10 - Plongée Dans L'Enfer Du Stuppre

Maria, épuisée de cette nuit de folie, retourna se reposer ; je me sentais moi-même vidé et je commençais à casser une petite croûte pour récupérer un peu d'énergie. Puis, vaincu par une curiosité malsaine, je visionnai le CD et entrai dans un autre univers, celui du sexe et du vice à l’état pur.
Le film commençait par une vision panoramique de la pièce, centrée sur le lit bien plus grand que celui sur lequel j'avais passé la nuit, les images d’une netteté exceptionnelle laissaient deviner qu’au moins une caméra à haute résolution était dissimulée au plafond. A peine une minute après Roland entra avec Maria. L’image suivaient les arrivants, les cadraient avec des gros plans et des changements d’angle, ce qui laissait à penser que cette chambre était équipée d’un système vidéo sophistiqué.
Sans perdre de temps, il l'embrassa goulûment et la palpa sous toutes les coutures. Maria vint s'asseoir sur le lit et le buste en arrière, en appui sur ses mains, le regarda enlever sa veste et sa chemise en souriant, les cuisses bien ouvertes comme pour l'inviter à venir se servir d'elle. En la reluquant, il lui demanda :
- Pourquoi as-tu mis une culotte aujourd'hui ?
- Viens me l'enlever si tu veux !
Il ne se fit pas prier deux fois et la déculotta sur-le-champ. Elle garda la même posture impudique qui dévoilait sa chatte et demanda à son tour :
- Ma foufoune te plaît ?
- Plus que ça, j'ai en envie depuis que je l'ai vue.
- Tu vas pouvoir en profiter tout de suite si tu en as envie.
- J'ai la trique et je vais te la fourrer.
- Mais je venue pour ça, ce soir, tu vas pouvoir me la fourrer tant que tu voudras, mon chéri.
- Ca va être ta fête, ma cochonne.
- Viens vite, que je m'occupe de ta queue !
Ma femme ouvrit la braguette, dégrafa la ceinture et baissa le pantalon et le caleçon de son partenaire. Celui-ci bandait déjà et elle commença à branler doucement une bite moyenne mais très raide avant de la mettre dans sa bouche pour la sucer et la lécher.

Il lui dit :
- Je ne pensais pas que tu savais sucer aussi bien.
- Je sais faire beaucoup de trucs très cochons, tu sais. D'habitude, je ne les fais qu'à mon mari.
- Les hommes adorent les femelles gourmandes comme toi.
- Viens t'allonger sur le lit maintenant, j'ai envie de baiser moi aussi.
Elle le fit s'allonger sur le dos et monta à califourchon sur lui. Sans préliminaires, elle guida son sexe à l'entrée de son vagin et l'enfonça complètement en elle. Elle baisait dans sa robe noire remontée jusqu'aux hanches et son partenaire s'amusait avec ses nichons qui apparaissaient et se cachaient à chaque mouvement de bassin de ma femme.
Roland s'étonna :
- Comment se fait-il que tu sois si excitée et si mouillée ?
- Tu me poses la question après tout ce que tu m'as fait aujourd'hui ? Tu m'as déjà tripotée ce matin au bar en cachette de mon mari et puis encore ce soir devant tout le monde. Déjà ce matin, ce n'était pas difficile de voir où regardaient tous ces types au comptoir. J'étais à moitié allongée sur la banquette, les jambes écartées et sans culotte. Ils ne se sont pas privés de reluquer entre mes cuisses.
- Et ce soir ?
- J'étais à peu près dans la même position, et au début, je croyais sincèrement que personne ne voyait rien puisqu'on était dans le noir. Mais au bout d'un moment, j'ai ressenti que tous les mecs autour de nous me regardaient, ou plutôt, qu'ils regardaient mes cuisses, après tes copains ont bien profité aussi.
- Tu t'en es rendue compte ?
- Je ne suis pas si idiote que ça.
- Et tu m'as laissé faire ?
- Pourquoi pas ?
- Tu aimes t'exhiber, alors ?
- Toutes les femmes aiment se savoir désirées et qu'on phantasme sur elles. C'est nouveau pour moi, mais je crois que j'aime me montrer, oui.
- En plus ce soir, plus d'un voulait toucher ta belle moule et tes petits nichons, tu sais.
