4 Reines Black Pour Un Queening

C'est encore un de ces matins particulièrement maussades : absorbé dans la lecture de mon livre, je n'avais pas remarqué que le train s'arrêtait plus souvent que prévu, ni plus longtemps, mais j'ai fini par ressentir la tension croissante autour de moi.
Je referme mon ouvrage et observe les gens tout autour de moi : plus personne n'est assoupi ce qui est déjà anormal en soi le matin de bonne heure, les femmes ont sorti leur trousse de maquillage et étalé leurs flacons sur leurs genoux, les odeurs de produits chimiques se mélangent à celles de transpiration, certains en ont même profité pour y placer leur trop plein de gaz intestinaux résultant d'excès alimentaires de la veille ; des soupirs d'exaspération se lisent sur les visages autant qu'ils s'entendent ; l'émeute n'est quand même pas encore pour tout de suite ...

Le train redémarre un peu brusquement, une femme manque de tomber sur mes genoux. Pour détendre un peu l'atmosphère, je lui dis en souriant que mes cuisses étaient prêtes à l'accueillir ; elle répond à mon sourire mais se remet cependant debout, je ne suis vraiment pas crédible en dragueur ; la conversation s'engage du coup à 3 ou 4 personnes, puis un peu plus, cela permet de passer le temps ... et surtout d'oublier nos tracas matinaux presque habituels et auxquels nous ne pouvons pas grand' chose.

Un mouvement de foule se fait sentir, nous arrivons enfin à une gare stratégique de correspondance avec le RER. Parmi les personnes assises, certaines essaient de se faufiler avant celles qui ont fait tout le trajet debout, ceci afin de gagner une place - un peu comme dans les embouteillages en voiture - et d'autres plus patientes attendent sagement que le flot de voyageurs leur permette de sortir à leur tour. La sonnerie annonçant la fermeture des portes rententit alors que tout le monde n'est pas encore descendu, du coup certains cherchent à monter en catastrophe nous empêchant de sortir. Des gens crient "tirez le signal d'alarme !", en quelque sorte c'est le joyeux préliminaire qui accompagne un matin sur 3 ou 4 les banlieusards avant qu'ils ne retombent dans le train-train de leur boulot.

"Toi ma p'tite folie, toi ma p'tite folie, mon p'tit grain de paradis ...", ne nous écartons pas trop du sujet quand même !

Passons sur les circonvolutions nécessaires afin d'arriver sur le quai du RER, tellement bondé que je me demande s'il va m'être possible d'accéder à une rame. Je sors un plan de métro pour voir s'il n'y aurait pas une solution de repli, cela paraît un peu compliqué ... et puis surtout ce matin je ne suis pas particulièrement pressé. J'ai prévu plusieurs activités, mais si je ne peux pas les faire, il n'y a rien de dramatique. Comme tous les gens situés sur le quai restent aussi à attendre, il doit en être de même aussi pour eux, du moins je le suppose ; ou alors c'es tqu'ils sont masochistes ou qu'ils ont une grosse envie de se faire virer par leur patron.
Je consulte un panneau indicateur, par chance il n'est pas en panne : plusieurs rames successives sont retardées, c'est un euphémisme habituel pour ne pas écrire "supprimées" : on ne supprime pas, on retarde ... tellement qu'ensuite on fait daisparaître sans qu'il soit même besoin d'utiliser une baguette magique.

Je brasse du regard la foule qui attend plus ou moins patiemment, chacun ne s'en prenant qu'à son voisin immédiat, lequel n'y peut d'ailleurs rien.

Les téléphones crépitent, ce sont les opérateurs qui doivent se frotter les mains !
Aujourd'hui est un mauvais jour, comme au moins une ou deux fois par semaine ... mais pas pour tout le monde !

Au bout d'une heure je peux enfin pénétrer dans une rame. Et là tout de suite, c'est l'extase ! Je n'en reviens pas ! Je tourne discrètement la tête pour vérifier à qui appartient cette paire de fesses qui se frotte sans ménagement à la mienne : oui, c'est bien à une femme, ouf ! Il me semblait, mais on peut se tromper. Une black ... bien en chair comme j'en avais l'impression. Du coup je me laisse aller !
Et je la sens aller et venir, elle ne se contente pas de me toucher, elle me frotte sans arrêt ! Parfois je réussis à m'écarter un peu et j'attends pour voir ce qui va se passer : peu après je la sens revenir, faire son manège.

Par moments je pousse un peu mes fesses dans sa direction, cela ne l'arrête nullement. Il n'y a pas de doute, c'est intentionnel.

Par jeu à la station suivante, je me déplace légèrement afin de ne plus être à sa portée, mais je me sens poussé et me retrouve involontairement à côté de la femme qui me faisait du cul si je puis m'exprimer ainsi (tout comme on se fait du pied sous la table, sauf que là tout le monde aurait pu le voir) ; derrière moi une autre black, bien en chair elle aussi, vient se coller, c'est probablement elle qui m'a poussé, je sens son immense poitrine contre mon dos, le devant de ses hanches contre mes fesses ; aussitôt elle m'entoure de l'un de ses bras pour mettre sa main dans mon pantalon au niveau de ma fermeture éclair.

Elles sont donc deux blacks et ne laissent que peu de doutes sur leur intentions. Aucune parole n'a été prononcée, aucun regard échangé.

