La Beurette Psychopathe Du Site

Déjà 9h. J’ai dormi tard aujourd’hui, va falloir que je ratt le temps perdu. Je saute dans la douche, avant de m’habiller à la vitesse de la lumière. Rendez-vous à 10H de l’autre côté de l’Ile de France, même en deux roues ça va être compliqué. Oups, j’allais partir sans mon masque. Foutu masque. Je ne sais pas pour vous mais moi je les supporte plus. Attention je ne nie pas leur utilité mais simplement les voir ça me donne de l’urticaire. Quand va-t-on sortir enfin de cette période ? On vit vraiment une époque formidable comme l’écrivait Reiser. Pas certain que les plus jeunes aient la référence, même pas 40 piges et je suis déjà vieux.

J’ai pu arriver à l’heure ou presque, tout s’est bien passé. A mon retour je me pose sur le canapé et consulte mes mails. Pub, pub, pub, ah je ne connais pas ce nom. Farida, ça faisait une éternité que j’avais pas entendu ce prénom. Ca ramène à loin, une fille au collège. Très jolie. Elle a fini avec un joueur du FC Nantes il me semble. Serait-ce elle ? Le come-back ? « J’ai toujours eu envie de toi, que tu me défonces comme une chienne ». Hum. Je sors de mon songe et me rends compte que je suis à côté de la plaque. Il s’agit d’une lectrice qui m’envoie un mail en privé pour me dire qu’elle a kiffé mon histoire. Je ne vais pas mentir, des mails comme ça, ça ne me fait ni chaud ni froid. Au début j’étais comme un ouf, je me disais, « tu vas te régaler ». Ba oui. La fille savait ce que j’aimais et si elle venait, elle voulait tout pareil. Sauf que dans la majorité des cas, c’était la même routine. Ca échangeait les snap puis elles montraient leurs chattes et demandaient à voir ma queue pour s’exciter à travers l’écran. Le virtuel. Au début j’avais trouvé ça sympa puis très vite ça m’avait lassé. Dès que je fixais un rdv à l’hôtel ça se mettait à parler chinois. Désolé mais la baise à travers l’écran, non merci, je préfère me mater un bon vieux porno amateur sur Xhamster. Les branlettes en live, j’ai passé l’âge.

Du coup aucune excitation de ma part à ce mail de Farida, je lui réponds poliment. La discussion s’amorce et après quelques mails le couperet tombe, voilà mon snap, ça sera plus simple. « Oui plus simple pour te branler en regardant ma queue, ça va aller » me dis je en mon for intérieur. Mais vu la disette de la période covidée, je tente le coup, sait-on jamais. Et là rebelotte, après quelques messages, elle m’envoie des photos hots. Veux voir ma queue. Je suis à deux doigts de lui demander, « est-ce que tu baises ? » mais vu son âge (29 ans), je ne suis pas certain qu’elle ait la référence des Inconnus. Surement plus d’un youtubeur, putain de société où tout se perd.

