Capitulation

Les doigts de Salah Houcine ébouriffent les mèches auburn de Maryvonne, toute nue, à genoux devant lui...
Ça fait près d'une demi heure qu'elle suce le sexe épais et tendu sans que l'homme rende les armes; il a une
incroyable capacité à se contenir, que ce soit au cours de ces fellations qu'il exige quotidiennement d'elle ou
bien lorsqu'il la prend au lit, dans le lit conjugal, comme il a coutume de le faire deux fois par semaine, depuis
deux mois maintenant, depuis qu'elle lui a cèdé pour la première fois . Ce matin, justement, c'est un jour "de
lit"... Elle va coucher avec lui ; pour le moment il est en train d'apprécier le hors d'oeuvre qu'il exige à chacun
de ses passages. Cela fait pile deux mois qu'elle s'est donnée à lui, d'abord dans sa cuisine, avant de se
laisser emmener dans la chambre, de lui ouvrir son lit pendant qu'il achevait de la déshabiller .
Jean-Paul, son mari est à quelques années de la retraite, mais son poste de commercial -France l'amène
encore à de fréquents et longs déplacements. Il est âgé de 55ans et elle de 50ans ; leurs deux s
(garçon et fille ) sont adultes et ils sont même grands-parents d'une petite fille depuis un an. Sexuellement,
leur ardeur s'est quelque peu relâchée depuis cinq ans alors qu'ils avaient vécu ensemble des moments très
intenses, allant même jusqu'à goûter à la pluralité masculine dans leurs rapports, durant une période de
plusieurs années.
Mais dans bon nombre de couples s’installe la monotonie et même si Jean-Paul vit mal ce manque d'intensité
dans leur vie sexuelle, l'existence ne lui semble pas à elle, Maryvonne, dénuée de charme. Il y a la gym
hebdomadaire avec les copines, l'entretien de la grande maison, les sorties en vélo et maintenant, la garde de
leur petite fille que les parents leur confient souvent.
Il y a deux mois, donc, Jean-Paul, avant de partir pour un déplacement d'une semaine dans le sud de la
France, avait décidé de faire nettoyer la toiture de la maison et commandé les services d'une entreprise
spécialisée.

Peu après son départ, le lundi matin, l'entreprise en question s'était présentée en la personne
d'un employé d'une trentaine d'années, bel homme, sûr de lui et compétent. Il avait sonné à la porte peu
après que sa fille soit passée déposer la petite Manon en garde pour la journée... Elle se souvient...
Heureusement qu'elle s'était levée tôt ce jour là... Elle venait tout juste de s'habiller et de donner son biberon à
la petite.... la porte s'ouvre sur un beau brun tout sourire :
- Bonjour madame...C’est pour l'entretien de la toiture !

L'homme de type maghrébin, algérien ou marocain, est bien bâti et semble très à l'aise; elle le fait entrer et
commence de lui expliquer la nature des travaux; il l'interrompt
- Oui, j'ai la fiche avec ce qu'a demandé votre mari, pas de souci, madame...J'ai le matériel, tout ce qu'il
faut...Il y en a pour une petite journée...
Elle est confuse et ajoute

- J’ai la petite qui dort dans la pièce du fond...Ne faites pas trop de bruit...

Ironique, il chuchote

- Je sais être très discret...

- Si vous voulez un café...

- Je descendrai en boire un vers 10h, c'est mon quart d'heure de détente en général...allez j'y vais.

Elle se souvient encore du trouble diffus qu'elle a ressenti dès ce matin là sous le regard noir de l'homme
quand il est descendu boire le café à 10h...Elle se souvient de la conversation qui s'est engagée à voix basse,
quand il lui a demandé :

- Vous avez une petite de quel âge?

Elle lui a répondu que c'était sa petite fille, pas sa fille...il l'a regardée intensément et a simplement dit:

- C'est incroyable comme on fait de jolies grand'mères de nos jours !

