Leslie Hd49

Leslie HD49 – Le phantasme de Laure

Au départ ce n’était qu’un délire de plus, une envie à assouvir…

Laure va-et-vient nue dans la pièce, sous mon regard avide. Ses seins se balancent doucement à chacun de ses mouvements, elle est excitante ainsi.
Elle se tourne un moment devant moi, agitant ses fesses délicieuses juste pour m’excitée encore un peu plus.
Elle est belle, provocante et profite au maximum de la situation.
Je suis assise sur un fauteuil du salon, nue aussi, mais les mains attachées l’une à l’autre par une corde qui passe derrière le siège, mes chevilles sont également entravées, liées aux pieds du fauteuil, me maintenant les cuisses ouvertes.
Je bande comme une dingue, et Laure prend un malin plaisir à ne pas me toucher, à m’exciter en se caressant doucement devant moi et en passant sa langue sur ses lèvres maquillées.

Je ne sais pas ce qui a pris Laure, et moi de la suivre dans son délire, c’est la première fois qu’elle s’amuse à m’attacher, avant qu’on fasse l’amour.
- Juste pour voir, pour s’amuser, m’a-t-elle dit.
Elle voulait faire une simple expérience, mais maintenant que je suis entravée sans pouvoir faire le moindre geste, je ne suis pas certaine que Laure va s’arrêter là.
Je lis dans ses yeux comme une lueur de lubricité et de perversion.

Malgré tout, mon excitation est à son comble et je ne peux que la supplier de me détacher :
- Ne me laisse pas comme ça, lui dis-je, en relevant mon bassin.
- Tu veux jouir ? Me rétorque-t-elle, alors il va falloir attendre !
S’avançant vers le fauteuil, elle caresse sa poitrine, devant moi, en me couvant d’un regard lubrique. Puis elle touche négligemment mon sexe tendu.
- Humm ! Tu m’as l’air rudement excitée ma chérie, me dit-elle.
Elle descend une main entre ses cuisses et se caresse la vulve un instant devant moi, me regardant en soupirant de plaisir.
Laure se prend au jeu et je ne comprends plus, c’est la première fois que je vois Laure dans cette état.


Et puis, elle monte sur le fauteuil, un pied de chaque côté de mon bassin, et se tient debout en s’agrippant à ma tête qu’elle plaque contre son pubis en me disant :
- Lèches-moi !

Elle s’avance encore un peu et replie une jambe, posant son genou sur l’appuie-tête du fauteuil et écarte bien ses cuisses.
Sa vulve plaquée sur ma bouche, je penche légèrement la tête en arrière pour m’échapper, mais elle avance son bassin et écrase sa fente trempée et odorante contre mon visage, en disant :
Lèches, salope !
Comme soumise devant le ton employé par Laure, et voulant lui faire plaisir je parcours sa fente de ses lèvres jusqu’à son clitoris, lapant sa vulve, tentant d’y enfoncer ma langue.
Ça lui plait elle soupire et se crispe à ma tête tandis que je lèche son sexe, peut-être quand lui donnant du plaisir elle me détachera pour que je la prenne.
Elle presse encore plus son corps contre ma tête et se frotte le pubis contre mon visage, elle se déhanche d’avant en arrière, se dandinant de plus en plus vite au-dessus de moi, m’écrasant son bassin sur le visage tandis que je continue à la lécher.
Lapant son clitoris et ses lèvres, glissant ma langue dans son vagin maintenant entrouvert. Elle est trempée, son plaisir coule dans ma bouche et bientôt, dans un long hurlement, elle jouit en se crispant dans une dernière série de spasmes en m’arrachant les cheveux.

Puis reprenant ses esprits, au bout de quelques secondes, elle descend du fauteuil en me disant :
- Tu m’as bien fait jouir.
Je lui demande encore une fois de me détacher et de ne pas me laisser dans un tel état d’excitation. Malicieuse, elle observe ma queue bandée à tout rompre.
- Il va falloir te montrer bien plus docile que ça, si tu veux que je m’occupe de toi.
Je la maudis des yeux en me demandant ce qu’elle me réserve encore, elle s’éloigne en oscillant exagérément des fesses.

Elle revient bientôt vers moi avec son téléphone à la main, et lèche avidement ses doigts en me regardant d’un air impudique.

- Qu’est-ce que tu fais, lui demandais-je.
Elle ne me répond pas, mais me lance seulement un sourire satanique.
- Qui appelles-tu ?
Laure ne réponds pas.
- Allô, oui, c’est bon, dis Laure au téléphone, je crois qu’elle est prête, tu peux venir.
Ah, la salope de Laure, elle a tout prémédité. Elle appelle quelqu’un pour se joindre à elle alors que je suis prisonnière de sa volonté.
- À qui parlais-tu ?
- Surprise, tu le sauras bien assez tôt, en attendant je vais boire un coup, me répond-elle d’un ton ironique en reposant le téléphone.
Je râle d’impuissance, je ne peux rien faire. Laure m’a piégée, mais qu’elle suite me réserve-t-elle.

Lorsqu’elle revient, elle me demande :
- Alors, mon amour, que dirais-tu de me voir baiser avec un autre homme devant toi.
- Tu ne ferais pas cela sans m’en avoir parlée !
- Humm, pourtant je suis sure que tu serais excitée, attachée ne pouvant rien faire.
- Laure, ne me laisse pas ainsi.
- Ta queue parle pour toi, dit-elle, en tâtant vaguement mon sexe toujours tendu à bloc.
- En plus il pourrait mettre sa grosse queue entre tes lèvres pour que tu le suce rt t’enculer après.
Ça doit réellement l’exciter car elle se remet à se caresser en parlant.
- J’aimerais tant te voir, docile et entravée comme tu l’es sucer une grosse bite sans pouvoir rien faire. En plus il jouirait dans ta bouche et tu avalerais toute sa jouissance comme une trainée docile et soumise.
En fait, ce ne sont pas ses paroles qui m’excitent, ni la situation qu’elle imagine, mais plutôt le fait qu’elle soit dans cet état, à confier ses fantasmes en déambulant nue devant moi qui suis complètement à sa merci, et elle continue :
T’enculer comme une chienne devant moi et te faire défoncer par sa grosse queue et t’entendre hurler.

La sonnette retentit soudain mettant fin au délire de Laure.
Je commence me poser des tas de questions, Laure ira-t-elle au bout de son délire, que va-t-il se passer maintenant.

Elle tâte encore une fois mon sexe, pour s’assurer que je suis toujours en pleine forme et en roulant encore des fesses, Laure s’éloigne, nue jusqu’à la porte d’entrée.
Je l’entends l’ouvrir en disant :
- Salut, entre vite.
Leurs pas s’approchent, derrière moi, et Laure passe devant moi, suivie d’une femme, une petite rouquine, que je ne connais pas, certainement une connaissance de Laure, mignonne comme tout, vêtue d’un jean et d’un chemisier qui laisse deviner une petite poitrine. Elle porte un sac en toile qu’elle dépose sur l’autre fauteuil.
Elle me salue d’un sourire, puis regarde mon sexe toujours gonflé à bloc et dit :
- On dirait qu’elle est rudement excitée.
- Je te présente une amie, Carole.
Elle farfouille dans le sac de Carole et dit :
- Regarde ce qu’elle a apporté.

A suivre…

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