Femme Exquise À La Bibliothèque...

J’étais à la bibliothèque, comme tous les jours, malheureusement. Alors qu’il commençait à se faire tard, dans les
16h, et que l’effet du café redescendait tranquillement, la pluie fine sillonant les vitres me plongeait dans une
torpeur qui, si je n’avais pas eu à travailler, n’était pas désagréable. Je commençais à me déconcentrer, et à parcourir
les places environnantes des yeux. Elles se vidaient – personne ne travaillait plus, et les gens restant n’étaient pas
particulièrement appétissant...
... Après quelques minutes de délassement, je me replonge dans mon livre austère. Une femme vient alors s’asseoir
en face de moi, plus âgée que la plupart, 30 ans, ou peut-être 35 ans, dans l’idée que je peux me faire des
algériennes –yeux noirs, peau bronzée, nez droit, l’attitude calme et posée, sure de son charme-, habillée d’une jupe
en vinyle, et d’un décolleté avantageux, m’offrant une vue remarquable sur deux magnifiques seins que je voyais se
serrer l’un contre l’autre lorsqu’elle sortait ses affaires de son sac.
Feignant de prendre un stylo dans mon sac posé à terre, je remarque ravi qu’elle porte des bottes à talons hauts, qui
lui font de magnifiques mollets galbés, et entrevoie dans l’obscurité de son entrejambe une culotte rose. Mais que
peut avoir à faire une femme belle comme cela d’un étudiant de 20 ans, qu’elle prendrait sans doute pour un petit
frère ? Je rêvasse un peu, et décide pudiquement de me remettre dans mes études.
Les livres qu’elle va chercher m’interpelle pourtant : livres que tous ne lisent pas, de philosophie et de littérature
étrangère, qu’elle pose avec nonchalance sur sa table, de ses doigts effilés. M’intéressant à ces domaines de la
connaissance, j’entrevois la possibilité de lui parler, mais n’ose pas l’aborder directement à la table, devant tout le
monde. Alors que j’abandonne décidément mon projet, un ami passe, et me propose de faire une pause-café.


J’accepte, et me libère pour un temps du charme de cette femme.
Nous sommes en bas, j’ai fini mon café, mon ami aussi. Alors qu’un silence nous prévient tout deux qu’il est temps
de s’y remettre, je la vois sortir de la bibliothèque, une cigarette à la main qu’elle allume avec prestance. Je prétexte
à mon ami une envie pressante, il monte, et je reste. Elle me tourne le dos sans m’avoir vu, à une dizaine de mètres,
et elle est superbe. Ses talons la rendent sublime. Son fessier bombé, ses longs cheveux noirs qui lui descendent
dans le bas du dos en cascade, ses jambes interminables, et ses bottes d’un érotisme fou... Que fait une femme
comme cela à la bibliothèque ? Je prends mon courage à deux mains, me prépare à l’humiliation, et vais l’aborder.
Je la vouvoie, lui parle des livres qu’elle lit, elle sourit, apparemment amusée qu’un jeune homme vienne lui parler de
philosophie avec aisance. Je m’estime heureux de parvenir à l’amuser, et lutte pour ne pas faire plonger mon regard
dans son décolleté, alors qu’elle me regarde dans les yeux. Elle répond à mes questions, rit beaucoup. Elle me
raconte ce qu’elle fait dans la vie – secrétaire dans l’édition, passionnée de littérature-. Mes yeux tombent
malheureusement dans son décolleté, je vois la peau frémissante de ses seins sous la pluie légère de ce mois
d’octobre. Je me sens ridicule, relève les yeux, qui tombent dans les siens, toujours amusés.
Nous avons fini nos cigarettes, et elle me dit qu’elle faut qu’elle se remette à bosser. Je comprends, plaisante, et
nous rentrons dans la bibliothèque. M’informant qu’elle doit chercher un livre au premier étage, j’y monte seul.
Elle revient, me sourit, et s’assoit. Ma fatigue se fait sentir : je n’arrive plus à lire mon livre, et décide de changer de
domaine. Alors que je me baisse pour prendre un livre plus léger dans mon sac, mes yeux se posent de nouveau sur
ses bottes, puis remontent le long de ses jambes –rapidement-.
Alors, j’ai le souffle coupé : sa culotte n’est plus là.
A la place, j’entrevois une petite fente lisse entre ses jambes écartées. Je rougis beaucoup, n’osant prendre cela pour
autre chose qu’un hasard. Alors que je sors le livre, elle me regarde dans les yeux, souriant. Je ne sais pas quoi faire,
et regarde précipitamment une page de mon livre – que je tiens à l’envers.