Elle se souvient de la chaleur intense qu'elle a ressenti dans le ventre et les reins à ce moment là... Il a
pousuivi son travail sur le toit, pendant qu'elle lançait une lessive.
..
Elle se souvient qu'il l'a regardée avec ironie tandis qu'elle pendait sur la corde à linge les draps, les chemises
de Jean-Paul; il l’a interpellée

- Moi c'est Salah..et vous?

Elle se souvient de son hésitation à répondre

- Maryvonne...

Puis, au moment d'accrocher sa lingerie à elle, un soutien-gorge, deux petits slips roses, elle entend encore la
phrase de l'homme :

- J'aime bien le rose, c'est une de mes couleurs préférées...

À midi il est parti jusqu'au restaurant du village voisin, pour revenir à 13h...La petite Manon était dans sa
chaise haute, à la cuisine; Salah s'est arrêté un court instant, il a fait des pitreries, faisant sourire puis rire la
gamine et du coup elle aussi a ri aux éclats, oubliant qu'après la douche qu'elle avait prise juste avant qu'il
revienne, elle n'avait pas remis de soutien-gorge, son cache coeur jaune à même la peau...Elle a surpris le
regard de l'homme sur le ballotement de sa poitrine et instantanément ses mamelons se sont durcis, à sa
grande confusion, leur relief outrageusement trahi par le fin tissu...
Il est remonté sur le toit, disant qu'il devrait avoir terminé vers 17heures...Elle a couché la petite...Sandrine est
passée à 16 heures la récupérer...Le goûter avec yaourt et un petit jus de fruits...Sandrine lui a dit :

- Tu es habillée façon vacances, petite maman, faisant allusion à la jupette plissée et courte et surtout au
cache-coeur jaune , ajoutant

- Remarque ça te va bien, tu as encore des fesses et des nénés qui feraient fureur sur une plage!

Elle a rétorqué "merci pour le ENCORE !"
Elles ont ri, puis Sandrine est repartie après le thé ...
À 16h30, Salah est redescendu, a rangé son matériel dans le véhicule, il est remonté, souriant, le travail était
terminé, sa maison enverrait la facture; elle lui a proposé un thé qu'il a accepté en précisant quand elle versait
le liquide fumant dans sa tasse.


- J’aime qu'il soit bien noir... et chaud, ajoutant

- J’aime bien le noir, les yeux noirs...Et puis le jaune aussi...

Elle a fermé les yeux; il fixait le cache-coeur, le sillon prometteur, le relief des mamelons sous le tissu tendu.
Elle se mordait les lèvres, debout, crispant ses doigts sur le rebord de l'évier... Il s'est levé, repoussant sa
chaise...Tout près d'elle, murmurant

- J'aime bien les fleurs jaunes et ce qu'elles cachent sous leurs pétales...

Elle a frissonné quand les doigts ont commencé à écarter les pans du cache-coeur, gardant toujours les yeux
fermés; une main était passée dans son dos, défaisant le noeud, révélant les deux grosses poires au regard
de l'homme, leur blancheur, la teinte rose foncée des aréoles surdimensionnées.
Elle a murmuré, à peine audible:

- Non...non, il ne faut pas, il ne faut...

Sa phrase s'est éteinte, baîllonée par la bouche de l'homme sur la sienne, elle a capitulé très vite, nouant ses
mains sur la nuque puissante tandis qu'il achevait de la dépouiller de son cache-coeur. Les mains de Salah
caressaient doucement le dos nu, descendant au creux des reins, là où elle est si cambrée, se séparant pour
empaumer les fesses ; le baiser avait redoublé d'intensité. Avec effroi elle avait senti les mains retrousser le
tissu de sa jupe, roulant le textile jusqu'à la taille, pour recommencer à pétrir sa croupe à peine protégée par le
nylon blanc de son slip; c'est elle qui avait déboutonné la chemise, écrasant ses seins contre le torse lisse et
bronzé de Salah . Alors l'homme l'avait allongée sur la table de cuisine, jambes pendantes et elle avait soulevé
les fesses pour qu'il puisse la dépouiller de sa culotte. Il s'était repu du spectacle qu'elle lui offrait, après qu'il
lui eût écarté les cuisses: le ventre blanc bombé, les hanches larges, le buisson du pubis soigneusement épilé
aux limites du maillot - trop soigneusement au goût de l’homme- la brèche rose noyée au milieu de la toison
brune, gluante de cyprine ; elle avait les yeux clos, les joues brûlantes, partagée entre la honte et l'attente du
plaisir.

