Olga, Elodie Et Philippe 9 - Déjeuner Et Shopping

AVERTISSEMENT

Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite des 8 chapitres parus les 14, 22 octobre, les 6 et 20 novembre, les 4 et 17 décembre 2020 ainsi que le 1er et 13 janvier 2021 sur HDS.

Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.

Bonne lecture et merci pour vos commentaires!

RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
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Philippe avait réservé une table dans un des meilleurs restaurants de la ville.

- Bonjour, Monsieur et Madame T. Bienvenue, Mademoiselle.

- Je vous présente ma fille, Elodie, dit Olga.

Elodie ne dit rien, baissa les yeux, devint toute rouge. Au fond, qu’on puisse imaginer qu’elle était la fille de ce couple extraordinaire la rendait fière.

- Ma chérie, pourquoi as- tu as fait ça? Chuchota Philippe

- Et pourquoi pas? Avec Elodie, nous avons 18 ans d’écart et elle fait si jeune.

Je pourrais très bien être sa mère. Quant à toi!

- Merci de me rappeler mon âge, ma chérie!

- Tu as prouvé tout à l’heure, à la façon dont tu m’as honorée, que tu restais très jeune, mon amour!

- Maintenant que tu as présenté Elodie comme notre fille, il va falloir jouer le jeu pendant le déjeuner. Je suis très fier d’avoir une aussi jolie fille qu’Elodie, avec tout ce qu’elle nous a révélé de sa personnalité et de ses talents, dans tous les domaines, depuis hier soir.

- Je dirai juste que cette petite a envers toi un véritable complexe d’Electre. Qu’elle espère pouvoir réaliser bientôt.

Olga dit cela avec une ironie qui masquait mal son émotion. Philippe savait que, pour son épouse, le complexe d’Electre était un sujet douloureux, une blessure enfouie dans son adolescence. Il lui prit la main. Elodie ne connaissait pas cette partie de la vie d’Olga.

L’étudiante se sentait protégée par ce couple, comme des parents de substitution. Elle avait vécu avec eux des moments aussi torrides qu’exceptionnels depuis hier soir. Et elle savait que c’était loin d’être fini.

Ce déjeuner fut pour eux trois un moment de pause dans ce week-end sensuel. Olga développait tout son instinct maternel protecteur. Elle se montrait d’une infinie douceur avec la petite mais aussi dominatrice perverse, choisissant pour elle ses plats. D’ailleurs elle prit soin de commander des mets que la jeune fille pensait détester, comme des grosses huîtres zéro et du ris de veau. Son objectif était de casser les préjugés et les peurs d’Elodie, pour la préparer à sa soutenance de thèse.

Elodie n’osait s’opposer aux choix d’Olga, aussi directive dans sa douceur qu'elle l’était dans l’exercice de sa libido exacerbée. Elodie se montra en petite fille obéissante, goûtant les plats qu’Olga avait commandés pour elle, sublimés par le talent du chef. Elle qui ne buvait jamais d’alcool, ne repoussa pas les vins soigneusement sélectionnés par Philippe, épicurien confirmé.
Il eut un très bel échange avec le sommelier. Dieu que cet homme était hédoniste, et adorait partager sa connaissance. Il lui faisait découvrir les vins avec malice, comme des petites perles offertes en cadeau.

Elodie se sentait légère, un peu ailleurs. Elle se laissait faire, non parce qu’elle était de nature soumise, mais parce qu’elle se sentait bien avec ce couple et sous sa protection. Elle savait qu’ils la prenaient sous leur coupe, certes pour leur plaisir, mais aussi pour que le papillon qu’elle était, sorte enfin de sa chrysalide, qu'elle assume ce qu'elle était, qu'elle s’affirme pleinement, dans sa vie comme dans sa sexualité. Ce parcours initiatique ne pouvait être que bénéfique pour affronter sa soutenance de thèse et réussir dans sa vie professionnelle comme sentimentale.

Elodie se disait aussi qu’entrer pleinement dans le jeu de l’hypersexuelle l'amènerait à avoir bientôt ce dont elle rêvait depuis le début du week-end, à savoir faire l’amour avec cet homme classe qu’elle désirait et dévorait des yeux.

Les regards que portait Philippe sur la jeune fille n’avaient pas échappé à Olga

- Décidément, dit l’épouse à voix basse, elle te plait, cette petite!