Le lendemain elle m’écrit, « tu m’as trop chauffé hier soir, j’avais trop envie de ken sa mère ». Une poète, on va se régaler. Ni une ni deux, je stoppe les effusions verbales pour lui répondre sèchement, « on a qu’à se voir ce week-end et je vais te défoncer comme une chienne ». Et alors, moi aussi je peux avoir une belle plume. Aucune réponse. Je constate qu’elle a lu le message mais rien. Une de plus, pas vraiment surpris, je reprends le traintrain du quotidien. Mais comme à chaque fois, une envie de sexe me tiraille. A force de se faire chauffer virtuellement, ma queue me réclame une offrande. Peut-être le moment de relancer Khadija ? Sauf que cette conne s’est remariée avec un mec entre temps qui ne semble pas avoir l’outil pour combler son anus béant. Ouais mais non. La flemme de repartir dans une histoire d’infidélité. A chaque fois la meuf est stressée même si tu l’as défoncée dans tous les sens par le passé. Et faut faire attention, pas se faire cramer. Flemme. Je me pose sur le canapé, sors l’ordinateur, le mouchoir quand mon téléphone se met à vibrer. Snap se réveille. « Samedi si t’es partant je serai ta chose ». Je remballe l’outillage de précision, et commence à lui répondre. Farida semblait déterminée, mais doucement pas d’enflammade, souviens toi de la meuf qui t’avait planté au dernier moment alors que tu l’attendais comme un con dans la chambre.
Vous vous êtes déjà retrouvés seul dans une chambre d’hôtel en région parisienne avec vue sur bâtiment ? On ne peut pas dire que ça soit le top du dépaysement. Je tâte le terrain, après-midi, soir, nuit ? Farida veut faire ça en après-midi « mais pas à l’hôtel ». D’ac-cord. « Oula, toi tu veux me ramener chez des potes et me dépouiller ? Tu vas être déçu j’ai raté ma vie, toujours pas de rolex au poignet ». Mais non. Ni chez elle, ni chez moi, ni chez son voisin. J’apprends assez rapidement que la jeune femme veut assouvir un fantasme. « Je veux que tu me baises chez mon ex ». Oula, et moi qui craignais de me faire dépouiller, j’avais peu d’ambitions. « Comment ça chez ton ex ? ». « J’ai fait un double de sa clé avant de lui rendre son trousseau, il ne sera pas là ce week-end, je veux que tu me baises là-bas ». Pour tout vous dire, l’idée a séduit le pervers que je suis mais également aiguisée ma matière grise. Ca sentait le traquenard à plein nez, ou alors le scénario où l’ex déboule au pire des moments. Plus qu’une chose à faire, décliner poliment et tenter de forcer l’hôtel. « Entendu, dis moi à quelle heure je passe te prendre ou si on se retrouve là-bas ? ». Putain ? C’est moi qui avais écrit ça ? Qu’est-ce que je peux être con par moment, une vraie queue sur pattes ! « On se retrouve là-bas directement, 14H30, n’oublie pas la laisse » me glisse-t-elle avec un dernier smiley. Elle avait prononcé la formule magique qui m’a instantanément déclenché une érection du tonnerre. Quelques minutes après je revenais à la raison. « Non mais c’est quoi ce plan chelou ? Tu vas te retrouver dans un traquenard mon gros. Oui mais en même temps elle a donné son nom avant son corps, bon signe dirait AKH non ? ».

Samedi matin. Réveil difficile, nuit dégueulasse, allez savoir pourquoi. D’habitude si chaud à aller voir une meuf, aujourd’hui je freine des quatre fers. J’envoie un message à Farida, « toujours bon pour toi ? ». Réponse presque instantanée, « oh oui ! 14h30 là-bas ».


Plus le temps de faire machine arrière, je prépare le sac. Capotes, lubrifiant anal, laisse. Ca me semble impeccable. Ni taser ni flingue à proximité si jamais ça tourne mal. Wait and see.

