Une Soirée En Boite De Nuit

Nous étions à cette époque tout jeune, mariés depuis peu mais déjà libertins et moi candauliste sans le savoir.
Nous sortions assez souvent le week-end, pub, piano bar, restaurant et discothèque.
Il y avait une boite de nuit ou nous allions un peu plus souvent, sans pour autant aller toujours dans celle-ci.
Nous y avons rencontré un jeune couple dans nos âges, avec qui nous avons sympathisé à force de se croiser dans cette discothèque.
Elle, Corinne, avait la vingtaine, brune, pas très grande, un mètre soixante environ, très fine, voir maigre, petites lunettes et toujours dans des tenues très soft.
Elle vivait chez ses parents la semaine et passait tous les week-end chez son copain.
Lui, Alain, avait vingt-quatre ans, était châtain, environ un mètre soixante-quinze et assez athlétique.
Il nous arrivait parfois de finir la soirée tous les quatre chez lui ou chez nous à boire quelques verres et dans ce cas nous dormions sur place.


Ce Samedi soir nous étions allé avec Nathalie dans cette boite.
Comme à son habitude, elle portait une mini-jupe et un chemisier sans soutien-gorge.
Alors que nous étions assis à une table, j’ai aperçu Alain et lui ai fait un signe de la main pour qu’il se joigne à nous pour boire un verre.
J’ai cru voir, à ce moment, une sorte de déception sur son visage qu’il a très vite balayé par un grand sourire en venant nous rejoindre.
« Corinne n’est pas là ? »
« Non, elle a une petite grippe et est restée chez ses parents ce week-end pour ne pas me la refiler. »
J’ai aussitôt compris sa déception, je pense qu’il était venu chasser sachant qu’il était seul ce week-end, et nous voyant là, sa quête était compromise.

Nous avons discuté un peu, bien que ce soit difficile avec la musique, puis nous avons décidé d’aller sur la piste de danse.
Piètre danseur, je ne suis resté qu’une dizaine de minutes sur la piste et j’ai préféré retourner à notre table.


Ma femme est restée avec Alain et ils dansaient à un rythme effréné au grès des musiques.
Ils étaient à l’autre bout de la piste et je ne les voyais pas toujours, il me semblait qu’Alain se rapprochait plus de ma femme.
A un moment j’ai vu qu’il lui montrait son paquet de cigarette, puis ils sont partis.
J’en ai déduit qu’ils étaient allés dehors pour fumer.
Je n’ai pas osé les rejoindre de peur qu’ils croient que je les surveille.

Dehors, Alain se collait de plus en plus à Nathalie qui était adossé au mur en fumant.
Il a doucement avancé sa main pour la poser sur son épaule.
Elle lui a alors retiré en disant :
« Mais qu’est-ce que tu fais ? » « Je suis mariée, et toi tu as une copine »
Il répondit alors :
« Mariée, mariée, pourtant j’ai remarqué que tu disparaissais souvent dans les toilettes avec des mecs… »
Il est vrai qu’il n’était pas rare que lorsqu’elle était seule sur la piste, elle se faisait souvent draguer par d’autres hommes et que la plupart du temps la drague se finissait par une pipe ou un petit coup vite fait dans les toilettes.
« Tu me surveille en plus » lui dit-elle d’un ton un peu énervé, « Et tu t’es dit que j’allais me laisser faire de peur que tu racontes tout à mon mec »
« Non, non » répondit-il aussitôt d’un air un peu désolé de la tournure que ça prenait.
« Je…, enfin je ne pensais pas du tout à du chantage au contraire, je n’aime que les relations consenties, je voulais juste tenter ma chance et je suis vraiment désolé de t’avoir blessé »
Puis il continua :
« C’est juste que tu me plais beaucoup et que je me disais qu’il y avait peut-être une chance qu’il se passe un truc entre nous un soir »
Voyant qu’il se fondait en excuse, Nathalie s’est radoucie et lui a dit en le prenant par le bras :
« Allez viens on retourne danser »
Juste avant de rentrer il lui dit d’une voie toute douce, presque timide :
« J’ai une chance ? »
Sans lui répondre elle lui fit un grand sourire et ils sont revenus sur la piste.



