaissais. Heureusement, j’allais rarement dans ce secteur. Je lui serrai la main rapidement en lui disant bonjour. Il était tout sourire et très détendu.
Première surprise : Steph monta à l’arrière avec lui. Je pensais naïvement qu’elle ferait la route à côté de moi, et lui derrière. Il y avait environ une heure et demie de route.
Et évidemment, au bout de cinq minutes, il la pelotait dans tous les sens et enfonçait bien sa langue dans la bouche. Très vite, la contrainte de devoir suivre la route devint insoutenable, alors que le spectacle était derrière. Heureusement l’autoroute arriva très vite. Au péage, au moment de prendre le ticket, il avait la main dans sa culotte (elle était pourtant en jeans) et le routier qui était dans le camion juste à côté n’en perdait pas une miette. Ça ne les dérangeaient pas.
Un peu plus tard, c’est elle qui ouvrit sa braguette pour commencer à le sucer. Je n’avais jamais bandé autant. J’essayais tant bien que mal de conserver le regard sur la route, mais toutes les cinq secondes il fallait que je regarde ma femme se délecter de son sexe. Elle le suçait avec application, essayant de l’avaler entièrement en lui caressant les couilles. Au moment où il l’attrapa par les cheveux pour lui enfoncer plus profondément, je ne pus m’empêcher de rester à regarder. La voiture se déporta vers la gauche au moment où une voiture nous doublait.
L’amant me remit sèchement à ma place :
Dis donc, cocu, t’as intérêt à te concentrer sur la route parce qu’on aimerait arriver entiers.
Voyant cela, sa chienne en rajouta une couche :
Je te préviens que s’il y a une autre embardée, c’est lui qui s’occupera de te corriger, et il a beaucoup plus de force que moi.
Je répondis platement :
Je vous prie de m’excuser.
Ils se regardèrent en rigolant, et Steph détacha alors sa ceinture, se mit à genoux sur la banquette et continua à le sucer. Il passa alors sa main sur son cul, lui baissa le jeans et commença à lui caresser les fesses. Je me doutais qu’il enfonçait ses doigts, mais je n’arrivais pas à voir si c’était dans sa chatte ou son anus. Je me retins de demander, craignant de me faire envoyer balader une nouvelle fois…
Quelques minutes plus tard, elle se mit à califourchon sur lui pour se frotter. Elle n’avait heureusement pas enlevé son jeans. Finalement, énervés par le bipbip de la ceinture de sécurité qui était enlevée, ils se rassirent normalement tous les deux.
Nous arrivâmes enfin à l’appartement. Le propriétaire était là pour nous accueillir dans le hall de l’immeuble. Nous avions dû nous garer un peu plus loin, le parking de la résidence étant plein.
Nous allons faire l’état des lieux ? demanda-t-il.
Je commençai à le suivre mais elle me retint.
Nous venons avec vous tous les deux… Pendant ce temps-là, mon mari va aller chercher les bagages dans la voiture.
Je commençai donc à faire demi-tour pour aller chercher les affaires (ma femme emporte toujours une tonne de vêtements, même pour deux jours).
C’est au troisième étage, appartement 307. Attention, il n’y a pas d’ascenseur. À tout à l’heure, ajouta le proprio.
Je revins un bon quart d’heure plus tard, essayant tant bien que mal de transporter les bagages en un seul voyage. Ils venaient de terminer l’état des lieux et discutaient quand je posai les affaires dans l’entrée. Voyant cela, ma femme me reprit et me dit assez sèchement en me montrant une porte du doigt :
Enfin, voyons, tu ne poses pas les affaires ici : tu vas les mettre dans notre chambre. Tu as de la chance : tu as également une chambre ; ça t’évitera de dormir dans le canapé.
Elle avait décidé de faire comprendre au propriétaire que j’étais un cocu complaisant et de m’humilier. Ils me regardèrent faire en souriant. En sortant de la chambre, le propriétaire partit en ajoutant « Bon, je vous laisse. Amusez-vous bien ! » en faisant un très large sourire.
Je restai là sans bouger, ne sachant pas trop quoi faire. Ma femme me sortit de ma torpeur :
— Bon, tu ranges nos affaires dans les placards, tu passes un petit coup de serpillère ; tu sais comment je suis. Pendant ce temps-là, on va faire un petit tour sur la plage. À tout à l’heure.