- Tu me laisseras lui faire l’amour, ma chérie? Vraiment?

- Elle ne veut pas que tu lui fasses l’amour, elle veut que tu la baises!

Elodie rougit, n’osant pas contredire Olga. Philippe avait compris, lui, qu’elle préférait l’amour à la baise. Philippe ne cachait plus ce qu’il voulait:

- C’est vrai, j’ai envie de toi, Princesse!

Les yeux d’Elodie parlaient pour elle et disaient combien elle aussi en avait envie. Elle n’osait exprimer son désir, craignant toujours la réaction imprévisible d’Olga

Elle les ramena à la réalité:

- Le week-end n’est pas terminé et je n’en ai pas fini avec elle. On verra si elle est sage. Cette petite garce pourrait alors avoir ce dont elle rêve.

Elodie, Olga et Philippe sortirent du restaurant.
La jeune fille se glaça quand tous les yeux des clients et du personnel de service se posèrent sur elle. Ils admiraient sa robe noire trop courte qui lui collait au corps, son maquillage et sa coiffure travaillée par Olga. Les hommes ne cachaient pas leurs envies et les femmes leurs jalousies réprobatrices. Un grand malaise l’envahit. Elodie avait mangé et bu plus qu’elle n’avait l’habitude de le faire. Elle se sentait un peu ivre, pas seulement de ces bons vins, mais aussi des perspectives qui avaient été évoquées. Cela suffisait pour provoquer chez elle une forte tension émotionnelle.

Ils firent une promenade dans les rues piétonnes, chacun tenant Elodie par la main.

- Maintenant, on va s’occuper de la garde-robe de cette demoiselle. Chéri, je t’ai prévenu, tu vas devoir faire chauffer ta carte bleue!

La jeune étudiante se demanda ce qu’Olga avait en tête, ce qu’elle voulait que Philippe lui offre. Elle eut très vite la réponse, Olga les faisant entrer dans une petite boutique de prêt-à-porter féminin, où se trouvaient des collections audacieuses:

- Ma boutique préférée! On y trouve ce qu’il y a de plus beau et de plus sexy!

- Chérie, il faudrait peut-être demander à Elodie si elle a envie de porter ce type de vêtements, comme ceux que tu aimes.

- Laisse-moi faire, tu vas aimer, j’en suis certaine! Viens ma petite!

Elodie se laissa entraîner. L’étudiante ingénue se dit que ça ne pouvait que plaire à Philippe et accroître encore son désir pour elle.

Olga était manifestement connue dans cette boutique. Mario, le propriétaire, un élégant quinquagénaire, italien jusqu’au bout des ongles, accueillit ce petit monde de façon très démonstrative:

- ciao amici miei come state? Philippe, sei bellissimo. E tu, Olga, mia bella, sempre così sexy! Che piacere vederti! ("Bonjour mes amis, comment allez-vous? Philippe, tu es magnifique. Et toi, Olga, ma belle, toujours aussi sexy! Content de te voir!”)

Mario prit Olga dans ses bras, la serra contre lui et lui fit un baiser non loin des lèvres.
Il adressa un clin d'œil complice à Philippe et lui serra la main virilement. Olga était sans doute une bonne cliente et il était évident qu’elle le fascinait.

- Tu es toujours aussi démonstratif, Mario, dit Olga. S'il-te-plaît, parle en Français pour la petite. Je te présente Elodie.

Elodie avait compris les mots de bienvenue et avait surtout mesuré l’intimité du commerçant avec le couple.

- Elle est très jolie cette demoiselle. Mario C, pour vous servir.

Mario s’inclina devant Elodie et lui fit un baisemains. C’était la première fois que cela arrivait à la jeune étudiante, qui savait que cela était la conséquence de la nouvelle apparence que lui avait donnée Olga.

- Ne te détrompe pas: cette jeune étudiante est une petite salope, amoureuse de mon mari.

Le regard de Mario étincela.

- Nous baisons avec elle depuis hier soir. Je me fais un devoir de l’aider à assumer tout son potentiel, qui est énorme à tout point de vue, afin de surmonter toutes ses inhibitions. Il reste à changer la façon dont elle s’habille et donc je compte sur toi!

Elodie était rouge comme une pivoine. Que lui réservait encore la belle Olga et quelles étaient ses intentions en venant dans ce magasin?

