Chapitre 30 : Doigté Délicat Sous La Table En Présence De Mon Mari Et De Mon Amant.

Après l’écriture d’un premier chapitre, encouragée par Éric à poursuivre, mais aussi par Olga, France, Marie Christine et Julie, c’est donc moi Caroline, sa seconde épouse, qui a le plaisir de vous raconter la suite de nos « aventures ».
Nous vivons à cette période en 2006, une vie de couple épanouie, Éric, que je regrette de ne pas avoir rencontré avant me comble que ce soit sexuellement, et oui j’ai un gros besoin, dû à mon hypersexualité, mais aussi dans la vie de tous les jours.
Il est brillant, charmant, attentionné, courageux, il ne s’est que faire pour me faire plaisir ainsi qu’à mes s qui le lui rendent bien.
Mais notre vie à cette période est toujours aussi débridée malgré de lourdes charges professionnelles. C’est certainement la cause de notre besoin de nous évader.
Petite information « présente », je suis toute excitée à l’idée de vous raconter cette histoire.
Faisons un point rapide sur nos relations vécues.
Bien sûr, nous avons commencé par nos défis, puis par nos exhibitions souvent devant des voyeurs, puis ensuite il y a l’épisode François, le photographe, qui se contente d’une « fellation royale », c’est son expression, car ce « Monsieur » est fidèle à sa tendre épouse, et pour lui, une fellation, même avec éjaculation dans la bouche n’est pas une relation sexuelle complète. Donc « sucer, n’est pas tromper », selon François et même pour un ex-premier ministre.
A cette période, nous avons publié mes photos réalisées par François pendant quelques mois sur un site spécialisé bien connu des Français, ce fut aussi une belle expérience.
Pour revenir à François, il est devenu « le photographe » officiel de la famille, il a réalisé les reportages photos des trois mariages de mes s, mais également de notre fête à l’occasion de nos dix ans de mariage.
Ce qui est appréciable, avec François, c’est que ses tarifs n’augmentent pas, c’est à chaque fois : « une fellation royale », même si à chaque fois, je le provoque car j’aimerai tant lui donner un peu plus.


Puis ensuite, nous avons rencontré Jean-Paul, un amant formidable qui m’a donné beaucoup de plaisir mais malheureusement cela a été un plaisir non partagé par Éric ayant l’impression de se retrouver sur le banc de touche.
Doublement non partagé par Éric, car je l’ai trahi peu après, en ayant trois ou quatre relations très chaudes avec ce bel amant qui ne pensait qu’a une chose « me voler » à Éric.
C’était son idée de départ, il n’a jamais été bisexuel, il recherchait une belle femme en couple ou non, les relations à plusieurs étaient un prétexte.
Je suis convaincue d’une chose, c’est que Jean-Paul était très amoureux…
Il m’a fallu beaucoup de temps pour avouer mon infidélité à Éric et à me défaire de Jean-Paul qui m’a longtemps harcelé.
Éric a réagi d’une façon conforme à sa façon d’être : « classe » et respectueuse.
En me déclarant qu’il est bien conscient que toute pratique sexuelle qui s'inscrit en dehors des normes considérées comme « normales » par la société est susceptible de mettre notre couple en danger.
Qu’il n’avait rien vu d’anormal dans mon comportement…C’est surprenant pour lui !!!
Et puis de toute façon imaginer son épouse prendre du plaisir dans les bras d'un autre n'est pas nécessairement un message facile à faire passer et que je pouvais légitimement penser qu’il ne me désirait plus et pire encore, qu’il ne m’aimait plus.
Qu’il existe aussi un risque que je parte avec un de nos amants, si nous nous découvrons des affinités autres que sexuelles. Mais finalement c’est peut être les risques posés par cette pratique qui sont bien réels qui le motive.
Ces relations doivent insuffler une nouvelle vie et raviver la passion l’un pour l’autre. Mais c’est une pratique sexuelle à risque. Donc, ouvertement, il assume et pense être tout autant responsable que moi…
Puis ensuite, nous avons rencontré notre « perle » Alexandre qui fut un formidable amant pour nous deux, mais malheureusement, il a quitté notre région.

Après avoir fait la connaissance de ses deux hommes, nous avons beaucoup échangé avec l’homme de ma vie et nous avons fait le choix de continuer nos recherches sur notre site libertin en incluant des envies et recherches bien précises.
Je dois vous avouer qu’après notre relation torride avec Alex, j’avais très envie de recommencer au plus vite.
Notre recherche se tourne vers des hommes bisexuels pour un plaisir partagé.