Elle se souvient du froissement d'étoffe quand il a quitté son jean, elle n'a pas osé ouvrir les yeux, elle a
deviné qu'il ôtait son slip, qu'il était nu devant elle, il lui a écarté davantage les cuisses, elle l'a entendu
murmurer:

- Tu es belle...

Elle a senti ses lèvres sur son nombril, puis sur son abdomen...La bouche de Salah est descendue encore,
atteignant les premières frisettes du pubis , descendue encore, arrivée au sommet de la brèche, la langue est
entrée en action, la faisant gémir puis crier.

Longuement il l'a mangée, enfonçant la langue loin dans son vagin ruisselant tout en lui relevant les cuisses
pour mieux l'ouvrir; elle a crié plusieurs fois comme une démente, crispant ses doigts dans la chevelure de
l'homme. Quand il s'est redressé pour s'allonger sur elle, sa bouche venant contre sa bouche, il lui a demandé
doucement :

- Tu veux?

Elle a murmuré:

- Oui, viens...

Elle a senti contre l'ouverture de son ventre le gland chercher son passage puis il s'enfoncer en elle, la faisant
feuler de plaisir.
Elle se souvient du choc ressenti au moment où le gland a percuté son utérus puis de la sensation de vide au
moment où il se retirait, de ses doigts griffant les reins de l'homme, quand la massue s'engloutissait à nouveau
au plus profond de son ventre...La cavalcade avait duré longtemps, elle avait a plusieurs reprises connu un
début d'orgasme qu'elle s'était efe de contrôler....il s'en était rendu compte, alors il était sorti d'elle et lui
avait dit "Viens, on sera mieux dans ton lit..." Elle n'a même pas protesté...il l'a aidée à se relever...sa jupe
toujours roulée autour de la taille, elle l'a précédé dans la chambre, offrant à son regard le spectacle affolant
de sa croupe ondulante. Elle a hésité et tourné le visage vers lui "On va dans la chambre d'amis?" Il lui
caressait les reins et lui a dit " Je préfère la chambre conjugale...je suis sûr que ton lit est très accueillant..."
Elle a capitulé et ouvert la porte de la chambre... la large fenêtre éclairant abondamment la pièce occupée par
un gand lit capitonné, une armoire à glace, deux tables de chevet et deux fauteuils; une télévision posée sur
une table basse complète l'ameublement.
Elle se souvient de ses paroles :
"mets toi toute nue, garde juste tes chaussures". Elle a fait glisser la jupe sur ses hanches, levant un pied
puis l'autre pour s'en défaire..il lui a demandé de se tourner face à lui; elle a tiré les double-rideaux comme si
elle redoutait la lumière sur elle, alors il a allumé les lampes de chevet. Elle lui faisait face, les mains dans le
dos, les yeux baissés et il l’a détaillée un long moment.

Il lui a dit qu'il aimait ses seins, leurs aréoles larges et foncées; il l’a questionnée, elle lui a dit qu'elle avait
allaité ses deux s, il l’a complimentée pour la finesse de sa taille, le galbe de ses hanches, ajoutant
"j'aime bien ton bidon bien rond" elle a cru devoir s'excuser... "j'ai gardé du ventre après mon deuxième
bébé..." il a souri "çà te va très bien...rassure toi". Il na pas fait de commentaire sur son pubis, ce serait pour
plus tard...il lui a fait la remarque qu'elle a des cuisses très galbées ainsi que ses mollets, elle a invoqué sa
pratique régulière du vtt; il a ri "je crois que çà explique aussi ton fessier ! Montre moi cela, tourne toi..." Elle a
pivoté à nouveau, lui présentant son derrière dodu et cambré.