- Tu cherches quoi précisément pour cette petite, Olga?

- Je veux que ce soit élégant et sexy. Qu’elle attire le regard des hommes et des femmes. Et bien entendu, mon chéri a prévu de nous gâter. Tu vas nous montrer ce que tu as de mieux. Nous avons tout notre temps.

- Je vais commencer par fermer la boutique, pour pouvoir entièrement me consacrer à vous.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Mario s’empressa de mettre un panneau “fermé”, de condamner le magasin. En passant, il avait mis ostensiblement une main sur les fesses en feu d’Olga. Le sourire de Philippe valait approbation.

- Alors maintenant, Mio caro, on va choisir ensemble ce que vous voulez pour cette petite Princesse! On commence par quoi? Des sous-vêtements sexys?

- Non, elle a l’habitude de ne pas en porter et c’est très bien ainsi. D’une part, ça lui permet de se caresser à chaque fois qu’elle en a envie

Elodie devint encore plus rouge. Olga avait d’instinct deviné cela et, en quelque sorte, mettait Elodie à nu devant cet inconnu charmeur, au physique de séducteur.

- Et c’est mieux aussi pour ses petits seins, qui sont très sensibles, à condition qu’elle ne les cache pas.

Olga demanda à Mario d’amener des collants de soie noirs, ouverts et en résille. N’ayant pas de sous-vêtement, cela mit en valeur les fesses de la jeune fille

- Ils sont sexys et glamour. Mademoiselle a de si jolies jambes toute fines, fragiles et délicates.

Elodie n’osa pas dire qu’elle n’avait jamais porté ça et qu’elle ne savait pas si elle était capable de les porter.

- Je voudrais maintenant des escarpins, des haut-talons. Il faut mettre en valeur son petit cul et l’écartement entre ses cuisses, qui plaisent beaucoup à mon mari. N’est-ce pas chéri?

Que Philippe adorait ce qui la complexait terriblement le rendait encore plus attirant aux yeux d’Elodie. La jeune fille n’utilisait que des baskets ou des chaussures plates. Elle se laissa faire pourtant parce qu’elle comprit, au regard de fierté de Philippe, qu’acheter pour elle des vêtements était un grand plaisir, probablement lié à son candaulisme.

Olga était exigeante. Rien n’était assez beau et assez cher pour Elodie, ni assez sexy. Tout un coup, elle s’exclama:

- Celles-ci!

Olga montra une paire d’escarpins rouges, vernis, avec un talon de 14 centimètres.

- Tu es certaine? Seules les personnes expérimentées peuvent marcher avec ces modèles!

- Elle apprendra! Elodie a toutes les capacités, il suffit qu’elle le veuille.

- Tu es une connaisseuse, ma belle. Il s’agit de ”Pleaser”, la meilleure marque de chaussure sexy à talon aiguille. Avec ces chaussures, en fonction de la tenue portée, elle pourra être femme fatale ou autoritaire, ou alors branchée et décontractée.

- Marche un peu, chaton, que je vois comme tu es jolie avec ça.

Ce fut difficile pour Elodie, qui faillit se tordre la cheville. Ces chaussures lui donnaient une cambrure importante, qu’elle n’avait jamais connue. Philippe l’exprima d’une autre façon.

- Ton petit cul me plaît encore plus, avec ces chaussures et ces collants, Princesse !

Elodie était excitée et fière d’entendre ces paroles, peu habituelles dans la bouche de cet homme classe.

- Décidément son petit cul te fait très envie. Encore un peu de patience, chéri!

Mario suivait la conversation un peu interloqué et surtout ravi d’avoir fermé la boutique. Pour la suite, Elodie demanda si elle pouvait aller en cabine, car elle était nue sous la petite robe noire.

- Pas besoin de cabine. Tout à l’heure, tu t’es exhibée nue sans problème et branlée devant un voisin! Tu ne vas pas te gêner devant nous et Mario!

Elodie hésitant encore, ce fut Olga qui fit tomber la robe en rassurant Elodie:

- Ne t’inquiète pas ma petite, ce n’est pas toi qui intéresse Mario. Si je t’exhibe, c’est pour mon homme.

