Leslie Hd36

Leslie HD36 - Androgyne, suite & fin

Je ne me fais pas prier, je tends le bras et avec le plus de douceur possible je pose ma main sur ses lèvres gonflées de plaisir.
Malgré la douche, elle est déjà couverte de cyprine, mouillée des mots qui ont coulé de sa bouche, mouillée de son désir pour moi. Je la sens ouvrir encore plus les cuisses pour faciliter mon exploration et, c’est vrai que, rapidement, mon index qui la fouille est couvert de cyprine, Anaïs mouille comme une folle.

Je me penche sur elle pour oser enfin l’embrasser. Ma langue se glisse entre les lèvres de sa bouche chaude et sucrée, au même moment que mon index se pose sur son clitoris. À son tour, elle glisse sa main sous ma jupe pour la poser directement sur mon sexe en disant :
Ne craint rien, je sais que tu es une transexuelle, Laurent me la dit.
Notre baiser devient fougueux, mélange de nos salives, je sens son clito gonfler sous mon doigt, j’appuie dessus, je relâche la pression, puis recommence, pendant de longues minutes, le griffant délicatement du bout de mon ongle pour tirer des gémissements de plus en plus implorants de la jolie Anaïs. Elle aspire ma langue, la suce comme si c’était le sexe de Laurent, me branlant en calant ses gestes sur les mouvements de mon doigt qui excite son bouton qui grossit encore. Elle libère soudainement ma langue en lâchant un jet de cyprine éjaculatoire sur mes doigts. Je porte la précieuse rosée à ma bouche et la déguste comme un divin nectar.

Anaïs reprend ses esprits et son visage s’illumine d’un sourire malicieux.
Tu es une diablesse ! Personne ne m’avait fait jouir rien qu’en touchant mon clitoris, cel doit faire partie de tes atours d’être homme et femme à la fois.
D’un mouvement souple, elle se débarrasse du kimono pour s’asseoir à califourchon sur mes cuisses. Elle dégrafe un à un les boutons qui ferment mon corsage pour libérer mes seins. D’un tour de main expérimenté, elle défait ma jupe et finit d’enlever mon string, ne me laissant que mes bas et mes escarpins.


- Tu es très belle, dit-elle.
Et elle prend mes mains pour les coincer derrière ma tête, offrant mon corps à sa merci.
Elle se recolle à moi, mais cette fois, nous sommes nues toutes les deux. Sa peau est douce et pourtant, je ne sens pas la rondeur de ses seins contre les miens.
Je ne sens que ses tétons durs s’enfoncer dans ma poitrine.
M’empêchant d’utiliser mes bras, elle m’embrasse à pleine bouche, lèche mes lèvres, elle att entre ses lèvres mon téton et tire dessus pour allonger mon mamelon qui obéit et se dresse fièrement, m’arrachant un soupir.
Elle pince délicatement l’autre téton entre ses doigts et continue de maltraiter le premier entre ses dents. Mes gémissements mêlent à la fois douleur et plaisir.
Mon amante ne s’y trompe pas et va vérifier mon excitation ininterrompue en glissant sa main libre entre mes cuisses pour attr mon sexe érigé dans sa main.

Elle me branle le sexe, vierge de tout poil, de ses doigts fins et agiles, elle joue à étaler ma jouissance sur mon gland, jouissance qui suinte sur mon sexe. Allant plus bas elle enfonce fièrement un doigt dans ma rondelle.
En prenant possession de moi, elle me met à sa merci.
Leslie, c’est la première fois avec une transexuelle.
Elle risque un second doigt dans mon cul. Elle les agite, provoquant chez moi des gémissements qui se transforment en encouragements.
- Humm, ton sexe est gros, bien plus que celui de Laurent, dit-elle d’une voix rauque, cassée par l’émotion.

Elle me couche sur le canapé et monte sur moi pour faire un 69, je suis aux anges en regardant sa minette parfumée et si étroite, surplombée de son petit trou palpitant qui lui procure tant de plaisir. Tandis qu’elle suce mon sexe, je glisse ma langue dans sa fente, et je me concentre alors sur son clitoris que j’aspire entre mes lèvres.
Je lui fais subir le même traitement que celui qu’elle a fait endurer à mes seins. Elle me suce tout en gardant ses doigts dans mon cul.