Ils revinrent deux heures plus tard et s’effondrèrent sur le canapé. Il devait être 18 heures. Je m’assis sur le fauteuil en face pour me poser un peu avec eux. Elle me demanda d’aller leur chercher à boire. Je sortis la bouteille de champagne qu’ils m’avaient demandée, leur servis une coupe à chacun et commençai à me servir.
Non, pas d’alcool pour toi ! répliqua-t-elle. Si nous sortons et qu’il faut prendre la voiture, c’est toi le chauffeur, et un chauffeur ne boit pas.
Une fois servis, ils m’autorisèrent à m’asseoir sur le fauteuil en face d’eux. Il y eut alors quelques secondes de flottement. Je la sentais un peu gênée, mais son amant trouva les mots pour dissiper ce malaise :
— Alors, comment avance le dressage de ton mari ? lui demanda-t-il.
— Oh, comme tu vois, ça commence à porter ses fruits. Il est déjà bien obéissant. C’est surtout grâce à toi : tu sais trouver de bonnes idées.
Il me porta un regard furtif et chuchota à l’oreille de ma femme. Elle ne put s’empêcher de rire.
— Oui, c’est une bonne idée. D’ailleurs, on va expérimenter tout de suite.
Elle se leva alors et sortit de la pièce. Deux minutes plus tard, elle m’appela depuis les toilettes. Je frappai à la porte. Elle me dit alors :
— Gregory a eu une très bonne idée, et en plus c’est écologique. Plutôt que d’utiliser du papier, je t’appellerai pour que tu me nettoies avec la langue après avoir fait pipi. Allons, ne perds pas de temps. Allonge-toi sur le dos, ce sera plus facile.
Je n’osais pas l’avouer, mais cette demande m’excita. Je m’exécutai et elle s’assit carrément sur mon visage. Le petit manège dura environ trente secondes. Je sentais l’odeur d’urine sur son sexe, mais très vite sa chatte fut toute propre. Nous revînmes ensuite dans le salon.
Encore une très bonne idée, mon chéri, et mon mari fait ça à la perfection.
Là-dessus, ils s’embrassèrent en riant et il commença à la déshabiller.
J’étais toujours assis sur le canapé mais ils ne me calculaient plus du tout. En quelques secondes ils se retrouvèrent nus tous les deux. Elle se mit alors sur lui pendant qu’il enfilait une capote, attrapa sa queue et se l’enfila très sensuellement. C’était elle qui dirigeait le rythme et faisait les mouvements. Très vite il écarta ses fesses et commença à donner des coups de reins. Quand il lui mit deux doigts dans l’anus, n’y tenant plus, je me levai pour aller chercher l’appareil photo. Je m’attendais à me faire rembarrer mais je n’existais déjà plus pour eux. J’eus ainsi tout le loisir de prendre des photos. Ils changèrent ensuite de position. Elle s’allongea sur le dos sur le canapé et lui chuchota à l’oreille :
Tu as envie de m’enculer ?
Sans même lui répondre il s’enfonça dans son petit trou. J’étais impressionné : sans préparation, il arrivait à s’enfoncer en elle sans problème. Stéphanie était dans tous ses états, elle criait fort, comme à chaque fois qu’elle se faisait prendre par derrière. Très vite elle lui dit :
Je suis ton vide-couilles, je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi.
Il le prenait méticuleusement, lui donnant de grands coups de reins, très profonds, mais pas très rapidement. Puis il accéléra en l’insultant :
T’aimes ça, ma salope, te faire prendre par le cul… T’inquiète, tu vas en prendre tout le week-end…
Il continua à la prendre par derrière pendant de longues minutes. Ma chérie hurlait. Elle devait en être à son troisième orgasme lorsqu’enfin il éjacula… Il se retira, fit un nœud et me jeta le préservatif usagé à terre pour que je le ramasse. Je me disais intérieurement que son amant était vraiment endurant : moi, j’aurais joui au bout de deux minutes, mais en regardant l’horloge je me rendis compte qu’il l’avait prise pendant près d’un quart d’heure. Je me sentais vraiment inférieur, et curieusement cette sensation m’excita. J’en étais à ces réflexions en revenant dans le salon quand elle m’interpella, toujours sur le dos, les cuisses écartées, un pied sur l’épaule de son amant qui la caressait, l’autre par terre sur le tapis.