Mario tentait, tant bien que mal, de cacher une formidable érection provoquée par la volcanique Olga. Elodie, de son côté, perçut le regard plein de tendresse et de désir de la part de Philippe. Elle rêvait qu’il la prenne dans ses bras et lui fasse l’amour, tout de suite. Mais ce n’était pas encore dans les plans de son épouse. D’ailleurs, Olga fit ensuite essayer à Elodie des tailleurs et son choix s’arrêta sur un modèle « executive woman », avec une jupe très courte. Le choix d’Olga fut conforté par l'achat de chemisiers, bien échancrés, de couleur crème ou claire et, pour un modèle, translucide. Habituée à ne pas porter de soutien-gorge, Elodie savait que cette tenue la rendrait aussi indécente que si elle était nue.

Pour terminer, Olga acheta pour Elodie des jupes courtes, puis lui fit essayer des robes magnifiques et d’un érotisme inouï. Son choix se porta sur une longue robe noire, avec un dos nu jusqu'aux fesses, très décolletée et fendue sur le côté.

Olga en avait enfin fini avec cette frénésie acheteuse qui transformait radicalement Elodie qui rougit rien qu’en imaginant le montant de la facture.

Très classe, Philippe se leva, donna un bisou à Olga puis à Elodie.

Toutes les deux eurent la même réaction, un seul mot “merci”

Il se dirigea discrètement vers la caisse pour procéder au règlement.

- Je vous ai fait une remise très spéciale, susurra Mario.

Philippe rajouta:

- Mais moi aussi je vais vous faire un superbe cadeau, Mario. Je crois que mon épouse a très envie que vous la baisiez. Et, à mon avis, cette envie est réciproque n’est-ce pas?

Philippe choisissait tous les partenaires de son épouse et avait une grande habitude de ce type de discussion.

Mario se figea et regarda Olga qui faisait sa timorée, un peu en retrait. Son Philippe la connaissait si bien! Elle passa sa langue sur ses lèvres, ses yeux trahissaient son désir. Des semaines que, malgré leurs recherches, Philippe et elle n’avaient pas trouvé un partenaire répondant à leur critères exigeants, à la fois viril et endurant, mais dont la discrétion serait garantie. Mario, en bon commerçant qui avait pignon sur rue, qui était un macho invétéré, grand dragueur de ces dames devant l’éternel, semblait correspondre au profil et apporter toutes ces garanties, de discrétion notamment.

- Je n’ai rien contre, bien au contraire,

- Vous devrez la baiser devant nous mais à une seule condition. Lâchez vous et traitez là comme la grosse cochonne qu’elle aime être.

Mario acquiesça de la tête, donnant son feu vert à cette offre pas banale. Il avait compris ce qui était attendu de lui. Il voulait cependant que soit confirmé le consentement du mari:

- C’est vraiment ce que vous voulez? Ici? A moi votre épouse et à vous la petite, c’est cela le deal?

- Nous allons juste vous regarder faire, tranquilles.

Olga avait compris au regard de Mario ce qui se tramait. Son regard s’était chargé d’envie au fur et à mesure que Philippe lui parlait.

Philippe demanda à Olga de se rapprocher de lui. Les deux époux échangèrent un long baiser fougueux, puis Philippe fit tomber la robe d’Olga. Son épouse était nue et offerte. Ses tétons dressés traduisaient son excitation qui allait crescendo. Ses semaines d’abstinence d’amants allaient enfin se terminer. Philippe la tendit à Mario, comme pour lui passer le relai.

Elodie regarda la scène incrédule. Philippe se rapprocha d’elle, lui prit la main, comme pour la rassurer. Il l’amena avec lui en direction d’un grand fauteuil confortable. Elodie ne disait plus rien, ouvrant grands les yeux, à la fois impressionnée et excitée. Olga lui avait déjà dit qu’elle voulait qu’un homme la prenne sous ses yeux. Elle n’était pas femme à mentir, mais Elodie ne pensait pas que cela arriverait si vite. Philippe lui retira aussi sa robe, pour que ses deux femmes soient toutes deux nues, sur un pied d’égalité. Il prit place sur le fauteuil et fit asseoir Elodie sur sa jambe droite. Il posa la main gauche d’Elodie sur sa queue bandée, et lui caressa la hanche de sa main droite. Il était fin prêt pour le spectacle.