Après toutes ces rencontres, et ma révélation sur « ma petite tromperie », Éric me demande vraiment de considérer son envie de rencontrer Jean-Jacques, mon ex-amant.
Je ne comprends pas vraiment cette obsession, quel intérêt pour lui, Jean-Jacques, je l’ai rencontré quand j’avais vingt-cinq ans, nous sommes en 2006, j’ai trompé mes trois précédents maris avec lui, et je n’en suis pas fière, je l’apprécie beaucoup, c’est un homme charmant, prévenant qui ressemble beaucoup à Éric.
Et puis, il y a parfois des évènements particuliers qui surviennent dans une vie.
Jean-Jacques est Porschiste depuis toujours, il est véritablement passionné par cette marque. Éric et moi, avons le projet de nous acheter la Porsche de nos rêves pour nos cinquante ans.
Dans la conversation, j’ai le malheur un jour de lui révéler la passion de Jean-Jacques pour la marque de Stuttgart avec plusieurs visites en Allemagne pour lui, étant un client fidèle.
Voilà un bon prétexte pour Éric, de rentrer en contact avec Jean-Jacques qui ne pense qu’a une chose, me rencontrer de nouveau.
Jean-Jacques nous propose de nous inviter au Mondial de l’auto 2006, avec des invitations particulières sur le stand Porsche.
Éric est ravi, doublement ravi, il trouve Jean-Jacques très charmant.
Nous nous retrouvons le samedi sept octobre, devant l’entrée principale de la porte de Versailles.
Pour l’occasion, Éric, m’a demandé d’être sexy-chic, j’opte pour une robe assez courte, mieux vaut des chaussures plates telles que les ballerines, car pour la journée au salon, je privilégie le confort, et puis comme il fait froid, je porte une maille douce.

Cela fait environ cinq ans, que je n’ai pas rencontré Jean-Jacques, j’ai une sensation bizarre, quand j’aperçois sa silhouette devant la porte principale du salon, il est toujours aussi séduisant, il a maintenant cinquante-cinq ans, ses cheveux sont plus gris, il me semble petit, mais en fait, il est légèrement plus grand que moi, je mesure un mètre soixante-quatorze, et lui doit mesurer trois ou quatre centimètres de plus.
Je pense de suite au choix de mes chaussures, et je pense que j’ai bien fait d’opter pour le confort par rapport à Jean-Jacques.
J’éprouve une belle sensation quand nous nous embrassons sous le regard d’Éric, hilare et très heureux d’être là.
Nous commençons par prendre un café, Éric et Jean-Jacques discutent beaucoup ensemble, voitures, sujet du jour, mais aussi de nos vies respectives.
Éric en profite régulièrement pour faire quelques allusions discrètes sur nos pratiques, ce qui semble plutôt intéressé notre « ami », Jean-Jacques.
Il se permet même de plaisanter sur le fait que nous fûmes amants pendant mes trois précédents mariages…
Jean-Jacques, lui répondant qu’il ne tient qu’à lui pour améliorer notre score, le tout dans la bonne humeur.
Finalement, je me trouve bien avec ces deux hommes.
Puis, nous visitons les marques prestigieuses, et nous sommes attendus vers treize heures au stand Porsche.
Jean-Jacques, nous a obtenu un rendez-vous avec Denis, patron d’une grosse concession de l’ouest de la France, je ne peux donner l’endroit exact pour ne pas nuire à la personne.
Denis est bel homme de quarante-deux ans, svelte, sportif, le regard vif, avec de beaux yeux bleus, c’est un charmeur qui doit aimer les femmes.
Dès le premier regard, Denis me trouble, et pourtant, j’ai déjà derrière moi, un long palmarès et un « CV » long comme le bras…
Denis nous présente la gamme complète de la marque, je le trouve très prévenant avec moi, quand il m’installe dans les voitures, c’est vrai que le choix de ma robe courte lui offre une vue assez intéressante sur le haut de mes cuisses à chaque fois que je m’installe, mais aussi sur mon entrejambe quand je redescends de ces voitures basses.

Je le trouve de plus en plus tactile, pendant que Jean-Jacques et Éric semblent m’oublier en dissertant sur les modèles.
Après la présentation, Denis nous propose de nous inviter à déjeuner.
Nous retrouvons tous les quatre au restaurant, comme par hasard, je me retrouve en face d’Éric, avec Denis à droite et Jean-Jacques à gauche.
Pendant l’apéritif, et ensuite lorsque nous commençons à manger, le regard de Denis ne laisse absolument pas la place à la moindre équivoque sur ses intentions à mon égard.
