Dépucelage Nature

Dépucelage nature
Premières expériences (2)


J'essuie ma bouche encore engluée par le sperme du chauffeur routier lorsque j'entends une branche morte craquer ….

L'endroit est tranquille, certes, mais cela n'a pas empêché d'avoir un voyeur à proximité.
Je suppose qu'il m'a vu sucer le routier et, bizarrement, cela ne me gêne pas, bien au contraire. Loin de chez moi, personne ne me connaît. Encore sous le coup d'excitation de la première pipe que je viens de faire à un homme, tout semble possible maintenant pour moi.

Le mec se rapproche

" Salut
" Salut
" Dis donc, il t'a gavé, le vieux, avec sa grosse bite (en parlant du routier qui m'a jouit dans la bouche et m'a obligé à tout prendre)
" Oui.
" Il en avait plein les couilles? Il a bien giclé ?
" Oui, il a bien craché.

Je joue le mec habitué, la jeune salope qui aime ça. Je ne vais pas lui dire que je viens pour la première fois de goûter au jus de couilles d'un homme qui n'avait peut être pas baisé ou juté depuis plusieurs jours. J'ai encore en bouche le goût du sperme du routier. C'était du gluant, du bien gras qu'il m'a giclé, comme il dit. Je croyais avoir tout avalé mais le goût salé me reste en bouche et, avec ce mec en face de moi, je n'ose pas recracher.

" Moi aussi, j'ai envie.

Le mec, la trentaine, un regard de fauve en chasse encadré par un visage buriné par le soleil, viril, un physique de sportif accompli, habillé genre commando: est ce un militaire ou un mec qui aime ce style…à vrai dire je m'en fout un peu. Il n'attend pas, est déjà collé contre moi et me tripote, se réjouit du moment à venir.
Comme hypnotisé par son regard et son culot, je me laisse faire, prêt pour tout ce qu'il a envie. Face à lui, je ne fais pas le poids et attend la suite. Après ma première pipe il y a quelques minutes, je suis chaud bouillant pour découvrir d'autres plaisirs.


Beaucoup plus entreprenant que le chauffeur routier, il me serre, me tâte le corps un peu partout, me masse les fesses de façon vicieuse, très intéressé par mon cul. Emballé par sa frénésie, je tâte sa braguette et c'est dur là dedans, j'en suis tout chose. La première fois que j'ose mettre la main à l'entrejambe d'un homme.
Complètement disjoncté par le geste que je viens de lui faire, pris par son envie de sexe, il me plaque contre un tronc d'arbre et colle sa bouche à la mienne, m'impose sa langue, dominateur, sûr de lui, n'attendant aucun refus de ma part.
Il a vu que le routier m'a craché son foutre en bouche mais cela ne le rebute pas de passer après. Je pense même que ça l'a excité et qu'il n'a aucun doute sur mon envie de sexe, qu'il me prend pour un jeune pédé en manque et qu'il est sûr d'arriver à ses fins.

Le mec crache toute sa salive dans ma bouche, comme pour me rincer les dents puis vient me fouiller le palais avec sa langue épaisse, s'impose en moi, me domine de sa force virile jusqu'à ce qu'il me sente lâcher prise et céder à sa volonté.
Dans ce corps à corps imposé, il répand sur moi des effluves de cigare, de cuir ou un parfum dans ce genre là, comme une odeur de mâle et ce relent musqué m'envahit, me pénètre, me domine et on dirait qu'il le sait.
Ses mains me tripotent tout le corps, passent sous mon teeshirt puis retournent à mes fesses. Je suis son terrain de jeu, pour mon plus grand bonheur, une découverte merveilleuse.
Il arrête, remonte son teeshirt et colle ma bouche contre ses pectoraux durs et puissants, m'offre ses magnifiques tétons très appétissants, divinement bons à sucer. Je les suçote, les mordille légèrement, ce qui a l'air de lui plaire, et il me fait passer de l'un à l'autre.

Le routier en avait des plus gros, perdus dans une touffe de poils longs et raides, dommage que j'ai pas eu l'idée de les sucer. Le mec est recouvert de tatouages, c'est un dur, pas le genre à reculer.
Je sens qu'avec celui là, je vais passer un quart d'heure viril et que j'ai intérêt à le satisfaire.