Rien ne pouvait faire plus plaisir à Elodie qu’un tel moment d’intimité avec Philippe, d’avoir le droit de se rapprocher de lui, avec l’assentiment de son épouse, qui devait ment garder ce contrôle, compte tenu de son caractère dominant. Pouvoir vivre avec Philippe un grand moment de complicité, ensemble tous les deux, allait être quelque chose de pur et d’unique. Etre mise à nue par lui, assise sur ses genoux, main sur sa queue bandée était ce moment tant désiré. La caresse des doigts de Philippe sur ses hanches la fit frissonner et ses tétons se durcirent, électriques. Tout au fond de son ventre, Elodie sentit s’activer sa formidable machine à cyprine, contre laquelle elle luttait depuis ses premiers émois adolescents. Mais comme toujours il était trop tard, des gouttes perlaient déjà entre ses cuisses. Elle se sentie désespérée et soudain très fragile. Les caresses de Philippe remontèrent en effleurement de ses hanches vers son dos et ses épaules pour descendre le long de son bras, vers sa main où il vint insérer ses doigts dans les siens. La fusion de leurs mains fit monter chez Elodie les larmes aux yeux.

Olga ne s'aperçut même pas de son trouble, trop occupée à entreprendre Mario. Celui-ci savait évidemment ce qu'attendait le couple. Il rêvait depuis toujours de baiser Olga et, enfin, l’occasion se présentait. Il se fit donc dominant:

- À genoux, ma cochonne! Depuis le temps que tu m'excites en venant faire ta belle chez moi, tu vas avoir ce que tu veux. Commence par la sortir, cette queue dont tu as tant envie!

- Oui Monsieur.

Olga se mit à genoux et entreprit d’ouvrir cette braguette pour sortir son engin. Elle ne fut pas déçue, ce mâle italien étant particulièrement bien pourvu par la nature. Il lui rappelait les amants qu’elle ne pouvait oublier: Rachid, Hassan ou plus récemment N. Des semaines de frustration rendaient Olga impatiente. Son histoire avec la petite Elodie avait rallumé ses envies comme un brasier. Olga voulait lui montrer quelle femme elle était. Et justement on aurait dit une gamine, alors qu’Olga semblait si dominante jusqu’à présent. La présence de son mari, comme toujours, exacerbait son excitation.

Olga commença par masturber son amant, attendant avec impatience ses instructions et allant les chercher d’un regard interrogatif. Dans ces moments-là, elle s’en remettait aux désirs des mâles.

- Tu vas me sucer un peu avant que je te nique, petite putain!

- Oui Monsieur

Olga ne se fit pas dire deux fois. Elle en avait envie, d’autant que, ce matin, elle avait laissé à Elodie le privilège de la fellation matinale sur Philippe. Olga commença par quelques coups de langue sur le gland de Mario, avant que ses lèvres ne se serrent sur la longue tige de l’Italien.

- Quanto sei bravo, bella mia. La tua bocca è divina! (“Comme tu es bonne, ma belle. Ta bouche est divine”)

Olga était fière de ces compliments, elle savait qu’elle était une fellatrice exceptionnelle. Philippe, qui connaissait l’admiration d’Olga pour le reine Cléopâtre, Macédonienne comme elle, lui disait que, comme la dernière reine d’Egypte, elle méritait le surnom de “bouche d’or””

Olga s’appliquait tout particulièrement pour faire honneur à son mari candauliste et à cette petite qui avait mis le feu en elle.

A genoux, Olga déployait tout son talent, tandis que Mario commentait sa prestation à Philippe

- Tu sais ce qu’on dit des femmes de Bologne dans mon pays?

- Oui, on dit que la pipe est leur spécialité.

- Olga è eccezionale. È la regina dei pompini. Mangiami le palle, cagna! (“Olga est exceptionnelle. Elle est la reine de la pipe. Bouffe mes couilles, salope!”)

Dans son excitation, Mario passait du Français à l’Italien. Il le faisait aussi par pudeur vis-à-vis d’Elodie. Celle-ci comprenait pourtant tout et constatait, fascinée, qu’Olga était transformée dans ces moments. Mario se montra dominateur, imposant son rythme. Il prit entre ses mains la tête d’Olga et lui fit faire une gorge profonde. Il ne lâchait pas prise, jusqu’au moment où il fallait qu’elle puisse reprendre son souffle. Des larmes coulaient des yeux d’Olga, mais elle mettait un point d’honneur à ne pas lâcher prise.