Je l’ai bien remarqué et je trouve même qu’il est sacrément « gonflé » de se conduire de la sorte devant Éric qui converse toujours passionnément avec Jean-Jacques.
Je me demande bien où il veut en venir et je ne réagis pas trop aux légères caresses qu’il m’adresse sous la table. Ôté de son mocassin, il promène d’abord son pied sur ma jambe. Puis, à plusieurs reprises, je sens sa main se poser sur ma cuisse et me la presser fermement pour remonter vers mon entrejambe.
Même si, il me “ chauffe ” scandaleusement, Éric et Jean-Jacques ne voient rien et semblent passer un bon moment.
En ce qui me concerne, j’avoue que j’ai du mal à soutenir une conversation suivie, étant donné l’insistance qu’il met à me déstabiliser doucement par ses appels répétés.
Cela ne m’énerve absolument pas mais je me demande bien ce qu’il peut avoir en tête alors que nous sommes en négociation pour lui acheter une si belle voiture neuve.
La discussion est bien lancée autour de la table et cela fait d’ailleurs plusieurs minutes que je n’ai dit le moindre mot.
Ce n’est pas gagné d’avance mais finalement Éric et Jean-Jacques s’accordent plutôt bien et ils n’ont déjà plus besoin de moi et même de Denis qui est passablement absent pour relancer les sujets de discussion.
J’en profite pour répondre scandaleusement à ses appels du pied mais d’une autre manière…
J’ai mis une petite robe toute légère qui descend bien au-dessus du genou, une petite robe fluide noire à fines bretelles.
La température ambiante et les coupes de champagne aidant, j’ai enlevé le petit gilet qui me couvrait les épaules.
Je porte des ballerines et des bas noirs. Je suis à présent sans rien ou presque sur le haut du corps, rien que les fines bretelles de ma robe avec un soutien-gorge noir finement brodé soutenant mes seins et un petit string noir qui me va parfaitement, mettant mes fesses en valeur comme Éric me l’a précisé en nous préparant.
Après avoir laissé traîner sa main sous la table pendant quelques secondes, Denis la pose sur ma jambe et je sens la douceur de ses doigts sur mes bas.
Il remonte sa main le long de ma cuisse et arrive au moment où il tombe sur la chaleur de ma peau.
Sans plus s’attarder, il pose l’extrémité de ses doigts directement entre mes jambes, juste sur mon sexe, il doit sentir la chaleur de mon humidité au travers du fin tissu de mon string.
Il pose sa main à plat sur le haut de ma cuisse nue, juste au niveau du plissement de ma peau puis il passe doucement le bord de son index entre mes cuisses pour me faire sentir précisément son doigt sur mon sexe.
Il doit sentir toute la chaleur, la douceur et la tiédeur de cet endroit si particulier.
Il ne fait aucun doute que mon envie est déjà montée fortement jusqu’à se faire ressentir au plus profond de mon ventre.
En un petit geste habile, Denis écarte le petit bout de tissu pour laisser son doigt glisser sur mon sexe en partie dénudé et il doit pouvoir sentir la chaleur de mon envie et la moiteur de mon désir.
Tout à coup, Éric lui adresse la parole, alors qu’il est en train de me caresser doucement, Denis arrive à lui répondre le plus sérieusement du monde.
Ainsi, pendant qu’il est en train de disserter sur les performances de la Porsche 911 Type 997 Carrera 4S Tiptronic, c’est le modèle que nous devons essayer ensuite, Denis continue à me caresser et lorsque qu’il jette un petit regard vers moi, il doit voir que je suis en train de me mordre les lèvres de plaisir et que je serai bien incapable de prononcer le moindre mot.
Et puis, Jean-Jacques, qui s’étonne de mon long silence, intervient en me demandant si tout va bien, je lui réponds tout simplement, que la matinée m’a fatigué et que j’avais besoin de me détendre.
Malgré cela, Denis continue et laisse glisser son doigt entre mes lèvres et il en profite pour recueillir toute mon humidité pour le laisser traîner plus facilement sur l’intégralité de mon sexe.
Je profite de ce moment pour répondre scandaleusement en posant une main discrète sur son entrejambe.
Son sexe doit commencer à grossir depuis longtemps et il a beaucoup de mal à se tenir tranquille sur son siège.
Heureusement il arrive à détourner la conversation sur un sujet un peu plus léger que les conditions d’achats de la Porsche, sinon il n’aurait pas pu continuer à me caresser longtemps.
A présent, Éric et Jean-Jacques ont repris leur conversation sans nous, Denis intervient peu et fait semblant d’écouter et il peut continuer à s’occuper de moi comme il le fait depuis tout à l’heure.
