Face Cachée...

Le souffle de plus en plus saccadé, je tâtais le derrière de ma femme, laissant des traces rouges sur la peau blanche. Je massais du pouce les bords de l’anus. Elle donnait des petits coups de reins en arrière, s’arquait au maximum. Consciente de ce qui allait suivre. Ce fut pour cela que je la préparais divinement.
Lubrifiais le conduit. Introduisait un, puis deux doigts. Qui dilataient au mieux les muscles. Je retirai mes doigts, et sans attendre, je plaçais ma verge au centre de l’auréole bistre. La chair rouge formait un rond presque parfait.
J’appuyais fortement sur le gland pour lui faire passer l‘obstacle de son anneau culier.
Ceci réalisé, je me laissais aller en avant. Jusqu’à ce que ma verge disparaisse entre les fesses. Elle m’accueillait comme toujours, sans broncher. J’étais dans une telle excitation que je ne pus m‘empêcher de la tambouriner fortement et profondément.
Malgré mon émulation, j’entendais les coups légers frappés à la porte vitrée de l‘entrée. Je jetais un coup d’œil de biais du côté de la fenêtre proche de cette dernière pour y apercevoir la figure ingrate de la conseillère immobilière. Qui sans y être invitée, prit l’initiative d’ouvrir la porte. Une porte qui n‘avait pas été verrouiller.
Et dont l’intrus était Loin de se douter un seul instant de ce qui se tramer derrière cette dernière. Je précise que cette personne avait pris ses aises envers nous. Elle qui essayait depuis plusieurs semaines, de nous trouver une nouvelle acquisition.
Quand elle réalisa où elle avait mis le pied il était déjà trop tard. Elle eut un mouvement de recul, mais très vite réprimée. Les yeux écarquillés derrière ses verres de lunettes, elle resta comme hypnotiser sur place. Son visage prenait des couleurs. Sans me soucier de sa présence, j’allais et venais dans les reins de ma belle. J’éprouvais aucune honte à m’exposer aux yeux de la femme. Je ne me posais aucune question sur le côté moral ou immoral de cette exhibition dans laquelle j’éprouvais une pleine satisfaction.


Comme ce devait être aussi sans doute le cas pour l’intruse. Qui se tenait toujours sur le seuil de l‘entrée, ne sachant pas très bien quoi faire. Elle fronça les sourcils en nous observons.
- Mais ne restez pas devant la porte Lydie. Lui lançais-je.
Elle plissait les sourcils, hésita un court instant avant d’entrer et de fermer la porte derrière elle, cédant ainsi au voyeurisme.
- C’est… c’est pour la maison…. Bafouilla-t-elle. Je crois en avoir une…
- Ah oui ! Et nous pouvons aller la voir quand ? Fis-je en allant et venant dans les riens de ma femme. Qui tentait de m’échapper, sans doute pas très à l‘aise.
- Ne bouge pas ma chérie. Ce n’est que Lydie. Lui lançais-je en envoyant deux, trois coups de reins violents dans son fion, sous les yeux témoins de la conseillère, pas mécontente de devoir être témoin d’une enculade. Et ce fut pour cela que je me permis de poser la question indiscrète :
- Dîtes-moi Lydie, je voudrais savoir pourquoi vous êtes encore là ?
Pourquoi vous n’avez pas préféré revenir plus tard.
- Pour l’offre ?
- Mais plus encore. Si vous me le permettez j’ai l’impression que cela vous plaît d’assister à notre ébat ? Je me trompe ?
- Pas du tout monsieur.
- Alors pourquoi êtes restés là. Lui répondis-je tout en besognant sauvagement l’anus de ma femme.
- J’ai… j’ai besoin de savoir pour la, la maison…
- Vous voyez bien que je suis occupé.
- Oui, je vois. Je peux attendre dehors si vous le désirez ?
- Et pourquoi dehors ?
- Ou ici. Fit-elle en me désignant mon fauteuil.