Une demi-heure après, elle se lève. Alors qu’elle range ses affaires –et que je sens avec douleur mon manque de
courage- elle vient vers moi, et me dis que je pourrais lui apprendre des choses qu’elle n’arrive pas à comprendre,
dans ces domaines qui sont ma prédilection. J’accepte avec empressement, elle me laisse son numéro, je lui laisse le
mien.
En rentrant chez moi, je reçois un sms : « Slt c’est Tania, on c vu a la biblio ! tu serais dispo qd ? où ? » Je lui réponds
que je suis disponible en fin d’après-midi, chez moi ou dans un café, à sa convenance. Sa répondre : « il pleut,
autant allez chez toi si sa ne te dérange pas ! » Bien sûr que non.
Le lendemain, en fin d’aprèm, elle sonne à l’interphone, je la fais monter. Elle est encore plus belle que la veille : ses
yeux maquillées d’un noir profonde, un rouge à lèvres léger, une robe au décolleté qui laisse voir ses formes
superbes et ses jambes infinies, et des escarpins rouges de pin-up. Je l’invite à s’asseoir, et lui demande de quoi elle
veut que nous parlions. Elle me le dit : des sujets techniques. Je lui en parle, et délire, pris par mon éloquence. Nous
sommes assis tous les deux à mon bureau, studio d’étudiant oblige. Alors que rien n’existe plus que ce que je dis à
mes yeux, je sens sa botte frôler ma jambe. Déconcentré, je perds le fil, je la regarde : elle me sourit. Je poursuis
néanmoins, ne sachant quoi faire. Je sens sa main se poser sur mon genoux, remonter lentement, très lentement, si
lentement que je ne la sens pas monter, jusqu’à ma braguette, qu’elle pressure de ses longs doigts.

Je ne me laisse pas déconcentrer : elle voulait parler philo, nous en parlerons. Ce petit jeu l’amuse, je le vois du coin
de l’œil, et elle touche mon sexe à travers mon jean, sexe qu’elle sent dure à en mourir. Elle sourit en s’humectant
les lèvres, et remarque à haute voix ma capacité de résistance : je parviens à ne pas me transformer en animal fou de
sexe. Elle se fait alors un défi de parvenir à me déconcentrer. Elle se lève – je continue à parler, j’en suis à la
physique d’Épicure -, et me plante son décolleté devant les yeux, à quelques centimètres, en serrant ses seins de ses
paumes. Rien n’y fait, je lui prouverais que je ne me laisse pas avoir si facilement : je continue. Elle se retourne, et
met à quelques centimètres de mes yeux son fessier, en se cambrant à l’extrême, moulé à la perfection par sa robe,
qui remonte d’ailleurs jusqu’au bas des fesses. Je sens mes forces m’abandonner, mais continues, des images
violentes me passent en tête : j’ai envie de la défoncer. Mais, gagnons contre elle. Amusée, elle se met face à moi,
s’assoit sur mon bureau –j’ai peur qu’il ne cède, il est de mauvaise qualité- place sa botte sur ma braguette, et met
un main dans sa culotte. Elle exagère le bien que cela lui fait, ondulant, rejetant la tête en arrière. Je commence à
craquer, ne sais plus bien ce que je dis, mais continue.
Devenue furie après 30 secondes de gémissement par le bien qu’elle se fait à elle-même, elle se met à genoux,
dégrafe mon pantalon, et se met à lécher mon sexe à travers mon boxer. Je respire de plus en plus fort, commence à
raconter n’importe quoi, à répéter plusieurs fois chaque mot. Elle me dit de la regarder. Je la regarde. Elle sort mon
sexe tendu, le lèche, gobe le gland, et me regarde dans les yeux, le regard malicieux. Je soupire, ne parle plus,
prends sa tête entre mes mains, et enfonce mon sexe d’un grand coup. Elle tousse un peu, mais je m’en fous.
Je lui
impose des va-et-vient violent, elle bave un peu – et la chaleur de sa bave sur mes testicules est délicieuse. Son
mascara se met à couler, elle gémit du plaisir d’être violentée. Je continue coûte que coute. Elle parvient à glisser un
doigt au dessous de mes testicules, et me l’enfoncer, grâce à la bave qu’elle déverse à flot, dans l’anus. C’est trop.
