Gode Boy

Elle m’a juste aperçu. Depuis, elle me cherche: je l’ai vue me suivre du regard comme
un chien perdu qui mérite récompense. Je ne la connais ni d’Eve ni d’Adam: un copain
me dit l’avoir vue souvent depuis un mois: elle est nouvelle dans le quartier. Et me
voilà projeté sur elle pas accident. Je traverse une rue, une voiture arrive vite; je
suis coincé de l’autre coté du trottoir, contre qui: contre cette jeune fille. Je
cherche des excuses, alors que je n’en aucune. Elle sourit d’un sourire presque
carnassier. J’ai quand même pu lui toucher la poitrine souple, je serais resté contre
elle si nous n’avions pas été dans la rue.
Finalement elle est mignonne, presque trop. Son visage ovale très régulier attire le
baiser, je n’ose pas l’embrasser comme ça, sur un simple coup de tête.
Elle a évité que j’aille buter contre un mur. Il faut que je la remercie. Comment
faire. J’ai une idée qui vaut ce qu’elle vaut, à condition qu’elle soir d’accord. J’ai
dans mes affaires familiale un vieux bracelet dont personne n’a l’usage. Je vais le
lui offrir. J’arrive à la convaincre de venir chez moi.
Où elle est inconsciente ou elle est téméraire de venir chez un inconnu. Elle accepte
de venir pas de suite, cette après midi vers 17 heures. Tiens donc 17 heures !!!!
Heureusement que nous sommes samedi, je pourrai la retenir en cas de besoin hormonal.
Je fais vaguement le ménage, dans une grande maison héritée c’est difficile. J’arrive
à rendre présentable le salon. Toujours ça de fait.
17 heures pile la sonnette fait son office. Elle est à l’heure. Bon point pour elle.
Je suis ébloui par sa beauté et son charme. A croire qu’elle fait exprès d’être jolie.
Ce qui ne gatte rien c’est son sourire: ça l’embellit encore. Je la fait entrer dans
le salon, je lui offre un thé et passe à la cuisine pour le préparer.