Une de mes mains caresse ses fesses et je glisse mon index dans sa raie, puis mon doigt se positionne sur le petit trou de mon amante et s’y enfonce sans hésitation, provoquant un grognement de plaisir.
- Baise-moi, Leslie, murmure Anaïs.
Je sens et je vois son étoile se contracter autour de mon pouce. Je le retire, provoquant un gémissement de frustration, pour mieux appuyer mon index et mon majeur à l’entrée de son cercle qui m’aspire dans un soupir de bonheur. Mes deux doigts la fouillent avec de plus en plus de facilité, j’ai même l’impression que son petit trou se lubrifie tout seul. Elle coule sur ma langue tendue qui s’enfonce entre ses lèvres, puis elle se tends et jouis en m’inondant le visage de sa cyprine.
- Maintenant baise-moi, me dis à nouveau Anaïs.
Elle se relève et se met dans la même position quand elle était avec Laurent, à genoux contre le canapé la croupe cambrée ouverte à tous mes désirs.
Je me suis placée derrière elle entre ses jambes, mon sexe dressé collé à son minou étroit, d’un simple poussée je l’aie pénétrée tant elle était humide. Son sexe étroit enserrant ma queue.
- Comme tu es serrée, dis-je.
- C’est pour mieux sentir ton sexe en moi, me dit-elle.
Je l’ai baisée doucement en prenant mon temps, ressortant presque d’elle pour mieux m’y enfoncée à nouveau.
- Ohhh, comme tu me remplis bien, gémit-elle.
Elle jouait avec ses muscles intimes, comme le font les asiatiques, cambrée comme elle était je voyais son petit trou plissé s’ouvrir et se refermé à chaque poussée de mon sexe en elle.
Elle frémit, puis prise de spasmes elle jouit m’arrosant la queue de son jus d’amour.
Tétanisée par l’orgasme qu’elle venait de la submergée elle me dit dans un souffle.
- Par derrière maintenant, par derrière, sodomise-moi.
Je retirais mon sexe d’elle, luisant de sa jouissance et plaçait aussitôt mon gland sur sa rosette.
- Doucement, me dit-elle, je n’ai pas été encore enculée par un sexe de la taille du tient et j’ai un peu peur de souffrir.

Comme pour la rassurer j’ai déposé un baiser au creux de ses épaules, puis j’ai poussé légèrement mon sexe en elle, faisant attention à ne pas entrer le gland entièrement.
- Ohhh, c’est gros.
Une autre poussée.
- Ohhh, je te sens, je m’ouvre.
Et une autre plus appuyée, mon gland est entré à moitié.
- Ohhh, je m’ouvre, tu m’écartes le trou.
Une dernière et le gland passe son sphincter.
- Ohhh, c’est gigantesque, je suis écartelée du cul.
Je pousse maintenant mon sexe en elle progressant inexorablement vers le fond de sa grotte, je vois son petit cul écartelé, complètement dilaté par mon sexe.
- Ohhh, c’est énorme, qu’elle sensation d’être possédée, tu vas me casser mon petit trésor.
Mon sexe est entré de moitié et Anaïs gémit de plus en plus, le plaisir monte en elle, le fait d’être ainsi possédée décuple son plaisir.
Mon sexe continue sa progression et quand je suis entièrement en elle, Anaïs part dans un délire fou. Elle se met à jouer du cul pour mieux me sentir en elle, elle s’enfonce sur moi comme pour en avoir encore plus en elle.
Je lui prends les hanches et je me mets à la pilonner d’un mouvement régulier mais d’une puissance extrême.
Sous mes assauts elle hurle :
- Ohhh, ohhh, tu me démonte le cul et j’aime ça. Je vais jouir comme jamais, ohhh que c’est bon, n’arrête pas, je pars, je…
Anaïs s’est soudainement arquée, la bouche grande ouverte cherchant de l’air, à hurler et est retombée la tête sur le canapé.
Anaïs venait de jouir en perdant connaissance.

Revenue à elle, elle à pleurer de bonheur et nous sommes allées dans ma chambre, là elle m’a demandée de lui reprendre le cul une nouvelle fois en me demandant de jouir au fond d’elle.
Nous nous sommes assoupies terrassées de plaisir, dans la nuit elle m’a réveillée pour que je la prenne à nouveau, mais son cul étant douloureux je l’ai baisée par devant.
Epuisées, fourbues, vidées, mais comblées, nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.

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