Les voyant revenir sur la piste après à peine dix minutes, je pouvais à nouveau les épier discrètement.
Il me semblait quand même qu’il la collait de plus en plus, elle était dos à lui et je voyais qu’il se penchait parfois vers son oreille pour lui parler.
Ah mince, un groupe de plusieurs danseurs me cache la vue, je ne vais quand même pas me déplacer ça risque de faire louche.
J’ai pris mon mal en patience en regardant d’autres jolies filles se déhancher sur la piste.

Lorsqu’ils sont revenus de dehors pour danser, ma femme avait tourné le dos à Alain, il la voyait bien trémousser son petit cul au rythme de la musique.
Volontaire ou pas ?
Même elle n’a pas su le dire lorsqu’elle me l’a raconté.
Il a recommencé son approche en posant d’abord sa main sur sa hanche et, cette fois-ci, voyant qu’elle ne disait rien, s’est collé tout doucement à elle jusqu’à ce que son sexe qui commençait à se tendre dans son pantalon, vienne s’appuyer contre les fesses de ma femme.
Ses deux mains étaient maintenant sur chacune des hanches de Nathalie.
Elles voyageaient sur son corps, une fois sur ses cuisses, une fois sur son ventre.
Ma femme continuait toujours à se déhancher, sentant de plus en plus le sexe gonflé d’Alain collé contre ses fesses.
Il a alors penché la tête pour venir l’embrasser dans le cou et lui lécher les lobes d’oreille.
Pourquoi avait-elle cédé ?
Elle ne le savait pas.
Le fait est qu’il l’a retourné face à lui pour lui rouler une grosse pelle en se collant à nouveau contre elle et lui faire bien sentir son érection.
Nathalie aussi commençait à être excitée à force de sentir cette bite bien dur frotter contre son ventre.
Si bien que quand il l’a attrapé par la main pour l’entrainer vers les toilettes, elle l’a suivi sans hésitation.
Ils sont rentrés dans les sanitaires hommes et sans s’occuper de savoir s’il y avait du monde sont entrés dans une cabine pour s’y enfermer.

Il a aussitôt plaqué ma femme contre la porte pour enfoncer sa langue dans sa bouche et déboutonner son corsage pour caresser ses seins.
Il était très excité.
Il la caressait et l’embrassait partout.
Il a passé la main sous sa jupe et glissé les doigts dans son string pour s’enfoncer dans sa vulve trempée.
Nathalie a déboutonné son pantalon pour extirper sa bite bien raide et prête à exploser.
Elle s’est accroupie pour l’engloutir entre ses lèvres.
« Qu’est-ce que je suis en train de faire ? » se dit-elle.
« C’est une connerie, je ne devrais pas, c’est un pote à nous deux »
Puis se ravisant :
« De toute façon il est trop tard maintenant que j’ai sa bite dans la bouche »
Elle s’est alors pleinement appliquée à le sucer en le regardant d’un air très salope.
Pendant une dizaine de minutes elle lui a offert un festival avec sa langue et ses lèvres pulpeuses.
Puis le sentant au bord de la jouissance, elle l’a sorti de sa bouche pour le branler avec vigueur.
Plusieurs giclées de sperme sont venues s’écraser sur la porte et sur le sol, elle a continué son va et viens jusqu’à la fin de son éjaculation puis le regardant toujours, elle a approché sa bouche de son gland pour venir lécher et aspirer les dernières gouttes qui sortaient de son méat.

Ma femme s’est relevée pour se rhabiller, puis est sortie du toilette le laissant seul, le pantalon aux genoux et la bite toujours aussi raide.
Il a aussitôt refermé la porte et n’est sorti que quand son érection fût calmée.