Philippe avait l’habitude de ces scènes, mais elles le fascinaient toujours. Quant à Elodie, c’était pour elle une première, qui la stupéfait et l’excitait énormément. Elle mesurait jusqu’où pouvait aller l’hypersexualité d’Olga.

- Ca suffit la pipe, maintenant. Tu veux autre chose, petite garce, je le sais. Dis devant ton mari et la petite ce que tu veux!

- Je veux que tu me baises!

- Appuie-toi contre cette table, espèce de pute. Ca permettra à ton mari et à la gamine de mieux te mater. Avoue que tu aimes cela, cochonne! Je vais te prendre en levrette.

Avant de prendre la position, Olga regarda Philippe. Voir Elodie nue sur les genoux de son mari et qu’elle et son mari se caressaient, loin de provoquer sa jalousie, accroissait encore son excitation. L'étudiante cajolait tendrement la queue de son mari tout en la regardant leur offrir son plaisir.

Olga prit sa voix la plus sensuelle pour faire une demande à Philippe

- Mon amour, je peux te demander quelque chose?

- Dis-moi ma chérie, avant que cet étalon Milanais ne te défonce.

- Je sais que c’est contraire à nos accords. Mais je ne suis pas en période dangereuse. J’aimerais que Mario me baise sans capote. Tu sais que c’est ce que je préfère, je le sentirai mieux.

- Si Mario est d’accord, je sais que nous pouvons lui faire confiance, n’est-ce pas?

- Evidemment, dit Mario. Je me teste régulièrement et j’ai une hygiène irréprochable. Je m’engage à bien la remplir !

Il trouva Philippe et Elodie très touchants tous les deux, avec leurs caresses d’amoureux romantiques.

- C’est ce qu’elle veut cette chienne!

Elodie fut stupéfaite, car tout cela avait été décidé entre le mari et l’amant. Dans le couple, Olga semblait la dominante, mais c’était Philippe qui validait. Olga se pencha, attendant le coït. Mario avait compris que cette femme voulait une saillie. Il ne s’embrassa ni de préliminaires, ni de précautions. Olga était de toute façon prête et impatiente, sa chatte était trempée et bien ouverte. Mario la pénétra jusqu’à la garde et commença à lui imposer ses allées et venues. Le rythme devint vite endiablé, les couilles tapant sur les fesses, les cris de plaisir d’Olga emplissant le magasin. Elle encourageait son amant, comme toujours dans ses moments là. Sa gorge exprimait les mots de son hypersexualité débordante.

- Oh oui, vas-y! Mets-la-moi bien profond. Plus fort!!!!! Oui, comme ça! Encoreeee!!!!

Elodie savait qu’Olga était multi-orgasmique et elle découvrait à quel point elle pouvait enchaîner les jouissances comme un puits sans fonds.

Philippe et Elodie étaient concentrés sur le plaisir d’Olga.

- C’est beau, n’est-ce pas? Chuchota Philippe à Elodie, tout en la caressant tendrement.

- Son visage, dit Elodie. On croirait qu’elle souffre.

- Son plaisir est si intense qu’il est comme une souffrance, mais aussi une délivrance.

De son côté, Mario se concentrait pour retarder le plus possible son propre plaisir. Depuis le temps qu’il avait envie d’Olga, il voulait que ça dure. Il se montrait en mâle dominant, ayant compris que c’est ce qu’Olga voulait à cet instant

- Prendi questo, piccola puttana. Ti piace il mio cazzo? Ti aprirò! (“Prends ça, petite pute! Tu l’aimes ma bite? Je vais te démonter!”)

- Oh oui, je l’aime ta bite. Oui démonte-moi. Ohhhhh

Sa résistance ne pouvait être éternelle. Il annonça l’ultime moment:

- Ti riempirò (“Je vais te remplir”). Sì! Ahhhhh

- Oh oui, remplis-moi, vide tes couilles!

Mario envoya au fond du vagin d’Olga trois puissantes giclées, provoquant l’ultime orgasme d’Olga, encore plus violent que les précédents qui s’étaient enchainés. Pendant une fraction de seconde, Olga se sentit au bord de l’évanouissement. Le plaisir avait été infini !

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