Fin De Mission

Après un long travail effectué avec un cabinet de consultant dans ma boite, Sandrine, la responsable de l'équipe m'a invitée à prendre un verre. Je pensais que c'était une façon de célébrer un contrat bien réalisé, mais arrivée sur place, j'ai réalisé quel le bar où elle m'avait donné rendez-vous était un bar de lesbiennes. Il n'y avait que des filles, plutôt jolies et peu farouches. Ne voulant pas être désagréable avec cette fille, je suis restée tout en pensant au début à mon copain que j'avais du laisser à la maison.

Au bout d'une heure Sandrine m'a invitée à danser et m'a serrée dans ses bras, Son parfum était agréable et sa peau si douce. Je ne sais pas ce qui se passait, mais je n'avais pas envie de me dégager et je l'ai laissée m'embrasser, puis me caresser au travers de mes vêtements.
D'abord pour ne pas laisser seule à s'agiter, et pour mon plaisir ensuite, je lui ai caressé les seins. Au toucher à travers sa blouse j'ai vite compris qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Comme ses seins étaient plutôt petits, je ne pouvais pas m'en douter. J'ai alors osé prendre l'initiative de passer ma main droite sous son vêtement pour chercher le contact de sa peau.

C'est curieux, mais le fait de sentir directement son épiderme, sans poil, m'a fait à nouveau prendre conscience de ce que j'étais en train de faire. Je bravais l'interdit de l'infidélité et en plus, je pelotais une autre fille en public à qui j'avais envie de me donner.
Je sentais ma culotte se tremper au fur et à mesure de nos danses et quand elle m'a engagée à la raccompagner chez elle, je me suis sentie flattée de l'avoir séduite.
C'est con, mais c'est ce sentiment de victoire qui m'a fait perdre la tête. Je n'ai ensuite plus pensé à mon copain pendant cette nuit où je me suis fait chatte et je découvrais pour la première fois de ma vie l'amour entre femmes.

Elle a su me caresser et visiter toutes les parties de mon corps, s'attardant sur les plus sensibles comme si elle avait un plan de mes zones érogènes.

Sa bouche était pulpeuse et vorace. La peau de ses fesses et de ses seins était bronzée et me donnait sans cesse l'envie de la lécher et de l'embrasser.
Le jeu de ses doigts m'a rappelé mes propres caresses solitaires tant il était efficace. Je m'ouvrais à elle comme je n'aurais jamais cru pouvoir le faire avec une inconnue. Moi qui suis plutôt d'un naturel pudique, je me surprenais à lui demander de me bouffer la chatte et à la supplier de m'emmener au Nirvana.
Moi qui suis d'habitude plutôt passive, je m'obligeais à lui rendre la pareille et à lui procurer autant de plaisir qu'elle. Son sexe tout épilé était indécent. Elle était toute étroite et c'est tout juste si on ne croyait pas avoir affaire à une adolescente innocente. En réalité, l'innocente de nous deux, c'était bien moi, et elle était la perverse qui renouvelait sans cesse le registre de nos caresses mutuelles en prenant d'autorité possession de mon intimité et de mon âme.

J'ai tellement aimé cela que, tourneboulée, je n'ai pas pu le cacher à mon mec quand je suis rentrée au petit matin. Il était blême d'inquiétude de ne pas m'avoir vue rentrer. J'avais très peur, mais en même temps j'avais perdu la tête. Je lui ai avoué que je l'avais trompé, et avec une femme.
Sur le moment, il ne m'a pas vraiment paru accuser le coup, mais il s'est assis et n'a plus rien dit.
Je me suis sentie tout d'un coup moi même comme dégrisée après une grosse cuite, et la situation ne s'est dégelée que quant je lui ai avoué que ce n'était que pour le sexe et que je l'aimais toujours. Il a alors commencé à me demander ce qu'il pouvait exiger en échange.

Sa réaction m'a surprise. J'ai d'abord cru qu'il voulait une autorisation formelle de coucher avec une autre fille, et ma jalousie m'a percée le cœur violemment. J'ai bégayé quelques mots, sans trouver de nom à lui jeter en pâture. Je ne me voyais pas lui procurer une nana et lui mettre dans notre lit pour qu'il l'enfile à ma place.
Je ne me voyais pas plus lui organiser un plan à trois et le vertige de la rupture commençait à me prendre la tête. Ma faiblesse était en train de foutre ma vie de couple en l'air, et les regrets venaient me mouiller les yeux.
C'est alors lui qui a repris la main, en me disant qu'il comprenait parfaitement que j'ai pu avoir été séduite par une jolie fille. Il trouvait cela plutôt érotique et était rassuré que ce ne se soit pas passé avec un homme. Par contre, il me reprochait de ne pas l'avoir tenu au courant de mes penchants et de l'avoir laissé s'inquiéter toute la nuit.
Je me suis tue et je n'ai même pas tenté de lui démontrer que ce n'était pas prémédité. Je l'ai laissé continuer, bien incapable de trouver une porte de sortie à ma situation, alors que je sentais bien qu'il était sur le point de m'en proposer une.

En fait, me dit-il, il avait depuis longtemps le fantasme de me savoir ayant des relations lesbiennes. Il imaginait bien sur que d'en être le témoin serait compliqué, mais il voyait dans notre accord futur, la possibilité de le faire. Moi, je ne voyais pas bien où il voulait en venir. C'est quand il est allé dans le bureau chercher une petite GoPro qu'il avait depuis un moment que j'ai compris.
Sur le coup, j'étais très contrariée.
J'aurais préféré lui jurer fidélité et renoncement à mes nouveaux penchants. Mais ma réputation était faite auprès de lui, et le souvenir encore humide de ma nuit avec Sandrine m'ont convaincue. Je lui ai promis de lui faire des vidéos en secret à condition qu'il ne les diffuse pas.

C'est ainsi qu'on se retrouve à se masturber tous les deux le soir, en me regardant me faire sauter par tous les trous par ma nouvelle copine avec tous ses jouets. Et comme elle s'est confirmée bien plus perverse que mon mec, on ne se lasse pas ! Je lui procure même des photos que Sandrine prend plaisir à prendre de moi pendant qu'elle m'exhibe en public sans dessous. Il adore !

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