- Quelques uns ne s’en sont pas privés. C’est la coutume dans ce genre d’endroit, de faire profiter les copains d’une petite nouvelle ?
- Quand la dame est jolie, oui, c’est normal.

- J’ai senti pas mal de mains se promener sur moi, des doigts pénétrer mon minou et me fouiller, quelques petits vicieux se sont aventurés jusque dans mon petit trou.
- Et s’ils avaient sorti leurs queues ?
- Les regarder et les toucher, ça je sais que je l'aurais fait volontiers, mais le jeu aurait pu devenir trop sérieux à mon goût.
- Tu les aurais sucés ?
- Un ou deux, peut-être, mais pas tous.
- Et s’ils avaient voulu te baiser ?
- J’espère que tu ne les aurais pas laissé faire.
- Et pourquoi donc ?
- Pour m’avoir pour toi tout seul maintenant, pardi. Je savais que tu avais envie de me baiser.
- C’est vrai que j’ai envie de te baiser.
- Moi aussi j'ai envie d'une bonne queue.
- Moi, je n’aurais pas pu résister. Je t'aurais baisée sur place.
- Alors ça, je sais que j'aurais vraiment adoré.
- Et les mecs n'auraient plus qu'à se branler en te regardant.
- Arrête, tu m'excites trop. Je crois que je vais jouir encore plus fort.
Je la connaissais bien, ma Maria, et je savais qu'elle ne parlait pas à la légère. D'ailleurs, elle accélérait déjà la cadence, ce qui fit jouir son partenaire. L'orgasme de Roland amena le sien, violent et incontrôlable. Puis elle s'écroula sur son amant qui avait subi cette tornade.
Ils se séparèrent et Roland lui dit en s'essuyant le sexe avec une serviette :
- Tu es une chaude ou tu es en manque ?
- J’aime le sexe, c’est vrai, mais je ne suis pas en manque.
- Je croyais que si, ton mari te baise de temps en temps ?
- Souvent, crois-moi.
- C’était quand la dernière fois ?
- Tout à l’heure, juste après qu’on se soit quittés.
- Cet après-midi ?
- C’est ça, j’avais trop envie après ce que tu m’as fait.
- Et tu l’as raconté à ton mari ?
- D’abord, je l’ai baisé, après je lui ai dit pourquoi j’étais si excitée.
- Qu’est-ce qu’il a dit ?
- Il n’était pas content.
- Il y a de quoi, non ?
- Il était encore plus fâché quand je lui ai dit que tu allais profiter de moi, et me faire la même chose que ce qu’il venait de faire.

- Tu lui as dit ça ?
- Oui, pour qu’il sache ce que je vais offrir.
- Tu es un peu cruelle.
- Peut-être, mais d’abord c’est de sa faute. Il sait que je peux devenir une vraie salope par vengeance, je l’ai déjà fait cocu mais ça ne lui a pas servi de leçon, tant pis pour lui. En plus, je prends du plaisir à le faire.
- J’ai vu ça ! Lave-toi la figue et fous- toi à poil.
- Veux-tu que je garde mes bas ?
- Montre un peu pour voir ! Oui, garde les, tu es bandante avec, ça met en valeur ton cul et ta chatte de petite salope.
- J'arrive au lit, fais-moi une petite place à coté de toi.
- Tu es une vraie petite vicieuse dans ton genre.
- Et tu n'aimes pas ?
- Si, au contraire, on va encore plus s'amuser, mais tu as le feu au cul, ma parole, je n'ai pas eu le temps de mettre une capote.
- Je m’en fiche, ne t’inquiète pas pour si peu. Ton beau-frère n'en avait pas mis non plus quand il m’a prise, rappelle-toi. Tu n'as pas aimé me baiser et pouvoir décharger ton sperme dans mon ventre comme le fait mon mari ?
- Si, bien sûr, mais ici tous les rapports sexuels doivent être protégés, c'est la règle.
- Je n’ai pas l’habitude des clubs, excuse-moi, j'y penserais pour la prochaine fois.