Je la relève –elle est décoiffée, de la bave tout autour de la bouche, mais sourit encore- et alors que je l’insulte de
salope sous le coup de l’excitation, elle fait jaillir ses seins de son décolleté. Seins magnifiques, fermes, qui se
dressent vers moi. Je les prends à pleine bouche en lui mettant trois doigts dans son sexe dégoulinant : ils y rentrent
facilement. Va-et-vient frénétique des trois doigts, puis des quatre, qui la font jouir, elle hurle : je sens ma main
inondé, un jet de liquide se répand par terre. Je la regarde dans les yeux, d’où le mascara coule, et lui fourre mes
doigts dans la bouche, qu’elle lèche avec application.
Je n’en peux plus, je la retourne, prends une capote dans un tiroir, et la pénètre en levrette. Elle est trop bonne. Son
dos est luisant tant elle aime ça, ses cheveux collent son visage, je lui tire d’une main une poignée de cheveux, et
prends un sein de l’autre. Elle hurle de plaisir, me supplie de la défoncer.
Je lache ses cheveux, et lui mets un doigt dans le cul. Elle redouble de plaisir, et je comprends. J’enlève ma capote, et
rentre dans son cul. Il est serré, chaud. J’arrête de bouger : elle bouge, en me suppliant de recommencer. Ce que je
fais. Je la pénètre de la manière la plus violente qui soit, je ne vois presque plus ce qui m’entoure – même pas elle –
je suis frénétique. Elle jouit dans un râle violent, mettant toutes les affaires qui étaient sur mon bureau à terre.
Elle se dégage, revient face à moi, me branle debout en m’embrassant – nous nous faisons face à face- et elle sourit
de plaisir pendant que je la traite de salope et de chienne, que je lui dis que son cul était trop bon. Mon sexe encore
chaud de son cul, elle s’accroupit, et le suce avec délectation. Je manque de jouir tant je suis excité. Je lui répète
qu’elle est bonne.
Je m’asseois, pour qu’elle me suce à son aise. Elle enlève mon jean – qui était toujours à mes pieds -, me suce un
peu, puis descends le long de mes jambes, et suce mes orteils, en mettant mon autre pieds entre ses seins. Vous ne
pouvez pas imaginer comme elle était incroyable, à mes pieds, s’en occupant, me regardant, heureuse que je la
trouve bonne, pendant que je me branlais.
Je lui ai dit de me sucer de nouveau. Elle s’est empressée de le faire. J’allais jouir. Alors que je l’avertis de
l’imminence de l’explosion, elle me met de nouveau un doigt dans le cul. Alors que la jouissance monte, que je me
mets à râler de plus en plus fort, elle l’enfonce, accompagnant ma jouissance.
Je n’ai jamais joui comme ça, je me suis vidé dans sa bouche, entièrement, si fort qu’elle a laissé couler quelques
gouttes visqueuses et denses sur ma jambe, qu’elle a léché.
Bouleversé, je lui caresse la joue, elle me sourit, va pour se rhabiller, et se penche encore. Mais la vue ses fesses
offertes me rend fou. Je me lève, la fesse, elle gémit en riant. Je lui lèche le cul, je me sens complètement dingue, lui
met des doigts où je peux, je lui touche les pieds, les jambes, la chatte, tout ce que je peux. Je me glisse sous son
intimité, et commence un cunni endiablé. Elle n’en peut plus, je sens ses jambes fléchir, alors que je remue
violement quatre doigts dans sa chatte. Elle se vide en moi, je sens ma bouche remplie de ce liquide inodore.
Elle a l’air complètement défoncée tant elle a joui. Mon sexe est épuisé, mais reprend de la vigueur, elle m’offre ses
seins, que je lèche avec appétit, et elle entreprend de me sucer de nouveau, en s’arrêtant parfois pour me dire
qu’elle est ma pute, ma salope, ma chienne, qu’elle veut que je la remplisse de mon sperme chaud, qu’elle en rêve.
Je pers toute notion de pudeur, et lui dis que je veux jouir sur sa putain de gueule de pute. Elle est ravit, me suce et
me branle de plus en plus fort, gémissant de plus belle. Lorsque je viens, je prends mon sexe, elle me touche les
fesses, et je jouis sur son front.
Le liquide descend sur ses yeux, sur ses yeux, se mêle au mascara, au rouge à lèvres défait. Sans un mot, nous
allons nous coucher dans mon lit. Je m’endors directement.
Le lendemain, il n’y avait plus personne. Elle avait supprimé son numéro de mon répertoire.

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