Je ne sais pas comment vous expliquer, mais à ce moment précis, je suis à table avec mon mari que j’aime, avec mon ex-amant que je viens de retrouver après cinq années sans nous voir, et je suis là, à me laisser caresser discrètement par un presque inconnu, et je prends un plaisir fou, je suis en feu, je souhaite qu’il continue le plus longtemps possible.
Denis n’étant plus obligé de parler, il acquiesce de temps en temps, il peut se concentrer alors intégralement sur ce qu’il veut me faire ressentir.
Son doigt parcourt l’intégralité de mon sexe humide, je sens mon clitoris rouler sous ses doigts et puis lorsqu’il écarte un peu plus mes lèvres vaginales, il doit sentir la chaleur de mon humidité qui se dégage de mon corps.
Il doit sentir que je meurs d’envie de lui, de son corps, de ses caresses, de ses baisers, j’éprouve des difficultés à me retenir.
Lorsqu’il arrive à glisser son doigt un peu plus précisément entre mes lèvres, il le pose à l’entrée de mon vagin et en un seul geste, il arrive à entrer la première phalange ce qui provoque chez moi une réaction que je n’attendais pas.
Je sursaute sur mon siège tout en poussant un petit cri étouffé. Heureusement Éric et Jean-Jacques discutent toujours, mais s’arrête et se pose légitimement des questions.
J’ai pris soin d’ailleurs de jouer avec ma fourchette pour occuper mes mains et me donner une contenance qui a eu pour effet de leurs laisser penser que j’étais plongée dans mes pensées et que j’ai été surprise par mes propres mouvements qui se font d’ailleurs de plus en plus désordonnés…
Denis retire son doigt et décide de le laisser traîner tranquillement sur mon sexe.
En poussant un peu, il arrive à le laisser descendre entre mes fesses.
Il remonte vers mon clitoris, il glisse doucement et sans aucun mal entre mes lèvres. Puis il redescend le long de mon sexe pour revenir entre mes fesses. Lorsqu’il exerce une petite pression sur mon périnée, je lutte intensément pour ne pas soupirer.
Soupirer de cette manière si particulière que cela ne laisserait aucune équivoque sur ce que je ressens en ce moment même sous les yeux d’Éric, mon mari et de Jean-Jacques, mon ex-amant, qui va très vite le redevenir.
Je fais comprendre alors à Denis, qu’il faut qu’il arrête assez rapidement de me provoquer ainsi sinon ça va mal finir.
Il va me violer littéralement sur la table, devant Éric et Jean-Jacques, entre les verres, les assiettes et l’entrée qui est bientôt finie.
Il retire sa main, il abandonne mon sexe et lorsque je le regarde, il me fait comprendre que je ne perds rien pour attendre et que ce n’est que partie remise.
Discrètement, il porte son doigt à sa bouche et il suce doucement et délicatement toute mon humidité recueillie sur son doigt.
Nous reprenons le repas et la conversation presque normalement.
Je vois dans ses yeux, que cet abandon le désole au plus haut point, mais il comprend qu’il ne serait définitivement pas convenable de continuer à tenter le diable ainsi devant mes deux hommes.
Nous passons aux essais des voitures l’après-midi, Denis est toujours très tactile pour mon plus grand plaisir.
Puis, bien conseillé par Jean-Jacques, Éric, passe officiellement commande de sa Porsche, ils mettent beaucoup de temps à choisir un grand nombre d’options, c’est important pour Éric qu’elle soit bien configurer.
Et puis, nous devons négocier, et à ce moment j’interviens, je fais quelques allusions discrètes à mon ami Denis.
Nous avons besoin de réflexion, cela représente une belle somme, je vais revoir Denis discrètement, il me dit que nous devons continuer, qu’il a très envie de moi, je lui dis qu’Éric est très permissif et même candauliste et que moi-même j’ai très apprécié.
Que c’était une première pour moi, d’être caressée, doigtée, discrètement par un « inconnu », devant mon mari et mon amant sans que ceux-ci ne s’aperçoivent de rien.
Au retour, à la table de négociation, Denis nous accorde une remise vraiment exceptionnelle pour la prestigieuse marque Porsche, même Jean-Jacques, ne revient pas de cette remise, lui qui doit en être à sa huitième Porsche de sa vie.
Et puis, en prime, Denis nous invite tous les quatre, c’est-à-dire Jean-Jacques et son épouse, Noëlle, que je vais rencontrer pour la première fois, Éric et moi pour le spectacle et le dîner prestige « carré or » c’est-à-dire très près de la scène, au Lido de Paris. Porsche ayant réservé cette espace pendant toute la durée du mondial de l’auto.


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