Ma chérie se montra alors très câline avec son amant, comme une petite chatte qui recherchait les caresses de son maître pour se faire pardonner. Celui-ci l'embrassait, la cajolait partout, jouait avec les bouts de ses seins qu'elle aimait tant frotter pendant l'amour, s'amusait de son anus tout rose quand il écartait les fesses, de son clitoris si sensible sous les doigts qui le titillaient. Ma femme adorait les caresses et écartait largement les cuisses pour offrir sa vulve aux doigts de son amant. Le spectacle était torride, les jambes et les cuisses gainées par les bas noirs guidaient le regard sur le sexe entrouvert de cette femelle et invitaient au rut bestial qu'elle semblait exiger.
A ce moment précis, Robert entra dans la pièce.
Il resta un moment sans bouger pour profiter de la vue et s'adressa à Roland :
- C'est magnifique de voir une belle femelle comme ça à poil dans un pieu avec mon copain. Et dans les meilleures dispositions on dirait ! Pas comme la dernière fois où elle nous a fait son numéro de sainte nitouche pour un petit coup de rien du tout qu'on voulait tirer avec elle !
- Cette fois, c’est du sérieux. Elle est là pour se venger de son mari, figure-toi que ce salaud a couché avec ma femme, alors elle le fait cocu avec moi.
- Tu l'as déjà baisée ?
- Une seule fois pour le moment. Et c'est elle qui a tout fait, je me suis régalé.
- Dans ce cas, je vais devoir coucher avec elle comme toi. A l'heure qu'il est, son mari a du fricoter avec ma femme aussi.
- Mais je suis déjà au lit avec Roland.
- Je ne suis pas jaloux, on te baisera à deux.
- Mais ce n'est pas possible, pas en même temps. Je ne pourrais pas le faire.
- Mais si, tu verras, deux mecs pour toi toute seule. Tu vas te régaler, ma belle. Tu ne l’as jamais fait ?
- Je n’ai pas l’habitude.
- Ça veut donc dire que tu as déjà eu deux hommes en même temps ?
- Oui, je l’ai fait une fois, une seule fois.
- Petite cachottière, chaude comme la braise, mais cachant bien son jeu. Et ton mari le sait ?
- Oui, il participait, c’était avec lui et un ami.
- Alors ça va, il a l’habitude qu’on te fourre d’autres bites que la sienne, et il ne doit pas être trop jaloux.
- Si, il est un peu jaloux.
- Alors tant mieux, un cocu qui n’est pas jaloux, ce n’est pas drôle.
- Et en plus, les cornes de ton mari pousseront deux fois plus vite.
Tout en parlant, le deuxième larron se déshabilla entièrement sous les yeux ébahis de ma femme. Il vint se placer debout au pied du lit et la tira doucement mais avec fermeté par les cheveux pour amener sa bouche sur son bas-ventre. Maria était invitée à commencer la partie par une fellation :
- Si elle est en chaleur, elle va me sucer d’abord
- Elle fait ça très bien, la miss.
- Viens par ici, toi, tu vas ronger un bon nonos et lécher mes couilles, comme une chienne que tu es.
- Tu vas voir, elle va se régaler.
Effectivement, elle fit ce qu'elle savait faire à la perfection comme avait déjà pu le constater Roland. Elle prit le sexe raide dans sa main, le décalotta puis le mit dans sa bouche. Robert avait une petite bite, qu'elle prenait presque entière dans son palais et elle le suça un bon moment avant qu’il ne demande :
- Elle suce bien cette salope. Dis moi, Roland, toi aussi tu as eu droit à une fellation ?
- Pour sur, elle m’a bien sucé.
- Tu es douée ma cochonne. Bien, lèche-moi les couilles, c’est ça ma jolie. Continue, bon lèche-moi le gland si tu préfères. Tu es une bonne ménagère bien consciencieuse, c’est bien.
- On est tombé sur la fée du logis.
- Elle a surtout un sacré coup de langue, la fée du logis.
- C’est aussi bien qu’un coup de torchon.
- Moi je préfère. Doucement, salope, je n’ai pas envie de cracher ma purée tout de suite, je vais baiser ton petit con avant.
Son compère la travaillait à l'entrecuisse, la faisant gémir à chaque fois qu'il enfonçait ses gros doigts plus profondément dans son con ou dans son anus. Je pensai que celui qui la voyait faire cela ne pouvait la considérer que comme la dernière des putains. Maria devait avoir cette opinion d’elle-même.