La main de la seconde black a atteint son objectif, pour plus de facilité de sa seconde main elle dégraphe mon pantalon. Je suis atterré et regarde droit devant moi pour voir comment réagissent les personnes en vis-à-vis. Je vois deux autres blacks, qui répondent à mon regard avec un large sourire. Ce n'est pas vrai ! Elles ne sont pas de mêche quand même, je ne fais pas l'objet d'un complot !
Mes pensées se cognent dans ma tête, il faut absolument que je les ordonne rapidement, que je prenne la bonne décision ... d'autant plus que mon pantalon et mon slip se trouvent maintenant au bas de mes fesses et que je commence à bander méchamment.

Nous arrivons à une station, un mouvement de foule se dessine, les 4 femmes bougent EN BLOC. Aucun doute n'est plus permis. Me voici ainsi entouré de 4 black plantureuses déterminées à r de moi. Si j'avais commandé ça au Père Noël, il m'aurait répondu de choisir un autre jouet. "Pince-mi et pince-moi sont dans un bateau, ..."

Réfléchissons VITE !!! Après tout, me faire violenter dans le RER par 4 femmes blacks n'est pas désagréable en soi, bien au contraire ; elles empêchent les autres voyageurs de voir ma nudité .
.. enfin plus ou moins ; je pourrais me laisser faire et jouir de la situation. Mais chacune des 3 autres va vouloir en profiter ... jusqu'où allons-nous pouvoir ainsi aller ? Non je ne vais pas y arriver.
Si je résiste, surtout maintenant, c'est très dangereux, je risque fort de me faire arrêter pour exhibitionnisme.

Je prends le parti de rentrer dans leur jeu sans savoir lequel il est, et lâche complètement prise. Aussitôt je me mets à bander à mort, mon pantalon descend à terre et mon visage se transforme.

Une des femmes en face de moi se colle contre moi, soulève sa robe et enfonce mon sexe dans le sien. Cela va très vite à cause de la situation. Afin d'être sûr de ne pas pouvoir poursuivre avec les autres, je ne me retiens pas d'éjaculer, elle s'en aperçoit et m'embrasse goûlument ... et égoïstement. Je veux remettre mon pantalon, mais ma voisine de gauche, celle qui m'avait fait des fesses, m'en empêche. Me voilà coincé, je croyais les avoir abusées et c'est moi qui me retrouve dans l'impasse.

L'une d'entre elles se met à me caresser, suivie par les autres. Elles ne veulent quand même pas que je recommence ! Cette fois-ci je n'y mets visiblement plus autant de bonne volonté. Celle qui est derrière moi me sussure : "Soit tu y passes soit on te fout entièrement à poil et on te plante là ... choisis" ! J'y ai pris goût la première fois, mais là elles sont complètement folles, c'est un coup à se retrouver d'abord en première page des journaux, puis devant les tribunaux. Je leur propose : "Ce que vous voulez chez vous maintenant si vous me laissez me rhabiller". Elles se concertent du regard, je vois des signes d'assentiment qui s'échangent. La femme derrière moi finit par me dire : "OK, mais pas de coup foireux. On t'entoure jusqu'à destination. A la moinddre tentative pour nous fausser compagnie, tu te retrouves a poil ; passe-moi ton téléphone." "Il est dans la poche de mon pantalon." Elle le prend. "Donne-moi ton numéro", je m'exécute.
Elle le vérifie. "C'est bon, rhabille-toi".

Nous descendons, moi encadré par mes gardes du corps. L'une d'entre elles porte mon sac à dos ; remarque, c'est normal que ce soit les plus costaud qui portent les charges les plus lourdes. Nous refaisons une partie du chemin inverse, changeons 2 fois pour accéder à la station de métro de l'une des blacks. Arrivés dans son appartement, je reçois l'ordre de me déshabiller et obéis instantanément. Elles me font coucher sur le dos à même le carrelage.
Celle qui se trouvait derrière moi dans le RER enlève son pantalon et son slip et vient s'asseoir sur mon visage. "Suce-moi" ordonne-t-elle ; je m'exécute avec plaisir, bien que le poids de son corps soit difficile à supporter sur la dureté du carrelage. Cela me semble durer une éternité, elle gémit de plaisir, se trémousse, se tortille même ; je me demande si elle n'est pas en train de se mettre entièrement nue. Je sens une main agripper mes testicules, mon sexe se raidit, elle le prend et me masturbe ; ce doit être elle mais je n'en suis pas sûr. A un moment donné un sexe feminin s'empale sur le mien et les deux femmes se trémoussent sur moi.

Subitement je sens du liquide sur mes lèvres. "Ouvre grand la bouche, salope" ; je comprends ce qui se passe et obéis. L'urine m'emplit la bouche, j'ai du mal à avaler sans m', mais j'essaie de ne pas laisser échapper la moindre goutte ; je comprends mieux pourquoi elles m'ont mis sur le carrelage, ça se nettoie plus facilement ! Quand la pisseuse a fini d'uriner, je la nettoie spontanément avec ma langue sans attendre d'en recevoir l'ordre. Elle se déplace alors légèrement et m'ordonne de lui lécher l'anus. Dans le même temps, je m'aperçois aussi que celle qui s'était empalée s'est retirée pour laisser la place à une autre.

Ce jeu dure plusieurs heures, le temps que chacune puisse s'asseoir sur moi pour se faire lécher et sucer pile et face. Lors des changements je peux constater qu'effectivment elles se sont entièrement dénudées, ce qui contribue à m'exciter, car je les trouve vraiment superbes avec leur formes généreuses.

A la fin, je reçois l'ordre de nettoyer par terre ce que je n'ai pas pu boire avec telle ou telle ; puis je suis autorisé à prendre une douche.
On m'annonce que je dois me tenir disponible pour des rendez-vous ultérieurs. Je leur réponds : "avec grand plaisir", et les embrasse en partant après avoir récupéré mes habits, mon sac et mon téléphone.

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