Leslie Hd48

Leslie HD48 – Montpellier, suite

Je me tournais donc vers Laurent et commençais à l’embrasser. Valentin ne voulant pas être en reste, commença à glisser ses mains sous mon tee-shirt et à me malaxer les seins. Mes tétons s’érigèrent suite à ce traitement, il les pinça doucement.
Ensuite, il se mit à descendre doucement les mains le long de mon corps et, au passage, il accrocha ma jupe-short et mon string qui volèrent sur le fauteuil d’à-côté me découvrant le bas de mon corps.
- Regarde, dit Laurent à Valentin, la cachotière à oublier de nous dire qu’elle avait un sexe d’homme à la place de la chatte.
- Et alors dit Valentin, il faudra patienter pour son tour.

Laurent me retourna vers lui et ses mains remontèrent vers le haut en entraînant mon tee-shirt, qui alla rejoindre le reste de mes vêtements. Je me retrouvais donc à poil entre deux garçons qui avaient bien l’intention de profiter de moi.
Pendant que Laurent dispersais à la hâte ses fringues dans l’appartement, Valentin me coucha sur le dos et commença à me sucer le bout des seins. Mes tétons étaient tellement durs que ça en était presque douloureux. Il descendit ensuite lentement vers le bas tout en continuant à me lécher. Il arriva enfin à mon sexe et, comme tous mes amants avant lui, il fut fasciné par ce membre en pleine érection pointé entre mes cuisses. Il se rua dessus et l’emboucha sans hésiter.
Cela ne lui posait pas de problème de sucer une transexuelle.
Laurent au comble de l’excitation devant ce qu’il voyait se rapprocha de nous et me présenta sa bite érigée devant la bouche. Elle était d’une taille normale, je l’avalais sans hésiter une seconde.

Pendant que je pompais son copain, Valentin en profita pour se déshabiller en toute hâte et il vint ensuite présenter sa queue à côté de celle de Laurent.
Je me précipitais sur cette nouvelle aubaine et la pris en bouche avec enthousiasme. Je me mis donc à alterner la masturbation de l’une avec le pompage de l’autre.

Pendant un long moment mes deux compagnons d’un soir se laissèrent aller à se faire branler et sucer chacun à leur tour.

Ça avait l’air de leur plaire, les garçons étaient au comble de l’excitation et au gonflement de leur gland, je compris qu’ils allaient bientôt exploser si je ne calmais pas le jeu.
Je les séparais donc et me mis à quatre pattes devant Valentin pour qu’il me prenne en levrette pendant que je continuais à sucer Laurent.
Valentin, sans hésiter, me sodomisa et à chaque fois que Valentin entrait en moi d’un coup de reins, mon corps était propulsé en avant faisant que j’avalais Laurent jusqu’à la garde.
La tension atteignit son comble et arriva ce qui devait arriver, je sentis mon cul se resserrer tel un étau sur la queue de Valentin qui avait atteint le paroxysme de sa taille. Il explosa alors dans mon ventre au moment où Laurent, lui aussi, m’envoyait dans la bouche tout ce qu’il avait.
Bâillonnée comme je l’étais, je n’ai pas crier mon plaisir, mais je pense qu’il a dû sentir mes dents se resserrer sur sa queue au moment de ma jouissance.
Comme sa bite était au fond de ma gorge, je ne pus qu’avaler sa jouissance à sa grande satisfaction, c’est fou ce que les hommes aiment que nous avalions leur sperme.

Après ce premier round, nous avons décidé de faire une pause champagne et nous nous sommes installés dans le canapé. Nous étions nus sans aucune pudeur et je pouvais voir les sexes des garçons qui ne tardèrent pas à commencer à se réveiller. J’en pris un dans chaque main afin de leur redonner vite fière allure en les masturbant.

- Viens dans la chambre, tu vas avoir un bon souvenir ! Me dit Valentin.
Une fois dans la chambre, je m’allongeais sur le lit et me positionnais sur le dos.
Laurent prit mes jambes pour les écarter et m’ouvrir au maximum et après avoir positionner son sexe sur mon œillet, il m’empala à son tour, tandis que Valentin, à genoux près de ma tête, me donnait son sexe à sucer.
Mon sphincter ne résista pas une seconde, préparé par la sodomie de Valentin il était encore entrouvert, son gland sous la poussée entra dans mon boyau sans problème.
Il fit une courte puis lentement, il s’enfonça en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher mes fesses.
- Aller Laurent, encule-la bien, qu’elle est un bon souvenir de nous.
- Avec grand plaisir, dit-il.
Je ressentis une douce chaleur m’envahir tout le bas ventre pendant qu’il m’enculait.
Il savait y faire, et me pistonnait régulièrement me tirant des petits cris de plaisir.
J’ai jouis de ces deux hommes qui m’ont enculée une bonne partie de la nuit, se relayant à tour de rôle dans mon boyau.
Ils m’ont littéralement défoncée le cul prenant un malin plaisir dans ces sodomies à répétition, ne me laissant même pas un moment de répit.

Quand je suis partie, mon cul était un peu douloureux.
Et j’ai entendu une voix dans mon dos dire :
Reviens quand tu veux petite enculée !

A suivre…