Puis Robert la fit retourner, la croupe vers lui, pour la prendre en levrette tandis que comme par magie elle se retrouva avec la queue de Roland dans la bouche. C'était incroyable : un homme baisait ma femme qui en suçait un autre. Et ce n'était qu'un début.
Robert s'extasia :
- On dirait que tu aimes ça plus que la première fois que je t’ai sautée. Tu as pris des cachets ou quoi ?
- Tu m’avais e, ce n’est pas pareil.
- e, quel vilain mot, juste un peu abusé, et encore, c’était ta faute, tu n’avais même pas de culotte.
- Ce n’était pas une raison pour me forcer.
- Et maintenant, je te force aussi ?
- Bien sur que non, je suis là parce que je l’ai voulu et que j’en ai envie.
- Tant mieux. Merde, je ne me rappelais plus qu'elle était si bonne, cette femelle ! C'est un des meilleurs coups que je connaisse. Elle a le con souple et encore bien serré comme une jeunette ! Avec une belle chatte comme tu as, tu dois en prendre des coups de quéquette, entre ton mari et tous tes amants !
- Il n’y a que mon mari, je n'ai pas d'amant.
- Tu veux dire que depuis que je t'ai tirée, tu n'aurais pris que la bite de ton mari ?
- C'est la vérité, je suis fidèle.
- Sois franche, on ne le répètera pas.
- Je vous le jure, depuis je ne l’ai fait qu’avec mon mari.
- A propos, tu lui as raconté que Robert t’avait sautée ?
- Il l’a su dès qu’on est montés dans la voiture.
- Et qu’est ce qu’il a dit ?
- Il voulait lui casser la gueule.
- Il est jaloux alors ?
- Un peu, c’est normal.
- Il n’aime pas qu’on fourre sa petite femme ?
- Pas trop, non.
- Tant mieux. On va se régaler encore plus à le faire cocu. Tu vas voir, il va faire une drôle de tronche quand il saura tout ce que tu as fait cette nuit.
- Je n’ai jamais été avec deux hommes.
- Ne t’inquiète pas, aujourd’hui tu vas changer de régime. Régime hyper phallique pour femme mariée en manque. On va t'en mettre plein la figue. Il est grand temps qu’on t’éduque.
Presque immédiatement après avoir été pénétrée par derrière, Maria eut un nouvel orgasme qui ne fit que réjouir ses partenaires. Robert s'exclama :
- Madame aime la queue on dirait !
- Madame nous a caché qu'elle était si vicieuse.
- On va bien s'amuser, alors.
- Tu devrais aussi essayer son petit cul. Je l'ai sondé avec plusieurs doigts et je suis sûr qu'elle doit être bonasse par le trou du cul aussi.
- Tu as raison, je vais lui farcir la rondelle, à cette brave petite. Ça ne te dérange pas qu'on t'enfile par le trou du cul ?
Maria continuait la fellation qu'elle administrait à Roland sans répondre ni protester tandis que Robert la préparait avec de la crème tout en continuant à la baiser. Puis il ressortit de son sexe, se présenta à son orifice anal, força un peu le passage et la pénétra sans difficulté apparente. Ma femme bien aimée se faisait encore sodomiser. Prise par les deux bouts de l'intestin en même temps ! Inouï ! Les deux compères savouraient leur victoire en la voyant si soumise. Robert empoignait les fesses à pleine mains, les écartelait, s’amusa à les claquer en commentant que cette petite enculée cachait bien son jeu :
- Tu sais que je me régale avec ton gros cul de salope.
- Je n’ai pas un beau cul, je le sais bien.
- Ça ne fait rien, je me régale et toi ?
- Ça va.
- Tu la sens bien, ma queue ?
- Bien sur que je la sens !
- Tu te rappelles ce que je t’avais promis la dernière fois ?
- Quoi ?
- Je t’avais bien dit que je te baiserais un jour, tu te rappelles ?
- Et bien c’est fait.
- Et maintenant je t’encule, poufiasse.
Il ponctuait chacun de ses commentaires, chacun de ses coups de boutoir par une claque retentissante sur les fesses rebondies qui devaient déjà être rouges. Pour lui prouver ce qu'elle était, un garage à bite selon Robert, Roland déclara qu'il lui fallait une double pénétration. Maria s’effraya :
- Vous ne pouvez pas me faire ça, ce n’est pas possible.
- Bien sur que si, on va se gêner, tiens.