Je me surpris de son aplomb. Hormis son bafouillage, rien ne montrer sur son comportement son embarras. Je l’avais deviné malicieuse mais pas à se prescrire ainsi.
- Il ne faut pas pour gêner dîtes-moi ?
- Où il n’a pas de gêne il n’a pas de plaisir… répliqua l’effrontée.
Je fis faire à ma queue quelques aller et retour rapides dans le
fion de ma femme avant de reprendre la conversation avec la conseillère.

- Cela vous plaît dîtes-moi de regarder ?
- Oui… oui, à défaut d’autre chose.
- Ce qui veut dire ?
Sans qu’elle prenne la peine de répondre et avec une impudence à toute épreuve, elle posait ce qu’elle tenait en main sur la table basse, et en toute impunité, elle déboutonna son pantalon, qu’elle laissa glisser jusqu’à ses genoux exhibant en-dessous une grande culotte de coton. Dont je remarquais une tache humide en train de s’élargir sur le devant à la hauteur de son sexe.
- Hou la vilaine ! Regarde ma chérie, regarde comment elle mouille la grosse cochonne.
Comme par défi, Lydie baissa son slip. Sous un sexe sans poils, les bords de la fente s’écartaient, dévoilant la vulve. Une grosse couche de mouille translucide apparaissait sur les muqueuses rouges.
- Mais ma cochonne, tu mouilles au fur et à mesure. Tu mérites une bonne fessée, tu sais ?
Tout en se déhanchant, effrontément, la coquine s’approcha de nous, sourire aux lèvres. Une odeur typique de sueur de blonde me
parvenait aux narines. Un effluve de fin de journée, délicieusement fauve. Je la fis se retourner et lui frappais les fesses à toute volée, et cela tout en étant attelé dans la cul de ma femme. Mes doigts marquaient de traces rouges la chair pâle et grasse qui rebondissait sous les claques. Je m’arrêtais. La conseillère fit tomber sa veste et dans son élan passa son tee-shirt par-dessus sa tête. Moulés dans un
soutien-gorge rouge. Elle les dégagea des bonnets. Ses seins jaillirent sous la libération. Elle les soupesa, fit rouler sous ses doigts les pointes érigées. Elle devint toute rouge et respirait de façon saccadée.
La tête renversée, les yeux à demi clos, la bouche entrouverte, elle se lâchait comme si elle se trouvait devant une projection de film pornographique. Elle fondait sous la caresse de ses doigts. Elle était
bonne, elle était chaude. Elle était prête à tout.
- Quand tu es seule, est-ce que tu te caresses ?
Dans un frémissement, elle laissa tomber :
- Oui… cela m’arrive.
Enfin très souvent ces derniers temps, aller savoir pourquoi.
- Avec quelle main ?
Elle agita son poignet droit.
- Celle-ci.
- Pose-la sur ta chatte, alors. Montre à ma femme et moi, comment tu t’en sers.
Lydie, sourire coquin sur les lèvres écartait l’entaille sexuelle, parcourut le trou sombre de ses doigts. En haut de la fente, le bourgeon rose du clitoris pointait. Elle le pinçait doucement, le fit rouler sous son index. Puis elle revint sur la vulve. Glissaient ses doigts entre les replis de chair molle dont s’échapper une mouille gluante comme un blanc d’œuf.
Un bref gargouillis, une plainte mouillée fusa de ses lèvres roses.
- Ça te plaît ? Questionnais-je.
- Oh ! Oui… Je me sens toute chaude… toute excitée, prête à faire tout ce que tu veux.
Je n’en pouvais plus. C’était dingue ce qui arrivait. La regardant dans les yeux, je laissais tomber :
- Que dirais-tu de sucer la chatte de ma femme.
- Ça ne va pas ! Fit cette dernière.
- Pourquoi pas… répondit Lydie, si tu le désires…
- Tu l’as déjà fait…
- Oh ! Non, jamais…
Je me reculais d’un coup du cul de ma bien aimée. Cette dernière sous mes instructions allait se poser sur le divan dans une posture obscène. De la mouille brillait sur la chair nacrée de la vulve.
