Leslie Hd37

Leslie HD37 – Aude me raconte

Avec Aude, nous nous revoyons de temps en temps, nous prenons du plaisir à être ensemble, nous adorons faire l’amour, avec moi elle profite de mon membre, mais je sais qu’elle a des aventures saphiques.
L’autre soir, dans mes bras après avoir fait l’amour, nous n’arrivions pas à nous endormir, alors Aude m’a racontée une partie de sa vie.

Elle commence :
« J’avais 18 ans, j’étais en terminale au lycée. A cette époque, je fantasmais sur une fille dans ma classe.
Je n’étais pas amoureuse d’elle, non, mais je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder, de la mater sans arrêt en cours ou pendant les pauses.
Elle s’appelait Angélique et avait un an de plus que moi. Il faut dire qu’elle était vraiment belle, vraiment sexy.
Blonde aux cheveux longs, souvent tirés en queue de cheval. Son visage était très beau, bien proportionné, avec des yeux très doux.
Il lui donnait un air plus mature, plus femme que les autres filles de la classe. Pourtant elle savait se lâcher, rigoler !
Elle n’était pas très grande, à peu près la même taille que moi, autour des 1m65. Elle était plutôt fine, avec de très beaux seins pas très gros mais qui avaient l’air bien fermes, et son cul était juste magnifique, bien bombé comme il faut et de la largeur idéale. Quand je commençais à le mater, je n’arrivais pas à détourner les yeux…
Ce pourquoi je l’adorais aussi, c’était la façon dont elle s’habillait, elle mettait toujours des petits hauts chics qui mettaient admirablement bien en valeur sa poitrine, et mettait souvent par-dessus des vestes très classes noires, genre haut de tailleur, qui lui donnait un air encore plus mature que les autres filles.
C’est probablement ça qui me plaisait tant chez elle, en plus de sa beauté naturelle, elle faisait vraiment femme qui avait de l’expérience, et en particulier au lit…
Je voulais l’aborder, mais je ne savais pas comment.


Et c’est lors d’une soirée, que l’occasion se présenta.

C’était une soirée bien arrosée chez une copine, nous étions, Angélique et moi, assises dans un canapé dans le salon. Les autres buvaient, dansaient, rigolaient dans toute la maison.
J’étais plutôt bourrée, et décidais alors de me jeter à l’eau. Je me penchais vers elle, une main sur sa cuisse, et lui chuchotais à l’oreille :
- Je te trouve vraiment trop sexy Angie.
Elle tourna la tête vers moi et sourit :
- Merci…Allez viens là.
Elle pencha alors la tête vers moi et me roula une pelle magnifique. Elle était aussi bourrée que moi, je pense.
Je prolongeais le baiser, et commençais à remonter ma main le long de sa cuisse. Angélique m’arrêta :
- On monte ? demanda-t-elle d’un ton espiègle.
Elle me prit par la main et m’entraîna à l’étage.
Je la suivi sans rien dire, n’arrivant pas à croire ce qui était en train de m’arriver. Nous arrivâmes dans une grande chambre, avec un lit à deux places. Probablement la chambre des parents…

Angélique me poussa sur le lit, sur lequel je m’étalais sur le dos, et elle ferma la chambre à clé. Elle s’avança ensuite vers moi d’une démarche languissante, ôtant son petit haut avec délicatesse. Je la dévorais des yeux, mouillant comme une vraie cochonne.
Je n’aurais pas cru pouvoir mouiller comme ça pour une fille, mes tendances saphique s’éveillaient, et j’en éprouvais du plaisir.

Lorsque je vis ses seins parfaits enfermés dans un petit soutien-gorge rouge et la peau claire de son ventre lisse comme du verre, ma chatte frémit encore un peu plus dans ma culotte, mon ventre se nouait, mais j’aimais cette sensation.
J’enlevais rapidement mon t-shirt, dévoilant mes petits seins à Angélique. Elle se pencha sur moi et m’embrassa goulûment, nos langues tournoyant dans nos bouches. Nous roulâmes sur nous-même, et je me retrouvais sur elle.
D’une main tremblante par le désir, je lui retirais son soutien-gorge.
Ses seins magnifiques se dévoilèrent, ils n’étaient pas très gros, avaient chacun une petite aréole rose et un téton qui pointait.
Je plongeais ma tête dedans, ne pouvant me retenir. Je léchais ses seins comme une démente assoiffée, les malaxant, mordillant les tétons.
Angélique laissa tomber sa tête en arrière et gémit de plaisir. Ceci eut pour effet de m’exciter terriblement.
Elle retira son jean, son petit string rouge était trempé, je lui enlevais et vis son beau sexe luisant, sans poils, devant moi.
Je mis d’abord un petit coup de langue à la surface, récoltant un peu de son liquide, ce qui la fit gémir. Je me mis alors à fouiller son sexe de ma langue, écartant de mes doigts ses lèvres et excitant son clitoris. Elle mit sa main derrière ma tête, pour m’inciter à continuer, écartant les jambes et remuant sur le lit.
Ceci dura deux ou trois minutes, puis soudain elle se convulsa en laissant échapper un cri de plaisir, une giclée de son liquide m’atterrit sur le visage. Elle venait de jouir, et se détendait à présent en respirant bruyamment. Dans un soupir, elle me dit :
- A toi maintenant.

