Dans Le Petit Bois

Message de l'auteur : excusez mon francais imparfait, je suis d origine Amerique
latine merci.

J’ aime les sous bois, il y regne une odeur d humus qui m exite, aussi je m y promene
souvent, il y a un pres de chez moi . Avec mon mari nous allons souvent aux
champignons.
Mais lorsqu’ il s absente pour des voyages d affaires je vais dans ce petit bois ou
j’ai localisee un coin tranquile, une mini clairiere bien cache a quelques metres du
sentier, d ou on ne peux me voir, mais j entends les gens passer, souvent des
promeneurs.
J’arrive dans mon coin, je me couche sur le dos a meme le sol, sur un lit de mousse,
feuilles mortes et brindilles, j enleve ma petite culotte et je retrousse ma jupe
jusqu a la taille, j ecarte les cuisses, le seul fait d’avoir les cuisses
completement ecartees dans la nature, sexe impudiquement a l air m’excite enormement
et je mouille, le soleil qui passe a travers le feuillage me chauffe le minou…ma
petite chatte est recouverte d un doux coussin de poils noir, soyeux, le fait d avoir
les cuisses ecartees ouvre ce coussin devoilant une fente, un sillon. j’ouvre aussi
mon chemisier, je n ai pas de soustif, c est plus facile, mes gros seins (93 cm) sont
devoiles, j en carresse les bouts, les pincant et les faisants tourner entre mes
doigts, les pointes sont dures, erigees, je ferme les yeux et laisse passer le temps,
je ne suis pas pressee et je suis mouillee comme une huitre. Je hume cette odeur de
sous bois si excitante, terre, mousse, feuilles et brindilles collees a mes fesses,
mon petit cul rebondit ,ca me rend folle ce contact.
Cuisses completement ecartees, je commence a me caresser la fente, les grosses levres
d’ abord qui s ouvrent sous la caresse laissant voir des chairs sensible et intimes,
roses, puis mon petit clitoris qui n en peux plus de dur, je commence a l astiquer…
pour pouvoir occuper mes deux mains, je me place une pince a linge sur chaque Tetons,
la morsure fait mal a la pose puis la sensibilite diminue, mais au moindre movement
des pinces, une breve douleur m’ envoi de elans jusque dans le bas ventre, et je
mouille plus.

Mes fesses sont plaques au sol et des feuilles , des brindilles et de
la mousse y sont colles…je suis rapidement prete a jouir, mais j attends d entendre
passer des gens pour arriver a l orgasme qui arrive en ondulant en vagues, comme la
maree…puis en tempete, alors que je jouie, mon petit derriere, mon cul, est agite de
soubressauts et je sens les brindilles me piquer…
Lorsque je pars, j’eue l idée de laisser ma petite culotte pendue a une branche, en
rentrant a la maison, je me denude, et m observe, je suis souillee de tout ce qui
compose le sol de ce sous bois, je suis sale mais j aime ca, je fait couler un bain
pour retrouver ma peau douce et propre.
lorsque je revins quelque jour plus tards en debut d après midi, au meme endroit, je
retrouvais ma petite culotte par terre, je la ramasse et l observe, elle est souillee
de sperme seche. Un homme avait du la trouver et s etait masturbe avec.
Avant de me livrer a nouveau a un nouveau petit jeux je me demandais si cet homme ne
m epiais pas…tout pres. Et cette pensee me provoqua une sensation etrange et je n en
suis que plus excitee…
Debout, je fermais les yeux et decidais cette fois de me denuder entierement. J etais
excite a l extreme avec une nouvelles idée a mettre en pratique.
j avais apporte un beau god ceinture noir de 22 cm par 5 de grosseur, sans doute
ressemblant au sexe d un noir.
j en passait la ceinture a une trentaine de cm de la base d un tronc arbre pas plus
gros que la taille d une femme… impecable, je m agenoullais et fixais a chacun de mes
tetons une pince dote de poids en fonte simulant des pommes de pins, comme celle des
coucous Suisse. Ouille, c est lourds et ca etire mes grosses mamelle qui pendent,
ressemblant a des pis de vache.
A quatre patte maintenant, les jambes placees de chaque cote du tronc, je recule ma
croupe, je guide d une main le god sur lequel je m enfonce, je dois etre folle, je
suis dans cette petite clairiere, nue a quatre patte a faire des allee et venue avec
mon derriere faisant coulisser le gros god dans ma chatte degoulinante, a chaque fois
mes fesses tapent contre l ecorce du tronc qui sert de buttoir, j aime ce contact et
je fait taper mon petit cul de plus en plus fort, je sent que ca me griffe les fesses,
je halete, les poids pendus a mes nichons les font balotter comme des cloches, je
m’empale de plus belle et de plus en plus vite, la jouissance vient, forte, intense, j
ai l impression de n etre plus de ce monde, je vois des tas d etoiles, mon derriere
tape une derriere fois brutalement contre le tronc de l arbre et je m ecroule a plat
ventre, les bras en avant.

Je reste comme cela longtemps, puis decidais de mettre en pratique une sceance d auto
bondage pour finir l apres midi.
J avais reflechie les moyens de me lier les poignets a une branche haute, mais comment
me liberer ensuite ? je portais mon choix sur une ficelle en raffia que je pourrai
rompre en forcant, je fit l essai plusieurs fois.
Je passais la ficelle autout d une branche haute, puis grace a un noeud coulant, mon
propre poids serrant le lien, je me retrouvais nue, liee par les poignets dans cette
mini clairiere.
La flexibilite de la branche me permit en tirant un peu d ecarter les jambes, je
fermait les yeux et laissais mon corps etre gagne par l excitation. Je commencait a
ressentir des picotements et je sentais des gouttes de sueur couler dans mon dos et se
perdrent dans la raie de mes fesses.
C est alors qu un bruit de brindilles qui cassent me firent ouvrir les yeux, un homme
se tenait devant moi.
- Ha elle est revenue la petite vicieuse…
C etait un homme la soixantaine, bedonnant en salopette a bretelle, aspect paysan
- C est fou ce qu on peu trouver en allant aux champignons, d abord une petite
culotte et maintenant sa proprietaire…
Je tentais de forcer sur le lien pour me liberer, mais j avais compte sans la
flexibilite de la branche. Impossible.
L homme commencait a me pelotter les seins
- Ils sont beaux tes gros nichons ma belle
Je respire court, le pelotage me faisait d e leffet, surtout quand il commenca a me
tordre les Tetons en les pincant et les faisant rouler entre ses doigts. Je haletait,
sa bouche baveuse me bouffait maintenant les seins, les aspirant alors que un doigt ou
deux me fouillait la chatte.
Quelle chatte baveuse elle a la cochonne… j ai vu comment tu t empalais sur ce god, tu
m a fait bander comme un ane ma salope.
Tu sais, j ai une dent contre les femmes, tu va souffrir ma salope…d abord je vais
renforcer ce lient par une bonne cordelette…
a suivre

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