Son Gode, Son Voisin

Marine est la seule propriétaire de la campagne. Elle s'est transformé de fille des villes en travailleuse agricole. Malgré la fatigue physique, le soir elle se masturbe en rêvant à je ne sais quel prince charmant ou alors à une bite.
Pour pallier au manque d'homme, a réussi, pendant une foire à la ville proche d'entrer dans un sexe shop. Elle a du mettre presque deux heures avant de faire un choix définitif. Munie de ses jouets elle peut envisager l'avenir rose.
Dès son retour dans la ferme, elle est vite nue devant la ferme , sans peur d'être vue, elle s'en fiche. Tout son bataclan étalé, elle commence a se faire l'amour. Assise sur un banc, les yeux dans le vague son plaisir arrive doucement. Quand elle sens qu'elle va jouir, elle arrête tout un moment. Elle aime ces moments indécis juste avant le grand saut dans le plaisir solitaire.
Le soleil se couche, elle s'en moque, son plaisir peut attendre un peu. Marine sort sa main de sa chatte. Elle prend un gode qu'elle passe sur son clitoris. Le bout rond lui donne des frissons. Elle sait bien que si elle continue à se caresser ainsi, elle aura un orgasme. Et alors, ce sera le premier de la nuit.
Elle ne tient plus de désir : il lui faut absolument aller au 7° ciel.
Toujours nue, cette fois elle est décidée de se faire jouir. Elle hésite un peu pour se mettre : devant ou derrière. Après tout elle peut faire les deux.
Il lui semble que son sexe est plus demandeur. Elle reste assise, les jambes ouvertes. La gode est dans sa fente. Elle va se baiser pour le plaisir qu'elle aura. Elle enfonce le faux sexe en elle : son ventre se tend vers le plaisir qu'elle se donne.
Elle se baise lentement au début et plus vite dès que le ventre est envahi de plaisir. Elle avance ses fesses presque au bord du banc : elle est plus libre pour ce qu'elle va faire. Ça y est le gode touche le fond, la matrice. Elle peut se baiser sans crainte, sinon d'un plaisir plus grand que les autres fois.


Un brin de vent la fit frissonner, elle n'en a cure, seul sa masturbation compte.
Elle se baise uniquement pour jouir, pour s'envoyer en l'air, faute d'un amant régulier. C'est plus fort qu'elle, elle jouit, juste pour recommencer.
Elle se donnerait à n'importe qu'elle bite bandée. Si son voisin qui habite quand même à 3 kilomètres avait la bonne idée de passer il pourrait se la payer. Elle le laisserait faire, pas comme la dernière fois où elle refusait de lui lécher la queue. Pourtant elle était belle cette bite, et grosse, trop sans doute.
Marine le sait par on dit : d'autres filles se seraient plaintes de la grosseur supposée de cette pine. Mais pour elle, finalement elle accepterait d'être baisée par cette énormité. Elle pensait à cette éventualité quand un orgasme la porte au ciel. Elle laisse passer les spasmes pour recommencer. Cette fois elle ne pense qu'à la bite du voisin.
Elle se voit la bouche pleine de la queue, qui va décharger son sperme en elle. Elle aimerait tant goûter son jus qui dois être épais et un peu salé, comme le dernier qu'elle a eu dans la bouche. Ce besoin devient une idée fixe. Elle imagine le goût avant qu'il bande trop et celui après, plus fade, mais aussi agréable en bouche, comme un bon vin.
Elle n'en peut plus de désir, il lui faut pendre contact avec l'autre le voisin.
Elle l'a au téléphone fixe. Il comprend son besoin, le même que le sien. Il arrive presque nu avec seul un pantalon.
Elle arrête de se masturber en entendant le voiture du voisin. Par contre c'est bien mouillée qu'elle le reçoit. Elle lui tend les bras, le serre contre elle, défait le pantalon qui tombe. Il est gêné, nu comme ça. Elle se baisse un peu, se penche pour lui bouffer la queue qui se trouve bien dans la bouche ; enveloppée de salive chaude et d'une langue caressante. Si la bouche lui a pris la queue, ses fesses sont l'objet de câlins particulièrement agréables.
Marine pousse la gentillesse jusqu'à entrer deux doigts dans la raie des fesses.
Il attend jusqu'au moment où les doigt viennent lui chatouiller l'anus. Il se laisse faire, en écartant bien les fesses, en ouvrant comme il peut son anus aux doigts qui veulent entrer. Sa queue dans la bouche, des doigts sur et dans son cul, il est heureux. Il ne peut voir le régime de Marine qui entre deux doigts dans son cul, elle aussi, adepte de la sodomie.
Elle ne garde bien de le faire jouir, elle le destine à un ailleurs aussi bon.

Elle se relève, se tourne et demande à être enculée. Elle dirige elle même la bite vers son cul qui s'ouvre dès que la pine est sur lui. Enfin elle est sodomisée. Si elle ne l'a pas fait avec le gode c'est qu'elle préfère une vraie bite pour cet endroit très intime.
Elle sent la queue qui entre, qui écarte son anus, qui va loin en elle par cette entrée secondaire. Mais le meilleur moment reste quand elle sent les spasmes de jouissance de la bite dans son cul. Elle aussi jouit, elle aussi a de nombreuses contractions, là où normalement les femmes bien élevées ne sentent jamais rien sinon du négatif. Elle se finit en se branlant devant son amant qui aime quand elle se donne du plaisir devant lui.
Ils passent le nuit ensemble lui en tenant un sein dans sa main, elle en prenant la queue qui peut resservir à la demande. Ce qui conduit à plusieurs reprise dans la nuit. Elle se fait mettre partout où c'est possible, même entre les seins. Mais principalement dans le cul, selon son désir.
Il dort encore, Marine reprend la gode, le mouille dans sa bouche, je pose sur l'anus pour se le mettre profond comme elle aime. S'il se réveille, il lui reste un con. Qu'il y aille pour leur bien être commun.

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