- Comment tu trouves la chatte de ma femme ?
- Elle est très jolie !
Avec un rire énervé, elle s’apprêtait à s’agenouiller à ses pieds.
- Attends, fis-je en posant ma main sur son épaule.
- Oui, répliqua-t-elle en levant les yeux sur moi.
- Et ça, ça te plaît aussi ? Lui exposant ma queue.
Elle glissa ses yeux dessus.
- Bien sûr ! Quelle drôle de question, répliqua-t-elle, en me pinçant le gland.
- Branle-moi, alors !
Sans aucune hésitation elle m’enroula la verge de ses doigts. Et me branla. Elle le fit bien, sans aller trop vite. Je vis qu’elle prenait plaisir à faire monter et descendre la peau sur mon gland.
Au bord de la jouissance, je respirais très fort. Je dus m’y reprendre à deux ou trois fois pour bloquer mon éjaculation. C’était bon. Mais pas au point
de jouir sur-le-champ. Pour ce faire, j’interrompis la main qui s’activait à me mener au plaisir. Surprise de mon geste, elle me regarda avant de lâcher :
- Cela te déplaît ?
- Au contraire !
- Alors pourquoi arrêter ! Fit-elle en reprenant la caresse. Avec cette fois-ci, la ferme intention d’aller jusqu’au bout. La situation était si particulière que l’orgasme fut immédiat. Rejetant toute confusion sur son passage. Une dizaine de contraction. Avec un flux intarissable de semence. Presque effrayante.
Complètement lessivé, je me laissais tomber sur le fauteuil. Lydie posa sa main sur ma cuisse.
- Dans cinq minutes. Lui fis-je. Un besoin de récupérer.
- Oh dommage ! Répondait-elle, avec une petite moue déçue.
- Il serait bien que tu t’occupes aussi de ma femme. Elle aussi est une grosse cochonne tendre et sentimentale à son heure. Et crois-
moi, elle en pince pour les belles femmes comme toi.
- Alain arrête. Arrête de dire des bêtises. Fit ma femme, en me prenant par le cou, et colla sa bouche contre la mienne, me roula une pelle dont elle en avait le secret. Lydie pas mécontente nous regardait, le sourire aux lèvres. Elle avait plus que jamais, assimiler notre excentricité.
- Je pense que maintenant tu vas arrêter de dire des conneries, fit-elle en me lâchant. Et toi ma petite, s‘adressant à Lydie, sache que je ne suis pas du genre à sauter sur une gonzesse. À moins que.....
- Oh mais si... ! la coupa Lydie, j’aurais bien aimer…
- Bon, si tu veux la jouer comme ça ! Lâcha ma femme, en se jetant dans les bras de la conseillère, et toutes les deux se roulèrent
un patin que je citerais d'enfer. Et comme toujours dans ce cas, c’était ma femme qui menait la danse. Pour mon plus grand plaisir cela dura un petit moment. À priori ma femme semblait apprécier sa nouvelle partenaire, qui était du type direct, enjoué et coquine également.
À en faire glisser le T-shirt de Lydie, dévoilant ainsi un sein dont elle se mit à agacer le joli téton entre deux doigts fureteurs. La conseillère ne voulut pas être en reste et pelota à son tour les seins de mon épouse. Ceux de Lydie étaient corpulents, et très mignons, terminés par de petits tétons qui savaient bien se raidir au contact de la langue de mon épouse. Qui appréciait la caresse à se pâmait de plaisir.
Les deux diablesses s’embrassaient à nouveau tendrement. Ma femme avait à présent posé sa main sur le sexe de notre visiteuse et fit disparaître deux de ses doigts dans la fente. Et après avoir fouillé l’intérieur, mon épouse se mit à faire bouger son poignet. À branler l’entaille de plus en plus énergiquement. Lydie aux anges, ne mit pas longtemps à jouir. Pas le temps de cuver son orgasme que déjà ma femme se jeta sur sa chatte et la suçait. L’effet fut immédiat, deux orgasmes lui furent offert coups sur coups.