De mon côté, le groupe de danseurs avait bougé mais je ne voyais plus ni Nathalie ni Alain.
J’avais beau scruter partout je ne les trouvais pas.
Au bout de quelques minutes j’ai enfin aperçu ma femme sortant de nulle part et se dirigeant vers moi.
Elle s’est assise à côté de moi puis m’a attrapé la bouche pour me rouler une grosse pelle.
Elle avait un goût de sexe.

En général elle s’arrangeait toujours pour me montrer le mec qu’elle venait de sucer ou qui l’avait sauté, mais là, toute penaude et m’a glissée à l’oreille :
« C’est Alain »
J’étais un peu abasourdi.

Bien que en y réfléchissant quelques temps plus tard, je crois je m’y attendais et qu’une partie de moi l’espérait.
Mais là sur le moment j’étais en colère, vexé, dégouté.
J’ai pris une cigarette puis suis allé fumer dehors.
Nathalie m’a suivi puis, une fois à l’extérieur, est venue se coller à moi en me demandant pardon.
« Je pensais que ça t’exciterait » me dit-elle presque à pleurer.
La voyant si triste je me suis repris en me disant qu’en fait ce n’était pas si grave et que je l’avais bien cherché à force de la laisser se jeter dans les bras d’autres hommes.
« A mon tour de te demander pardon » lui dis-je. « Je n’avais pas à réagir comme ça, en fait c’est plus à lui que j’en veux…., et en y réfléchissant bien je n’en veux à personne…, pour être franc avec toi, je crois même que ça commence à m’exciter de savoir que tu l’a sucé »
Elle s’est accrochée à mon cou puis m’a de nouveau roulé une pelle.
Elle avait toujours le gout de sexe mais là, le miens commençait à durcir.
En posant sa main sur mon pantalon elle m’a dit :
« Hummmmm c’est comme ça que je t’aime » « On y retourne ? »
Avant de rentrer dans la boite je lui ai demandé :
« Tu l’a juste sucé ? »
« Oui »
« Ça t’a plu ? »
« Oui il avait une belle bite bien raide »
« Tu aimerais plus ? »
« Pourquoi pas, surtout qu’il n’avait pas l’air de vouloir débander même après son éjac, ça doit être un bon coup. J’ai l’impression que, maintenant, ça te plairait qu’il me baise »
« Oui je crois bien et je crois que j’ai une idée, à toi de sauter sur l’occasion quand elle va se présenter »

Nous sommes retournés à notre table et peu après Alain est venu nous y retrouver comme si de rien n’était.
Nous avons repris un verre puis avons dansé à nouveau.

Vers trois heures du matin on a décidé de rentrer.
« Vous venez boire un verre chez moi ? Ce n’est pas parce que Corinne n’est pas là qu’on ne va pas se jeter quelques verres, il ne faut pas perdre les bonnes habitudes. » nous proposa Alain.
J’ai aussitôt répondu :
« Ok, on se retrouve à la sortie du parking »
Nathalie et moi nous sommes dirigés vers notre voiture et Alain vers la sienne qui était plus loin.
Une fois assis dans notre véhicule j’ai dit à ma femme :
« Enlève ton string »
Un peu surprise, elle s’est exécutée pensant que j’avais envie de la caresser pendant le voyage.
« Ça te dit de monter avec Alain dans sa voiture pour faire le trajet jusqu’à chez lui ? »
« Hummmm, je risque de sentir ses doigts investir ma foufoune pendant le voyage surtout s’il s’aperçoit que je n’ai plus mon string »
« Vas-y file et trouve un prétexte bidon pour aller avec lui »
Quand Alain nous a retrouvé à la sortie du parking, Nathalie est sortie de notre voiture pour aller s’installer dans la sienne »
Elle a laissé sa jupe remonter très haut quand elle s’est assise, si bien que quand il a tourné la tête vers elle, il a pu voir sa petite chatte libre de son string.
Il a aussitôt plongé sa main vers son sexe pour la caresser tout en conduisant.
Le côté moins pratique c’est qu’à chaque changement de vitesse il devait retirer sa main, surtout qu’on était en ville.
J’étais juste derrière eux et je bandais rien que d’imaginer les doigts d’Alain fouiller le sexe trempé de ma femme.