Me voilà arrivé à Bobigny, cette ville où l’architecture est si moche qu’on aurait dû obliger ses architectes à y vivre. Le centre est vraiment une horreur. Certains détestent Saint-Denis mais putain notre ville a plus de cachet quand même. Je me gare à quelques mètres du rdv, avec quelques minutes d’avance, pour pouvoir vérifier sait-on jamais. Je sais que c’est stupide, s’ils doivent être à cinq à l’intérieur, ça ne servira à rien, mais bon, vieille habitude de banlieusard. Je craignais de me retrouver au cœur de la cité, avec tout ses potes autour, je constate que c’est un petit bâtiment issu de construction récente de l’autre côté de l’A86. Le « nouveau » boboche, avec ses quartiers plus adaptés aux bobos parisiens qui voudraient venir coloniser. 14h30 toujours personne. Je lui envoie un message. Aucune réponse. Un quart d’heure se passe et alors que je suis sur le point de me barrer, Farida me répond, « désolé, j’ai eu un souci, j’arrive dans 5 minutes ». Cinq minutes plus tard je vois une fille arrivée et se poster devant le bâtiment. Capuche vissée sur la tête je m’approche d’elle. Première impression, superbe jeune fille, correspondant aux photos. Ni trop grande ni trop petite, je dirai dans les 1m65, elle a mis une très jolie robe noire échancrée qui remonte au-dessus des genoux dissimulant mal ses jarretières. De petits talons noirs réhaussent l’ensemble. Très jolie visage, de grands yeux et des cheveux très noirs. Son regard en dit long sur ses attentions et sa paire de seins me donne envie d’y sauter la tête la première. « Dépêchons de rentrer, tu pourras tâter à l’intérieur » me dit-elle. Elle avance d’un pas décidé, je lui emboite le pas, l’appartement est au premier étage. Elle introduit sa clé dans la porte, ouvre, l’instant de vérité. On entre dans la pénombre, tous les volets sont fermés.
Elle allume les lumières, se repère comme chez elle, elle connait bien les lieux. Aucun bruit à l’horizon avant d’entrer dans le salon. Le comité d’accueil s’y trouve peut-être. Tant que je ne finis pas comme dans Délivrance ça devrait le faire. Elle allume la lumière, personne. Gros ouf de soulagement que je pousse intérieurement. Maintenant il est l’heure de m’occuper de cette belle jeune fille. On s’embrasse, je commence à caresser sa croupe, ses hanches, ses seins. Ses mains se baladent le long de mon dos, elle descend directement sur ma queue. Elle n’a pas de temps à perdre. Tant mieux, moi non plus. Alors que je m’apprête à remonter sa robe, elle m’arrête. « Tu dois surement avoir envie de comprendre pourquoi je t’ai emmené ici ? ». Euh comment lui dire que je m’en balance complètement et que j’ai juste envie de la sodomiser sur le parquet du salon ? « Oui bien sûr, explique moi ». « Je vivais ici avec mon ex. On avait l’intention de se marier, nous avions faits les présentations aux familles. Un jour je suis rentrée à l’improviste pour lui faire une surprise et il était là…. ». Sa voix s’était éteinte, son œil envoyait des éclairs, je devinais aisément la suite. « Avec une fille ? ». « Non une grosse pute ! » coupa-t-elle nette. « Celle que je croyais être ma meilleure amie, il la baisait cet enculé ! ». Oula, dans quoi je m’étais embarqué ? Ca allait finir à la Dexter ou à la You cette connerie. « Quelle horreur ! Ca a du être tellement difficile pour toi ». Très important dans pareille situation de conforter la fille et lui faire croire que tu comprends sa détresse. « Tellement, tu n’as pas idée… Aujourd’hui je veux lui faire payer. Je veux que tu me baises dans toutes les pièces de son appartement, là où il dort, où il mange, que tu me salisses dans ses draps ». Difficile à expliquer mais malgré les problèmes psychologiques de la demoiselle, je bandais comme un âne. Ni une ni deux je l’ai mise à genoux, sans même la déshabiller, sortant ma queue dure comme de la pierre. « Suce grosse pute ! ». Et j’ai commencé à lui baiser la bouche sans même qu’elle puisse dire ouf. Plus elle bavait plus ça m’excitait. J’ai commencé à lui pincer le nez pour l’empêcher de respirer avant de sortir ma queue de sa bouche. Son maquillage, encore de bonne facture il y a quelques minutes venait de rendre l’âme. Ses yeux coulaient, de la bave empiétait le long de sa bouche. En reprenant son souffle elle me regarda avec un regard de chienne en chaleur tout en me disant, « fais moi vomir ! ». Je venais de comprendre le manège. Elle ne voulait pas simplement se venger, elle avait l’intention de salir son appartement et lui faire comprendre qu’elle s’était fait défoncer chez lui. Sans même une hésitation je l’ai fait s’asseoir dos au canapé en cuir, la tête posée dessus. J’ai posé mes genoux autour de son visage, enfonçant ma queue aux ¾ dans sa gorge et j’ai commencé à lui défoncer comme si je baisais sa chatte. Elle a commencé à hoqueter, des bruits de déglutition ont suivi avant qu’elle ne vomisse une première fois, prenant bien soin de tourner sa tête pour le déverser sur le canapé et mon genou gauche en même temps. Je continuais