Tu vois, mon petit cocu ; ça, c’est un vrai mec, qui me prend le cul et qui sait y faire. Sa queue est toujours raide, et surtout il tient longtemps.
Je baissai les yeux en m’asseyant, conscient qu’elle avait raison
Tiens, passe-moi l’appareil photo qu’on regarde les photos que tu as prises, me lança-t-elle.
En regardant les photos, Greg lui demanda l’appareil et la fit mettre à quatre pattes.
Je vais en faire une autre qui va plaire à ton cocu ! dit-il.
Il lui demanda d’écarter ses fesses, et son trou béant s’ouvrit. Il prit deux ou trois photos, puis me dit d’un ton sec :
Allez, lèche-lui le cul !
Je m’approchai mais la vision de ce trou grand ouvert ne m’inspirait pas du tout.
Obéis, cocu, ou je te corrige ! insista-t-il.
J’obéis alors en entendant les clics de l’appareil photo.
Enfonce ta langue ; je veux la voir rentrer en entier.
Elle était hilare. Cela lui plaisait qu’il m’humilie. Elle rajouta :
Et encore, il n’y a pas de sperme. Il faudra vraiment qu’on pense à faire un test pour qu’il goûte ton foutre.
Finalement ils se levèrent, toujours nus, et allèrent dans leur chambre.
Tu vas préparer le repas ; on veut manger pour 21 heures, dit Jade.
Je filai à la cuisine ; il était 19 h 30. En préparant à manger, j’avais en tête toute la scène qui venait de se dérouler devant moi. Ma femme en train de se faire enculer et insulter. C’était vraiment intense. Je n’arrêtais pas de regarder les photos. J’étais content car j’allais pouvoir mettre ces photos sur notre blog. On ne pouvait reconnaître l’endroit, et je n’avais qu’à flouter les visages. Après cette réjouissance (pathétique, je l’admets après coup en écrivant ces lignes), je me demandai ce qu’ils fabriquaient tous les deux. Une fois que le plat était à mijoter, je m’approchai de leur chambre et m’aperçus que la porte était fermée. Je décidai donc d’aller dans ma chambre et mis mon oreille contre le mur.
Par chance, l’appartement était très mal insonorisé. Malheureusement, je n’entendais que le son de la télé. Déçu, je décidai de profiter de la vue du balcon. C’est en passant ma tête que je vis Stéphanie debout contre la rambarde, en train de se faire prendre. Elle essayait de se retenir de faire du bruit pour ne pas attirer l’attention des passants dans la rue. Mais lui prenait un malin plaisir à la baiser de toutes ses forces. Je l’entendis lui susurrer à l’oreille :
Tu te retiens de faire du bruit, salope ? Attends, je vais te faire couiner, moi
Sur ces mots il lui claqua les fesses et la pilonna comme jamais. J’eus à peine le temps de prendre la caméra et de filmer quelques secondes. À la fin, elle lui dit en l’embrassant :
— Humm, tu t’es juste servi de moi pour te vider les couilles : j’adooore !
Puis ils se rhabillèrent et me rejoignirent dans la cuisine. Le reste de la soirée se passa plus ou moins normalement… si l’on considère que voir sa femme se faire peloter et embrasser toute la soirée est bien normale.
La nuit fut par contre très dure : de 23 h à 4 h du matin ils baisèrent au moins 5 ou 6 fois. J’étais réveillé toutes les heures et, ne pouvant rien voir, très frustré. Malgré l’interdiction, je ne pus m’empêcher de me branler ce soir-là, trois fois, tellement j’étais excité.
Au petit matin, mon réveil sonna pour préparer le petit déjeuner comme ils m’avaient demandé. Après avoir pressé les oranges et tout préparé, je frappai à la porte mais pas de réponse. Je décidai donc d’ouvrir pour déposer le plateau. Évidemment, ils dormaient à poings fermés (après la nuit qu’ils venaient de passer, tu m’étonnes…). Je déposai le plateau sur le bureau. Stéphanie émergea à ce moment-là.
Viens un peu par ici, me dit-elle. Baisse ton pantalon.
Je me dis qu’elle allait m’accorder une faveur en me suçant pour me féliciter pour le petit déjeuner. Elle se contenta de sentir mon sexe de près.
Pouah ! Tu pues le sperme d’ici ! s’agaça-t-elle. Je t’avais pourtant interdit de te branler.