Nathalie était très excitée de la situation et sentir cette main l’investir la faisait dégouliner.
Elle a de nouveau déboutonné le pantalon de son chauffeur pour faire jaillir cette belle bite qui bandait bien dur, elle l’a branlée un peu puis s’est penchée vers elle pour la reprendre en bouche.
Elle l’a sucé ainsi pendant tout le trajet en évitant de le faire jouir pendant qu’il conduisait.

Nous étions sortis de la ville et j’étais toujours derrière eux.
Il m’a semblait à un moment voire la tête de ma femme plonger vers le côté chauffeur mais je n’étais pas sûr car avec l’obscurité je ne pouvais que deviner.
Arrivé vers la résidence d’Alain, les réverbères m’ont permis d’en déduire que ma femme était bien entrain de sucer notre pote car je ne voyais personne côté passager.
Je me suis garé comme d’habitude à l’extérieur pendant qu’ils rentraient dans le parking sous terrain privé.
A peine garé, Alain a légèrement incliné son siège pour mieux savourer la pipe que ma femme lui prodiguait.
Deux minutes plus tard, tellement excité, il lui a maintenu la tête pendant qu’il éjaculait tout son foutre dans sa bouche.
Elle a tout avalé puis lui a nettoyer le sexe avec assiduité.
Il lui dit alors :
« Je rêve de ta bouche depuis que je t’ai vu, et là deux fois dans la même soirée je suis aux anges. Merci. »

Ils sont sortis de la voiture et Alain a dit :
« Tu vas lui ouvrir et vous me rejoignez chez moi, je monte directement à l’appartement ça me laissera le temps de débander. »

Quand Nathalie m’a ouvert la porte du sas du re de chaussée, elle a aussitôt enfoncé sa langue dans ma bouche juste après m’avoir dit :
« J’ai tout avalé »
Le fait est que sa langue avait tellement le gout de sperme que je suis presque sûr qu’il lui en restait dans la bouche quand elle m’a embrassé.

Quand nous l’avons rejoint dans son appartement, Alain avait déjà sorti les verres et quelques bouteilles de digestif.
C’était un petit logement.
En entrant il y avait un salon avec un canapé et deux fauteuils et à gauche une kitchenette ouverte sur ce salon.
A droite de l’entrée une salle de bain WC et à côté une chambre qui donné face au salon.
Nous nous sommes installés dans le canapé devant lequel se trouvait une table basse ou les bouteilles était posé et lui s’est assis en face dans un fauteuil.
Nous avons discuté de choses et d’autres et bu plusieurs verres pendant un bon moment.
Je sentais Nathalie jouait discrètement avec l’ouverture de ses cuisses et Alain en face qui osait à peine regarder de peur de se faire griller.
Il était un peu plus de cinq heures quand nous avons décidés d’aller nous coucher.
Nathalie nous a dit qu’elle voulait prendre une douche avant.
J’ai donc ouvert le canapé puis suis allé la rejoindre pour me faire une petite toilette aussi.
Quand nous sommes sortis de la salle de bain, j’étais juste en caleçon et ma femme nue enroulée dans une grande serviette.
Alain a dit qu’il allait aussi prendre une douche.
Nous sommes rentrés sous la couette et Nathalie est venue directement prendre mon sexe dans sa bouche.
En quelques secondes mon sexe s’est dressé au maximum.
Je lui ai chuchoté que si elle voulait dans la nuit rejoindre Alain dans son lit, elle pouvait le faire et que j’aimerais bien l’entendre prendre du plaisir avec lui.
L’excitation et la langue experte de ma femme ont eu raison de moi en à peine cinq minutes.
J’ai à mon tour déchargé tout mon foutre dans sa bouche.
A peine avait elle finit de me nettoyer le gland que je me suis retourné pour m’endormir presque aussitôt.