ainsi pendant 10 bonnes minutes, le temps pour elle de redécorer le canapé et une partie du parquet. Peu importait son objectif il fallait maintenant que je la baise, je l’ai attrapé par les cheveux pour la mettre à 4 pattes sur le parquet. A peine le temps d’enfiler une capote que je pénétrais déjà sa chatte totalement trempée. Elle était sans doute un peu fêlée mais aussi très excitée. Autant être honnête je ne l’ai pas ménagée un seul instant. J’y allais comme un animal, alternant entre gifle dans sa gueule et série de claques sur son cul qui devenait rouge à une vitesse impressionnante. Au bout d’une quinzaine de minutes de ce traitement, elle a plié se retrouvant à plat ventre. Lui laissant un peu de temps pour se remettre, je suis allé chercher la laisse et le lubrifiant. Je lui ai mis autour du cou, la baladant dans cet appartement que je ne reverrai jamais. Je crachais sur le sol, m’amusant à lui faire lécher. Elle ne rechignait à rien. Elle m’a demander de la baiser partout. Sur la table à manger, dans la salle de bain, même les toilettes avec sa gueule sur la cuvette. J’ai rabattu le battant sur son visage tout en défonçant sa chatte. « Salis moi ! Encore !!! Je suis qu’une grosse pute !! Ton sac à foutre !!!! ». Je m’en donnais à cœur joie, « tiens mange sale chienne !! Lèche la cuvette pendant que je te défonce, voilà ! Comme ça c’est bien sale pute !!!!! ». Je commençais à lui mettre mon pouce dans le cul tout en la baisant, ce qui l’a fit râler. Elle était étroite. Il fallait que je la prépare un peu sinon elle allait déguster. J’en alors profité pour l’emmener dans la chambre, qui était il faut le dire en bordel. J’ai poussé les affaires qui débordaient sur le lit pour lui faire bouffer mon cul. Elle ne semblait pas habituée à la pratique. Je ne lui ai donc pas laissé le choix, prenant sa tête par les cheveux pour lui coller sa bouche contre mon anus, « nettoie moi le cul sale chienne ! ». Elle commençait timidement, ce qui a eu le don de m’énerver, « récure le grosse pute je t’ai dit ! Mets ta langue au fond !!! ». Ses dernières paroles agir comme un déclic et elle se mit à rentrer la langue en la faisant tournoyer dans mon cul. Elle apprenait vite. Je l’ai ensuite tirée sur le lit, commençant à lui doigter le cul, « aie, doucement, j’ai pas l’habitude par là ». « Ferme ta gueule ! Je vais bien te le préparer et je vais te faire jouir par le cul ». Je laissais glisser un peu de lubrifiant sur son trou, alternant entre un et deux doigts. D’abord très serré, il commença à se détendre sous les allers retours répétés. J’alternais avec mon autre main en faisant rouler son clitoris de gauche à droite ce qui avait tendance à la faire mouiller de plus belle. Bien prête je m’apprêtais à l’enculer quand elle tourna sa tête, « je veux que tu m’encules sur son oreiller, là où il dort ». Franchement j’en étais plus là. Alors j’ai positionné son cul sur l’oreiller, face à moi cette fois, ses jambes remontées, chevilles posées sur mes épaules et j’ai commencé à m’introduire dans son petit trou. Elle n’avait pas menti, le chemin était sinueux et n’avait pas dü être emprunté très souvent. A la moitié de ma queue avalée, elle se permis quelques plaintes avant de prendre une autre gifle qui la calma. Quelques gouttes de lubrifiant supplémentaires finir de faire glisser ma queue jusqu’à la garde. Je restais comme ça un moment, la laissant s’habi à cette nouvelle sensation avant de ressortir pour entrer à nouveau. Les premières minutes furent difficiles pour elle, « aie, ça fait mal », puis au fur et à mesure sa respiration s’accéléra, sa voix se fit plus rauque, elle appréciait le traitement. Je repris la laisse en main, en maintenant sa tête avec mon pied sur sa gueule. Ainsi elle se retrouvait à moitié étranglée, ma queue pilonnant son cul de plus en plus vite. « Je te casse le cul sale chienne ! T’aimes ça hein ??! ». « Oh oui continue !!!! Encule moi comme une grosse pute sur son lit » dit elle le visage rougie par l’étranglement. Je desserrais l’étau de la laisse pour mieux lui défoncer le cul. Mais j’en voulais plus. Je voulais lui ouvrir à 4 pattes. Je sortis ma queue, d’un anus pas préparé par un lavement, ce qui laissa des sécrétions anales tombées sur l’oreiller. Je la positionnai à 4 pattes et c’était parti pour le rodéo. Mes couilles claquaient contre sa chatte à chaque passage à la vitesse d’un TGV ce qui la fit jouir très vite et devenir hystérique, « regarde Moktar comme il m’encule sur ton lit !! Il me défonce le cul sur ton oreiller sale bâtard !!! C’est qui la pute maintenant ??!!! C’est qui ???!!!!! » hurla-t-elle avant de s’effondrer sur le lit. Juste le temps d’enlever la capote et je lui crachai tout sur la gueule et dans la bouche. Elle garda le sperme et s’amusa à le recracher un peu partout dans l’appartement. Le spectacle était irréel. Elle se baladait dans l’appartement, recrachant un peu de sperme à chaque fois avant de vite refermer sa bouche pour pouvoir en avoir assez pour la pièce suivante.