Il a persiflé "j'ai toujours eu un faible pour les belles citrouilles " L'éclairage du chevet accentuait les ombres et
accroche les fossettes qu'elle a sur les reins, ainsi que le profond sillon séparant les deux hémisphères à la
peau laiteuse; la blancheur du postérieur contrastant avec la peau bronzée du dos et des jambes et il l’a
félicitée de ne pas s'exposer intégralement au soleil .
"Les démarcations blanches sur les cuisses et les épaules, c'est la trace de ton cuissard de vélo?" Elle a
répondu qu’en effet elle porte pour rouler en vtt un cuissard-combinaison à bretelles, sans rien d'autre. Il lui a
dit "il faudra me montrer çà! Elle lui a demandé s'il fait du vtt, très rarement mais tu me donnes envie de m’y
mettre!”. Il la fait à nouveau se tourner vers lui "Regarde l'effet que tu me fais..."

Elle se souvient, elle revit la scène au présent : elle le regarde nu..la virilité dressée ne laisse aucun doute sur
ce qu'il éprouve pour elle. La verge est circoncise et terriblement épaisse. Elle comprend la sensation
d'envahissement qu'elle a ressenti lorsqu'il l'a pénétrée tout à l’heure sur la table . Il s'approche d'elle, le gland
effleure son abdomen. Il lui dit "Caresse moi..." Tandis qu'il soude ses lèvres aux siennes elle fait descendre
sa main contre le torse de l'homme, vers sa hanche, l'insinue entre leurs deux corps, arrive timidement au
contact de la verge tendue... caresse la peau douce et chaude, remonte sur le champignon violet gorgé de
sang.

Il interrompt le baiser:
"Tu trompes souvent ton mari?"
Elle reste un moment silencieuse puis à voix basse elle lui dit que c'est la première fois en trente ans de
mariage.
"Tu n'as jamais couché avec un autre homme que lui?"
"Si..j'ai déjà eu des rapports avec d'autres hommes, mais c'était en sa présence..."
"Vous avez fait de l'échangisme?"
"Plutôt du triolisme...j'ai rencontré des hommes avec lui"
Il ricane "Alors ton mari a les idées larges et le sens du partage, c'est très bien! Vous faites toujours des
partouzes?"
"Non, çà a duré quelques années, mais çà fait à peu près cinq ans que je ne veux plus..."
"Il t'a fait rencontrer des maghrébins ou des africains?"
Elle ferme les yeux.. "Oui..justement...nous avons eu un partenaire algérien...il s'appelait Toufik; çà a duré un
peu plus d'un an avec lui"
"Pourquoi avez vous arrêté?"
Un nouveau silence puis "À la demande de mon mari j’ai accepté de rencontrer Toufik seule...j’allais par le
train à Paris passer un ou deux jours avec lui. À la suite d’une de ces rencontres, je suis tombée enceinte de
lui...aucun doute possible car mon mari était absent au moment de mon ovulation."
"Alors?"
"Au début, nous ne savions quelle décision prendre, finalement, nous avons décidé de garder le bébé...et puis
j'ai fait une fausse couche au quatrième mois. Çà m'a bouleversée... je ne savais plus si je devais rester avec
Jean-Paul ou partir avec Toufik."
"Tu étais amoureuse de lui?"
"Oui durant un certain temps..."
"Et depuis ton mari n'a pas voulu recommencer?"
"Oh si...mais c'est moi qui n'ai plus voulu qu'on fasse des rencontres!"
"Et moi, je te plais?"
Elle soupire " Tu m'as plu en arrivant devant moi ce matin...si tu ne me plaisais pas, tu crois que je serais
comme ça avec toi?" La caresse de sa main s'affermit sur la verge, elle tend ses lèvres, le baiser reprend, il lui
fouille la bouche de sa langue tandis qu'elle le branle doucement . Les mains de Salah descendent sur les
reins de Maryvonne et empaument les fesses...la glace de l'armoire située derrière elle lui envoie l'image de
ses mains pétrissant les demi-lunes blanches, faisant apparaître un soupçon de cellulite; il les écarte jusqu'à
apercevoir l'oeil de bronze enfoui au plus profond du sillon ; bouche contre bouche il murmure "Tu me plais; je
te veux...je veux tout de toi." Il se penche et d'un geste, ouvre le lit; elle s'y laisse allonger et il la contemple un
court instant, ouverte et impudique. Il se couche à côté d'elle et la caresse, du visage jusqu'aux cuisses,
s'attardant sur les seins, la cuvette du nombril, descendant sur le mont de Vénus, insinuant un doigt dans
l'ouverture détrempée, la faisant très vite gémir.
Son majeur agace le clitoris puis s'engouffre dans le cloaque du vagin et la manoeuvre dure ainsi jusqu'à ce
qu'elle crie; alors il lui demande si elle se donne et elle lui dit d'une voix rauque "Oui..oui je me donne..". Il se
hisse sur elle et sans avoir à se guider, il la pénètre . Bouche soudée à celle de l'homme, elle relève les
cuisses pour mieux ressentir sa présence au fond de son ventre; il la possède sans faiblir durant un quart
d'heure et elle connait cette fois un premier orgasme.
Le temps qu'elle reprenne ses esprits, c'est lui qui s'allonge sur le dos et elle qui vient le chevaucher; elle se
voit dans la glace, caracolant sur lui, ses seins tressautant comme des baudruches; il lui dit qu'elle est belle,
qu'il aime la chaleur de son ventre.