Je compris tout de suite et m’allongeais sur le lit. Angélique était déjà à quatre pattes sur moi, elle déboutonna mon jean et le fis glisser au bas des genoux, avant de me l’ôter.
Comme souvent je ne portais pas de culotte et mon sexe était trempée et je suis certaine qu’Angélique vit mes lèvres entrouvertes, puis elle s’avança et commença à caresser doucement ma vulve.
Je me croyais dans un rêve.
Ses beaux yeux marron regardaient affectueusement mon minou au duvet lisse, tout en le caressant d’une main.
Angélique laissa échapper un :
- Humm.
Elle lécha ma fente sur toute sa longueur, en partant de mon petit trou et finir sur mon clitoris, sur lequel elle s’attarda longuement, sa langue tournoyant autour avec tendresse.
Je laissais échapper un soupir, c’était la première fois que je me faisais sucer et en plus par une fille, mais c’était bon.

Elle me suça la fente longtemps, allant même visiter mon petit trou de sa langue dardée, je feulais sous les caresses de ma belle compagne.
Puis elle leva ses yeux de braise vers moi, et doucement enfourna sa langue dans ma chatte et me fit l’amour avec. Elle commença alors un lent va-et-vient, sa langue entrant et sortant de mon intimité, elle m’observait de ses yeux brûlants, comme une vraie salope.
C’est sûr, elle avait de l’expérience la petite coquine, je n’étais sûrement pas la première à passer dans ses bras, et elle n’avait que 19 ans.
Le plaisir montait rapidement en moi, montant de mes reins et se rependant dans mon ventre, tout en faisant durcir mes petits seins ;

N’étant pas habituée à être autant excitée, surtout par une fille comme ça, j’étais aux anges, je me faisais gouiner comme une salope en prenant un plaisir fou.
Angélique passa une main sous mes fesses et du bout du doigt chercha ma rondelle, je sursautais, ce qui fit qu’en retombant elle me carra son doigt dans le trou.
Pendant ce temps, cette salope se titillait le clitoris de son autre main, s’enfonçant jusqu’à trois doigts dans sa belle chatte.
Elle leva les yeux vers moi, se léchant doucement les lèvres :
- Tu aimes ça ? me murmura-t-elle.
- Ohhh, oui chérie.

Elle rejoua alors avec mon clito quelques instants, le léchant de sa langue, puis recommença à me sucer comme une pute.
Le plaisir que je ressentais était immense. Je sentis alors que j’allais jouir.
La repoussant doucement, je me mis à me branler rapidement mon bouton, je voulais qu’elle me regarde prendre mon pied.
Angélique comprit immédiatement, et se positionna pour regarder, en tirant la langue prête à lécher mon bouton à la première occasion, les yeux pleins de désir.
Cette vision m’excita au plus haut point, elle semblait avoir soif, avoir soif de ma jouissance.

Je me branlais encore un instant, puis je laissais exploser mon orgasme en lui arrosant le bout de la langue de ma jouissance, en soupirant.

J’avais jouis comme une fontaine sur le beau visage d’Angélique et dans sur sa langue, c’était fabuleux.
Cela me fit frémir de plaisir. J’étais comblée, et je pense qu’elle l’était aussi à ce moment là. Je me penchais pour l’embrasser avec ardeur, sa main continuant à me branler délicatement.
Angélique en se rhabillant me dit en souriant :
- Il faudra que l’on remette ça, chez moi, tu verras je te ferais des trucs..
En caressant mon entrejambe avant que j’enfile mon jean.
- C’était génial, lui murmurai-je.
Elle se retourna pour aller vers la porte. Je la regardais, l’admirais une dernière fois ses beaux cheveux blonds qui tournoyaient dans son dos, sa taille fine et délicate, son cul incroyablement attirant…

A suivre…

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