Mon épouse continua pendant de longues minutes à caresser de sa langue la fente juteuse. Elle me donnait l’impression d’adorer cela. Incapable de résister à la tentation de me faire sucer, je la fourrais dans la bouche de Lydie. Me servant de ses lèvres comme celles d’une chatte. Allant et venant, alors que cette dernière, jouissait deux fois de plus sous les caresses buccales, qui finit par s’écrouler pantelante sur le divan. Arrêtant pour ma plus grande déception ma fellation.
Soudain ma femme se redressa. Le menton, la bouche luisante de mouille. Elle disparut quelques instants, avant de revenir dans la pièce harnachait d’un gode ceinture. Sourire salace aux lèvres et après un clin d’œil à l’intention de Lydie elle s’étendit sur le tapis. Déchiffrant l’invite, la coquine se positionna au-dessus de ma femme.
S’accroupissait assez pour placer le bout du gode contre l’entrée de son sexe. L’introduction était assez lente, mais elle parvenait à presque tout faire entrer dans son antre, et entreprit alors des mouvements de va-et-vient, contrôlant elle-même son plaisir.
Je profitais de l’occasion qui m’était donné pour m’installer à porter de main de ma femme. Avec la ferme intention qu’elle me
branle. Une queue devenue douloureuse par tant d‘excitation, qui avait attendu attentivement jusqu’à là quand la fasse jouir.
Tout en me branlant, elle commençait des mouvements saccadés de son bassin, provoquant des râles de plaisir du côté de la conseillère.
- Ah ! C’est bon ! Je vais jouir ! C’est bon ! Qu’est ce que c’est bon de se faire baiser !
Je ne m’étais pas retenu d’éjaculer. Attendant sagement qu’elles finissent par s’écrouler sur le tapis épuisé, pour reprendre leurs souffles. Je profitais de leur repos pour poser quelques questions indiscrètes à Lydie :
- Dis-moi ! On t’a déjà enculé ?
- Pourquoi cette question ? Répondait-elle.
- Tu aimes bien qu’on t’encule ?
- J’aime tout, moi, je suis une vraie cochonne ! Allez viens me la mettre ! Fit-elle en prenant possession du divan.
Je commençais par lui embrasser l’anus. Je parcourais deux ou trois fois la raie avant je piquais ma langue au centre de la petite couronne qu’elle ouvrait de son mieux en poussant fort. Je n’aurais jamais osé en demander tant ! Une sorte de couronne gonfla sur le
pourtour de l’anus avant de s’évaser pour laisser apercevoir un trou sombre. Je le branlais pendant de longues minutes. Avec mes doigts et ma langue. Lorsque son plaisir la submergea, elle se mit à l‘extérioriser. Il était temps pour moi de me placer entre ses jambes.
- Oui prends-moi, me souffla-t-elle, d’une voix hachée.
J’appuyais mon membre contre son orifice étroit, je pesais de
toutes mes forces jusqu’à ce que son sphincter cède. Elle m’adressa même un sourire salace. Je m’engloutis en elle de toute ma courte longueur. Lydie en soupirant, commençait à remuer sous moi, une houle follement érotique. La bête rugissait en moi. Son fourreau était brûlant comme un four. À chaque coup de reins qui la poignardait, elle rejeta la tête en arrière, hurlant la bouche ouverte les paupières
clauses. Sadiquement, je me retirais lentement avant de replonger dans l’étroit canal. Je me mis à la besogner énergiquement, hélas, et encore hélas, je ne pu me retenir d’éjaculer trop rapidement à mon goût. Lydie continuait à gémir quelques instants. Basculant son ventre. Projetant ses jambes, secouée d’un spasme violent.
Je continuais à la besogner ainsi alors qu’elle criait à présent sans contrainte.

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