Quand Alain est sorti de la salle de bain, il était juste en caleçon.
Il s’est dirigé vers la cuisine pour boire un verre de coca.
Nathalie, qui ne dormait pas, lui a dit qu’elle en boirait bien aussi un verre car elle avait soif.
« Je te l’apporte » lui dit-il.
« Pas la peine, je me lève » répondit-elle.
Et sitôt dit sitôt fait, elle est sortie de sous la couette et est venue le rejoindre dans la cuisine complètement à poil.
Il a de suite regardé en direction du canapé et s’est aperçu que je dormais à point fermé en émettant quelques petits ronflements.
« Whaaaaou » lui dit-il, « Tu es très belle et très désirable »
Son caleçon commençait à se déformer alors qu’il lui tendait son verre de coca.
Elle le prit, puis en bu quelques gorgées, a ensuite posé son verre, puis s’avançant vers lui pour aller entourer sa main sur son membre tout gonflé lui a chuchoté à l’oreille :
« J’ai envie que tu me baise, mais c’est là maintenant et uniquement aujourd’hui, après on ne recommence plus jamais »
Il ne lui en fallait pas plus pour le décider.
« Allons dans ma chambre ce sera plus discret » « Il ne risque pas de se réveiller ? »
« Non t’inquiète, là il est parti pour dormir jusqu’à midi »

Il a précédé ma femme qui a pris soin de laisser la porte de la chambre légèrement entre ouverte.
Le caleçon avait sauté, Alain s’est allongé sur le lit couvrant aussitôt son sexe bien raide d’un préservatif sorti de sa table de chevet.
Nathalie est venue s’assoir sur lui pour s’empaler sur sa belle bite bien dure.
Au fur et à mesure qu’elle l’engloutissait elle poussait des petits gémissements de plaisir.
Une fois le sexe d’Alain complétement en elle, elle a commencé des va et viens sur sa queue.
A force d’excitation toute la soirée, elle n’avait qu’une envie : jouir, jouir et jouir encore.
Elle s’empalait de plus en plus rapidement sur lui et sa respiration s’accélérait.
Des gémissements de plus en plus fort sortaient de sa bouche.
Il lui caressait les seins et les fesses pendant qu’elle montait en puissance.
Il l’a alors attiré pour qu’elle s’allonge sur lui et qu’il puisse enfoncer sa langue dans sa bouche afin qu’elle étouffe ses cris de plaisir.
Maintenant allongé sur lui, Nathalie continuait à bouger son bassin très rapidement pour aller et venir sur sa queue.
Leurs bouches toujours soudées, Nathalie a enfin criée sa jouissance par un grognement presque inhumain.
Son orgasme avait été très fort et très long, sa chatte était inondée, elle s’est complètement affalée sur lui pour reprendre sa respiration qui était haletante.
Alain toujours enfoncé dans le sexe de ma femme, était toujours aussi dur.
Cette fois c’est lui qui montait et descendait en elle, d’abord doucement pour la sortir de sa torpeur, puis en accélérant la cadence.
Elle sentait à nouveau ces petits picotements annonciateur de plaisir l’envahir.
Elle se laissait cette fois guider par les mouvements du bassin de son amant afin d’en tirer un maximum de plaisir.
Il l’a baisé ainsi à un rythme de croisières pendant un long moment, se retenant parfois pour ne pas jouir trop vite surtout qu’elle ne se privait pas d’enchaîner les orgasmes.
Puis n’en pouvant plus il s’est enfin lâché et a éjaculé en elle en la serrant très fort dans ses bras.
Trempé de sueur, Nathalie s’est libérée de l’étreinte d’Alain, elle s’est allongée à côté de lui et lui, a retiré son préservatif rempli de sa semence.
Ils ont repris leurs esprits tranquillement en parlant doucement.

