Bel Homme Mûr En Boite De Nuit....

J’ai raconté il y a peu ma première expérience gay, lorsque j’étais à Barcelone. Après quelques mois de creux, où je n’ai rien fait d’autres qu’avec des femmes, une expérience nouvelle a surgi...
C’était hier – excusez-moi si le récit est un peu décousu, il faut que je me remette de mes émotions, et de ma fatigue... -. Je suis sorti en boite avec des amis, nous avions beaucoup bu, et je les suivais. Je dois admettre que je n’aime pas trop ces lieux, puisque je préfère parler que danser, et que j’ai à chaque fois l’impression d’en ressortir sourd.
Nous entrâmes donc dans une boite de nuit près des grands boulevards, à Paris, et alors que je faisais la queue au vestiaire pour y laisser ma veste, mes amis se dispersèrent dans la boite. Je tentai en vain de les retrouver et, désespérant, gêné d’être seul dans un lieu si festif, j’allai au bar, espérant qu’un verre me remonte le moral. Il me fallut quatre cul sec de whisky pour me décider à danser, quand bien même je ne connaitrais personne. Je bougeais de salle en salle, dansait comme je pouvais sur une musique que je maitrisais mal, habillé de manière assez excentrique puisque j’avais un pantalon gris slim ultra moulant, des sortes de chaussures américaines à talonnettes, et un t-shirt blanc moulant et un peu transparent (c’est ce qu’on appelle la mode métrosexuelle...). Des filles et des garçons me regardaient, mais je n’y faisais pas trop attention, j’étais simplement venu pour m’amuser avec des amis, que j’allais bientôt retrouver dans l’orgie musicale de la boite...
Un peu ivre, il faut l’avouer, et dans le tumulte du lieu, je cru tout de même voir qu’un homme passait pour la troisième fois en me collant, l’air de dire : « Excusez-moi » pour passer. Mais passer trois fois tout de même... La quatrième fois, pour me moquer un peu de lui, je décidai de lui sourire franchement, il cligna de l’œil, et passa. Cinq minutes après, je sentis un bassin contre mes fesses : il avait décidé de danser derrière moi, dans une sorte de pulsion érotique sans doute.