Mais je…
Ne nie pas ! Greg, il s’est branlé cette nuit ; j’en étais sûre.
Son amant émergea et dit, encore endormi.
Dis-lui de sortir, on règlera ça après avoir déjeuné.
T’as entendu ? Sors d’ici, branleur. Ce n’est pas étonnant que tu sois cocu : tu passes ton temps à te branler. Dégage, bande-mou !
Ils sortirent de la chambre une demi-heure plus tard. Elle était réellement mécontente. Elle m’ordonna de baisser mon pantalon et de me mettre à quatre pattes. Je m’attendais à ce qu’elle me fesse. La présence de son amant, spectateur de la scène, m’excitait. C’est lorsqu’elle annonça que ça allait être lui qui allait me corriger que je pris peur. Avant que j’aie le temps de réagir, elle ajouta :
Oui, je sais tu ne t’y attendais pas, mais tu le mérites. Tu as trahi ma confiance, et je n’aurai aucune pitié.
Je sentis la première claque s’abattre sur mes fesses alors qu’elle finissait sa phrase. Il était sportif et avait de la force, je le sentis tout de suite. Je n’en tirai aucun plaisir. J’avais vraiment l’impression d’être un puni. J’entendis alors le déclic de l’appareil photo : Ma chérie immortalisait le moment. Étrangement, ce fait m’excita réellement et rendit la situation beaucoup plus supportable. Au bout de cinq bonnes minutes, j’avais les fesses en feu. Il tapait vraiment fort. Jade dit alors :
Encore dix claques, et tu vas compter.
Il avait pris de l’assurance.
1, 2, 3…
Arrivé à 7, je ne pus m’empêcher de laisser échapper une larme. La douleur et l’humiliation, je ne savais plus où j’en étais. Steph le remarqua.
Regarde, mon chéri, mon petit cocu est en train de pleurer : ça, c’est une vraie punition. Allez, plus que trois.
Encore une fois, les mots de ma femme me rassurèrent, paradoxalement.
Maintenant tu files dans ta chambre ; on ne veut plus te voir. Nous on va faire un tour. On se retrouve à midi. J’espère que cette punition t’aura remis les idées en place.
Après leur départ, je me précipitai dans la salle de bain : mon cul était rouge vif. Heureusement, la douleur partit assez vite, mais pas la honte.
En les retrouvant à midi, ils virent que mon attitude avait changé : je baissais vraiment les yeux, et quand son amant m’adressait la parole, je répondais « Monsieur ».
Le soir, nous sommes sortis au restaurant. Elle alla aux toilettes juste avant les entrées. Deux minutes plus tard, il prétexta avoir un coup de fil à donner. Elle revint cinq minutes plus tard, réajustant sa robe : il l’avait baisée dans les chiottes du restaurant !
La nuit fut sereine pour moi, car j’étais épuisé. Hormis le déjeuner et la dernière visite de Gregory dans les trois orifices de ma femme, après le petit déjeuner et avant notre départ, rien d’exceptionnels. L’après-midi, le retour fut plutôt agréable et lors de notre retour à la maison, Stéphanie a exigé, sans discussion de ma part, que je m’allonge sur le lit nu et l’attende.
Elle est arrivée habillée en porte jarretelles, talon aiguille. Elle s’est mise à me sucer et me branler tendrement. Puis voyant mon excitation, elle est venue s’empaler sur ma verge puis en moins de 5 mn, a réussi à me faire jouir comme jamais.
Elle a tendrement déposé un baiser sur mes lèvres en me disant
« Merci mon chéri pour ces trois mois de soumissions. C’était le deal avec Gregory, trois mois, pas un de plus. Je ne le reverrais plus. Je redeviendrais ton épouse, car tu restes l’homme de ma vie. Mais j’ai aimé te soumettre pareillement, alors ne doute pas de moi quand je te dis qu’il y’aura d’autres surprises »
J’étais aux anges car je récupérais ma femme, et malgré tout mélangé, car le regret de ne plus pouvoir être soumis et de ne plus la voir se faire baiser par d’autres cohabitait avec le plaisir de la récupérer.
Tu sais, je n’ai pas oublié ton érection lors du visionnage du film porno le premier soir ou une femme baise avec plusieurs hommes, qui sait !! »
Quelle femme sublime, me voilà à nouveau habité par une nouvelle envie

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