Nathalie a posé sa main sur le sexe d’Alain qui n’avait pas débandé.
Stimulée par cette érection elle est allée l’engloutir avec sa bouche.
Elle le suçait bien partout, le gland la hampe puis les couilles qu’elle gobait, puis revenant promener sa langue partout sur cette queue qui, elle en était sûr, ne demandait qu’à la baiser encore.

Elle s’est ensuite installée à quatre pattes, faisant bien comprendre à son assaillant qu’elle voulait se faire démonter à nouveau.
Alain après avoir remis une capote s’est installé derrière ma femme pour la pénétrer.
« Hummmmmmmmmm elle est vraiment bonne ta queue » lui dit-elle.
Il a alors commencé à la pilonner copieusement.

Un clap clap incessant et des gémissement étouffés m’ont sorti de mon sommeil.
J’ai allongé mon bras sur ma gauche et là, personne, ma femme n’était pas là.
Le temps que je me réveille vraiment, j’ai enfin pu réaliser que le clap clap était le bruit d’un couple qui baise et que les gémissement était ceux de ma femme.
Pas de doute possible, les bruits venaient de la chambre d’Alain.
Le salaud, il s’est fait sucer deux fois par ma femme et maintenant il la baise alors que je dors à côté, c’est vraiment un beau salaud.
Bon c’est vrai j’ai tout fait pour que ça arrive, mais quand même, il baise la femme de son pote.
Il ne m’en faut pas autant pour que je bande.
Je vois que la porte est entre ouverte et qu’une faible lumière sort de la pièce où ils se trouvent.
Je sors doucement sans faire de bruit du canapé, puis à quatre pattes je m’avance vers la chambre.
Il faut que je reste un peu en retrait pour qu’ils ne me voient pas, surtout Alain.
La vue que j’ai alors fait jaillir mon sexe hors de mon caleçon.
Nathalie à quatre patte sur le lit, la tête dans l’oreiller pour ses cris et Alain bien calé entre ses fesses derrières qui la besogne allègrement.
Il la tient par les hanches et s’enfonce en elle à grands coups de rein.
A chaque mouvement de ses hanches un cris de bonheur s’échappe de la bouche de ma femme.
Je l’entends prendre son pied plusieurs fois de suite.
Ils sont de côté par rapport à mon champ de vison et je vois le pouce d’Alain commencer à prendre progressivement possession de l’anus de ma femme.
« Non pas là » lui dit-elle d’un ton pas très convaincant.
« Tu m’a dit que ce serait uniquement ce soir toi et moi, alors je veux tout prendre de toi »
Joignant le geste à la parole il est sorti de sa chatte pour l’enculer progressivement.
« Salaud… va doucement s’il te plait… putain c’est bon… vas-y continu…Oh putain j’adore ta bite… »
C’est la première fois que je la voyais donner ses fesses à un autre homme.
C’était frustrant et excitant à la fois.
Frustrant car maintenant je savais qu’un autre que moi pouvait l’enculer et excitant car elle devait vraiment être excitée pour se donner à lui à ce point.
Il lui a pris les fesses un long moment avant de jouir à son tour dans un râle de plaisir.

Je voyais de plus en plus de capotes usagées joncher le sol au fur et à mesure de la soirée, enfin de la matinée, car il était environ huit du matin.
Il continuait pourtant de baiser ma femme autant qu’il pouvait dans toutes les positions.
Je l’ai vu ou entendu éjaculer au moins cinq fois dont deux dans la bouche de ma femme qui avalait son sperme avec gourmandise.
Quant à elle, je n’ai plus compté après un quinzaine d’orgasme.
Moi j’avais joui trois fois dans mon caleçon à les regarder.

Vers neuf heure elle est venue me rejoindre exténuée.
A peine sous la couette, elle s’est endormie.

Quelques heures plus tard nous nous somme levés puis somme partis discrètement pour rentrer chez nous.

Nous avons revu Alain et Corinne plusieurs fois en boite puis nos sorties se sont estompées petit à petit à cause des finances et nous les avons perdus de vue.

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