Deuxième Jour Au Bureau

Deuxième jour au bureau

Depuis notre petite partie de jambe en l’air à la photocopieuse, je ne pense qu’à lui. A ses mains
caressant mon corps, a son souffle dans mon cou, a sa queue qui me remplit si bien. Pour mon
deuxième jour et vu le temps couvert je dois me résigner à mettre un pantalon, qu’à cela ne tienne
j’opte pour un pantalon en cuir moulant, soulignant la courbe de mon petit cul et pour un chemisier
sous lequel je ne met pas de soutien gorge mais un petit boléro noir afin de dissimuler que mes
tétons pointent dés que je pense à lui.

J’entre dans mon bureau. Je le vois assis à ma place, confortablement installé.
-bonjour, ton bureau est vraiment sympa
-Merci
Je ne sais pas trop quoi lui dire, rien que le son de sa voix me coupe le souffle et fait trembler
tout mon corps.
-Ne sois pas si timide ma belle salope, viens nous dire bonjour !
Je ne comprends pas pourquoi il parle de lui au pluriel mais m’approche avec l’intention de
l’embrasser au coin de la bouche pour lui signifier que j’ai envie de revivre un épisode comme celui
de la photocopieuse. A peine me suis-je approchée que je vois qu’il a déjà ouvert son pantalon et
devait s’astiquer depuis son arriver dans mon bureau. Le « nous » voulait donc dire lui et sa bite.
Je m’approche dans l’intention de l’embrasser mais il me prend violement par l’arrière de la tête et
me roule une pelle à me couper le souffle. Pendant notre baiser, il guide d’une main ferme ma main
vers sa queue déjà tendue de plaisir. Je commence donc a le masturber doucement.
-A ma belle salope, je sens que cette journée va bien commencer. Ne fais pas ta sainte n’y touche et
descend dire bonjour à mon ami.
Sans une once d’hésitation je descends vers sa queue qui n’attend que d’entrer dans ma bouche. Je
commence à promener doucement ma langue le long de son membre, titiller ses couilles, puis, d’un
coup je le prends en entier dans ma bouche lui arrachant un soupir de bonheur.

Il pose ses mains sur
ma tête pour m’imposer le rythme au quel il veut que je le suce. Je le savoure, dégoulinante de
désir. Je décide de défaire mon chemisier, laissant ainsi mes tétons déjà durs aller au contact de
ses cuisses. D’une main, il me caresse les fesses, je commence à regretter d’avoir mis un pantalon
et des sous-vêtements. Sa main descend le long de mon arrière train, effleure ma chatte. Ma poitrine
réclame aussi son due de caresse, je me redresse donc et m’assied à califourchon sur ses cuisses.
D’une main il parcoure mes seins, titillant mes tétons déjà tendu de désir pour lui et de l’autre il
entreprend de défaire mon pantalon pour pouvoir amener sa main sur mon sexe.
–J’en ai marre, amène moi ta petite chatte !
Devant ce ton si autoritaire je ne peux m’empêcher d’obéir. Quel bonheur d’avoir affaire à un mec
qui sait ce qu’il veut. Je m’approche de lui pour qu’il m’enlève mon pantalon, ce qu’il fait d’un
seul mouvement et me bascule, allongée sur le dos sur le bureau. Il commence à promener sa langue le
long de mes cuisses en remontant de plus en plus vers mon puits d’amour. Je sens son souffle sur ma
chatte puis, d’un coup, il pose sa langue sur mon clitoris, m’arrachant un cri de surprise et de
jouissance. Il commence à m’explorer du bout de la langue, m’amenant vers un plaisir certain. De ses
mains il s’aide pour écarter mes lèvres et me lécher au plus profond. Un doigt, puis deux viennent
se loger dans ma chatte toute chaude. Je dégouline de désir pendant qu’il me lèche tout en me
pénétrant avec ses doigts.
-Prend moi !
Mon injonction était tellement autoritaire qu’il relève la tête de mes cuisses et me regarde d’un
air interloqué, peu habitué à m’entendre parler
-Aller ! Prend moi j’ai envie d’une queue, tes doigts ne sont pas assez gros.
Il ne se fait pas prier et m’embroche d’un coup, de toute sa longueur sans se poser de question.

Enfin je me sens remplie, pleine de désir et d’une queue si bonne. Il m’écarte les cuisses,
m’obligeant presque à faire le grand écart afin de pouvoir continuer à me caresser et à toucher mes
seins. De mes gémissements je l’encourage à me pénétrer plus profondément, plus fort, plus vite. Je
sans qu’il profite de cet instant mais moi, j’ai peur que quelqu’un entre dans le bureau et j’ai
envie d’un orgasme.
-Plus fort. C’est trop bon !
Il abandonne ses caresses pour agripper mes hanches et ainsi me pénétrer au plus profond. Chacun de
ses coups de queue est un bonheur, m’amenant un peu plus prés de l’orgasme. Je sens le plaisir
monter, mes gémissements se transforment en petits cris qui l’encouragent à me prendre comme une
vraie salope. J’aime ça, j’aime qu’il me prenne par les hanches et me baise comme une chienne. Je
sens sa queue qui gonfle en moi. Il est proche de l’orgasme mais tente de se tenir tant que je n’ai
pas jouie. Cet homme est un dieu de la baise. Pour m’aider à atteindre l’orgasme, il recommence à me
titiller le clitoris d’une main. C’est plus fort que moi, je sens l’onde de plaisir m’envahir. Je me
mets à trembler. L’une de ses mains se pose sur ma bouche pour mes cris, j’en profite pour
promener ma langue dessus, lui rappelant qu’il était dans ma bouche il à quelques instants. Soudain,
je sens que la main qui me caressait est entrée dans ma chatte, avec sa queue. Je suis plus que
remplie. Son pouce titille toujours mon clitoris pendant que ses doigts me pénètrent. Je ne peux
plus me retenir et je jouie, mes cris de jouissance étouffés par sa main plaquée sur ma bouche. Mon
orgasme déclenche le sien et je le sens déchargé dans mon ventre. Il s’approche de ma bouche,
m’embrasse et me glisse à l’oreille :
-T’es vraiment une chienne, mais moi j’aime ça. On se voit demain salope.
Il se rhabille et s’en vas.
Je me sens lessivée mais je sais que d’ici une heure j’aurais encore
envie de lui…….

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