En Mission

Le ciel était bleu, brulant presque. Les feuillages bruissent à cause d’une légère brise. Comme souvent je me trouve à l’arrière de la colonne de soldat. Officier est le métier que j’ai choisi. Aujourd’hui est spécial : une jeune femme, sous officier, nous accompagne. Je donne l’ordre d’arrêter pour casser la croute. Chacun seul ou avec ses copains s’assoit sous un arbre, un buisson. La sous off reste avec moi. Nous sommes en retrait. Notre bavardage est léger : je la chauffe un peu pour voir jusqu’ou je peux aller avec elle. Est-ce la chaleur des mots ou la chaleur véritable, elle ouvre sa chemise, dégrafe même son soutien gorge, me donne à voir une bonne moitié de sa poitrine.
Je fais l’homme poli, je ne regarde pas. Elle passe sa main sous la chemise, prend visiblement un sein. Elle me regarde, elle inspecte ma braguette. Je ne réagis pas au prix d’un effort extraordinaire. Elle l’ouvre, puis entre sa main dans son pantalon. Cette fois je regarde son mouvement. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir la main descendre entre ses jambes. Elle est appuyée sur le petit tronc d’arbre. Sa tête dodeline doucement pendant que sa main entame ce que je perçois comme une masturbation.
Elle tend une main vers moi. Je le prends en l’attirant. Mon grade supérieur, peut-être, l’incline à venir. Je me laisse aller à mes instincts : je bande. J’embrasse la main dans la paume. Je la lèche un peu. Elle me sourit, elle est d’accord. Oui, mais pour aller jusqu’où ? Où ? Elle vient vers moi très près, trop près. Sa main est sur ma braguette : elle l’ouvre, force pour sortir ma queue.
Elle est satisfaite en tenant ma bite dans sa main. Je le suis quand elle commence des mouvements de va-et-vient. Elle branle magnifiquement. Elle me donne envie de la baiser, de lui mettre ma queue dans son con, ou pourquoi pas son cul. J’aime bien enculer.
Elle est contre moi, me masturbe toujours, se branle à la fois. En me tournant un peu je remplace sa main sur sa chatte : elle est drôlement mouillée.

Je fais tout ce que je peux pour rendre ma caresse jouissive.
Nous sommes comme des ados, à jouer à touche pipi. J’arrive à l’embrasser. Sa langue est bonne dans ma bouche. Elle veut jouir, pas avec mes doigts, avec une vrai bite. Je la lui donne quand elle vient tout près de moi. Elle s’approche, passe ses cuisses sur les miennes, s’approche encore. Je sens sa chatte contre ma pine. Elle avance encore. Cette fois je suis en elle.
Elle fait seule les mouvements pour se faire mettre convenablement. Je glisse dans son sexe, elle me fait sortir, me fait encore entrer. Son visage est souriant : elle se fait mettre. Je sens le plaisir monter de plus en plus. Pour elle ce doit être pareil.
Elle se retire, me laisse la queue bandée, bien mal récompensée. Cette trainée passe sa main sur son sexe, choisit elle-même les endroits. Je la vois qui se caresse le clitoris, qui en même temps entre un doigt dans le con.
Je l’aide à ma façon, je passe un doigt à coté du vagin, je descends doucement. Elle sait où je vais, elle l’accepte. Juste avant d’entrer je caresse un peu l’anus qu’elle ouvre vite. Je ramone un peu sa cheminée. Elle avance ses fesses vers ma main. Son anus a des spasmes : elle jouit. Je sors mes doigts, elle se penche sur moi. Sa cible ma bite.
Elle m’avale presque : elle essuie ses sécrétions : elle lèche toute la colonne. Elle lèche mes couilles poilues, en tenant la queue dans une main. Je lui avais donné un orgasme, elle m’en donne un, à sa façon : je jouis dans sa bouche fermée.
Elle n’ouvre à nouveau la bouche que quand j’ai jeté ma dernière salve de sperme. J’ai encore un ou deux spasmes à sec. Elle me montre sa bouche vide. A peine une trace blanche à la commissure des lèvres. Elle sourit encore, satisfaite du bon coup qu’elle m’a joué.
En cour de route, par la suite, elle s’arrête souvent pour pisser près de moi, me montrant sa chatte ruisselante. Elle me donne envie d’elle encore. Elle ne perd rien pour attendre.

Le même soir, au campement, je n’osais pas m’approcher d’elle. Elle ouvre ma tente, trouve ma couchette, y vient prés de moi. Elle se met nue, ouvre mes draps, s’y couche à l’envers. Elle prend encore ma queue dans la bouche, me lèche un bon moment sans aller au bout. J’aurais bien voulu la sucer. Elle vient s’assoir sur mon bas ventre. Elle prend ma queue dans une main, la dirige vers son corps. Je pensais aller dans son sexe : pas question, elle aime la sodomie. Elle se fait enculer comme la normalité. Je ne m’ennuis pas du tout dans ce cul spécial cochonnerie. Je comprend pourquoi elle aime se faire enculer : elle se masturbe à la fois.
Avant de partir, elle me dit que demain je la baiserais. Elle n’a pas dit ce qu’elle comptait faire avant.

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