- Je ne l’ai jamais fait.
- Tant mieux ! On va t’exploser la fente, tu vas voir, même ton mari va s’en rendre compte.
Prestement et avant de nouvelles protestations, il se glissa sous Maria toujours enculée par son compère, et parvint à se positionner correctement après quelques contorsions. Il put alors enfiler son sexe dans le con de ma femme et commença à la baiser par là aussi. Ecartelée au point de se sentir déchirée, ma pauvre épouse qui tenait tant à laver son honneur souillé en me trompant subissait la première double pénétration de sa vie ! Elle qui était si à cheval sur la condition des femmes acceptait maintenant les dépravations les plus humiliantes et n'était plus qu'une esclave sexuelle; elle subissait ces assauts sans broncher, s'efforçant juste de garder l'équilibre, en appui sur ses genoux et sur ses mains; elle avait les yeux exorbités, la bouche ouverte par son effort à contenir tant de violence dans sa fente. Ses deux bourreaux ne cherchaient pas à la ménager, bien au contraire, ils la prenaient en force, avec brutalité même, l'écartelant sous leurs coups de boutoirs conjugués. Tout son corps en tressautait tant ils la bourraient avec vigueur.
Puis Roland décida que c'était assez, se dégagea et enleva son préservatif. Il mit son sexe dans la bouche de Maria pour qu'elle le finisse, ce qui fut rapide. Il la força à avaler toute sa semence en maintenant sa tête plaquée sur son bas-ventre. Le deuxième se soulagea entre les reins de ma femme que ni l’un ni l’autre n'avait réussi à faire jouir une nouvelle fois malgré tant de débauche et de luxure.
Les deux hommes semblaient en avoir fini avec Maria, tandis qu'elle restait à quatre pattes sur le lit, haletant en essayant de recouvrer son souffle après ce qu'elle avait subi. Puis elle regarda ses partenaires qui commençaient à se rhabiller et s'étonna :
- Vous partez tous les deux ?
- Pourquoi ? Tu veux qu'on reste ?
- Au moins un de vous deux.
- Pour quoi faire ?
- Vous le savez très bien, ce que je veux. Baisez-moi encore, l'un ou l'autre, s'il vous plaît !
- Je ne le crois pas ! Cette connasse en veut encore !
- Je ne suis pas une connasse ! Vous ne vous êtes souciés que de votre plaisir, pas du tout du mien.
- Moi j'ai assez limé pour ce soir.
- Et moi je n'ai plus rien dans les couilles.
- Et moi j'ai très envie d'une queue, ne me laissez pas dans cet état là.
- Ca tombe bien, notre copain René aime bien les femelles en manque.
Et le fameux René entra en scène. Je reconnus le gros plein de soupe qui m'avait salué à la fin de la soirée, on aurait dit la réincarnation d'un personnage de bande dessinée, « Pervers Pépère ». Quand elle le vit, Maria se recroquevilla sur le lit en essayant de cacher ses parties les plus intimes, ce qui fit bien rire les trois hommes.
Roland expliqua au nouveau venu :
- Crois-moi si tu veux, elle a pris de la saucisse toute la soirée et elle a encore le barbu affamé.
- Elle doit être contente de me voir alors !
Robert ordonna :
- Ne fais pas la vilaine, veux-tu ! Montre à notre pote ce que tu es vraiment au lit.
- Mais je ne veux pas avec lui.
- On ne te demande pas ton avis, salope. Après tout ce que tu as fait avec nous, tu ne vas pas faire de manières.
- Ne me dites pas que vous l'avez tirée à deux !
- Si, mon pote, et par tous les trous. D'abord chacun son tour, et les deux ensemble après. Si tu étais arrivé un peu plus tôt, tu aurais pu te faire sucer pendant qu'on la fourrait par les deux trous du bas.
- C'est quoi cette femelle ? Vous dites que c’est une femme sérieuse ? Une pouffiasse oui !
- Ne parle pas sans savoir, c'est la première fois qu'elle fait ça, et seulement pour se venger de son vilain mari. La pauvrette a été trompée, alors on l'aide à cocufier son homme.
- En somme, vous travaillez pour une noble cause.
- Exactement, c'est notre façon à nous de prendre notre bâton de pèlerin.