Elle se dégage,laissant s'échapper une coulée de cyprine, stupéfaite d'avoir pu secréter un tel flot, elle se
penche sur lui, elle descend, parcourant le torse puis l'abdomen plat de petits baisers humides; son visage
arrive au rostre dressé ; sans qu'il le lui ait demandé, elle le suce, goûtant la saveur de ses propres sécrétions,
caressant les bourses; il lui dit qu'elle suce bien et il lui fait comprendre qu'il désire qu'elle change de position;
alors elle se tourne sans que sa bouche abandonne la verge, elle se place à l'envers, ses mollets de chaque
côté du buste de Salah . L'arabe a en gros plan l'arrière -train de Maryvonne qu'il attire vers son visage; tel un
ogre affamé, il enfouit sa bouche dans l'entre-fesses et commence de la déguster tandis qu'elle redouble
elle-même d'ardeur dans sa fellation, suçant alternativement la verge et les bourses gonflées.
Salah entrecoupe ses caresses buccales pour regarder plus à loisir la brèche du vagin et juste au dessus le
cratère mauve cerné de poils bruns; il reprend sa succion, concentrant son attention sur l'ouverture des reins
elle se cabre sans qu'il abandonne sa dégustation, tel un félin s'acharnant à dévorer une proie...elle entend
qu'il parle crûment de ses fesses; "j'aime ton gros cul, putain quel pétard !" et la bouche reprend aussitôt son
affolante caresse dans l'oeillet maintenant tout aussi détrempé que son vagin. Il s'arrache à la bouche qui le
dévore et d'une savante reptation, il se replace derrière elle, les genoux solidement campés sur le lit, il lui fait
comprendre d'une tape sur la fesse la posture qu'il attend d'elle.
Docile elle se prosterne, le visage écrasé sur le couvre-lit. Il contemple un instant la croupe blanche évasée, il
en écarte les demi-lunes d'une main tandis que de l'autre il flatte sa virilité tendue comme un glaive. Il
approche le gland de l'entrejambes et la saisissant Maryvonne aux hanches, il s'engouffre d'un trait dans le
vagin liquéfié. Elle pousse un cri de bête blessée quand le gland percute le fond de son ventre. Il se retire
aussitôt pour replonger encore; à nouveau elle crie. Elle le supplie de faire doucement mais le tangage de son
bassin révèle à quel point elle apprécie d'être ainsi défoncée...
Un long moment il se déchaîne dans son ventre, l'amenant à un orgasme dévastateur qui la fait s'écraser à
plat ventre sur le lit, presque inconsciente. Il se retire doucement d'elle, toujours aussi roide et s'allonge sur le
corps inerte. Il parcourt de petits baisers le haut du dos, la nuque à la racine des cheveux, il la mordille
doucement, son sexe toujours aussi roide se loge dans le sillon fessier et il commence un lent mouvement de
va et vient auquel elle ne tarde pas à répondre en se cambrant..il insère alors sa main entre leurs deux corps
et ses doigts viennent explorer la raie profonde, son majeur trouve l'anneau des reins et s'y enfonce; elle
gémit doucement mais il n'en a cure et son index vient en renfort après qu'il ait humecté ses doigts de salive...
il lui murmure "Je veux ton gros cul..." le visage noyé dans l'oreiller, elle lui demande simplement de faire
doucement...il est si gros...il retire ses doigts pour guider son gland à l'entrée du sentier rose, il se hisse