S’il est une
chose que je rate c’est bien le thé, je râle dans la cuisine, elle vient voir ce qui
s’y passe. Finalement c’est elle qui prépare la tisane en se moquant de moi en plus.
Bien sur je ne sais pas faire le thé, j’aurais pu lui proposer autre chose, mais quoi
?
Finalement elle boit le thé seule dans la cuisine, assise sur une chaise en face de
moi. En guise de réception j’aurais pu mieux faire. Ca ne la perturbe pas tant que ça.
Au contraire, je prouve que je ne sais rien faire à la cuisine, ce qui est faux: je
fais des…………;et des ……Je ne sais même plus quoi.
- Vous faites les œufs durs, et les soupes en sachet.
- Non , je fais des œufs au plats, des choses au micro ondes.
- Parce que vous appelez ça cuisine.
- Je ne suis pas doué pour ça, alors que je suis doué pour autre chose.
- Quoi par exemple ?
- Je n’ose pas vous le dire.
- En plus vous osez dire que vous êtes doué pour, comment dirais-je, l’amour par
exemple.
Je ne sais plus que dire, c’est vrai-je suis doué pour l’amour: nous ne nous
connaissons pas ou presque pas, c’est elle qui met ça sur le tapis. Elle est quand
même gonflée.
Nous retournons au salon. Il s’assoit près de moi. Trop près, elle me donne envie
d’elle. Elle le sait la garce, elle s’approche à toucher mes cuisses avec la sienne.
Elle ose même poser une main sur mon genou. Elle ne le bouge pas, je reste stoïque.
J’essais en tout cas: ça ne dure pas longtemps, puisqu’elle me cherche, elle va me
trouver: je pose ma main sur la sienne: elle ne se dégage pas, au contraire, elle me
serre le genou.
Elle ne s’en doute peut être pas, je commence à avoir envie d’elle. Je me tourne pour
prendre sa bouche. Comme j’espérais elle accepte le baiser. Elle connait les danger:
elle est chez moi, nous sommes seuls, elle est très agréable à voir et elle doit bien
se douter que je commence à bander.
Je suis de mauvaise foi, elle peut fort bien ne
pas le savoir. Tant pis, j’utilise ma langue comme représailles. Je fouille sa bouche,
elle répond facilement à ma langue. Je lâche sa main sur mon genou pour venir lui
prendre le menton. Elle lève la tête comme ma main lui impose. Notre baiser tourne en
longueur. Elle se dégage en me souriant. Elle est désarmante avec ce joli sourire. Si
elle pense me désarmer, elle se trompe: je me sens obligé d’aller l’embrasser dans le
cou, juste sous l’oreille. Elle penche sa tête sur le coté, pendant que sa main
caresse encore mon genou. A mon tour d’aller chercher du coté d ses jambes. Je passe
ma main sous sa jupe, je remarque alors que le matin elle était en jean. C’est quand
même bien mieux en jupe. Elle me laisse faire, je monte assez vite jusqu’à son
entrejambe. Elle a eu la bonne idée « d’oublier » de mettre une culotte. Je ne vais
pas me gêner pour aller chercher son petit bouton. J’admire les filles qui ont
plusieurs endroits pour prendre du plaisir. Je ne laisse pas passer l’occasion pour
caresser légèrement le bouton. Elle l’a assez gros, sans être énorme. Je passe l’index
au début puis réuni avec lui le majeur. Je n’appuie pas du tout, je laisse faire la
nature.
J’aime branler les filles en plus quand elle son jolies et sexy, c’est encore
meilleur. Bien sur que je bande, je sais que tout à l’heure elle se donnera à moi.
Elle se laisse faire jusqu’au moment ultime quand elle jouit. Elle attend juste la fin
de son orgasme pour poser enfin sa main sur ma bite.
Elle ne fait rien de spécial sinon un massage: toute ma queue a droit aux passages de
sa main. Il faut que je lui demande d’arrêter pour qu’enfin elle fasse descendre la
fermeture éclair et sorte ma bite avec précautions.
Elle me branle lentement, avec beaucoup de douceur. Elle sait bien me donner du
plaisir.
Tant mieux, je préfère une fille avec de l’expérience plutôt qu’une à qui je
devrais tout apprendre. Ca montre également qu’elle doit savoir bien baiser.
Je la fais lever, je me lève aussi. Nous nous déshabillons de concert. Je regarde
quoi chez elle, son sexe, elle regarde la même chose. Nous nous asseyons à nouveau.
Pourtant notre prochaine activité ne peux pas se passer assis. Nous avons envie du
sexe de l’autre dans la bouche. Reste à nous coucher. Elle est prête à se coucher sur
le divan. Je le trouve un peu trop étroit. Comme de gentils écoliers, nus, nous allons
dans la chambre qui doit être la plus proche, l’ancienne de mes parents: elle en a vue
de toutes les couleurs, je sais qu’ils étaient de sacrés baiseurs.
Nous nous allongeons de tout notre long sur le lit. Il est un peu dur, juste ce qu’il
faut pour la suite. J’embrasse ses seins, je descends des seins au bas ventre. Ma
langue sortie arrive sur son bouton. Je la lèche largement. De son coté, elle m’a pris
la bite dans sa bouche. Sa langue participe à la fête. Sa bouche est transformée en
boite à donner du plaisir. C’est-ce que j’appelle un 69 bien réussit. Elle me fait
jouir avant elle. Je lui donne un dose plus que normale de sperme. Elle continu à me
pomper jusqu’à la dernière goutte; jusqu’au moment où je sens ses contractions.
Nous restons ainsi un long moment, jusqu’à ce qu’elle me fasse bander encore avec sa
bouche. Elle voudrait me sucer encore, je ne suis pas d’accord: je veux nos sexes
imbriqués. Je viens sur elle qui écarte les jambes; J’entre facilement dans son vagin
plus que mouillé. Avant que je commence à aller et venir, elle passe ses jambes autour
des miennes. Nos bouches sont encore réunis pour un baiser qui dure jusqu’à son
orgasme. Elle jouit encore deux fois avant que je sorte de son ventre. Je sort de son
ventre pour y entrer ailleurs; C’est elle qui me donne son anus.
Je force à peine pour
y entrer. Ma queue s’y sent à l’aise. Elle aussi doit être contente d’être remplie pas
cet orifice. Elle jouit encore deux ou trois fois juste avant que je décharge dans son
ventre.
Revenus en place normale nous n’arrêtons plus de nous embrasser.
Elle se lèvre:
- J’ai faim, et toi ?
- Pareil.
Elle part à la cuisine, puisqu’elle sait où elle est. Je l’accompagne. Elle m’excite
encore: ce n’est pas tous les jours que je vois une femme sexy, nue que je viens de
baiser vaquer à la cuisine. Elle réunit les bons éléments pour faire une bonne
dinette. Une dinette spéciale, puisqu’elle n’est pas assise sur une chaise, sur mes
genoux, face à moi. Je bande, elle coince ma bite entre nous deux pour mieux la
tripoter. Quand elle sens que je n’en peux plus, comme elle sans doute, elle s’avance
pour faire entrer ma pine dans son con. C’est elle qui baisse: je suis devenu son gode
boy.
Je ne lui ai rien donné, sinon mon corps.
Si je vous dit que 6 mois après nous sommes toujours ensemble………..

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