Il grommèle son plaisir, se pince l'autre téton, se malaxe le paquet puis défait son ceinturon et sa braguette… et, d'autorité, m'appuie sur la nuque, me fait comprendre d'aller lui sucer la queue.

Un manche superbe, légèrement arqué, raide, fièrement redressé vers son nombril avec un gland exceptionnellement beau, attend mes faveurs buccales. Le prépuce se déploie et glisse, tel une fleur qui reçoit les rayons du soleil après la rosée du matin. Son gland libéré perle et suinte une sève translucide. Mon Dieu quelle beauté de la nature.
Je ne sais pas s'il est marié mais quel plaisir cela doit être de recevoir ça. J'imagine son sexe aller et venir dans une chatte ou un cul…Putain le mec.
Le routier que j'ai sucé avant en avait une courte et super épaisse à la limite de ce que je pouvais prendre. Ce mec en a une magnifique, longue et veinée, relevée, triomphante, le symbole absolu du mâle. Je suis ébloui par rapport à la mienne. Quand on est jeune, on compare, on s'émerveille.

Son gland, tel un gros abricot gorgé de vitamines, sent le propre et je le gobe comme un fruit qu'il ne faut pas abimer. Les perles de pré cum sont d'un goût exquis, ma salive sur ce bijou, mes lèvres sur ce champignon puis sur la tige…Mais quel bonheur!
Je me régale à le saliver, à l'astiquer, il frotte mes cheveux. Impatient, d'une pression, il me fait comprendre de sucer sa queue sur plus de longueur et, quand je l'ai bien en bouche, il force encore, m'impose sa volonté et n'y va pas par quatre chemins…
Il donne des coups de bite pour s'enfoncer dans ma bouche en même temps qu'il tient ma tête

" Prends là en entier…..Houais….comme ça!

J'ai des haut le cœur, il me bloque, je suffoque, il insiste mais c'est trop bon de sentir son nœud toucher le fond de ma gorge, qu'il me farfouille les amygdales. Je ne suis pas encore au point comme les mecs des vidéos porno mais trop content de découvrir ça, qu'il m'impose ça.
Je découvre que je suis fait pour obéir.

" Lèche moi les couilles.

Ma bave a coulé sur ses couilles. Malgré ça, je lui lèche les bourses, je lui gobe ses œufs de mâle bien fermes puis je repasse à sa queue qui m'intéresse davantage. La forme arquée vers le ciel de sa bite raide et dure ne rend dingue et je mets tout mon début de savoir faire pour saliver son nœud proéminent et essayer d'engloutir son manche.
Il apprécie et recommence à me la loger en entier dans la bouche.

" Baisse ton froc et penches toi contre le tronc d'arbre, j'vais t' baiser.

Je n'ose pas lui dire que je suis puceau, il ne me croirait sans doute pas et, en plus, je suis trop excité pour lui dire non.
Ce mec a réussi à m'envoyer sur une autre planète. La bouche baveuse et le souffle court, je suis à lui, tout à lui. A part son délire et le mien, plus rien n'existe.
Trop excité par la situation, je m'imagine déjà comme les mecs dans les films pornos, qui hurlent leur bonheur d'être entubés.
J'ai déjà baissé mon bermuda et je tend mon petit cul vers lui, bien en appui contre le tronc d'arbre. Il sort un carré de gel de sa poche et m'enduit le trou; c'est un peu froid mais très agréable. Je ne m'inquiète pas de savoir s'il va mettre une capote, j'ai trop envie de me faire baiser et je tend ma croupe au maximum pour lui faciliter la tâche.
Il me rentre un doigt dans le cul, c'est trop bon, vraiment trop bon et ça glisse bien. Son doigt qui me fouille, puis un autre qu'il ajoute, sont un vrai bonheur. A part m'être mis un thermomètre dans le cul, c'est la première fois qu'on me farfouille la rosette, c'est super agréable. Je suis surpris que mon trou se détende à ce point et qu'il arrive à me fourrer ses gros doigts si facilement. Cette sensation qu'il me procure à me masser les boyaux, je me sens ailleurs, sur un nuage.
Décontracté, je ne pense à rien sauf à m'offrir. Il se positionne, pose son gland contre ma rondelle, m'appuie sur les reins pour ajuster la hauteur.
..
Comme une brûlure de coup de soleil, une grosse sensation de chaleur et de feu m'envahie, je gémis, la bouche ouverte, sous le coup de la surprise. Son gros gland a distendu ma rondelle sans prévenir, son manche m'a pénétré.
N'ayant aucune notion de l'effet que cela pouvait donner, je ne me suis pas contracté, j'avais trop envie d'être enfilé. Un gémissement de puceau m'a échappé en même temps que j'ai soulevé mon arrière train.