légèrement sur les genoux, elle sent la poussée contre son anus...puis l'envahissement inexorable...la
sensation d'étre écartelée, à nouveau la morsure sur sa nuque ... l'énorme matraque progresse dans son
rectum... elle sent qu'elle se dilate, qu'elle n'oppose aucune résistance ; doucement il lui parle à l'oreille, il lui
dit qu'elle est bonne à enculer... À sa demande, elle se cambre davantage, gémissant de plus en plus autant à
cause des allées et venues du membre dans son fondement que des sensations que lui procurent les deux
mains de l'homme, palpant les deux hémisphères de sa croupe avec délectation .
Il lui pétrit les fesses comme un boulanger ferait avec la pâte à pain, il triture, il pince, créant un effet de peau
d'orange dû à la cellulite naissante, appréciant à la fois la densité des chairs et leur relative mollesse ; il lui
répète qu'il aime sa grosse lune, qu'il est bien dedans, elle gémit de plus belle, savourant le plaisir abject
d'être ainsi traitée... Encouragé par les plaintes langoureuses de sa victime, l'arabe caracole maintenant dans
le couloir élargi, presque aussi à l'aise que s'il était dans un vagin... Il se retire juqu'au gland pour s'enfoncer,
ses bourses venant frapper l'entrecuisses, ses mains quittent les fesses devenues écarlates pour passer sous
le buste et se saisir des seins qu'elles pétrissent à leur tour, les doigts pincent les mamelons, les étirent. Il lui
dit "J'aime bien ta laiterie aussi..oh putain que tu es bonne !" Elle est au bord de la pâmoison, elle devine aux
contractions de la verge que lui aussi est au bord de la jouissance, mais il se maîtrise et ce n'est qu'après
l'avoir entendue hurler qu'il se déverse enfin dans le corridor en fusion; elle sent la semence chaude envahir
son intestin..; elle sanglote doucement, le visage noyé dans l'oreiller...
Salah reste quelques minutes enfoncé dans les reins de Maryvonne, puis se retire, arrachant à sa victime une
sourde plainte, en même temps qu'un bouillon coloré s'échappe du corridor élargi où il vient de se répandre. Il
se redresse et s'avisant que sa verge est couronnée d'une auréole brunâtre, il se dirige posément vers la
cuisine; la culotte de Maryvonne est restée accrochée sur le dossier d'une chaise. Il s'en saisit et s'essuie sans
vergogne dans le nylon blanc, souillant la délicate lingerie des traces honteuses. Abandonnant la culotte sur la
table,il enfile prestement son slip, son jean et sa chemise, il se chausse et revient dans la chambre.
Maryvonne est allongée sur le flanc, en chien de fusil et il se régale un instant du spectacle de cette croupe
épanouie qui vient de s'offrir à lui.
Il se penche et dépose un baiser sur la hanche.
- "Je dois repartir, c'était très bien tu sais...tu veux qu'on se revoie?"
Elle murmure, le visage toujours enfoui dans l'oreiller
"C'est toi qui décides!"
Il jubile
"C'est toi qui va décider! Si tu veux qu'on se voie tu me téléphones, je te laisse mon numéro de portable; je
peux être libre le mercredi en général et le samedi, mais là je sais qu'il y a ton mari...à part çà je peux passer
quand tu veux boire un café entre deux chantiers."