Habituellement j’aime baiser au moins deux ou trois, mais allez savoir pourquoi, une fois avoir éjaculé, je me suis dit qu’il ne fallait pas traîner dans cet appartement, avec cette fille qui semblait un peu allumée. Alors que je me rhabillais, je l’ai senti arriver dans mon dos, s’arrêter puis me dire, « t’en as pas terminé » d’une voix presque solennelle. Oula, que va-t-il se passer ? A-t-elle un couteau dans la main ? Va falloir que je lui tranche les veines sur le lit de son ex bien aimé qui l’avait trahi ? Rien de tout ça heureusement. Elle se tenait devant moi, du sperme sur le menton, nue, les yeux embués par un début de larmes qui donnait au tableau un chouïa de dramatique. « Oui ? » lui répondis je un peu inquiet à l’idée d’entendre sa réponse. Elle se mis à genoux, contre la table basse au milieu du salon, me regarda droit dans les yeux, « pisse moi dessus ». En général c’est un peu mieux de faire ça dans la salle de bain mais je ne me sentais pas lancer un débat sanitaire avec elle alors je me suis exécuté, recouvrant son visage, son corps et une bonne partie du sol de mon urine. Sans un mot, elle s’est levée pour retourner dans la chambre s’allonger, recouverte de pisse. J’en ai profité pour aller dans la salle de bain, me rincer. Je me suis ensuite rhabillé, j’ai récupéré mes affaires et je suis allé dans la chambre pour lui dire que je partais. Elle n’a même pas répondu. J’ai refermé la porte de l’appartement doucement, descendu les escaliers au pas de course. Sur le chemin du retour, un sourire a envahi mon visage. Je ne sais pas si c’était un sourire de satisfaction ou de soulagement. Une chose est sûre, je ne suis pas près d’oublier mon après-midi avec Farida.

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