D'office il m'appuie sur le dos pour me remettre en place à bonne hauteur, je sens cette bite en moi, qui m'a ouvert le fion. Le mec m'a emboîté direct, croyant avoir affaire à une petite salope de passage.

" T'es serré, je sens bien ton petit cul. Détends toi, ça va rentrer.

Et pour cause, il inaugure le passage avec son manche d'homme. Se détendre, il est bien gentil…
Mon anus me chauffe, me brûle, je me sens écartelé, pénétré à l'extrême mais je ne vais pas lui dire qu'il vient de me dépuceler, j'ai trop peur qu'il se foute de ma gueule. Et pourtant, j'ai mal, des larmes me sont venues, je souffre et gémis, ce qui a l'air de lui faire plaisir que je le sente bien. Je n'ose pas me détourner pour qu'il voit mon désarroi. Je résiste, par fierté

" J'adore défoncer des petits culs de pédés et leur dilater le trou…

Je n'entend pas ses autres commentaires, trop pris dans ma tourmente et dans mon effort pour ne rien laisser paraître, en espérant que cette tension passe.
Il manœuvre son manche avec un petit va et vient, ce qui me fait gémir encore…recommence plusieurs fois, se régalant de mes plaintes de petit chat et de ma façon de me cabrer pour échapper à cette sodomie virile. Vainqueur et fier de sa domination, il me maintient fermement une main plaquée sur mes reins, impose sa volonté. Je trouve la force de parler et d'exprimer mon ressenti:

" S'il te plait, rajoute du gel, j'ai mal, ta queue est grosse." … en continuant de couiner
" Ferme ta gueule, tu vas ameuter du monde.

J'imagine sa queue rigide dans mon cul, au plein de mon anus trop tendu.
Je passe rapidement ma main à mon cul et je constate l'incroyable: sa grosse pine, raide et dure, est logée plus qu'à moitié dans mon cul et je tâte ses couilles, gluantes de ma salive et gorgées du foutre qu'il va bientôt m'envoyer.

Il ressort quand même, me soulageant du feu qui me brûle, rajoute un peu de gel et me ré encule sans trop de délicatesse mais avec une facilité déconcertante tant mon trou est resté ouvert. Je gémis à peine, ne maîtrise plus rien, perdu par le bonheur qu'il me procure soudain et les sensations nouvelles qui se répandent en moi. J'avais débandé sous la surprise et parce que j'avais mal mais je sens la sève revenir comme une grosse vague tellement le plaisir que je viens de ressentir est fort. Je bande et sens que je pourrais jouir à tout instant.

Ce coup ci, j'ai vraiment senti l'enculage, ma rondelle restée déployée pour le recevoir et son gros manche glisser, frotter en moi et me remplir. J'en suis tout étonné d'avoir un si beau sexe d'homme dans le cul.
Le feu s'est estompé, laissant place au bonheur d'être possédé. D'instinct, comme si je l'avais toujours désiré, je me cambre et offre mon petit cul à ce mâle qui comprend le message. D'un autre coup de reins, il finit par rentrer tout le reste et vient faire buter ses couilles contre mon cul, m'arrachant au passage un couinement d'enculé.

" Salope, t'aimes ça. C'est rentré tout seul.

Je suis heureux, enculé, c'est le plus beau jour de ma vie, une étape que j'ai tant fantasmé.

Il manque de me faire tomber mais je m'accroche à l'arbre. J'ai trop peur qu'il se déboite mais ça ne risque pas d'arriver tant il force contre moi et tant il s'est régalé de m'enculer. Je me cambre par confort et pour l'avoir complètement en moi.

Nos corps s'ajustent, son piston entre en action…Le festival commence.