Sur ces mots il s'éclipse, la laissant à son désarroi.
Elle se lève et après avoir pris une douche réparatrice, elle enfile un caleçon moulant et un gilet et entreprend
de changer les draps qui portent les traces colorées de la joute dont ils viennent d'être le théâtre. Elle pense
cacher dans son sac à main le papier où figure le numéro de téléphone de Salah, puis se ravise, mûe par une
sorte de crainte; elle mémorise le numéro et le jette dans le fourneau de la cuisine. Elle lance une machine et
lave sa culotte dans le lavabo. C'est au moment où elle revient du jardin où elle a suspendu le linge à sécher
que le téléphone sonne; c'est Jean-Paul, il est déjà à son hôtel, à Montargis, lui dit-il. Comme elle s'étonne
qu'il l'appelle aussi tôt, il lui dit:
"Il est déjà 19h30...tu n'as pas vu le temps tourner aujoud'hui!" Il semble à Maryvonne que le ton de son mari
est persifleur. Elle dit qu'elle a eu pas mal à faire, la petite Manon était là, elle a fait du ménage, de la lessive.
Jean-Paul ajoute "Et puis il y a eu le nettoyage du toit?"
Elle se sent devenir écarlate et s'empêtre dans sa réponse:
- "Ah oui.;oui, il est venu ce matin,oui...c'est fait."
- "Çà s'est bien passé? Le travail est bien fait?"
Elle se sent terriblement mal à l'aise
- "Oui, je crois, il a fini cet après-midi, oui je crois qu'il... Enfin oui le travail est bien fait."
Jean-Paul plaisante
- "En ce cas on les fera revenir pour le ramonage...Au fait, ils étaient plusieurs?"
- "Nnon..Il était tout seul.." Son coeur bat la chamade, ses mains se glacent, elle a peur que sa voix tremble,
elle tousse pour se donner contenance.
Jean-Paul lui demande si elle s'enrhume; elle dit qu'elle n'a pas chaud que la soirée se rafraîchit; elle est prête
à tout pour changer de sujet; elle parle de Sandrine qui est venue rechercher Manon " en fin d'après-midi"
croit elle bon de préciser.
Après un moment de discussion qui lui semble avoir duré une éternité, son mari raccroche. Il rappelera
demain comme d'habitude...
Elle est loin de se douter que Salah, aussitôt parti de chez elle, a appelé un mystérieux correspondant au
téléphone:
- "Oui c'est moi, çà y est je suis entré dans la place et j'ai concrétisé...belle pouliche en vérité que cette petite
Maryvonne! Elle ne parait pas son âge, quel tempérament et quel cul!"
- "Tu l'as baisée ? Au lit ?"
- "Oui , d'abord sur la table de la cuisine et ensuite au lit !"
- "Raconte..."
Complaisament, sans oublier un seul détail, l'arabe raconte à son interlocuteur comment il s'est offert
Maryvonne.
À l'autre bout du fil, l'homme semble en proie à une folle excitation.
Salah lui demande :
- "Tu veux que je continue à la baiser?"
- "Oui, on réalise le plan jusqu'au bout."
- "Je lui ai laissé mon numéro de portable si elle veut me rappeler..."
- "Si tu l'as bien prise, elle va te rappeler, j'en suis sûr!"
- "Je suis libre après-demain mercredi, ça ne me déplairait pas de m'occuper d'elle; c'est le genre de pouliche
que j'aime dresser..."
- “Tu as carte blanche...tiens moi au courant de la suite.”
-”Ok, salut...Jean-Paul...”

à suivre






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