Amusé, et sûr de ma virilité, je jouais le jeu, et faisais un peu ma salope, d’une danse qui se voulait lascive. Notre jeu continua un peu, et nous amusions ceux qui étaient à côté – tel était mon but-. Il jouait néanmoins de plus en plus, puisqu’il me tenait les hanches, remonta sa main sur mon torse jusqu’à mon cou, qu’il embrassa par derrière. Même ivre comme je l’étais, je senti qu’il ne s’agissait plus d’un jeu. Mais il ne pouvait rien m’arriver, nous étions dans un lieu très public, mes amis n’étaient pas loin, alors je ne m’inquiétais pas. Puis ce mec avait l’air gentil, plus intéressé par moi que psychopate, alors qu’il devait avoir la quarantaine, l’air riche, avec sa montre en or et ses grosses main, et sa barbe de trois jours.
Une dizaine de minutes plus tard, franchement fatigué, je me suis éloigné (je tiens d’ailleurs hommages aux filles lascives que j’aime tant en boite, que d’efforts cela doit vous coûter d’être sexy ! J’ai dansé comme une salope 15 minutes, et ai dû reprendre mon souffle au bar !) Le bar commençait à être bondé. J’attends. Une main se plaque contre mes fesses, et j’entends un voix grave me dire : « Je t’invite ? ». J’avais affaire à un homme qui pouvait me payer quelque chose, sans que je ne lui donne rien, alors tant mieux. J’acceptais volontiers. Il nous commanda 4 cul sec. Nous en primes deux chacun, trinquâmes, et bûmes. Le niveau sonore de la boite commençait à être plus profond, je commençais donc à être vraiment ivre. Mais très heureux, je retournais sur la piste de danse, et dansais. L’homme vient me rejoindre, et je jouais clairement avec lui, collant mes fesses contre son sexe, descendant mes mains sur son torse. Je sentais la bosse dans mon pantalon, c’était amusant. Je la touche d’une main, de deux, puis cessait de la toucher, pendant qu’il tentait, lui, de me toucher autant qu’il pouvait, et que je me dérobais à ses caresses. Ce jeu continua longtemps, il aimait ça, et j’aimais jouer avec lui. Enfin, il me fit comprendre qu’il voulait fumer, et je l’accompagnai, histoire de savoir quel était cet homme qui, à cet âge, allait en boite, et que je m’amusais à chauffer gratuitement depuis bientôt une heure (le pauvre.
..)
Sorti dehors, ses premiers mots furent : « T’es vraiment bonne toi, tu sais. » Ca me choqua un peu, mais je décidais de ne rien laisser voir, alors souriant, et minaudant comme une minette, je le remerciais du compliment. Il hocha la tête, l’air d’apprécié mon comportement. Il n’alluma pas sa cigarette, mais se contentait simplement de me dévisager, de regarder mon torse, et mes jambes, que j’ai longues. J’étais un peu gêné, je me disais que si une des copines ou l’un des copains avec lesquels j’étais venu me voyais, c’était un peu honteux, et que si ma copine l’apprenait, mon dieu... Il continua à me complimenter avec virilité, me disant que je devais « super bien sucer », qu’il se « viderait volontiers dans ma bouche » ou même « non plutôt sur mon visage ». Il était un peu ivre, mais très conscient de ce qu’il disait. Une fois ses commentaires salaces finis il me demanda se que j’en pensais. Sans réfléchir, je répondis : « Ca me fait mouiller ». Il me mit la main derrière la tête, et me roula un patin il poussait sa bave dans ma bouche et me forçais à avaler. C’était hard, mais c’était bon... Et ça m’excitait...
« Alors ma chérie, ça te dirait de venir chez moi ? Je saurais te recevoir, ma Mercedes est juste là-bas, tu seras traitée comme une reine, je te ferais plaisir. »
Malgré ses salaceries, il avait l’air équilibré, sa Mercedes était belle, et j’avais envie de faire ma minette. J’acceptais.
Nous montâmes dans sa voiture, et j’éteignais mon portable, de peur qu’un ami ne m’appelle. Alors qu’il conduisant, j’ouvrai sa braguette. Il apprécia : « Ah putain mais t’as l’habitude avec les mecs, je suis chanceux, t’es vraiment une pédale ». Je lui expliquais que c’était ma deuxième fois, et que j’avais une copine. « Vu comment tu me branles, deuxième fois ou pas, je vais repeindre ton visage au sperme ». Rien que cette phrase faillit me faire jouir.Je toucher son pénis énorme de ma main gauche, tentant de le branler comme je pouvais. Il soupirait.
Puis il me mit trois doigts dans la bouche, alors qu’il conduisait. Je voulais être sa salope, je les suçais avec entrain. Nous arrivâmes chez lui. Nous prîmes l’ascenceur, il me tripotait le corps, touchait mes fesses, mon ventre, enfonçait des doigts dans ma bouche, et me mis un doigt dans le cul, alors que nous étions dans le hall.
Une fois arrivée dans son appartement, j’étais en furie. C’était superbe, de grandes pièces, de grands canapés, un luxe assez inouï. J’avais fait ma pute, et je voulais l’être jusqu’au bout. Je me collais à lui, je minaudais, me cambrais. Il s’assit dans un canapé, et me demande un streap-tease. Je n’en ai jamais fait... pas même devant un fille... Qu’importe, je veux lui plaire. Alors je me déhanche, j’enlève tout doucement, en me griffant le corps. Lorsqu’il ne me reste plus que mon caleçon, je me frotte contre son entrejambe, je me cambre, je gémis, je fais tout ce que j’aimerais qu’une fille me fasse. Il tâte mon sexe son mon boxer, et j’aime sentir sa grosse main sur mon sexe. Enfin, je m’agenouille entre ses jambes, et alors qu’il boit du whisky, je le suce avec précaution, tout doucement, je prends son gland dans ma bouche, je fais tout ce que je peux pour qu’il aime, je suis ivre et je veux être sa minette. Il me prévient qu’il va jouir, il se lève, se branle d’une main, tient mes cheveux dans l’autre, et je me prends une grosse giclée de sperme chaud dans la figure, sur les joues, et ça coule. Il l’étale avec son gland, qu’il fait ensuite rentrer dans ma bouche.
Il me demande alors de rester comme ça, il me contourne, et me rentre une doigt, puis deux dans le cul. Je suis très serré, puisque je n’ai pas l’habitude d’avoir des relations avec des hommes. Puis les sortant il me les fait sucer, me fait sucer ses pieds, ses doigts, ses testicules, son cul. Je suis toujours à genoux, et le sperme coule maintenant sur mon ventre, très liquide. Il va prendre un bol, le remplit le lait, le place par terre, et me demander de la laper comme une chienne.
Assez excité, je m’exécute. Il en profite pour rentrer sa bite en moi. Et d’une main me maintient la tête dans le lait. J’adore, je suis soumis à un homme qui a deux fois mon âge, et qui me prend pour une salope, et je jouis, je jouis du cul, je hurle alors qu’il me fesse, c’est extraordinairement bon. Il me retourne sans tendre, plante sa bite dans ma bouche, elle sent mon cul, mais c’est bon de faire ça pour lui, et jouit une deuxième fois, monumentale, dans ma bouche.
Il me permet de me rhabiller, me laisse son numéro, exige que je lui laisse le mien, et me dit qu’il organise souvent des soirées pour les hommes et pour les femmes, et qu’il voudrait bien que je sois serveuse à l’une d’elle, que c’est bien payé, et que j’ai tout les talents pour. Très partant, même honoré, j’accepte volontiers. Il me donne un gros billet car « Il faut donner un os à une chienne », et je suis content puisque ça va me permettre de payer le taxi pour rentrer chez moi...
Alors que je suis dans le taxi, le sperme sur mon visage, complètement séché, tire un peu. Une fois rentré, je me suis masturbé, et ai étalé mon sperme sur moi en imaginant que c’était le sien...
Aujourd’hui, je vous avoue que je me demande comment j’ai pu faire tout cela... Je n’étais pas si ivre que ça, mais c’était très bon... Je ne sais pas comment j’ai osé. Mais, maintenant que j’ai son numéro, j’espère recommencer, même si je n’ose pas encore l’appeler...
Cette histoire s’est passée hier, excusez-moi si elle est un peu décousue, je suis moi-même charmé et sous le choc à la fois. Si vous vous que nous rentrions en contact (je suis assez curieux, et voudrais apprendre encore plus sur les relations entre hommes...) n’hésitez pas à me contacter, je vous répondrai docilement.
Je vous embrasse.

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