Mes mini plaintes de petit pédé se mêlent à ses insultes. J'ai droit aux "salope, p'tite pute" et autres surnoms très plaisants à entendre. Il ne cesse de me dire de fermer ma gueule, ravi d'entuber un petit jeune et de me faire sentir sa grosse pine.
Pour lui je ne suis qu'un cul, il me nique comme une bête, sans savoir qu'il me fait découvrir l'extase, le bonheur, le nirvana…pour la première fois.

Il accélère ses va-et-vient, s'accroche à mes hanches… Je gicle et éjacule tout le sperme de mes couilles tant mon bonheur est indéfinissable. Les mauvaises herbes devant moi, mon bermuda et mes chaussures sont aspergés de foutre dans tous les sens tellement il me secoue.
Il me défonce puis, haletant, d'un dernier coup de reins, reste bloqué contre moi, les couilles collées contre mon cul pendant qu'il se libère avec un énorme soupir de soulagement.

Je sais que le mec, peut être un militaire ou un mec qui veut passer pour un dur à cuire, jouit en moi et me tapisse les boyaux de sa semence chaude.
J'imagine la même quantité de sperme que le routier mais dans mon cul et c'est comme s'il me faisait un petit. Je sens les soubresauts de sa queue, sa semence m'emplir le ventre, me féconder. Son gros gland crache, gicle, décharge toute sa sauce bien profond dans mes boyaux. Le plaisir est si intense qu'une larme coule encore, que deux nouvelles giclées s'échappent de ma queue par je ne sais quel miracle, que je ne contrôle plus rien de mon sexe ni de mon corps.

Quelques minutes d'un bonheur suprême s'écoulent, il se retire, une fois sa saillie accomplie. Je me retourne et voit son gland dégueuler une dernière goutte blanchâtre… pour comprendre aussi qu'il m'a juté dans le cul, sans préservatif et semble être très fier de son coup. Bizarrement, cela m'excite; je me sens fécondé nature, comme les animaux, par instinct de reproduction. Je ne sais comment réagir face à ce mec si mâle, si reproducteur, qui vient de me baiser avec vigueur.

Il voit que j'ai jouis moi aussi et se met à rigoler.

" T'avais envie de te faire baiser, toi.
" Oui.
" ça fait du bien, hein.
" Oui.

Encore sous le coup de mon dépucelage, je lui répond sans avoir grand-chose à dire tellement c'était bon, agréable, merveilleux et que je suis secoué.
La baise a été rapide mais trop bonne. J'ai la sensation que mon trou est resté ouvert, sans muscle pour le refermer. Pendant qu'il se resape je tâte mon cul et ça le faire rire.

" Je dois repartir sinon je t'aurais baisé plus longtemps. J'aimerais bien te rebaiser une autre fois. C'est quoi ton prénom?
" Laurent.
" Tiens, c'est mon numéro. Tu m'appelle et si je suis dans le coin, on se voit et j'te nique.
" D'accord.
" Salut p'tit mec.
" Salut

Et il s'en va, radieux et soulagé, en me claquant une main sur les fesses.
Je tâte mon œillet, un peu douloureux et groggy par ce qui vient de lui arriver. Une sensation de trou ouvert, de mal refermé est restée mais je suis heureux, dépucelé, par un mec qui m'a fait découvrir des plaisirs insoupçonnés.
Complètement déboussolé, je ne lui ai même pas demandé son prénom.


Je prend un mouchoir en papier et je m'essuie le cul. Je ne saigne pas, ça me rassure. J'ai seulement peur que tout son foutre qu'il m'a envoyé profond sorte et tache mon bermuda.

Je ne flippe même pas par le manque de précaution, l'absence de capote, trop content d'avoir été dépucelé, trop content d'avoir eu une si belle bite dans le cul, une bite bien juteuse…l'insouciance de la jeunesse, la joie de la nouveauté, la découverte du plaisir. Un grand bouleversement vient de se produire dans ma vie.

J'entends du bruit, quelqu'un qui doit être à proximité et je me redresse prestement

A suivre…



Caramel35
L'euphorie …humm, c'est trop bon, les risques c'est moins bien.
Ne pas mettre les "gestes barrières" c'est-à-dire la capote…ça craint.
Continuez à m'écrire, aucun problème.





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