- Ça tombe bien que le chemin du pèlerin passe entre les cuisses de cette femelle.
- Un vrai bonheur, la petite chérie met des cornes à son mari, le mari est cocu mais il va retrouver sa petite femme bien rodée de partout, nous oeuvrons à son bien-être.
- Vous contribuez au bonheur conjugal.
- En fait, Madame est devenue une vraie salope aujourd'hui.
- Alors, il faut qu'elle le montre !
Le dénommé René cria pour appeler une certaine Annie qui devait se tenir prête à la porte. C'était une blonde platinée plutôt enrobée qui apparut immédiatement. Elle devait connaître les intentions de ses copains car elle apportait une valise de toilette pour femme qu'elle posa sur le lit. Sans qu'on lui demande, elle se déshabilla complètement sous les yeux de Maria qui devait se demander ce qui allait se passer, à en juger par son expression d'étonnement. La blondasse s'assit sur le lit et ouvrit sa trousse pour en sortir une bombe de savon à raser et un rasoir à main. Alors René, en maître de cérémonie expliqua :
- Tu vois, comme tu es une salope, on va te raser la chatte. Une vicieuse comme toi doit avoir une moule bien lisse.
- Mais je ne veux pas. Que va penser mon mari en me voyant avec mon sexe rasé ?
- Il saura que tu es devenue une vraie petite pute, celle que tout le monde peut tirer quand il en a envie. Et ce soir encore plus, tu es la femelle de service. Pendant la guerre, on rasait la tête de celles qui couchaient avec l’ennemi, ici, on rase la chatte de celles qui couchent avec tout le monde.
- De toute façon, on ne te demande pas ton avis, on te baise et on te rase la chatte comme on veut. Alors, un conseil, laisse toi faire sans gigoter, sinon tu vas te faire blesser.
Les trois hommes l'ont maintenue sur le dos, avec un coussin sous les fesses, écartelée comme pour la visite chez le gynécologue pendant que la blonde officiait entre ses cuisses. Presque religieusement, elle étala une serviette sur le lit, enduisit de mousse toute la touffe, et entreprit de raser le magnifique minou de Maria. Patiemment, avec une minutie rare, elle coupait la toison presque poil par poil, tirant avec douceur sur la peau du pubis, sur les lèvres pour passer la lame le plus suavement possible. Puis elle essuya méticuleusement toute trace de savon et jeta la serviette roulée au pied du lit. Elle enduisit ses mains d'un lait corporel et massa la peau mise à nu pour apaiser le feu du rasoir. Elle caressait plutôt qu'elle ne massait, en s'attardant sur des parties que le rasoir n'avait pas touchées mais qui attiraient ses doigts comme un aimant.
Puis notre coiffeuse intime montra des goûts prononcés pour la belle nature de Maria et se mit à l'embrasser sur tout le corps avant de revenir sur son sexe. Elle sortit un godemiché long et fin de sa trousse, l'enduisit de crème et le fit pénétrer entièrement dans l'anus de Maria tout en lui broutant la vulve. Elle se retrouva couchée sur elle, entre ses cuisses, frottant son sexe sur celui de ma femme, et couvrit son visage de baisers avant de poser ses lèvres sur sa bouche pour lui donner un vrai baiser avec la langue roulant dans son palais. Maria, sans doute surprise, ne se dérobait pas à cette amoureuse des femmes, se laissait embrasser, caresser, et caressait elle-même les seins et la croupe de sa partenaire et la voir corps à corps avec une lesbienne était presque surréaliste. La blonde redescendit sa bouche sur ses seins puis sur son ventre, cette fois la tête en avant, pour arriver enfin à la fente entrouverte qui semblait l'attendre. Elle se mit à la lécher, à manger son sexe, à mordiller le petit bouton d'amour. Elle sortit de sa trousse un vibromasseur avec lequel elle massa la belle moule ouverte et faisait gémir ma femme en lui introduisant cet instrument de forme phallique dans le vagin.
Puis la lesbienne descendit sa croupe sur le visage de Maria pour lui permettre d'accéder à elle aussi à ses parties intimes et de lui rendre la pareille. Mais Maria se contenta d’effleurer ce sexe de femelle du bout des lèvres. La blonde finit par se lasser de cette relation sexuelle unilatérale et partit chercher une âme sœur plus compréhensive et partageuse.

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