Encore Les Vacances

Si je passais presque toutes les grandes vacances chez ma grand-mère maternelle comme
je l’ai déjà raconté, je passais les vacances de Pâques chez ma grand-mère paternelle.
Toutes les deux étaient veuves et je leur tenais compagnie avec parfois une de mes
cousines.
Ce qui suit s’est passé à Pâques dans le Morvan, dans la ferme où était né mon père.
C’était la sixième année que j’y venais et depuis que j’étais assez grande, mon père
me mettait au train gare de Lyon et j’y allais seule. Après, c’était la petite route
et ensuite le chemin jusqu’à la ferme. Ma cousine Isabelle venait m’attendre et elle
m’accompagnait, mais l’année où se passe ce récit, j’ai eu la surprise de découvrir
qu’elle était enceinte jusqu’aux yeux et je ne le savais pas, pas plus que ma mère.
- T’en fais une tête, m’a dit Isabelle ! T’as jamais vu une femme avec le gros ventre
?
J’en avais connu, des tantes et des voisines qui avaient attendu des s mais
c’était la première de mes cousines, du moins de celles que je fréquentais et
connaissais assez bien pour être au courant. Ma cousine avait changé. Elle avait coupé
ses longs cheveux qui lui arrivaient à la hauteur des fesses et elle se les était fait
friser. Elle était frisée comme un mouton. Elle riait de me voir si étonnée.
- C’est qui le père, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle ne l’avait vu qu’une fois et qu’il était de passage et
qu’elle ne se rappelait que de son prénom, la seule chose qu’il lui ai dite avant de
la sauter. C’est moi qui ai pensé qu’il l’avait sautée et je me rendais bien compte
que j’étais vulgaire de penser ça mais j’étais furieuse qu’Isabelle ait eu un amant,
ne fut-ce que pour un soir et qu’elle se soit retrouvée enceinte sans que je le sache.
Je lui ai demandé si elle avait du lait. Pourquoi je lui avais demandé ça ? Ma cousine
m’a répondu qu’elle n’avait pas cherché à savoir mais qu’elle avait de plus en plus
souvent mal au bout des seins.


- Et ton père ? Et ta mère, lui ai-je ensuite demandé ?
Avec ses parents, elle habitait à côté de la ferme de nos grands-parents. Une petite
maison et ils travaillaient à la ferme sous les ordres du grand-père en attendant… Son
père n’arrêtait jamais de parler de ce qu’il ferait quand il aurait les commandes mais
ma tante lui répondait qu’il n’était pas seul à hériter de la ferme et des terres et
du coup, ça le mettait en colère et il se vengeait en hurlant sur sa fille et pour le
faire taire, son épouse ajoutait qu’il avait été incapable de lui faire un garçon.
J’avais l’impression que c’était leurs seules conversations et j’étais là le jour où
il a répondu qu’il l’avait vue se tricoter avec ses aiguilles. Je n’avais pas compris
sur le coup et j’ai demandé à leur fille et Isabelle m’a répondu que sa mère s’était
faite avorter plusieurs fois.
- Mon père, il m’a traitée de putain et ma mère elle s’est mise à pleurer, m’a répondu
Isabelle !
- Tu ne pouvais pas faire attention, ai-je objecté ?
Ma cousine ne savait même pas ce qu’était une capote et encore moins la pilule.
- Tu veux dire qu’il aurait dû m’enculer, m’a répondu Isabelle ?
J’avais entendu des femmes lors d’une fête qu’elles utilisaient cette méthode pour ne
pas avoir d’ et si je savais déjà ce que ça voulait dire, je pensais que seules
les putains faisaient ça.
- Il me l’a mise dans la bouche et il m’a enculé mais moi, je voulais jouir ! C’était
une bonne occasion d’arrêter de me masturber, a ajouté ma cousine !
C’était la première fois qu’on parlait de masturbation même si elle avait sans doute
deviné que j’aimais le faire tout autant qu’elle aimait le faire elle aussi. Nous
passions tout notre temps, quand j’y étais en vacances chez ces grands-parents, à nous
promener dans les champs et les bois et même à aller à la pêche même si j’avais
horreur de ça, mais ça plaisait à Isabelle de rester plantée sur le bord du canal ou
de la rivière à surveiller le bouchon de sa ligne.

Un jour que nous étions sur le bord du canal, ma cousine avait dit qu’elle avait envie
de pisser. C’était notre truc de parler crûment entre nous parce que devant les
grands-parents on aurait pris une baffe. Isabelle était remontée un peu sur la rive et
je ne l’avais même pas regardée. J’avais ensuite entendu le bruit de sa pisse sur
l’herbe puis plus rien, plus rien que de petits soupirs. Je me suis retournée. Ma
cousine était encore accroupie mais elle avait un bras entre ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu fais, lui ai-je demandé ?
Elle était à peine à cinq mètres derrière moi et je la regardais. Isabelle m’a demandé
de me retourner et j’ai obéi mais j’entendais toujours les soupirs et je me suis
retournée discrètement. Elle était restée accroupie avec son bras entre les genoux et
sa main tout au fond de ses cuisses et les gémissements avaient été remplacés par des
chuchottements et j’entendais des « Oui, oui, oui ! sans fin et je voyais les doigts
qui s’agitaient. Je n’arrivais pas à croire que ma cousine se masturbait. Je me suis
retournée pour ne plus la voir parce que j’avais presque honte mais je me suis
retournée encore vers elle parce que j’étais incapable de me contrôler. Les genoux
étaient complètement ouverts et je voyais tout jusqu’au fond des cuisses, le pouce et
l’index qui s’affairaient sur le clitoris et le majeur qui s’enfonçait dans le vagin.
Isabelle regardait le ciel et j’ai vu le tremblement qui l’a prise.
Elle a retiré sa main et j’ai vu la vulve couverte de plaisir puis ma cousine a baissé
la tête pour regarder le champ de bataille et elle a fait glissé ses doigts sur sa
fente et après elle les a reniflés avant de se relever. Je me suis retournée vers le
canal une nouvelle fois et j’ai attendu et j’ai entendu les pas de ma cousine arriver
près de moi.
- Quoi, m’a-t-elle fait, j’ai bien le droit de pisser !
Ce soir-là, je m’étais masturbée encore plus vigoureusement que je ne le faisais
chaque soir dans ma petite chambre à côté de celle de mes grands-parents et j’ai pensé
à ma cousine et j’ai pensé qu’Isabelle, bien qu’elle n’ait qu’un an de plus que moi,
savait bien mieux se masturber que je ne sachais le faire.

- Est-ce que tu baises, m’a demandé ma cousine ? Maintenant que tu es majeure, tes
parents ne peuvent rien te dire !
Je marchais à côté d’elle et je regardais son ventre de biais et je regardais sa
poitrine aussi.
- Tu as vraiment fait l’amour, ai-je insisté ?
- Bien sûr, m’a répondu Isabelle ! Comment veux-tu qu’il m’ait engrossée ?
Je lui ai ensuite demandé comment ils avaient fait et elle s’est moquée de moi avant
de me répondre qu’ils avaient fait ça comme les chiens.
- Je te ferais voir un livre que j’ai, a encore ajouté ma cousine ! Ça explique
comment il faut faire pour faire vraiment plaisir à son partenaire ! Tu sais, il avait
une grande bite et elle m’arrivati tout au fond !
On a continué à marcher sans rien dire.
- Tu sais, a repris ma cousine, je crois que su que j’étais prise avant qu’il ne s’en
aille !
- Tu ne sais vraiment rien de lui, ai-je protesté ?
Non, rien. Ils s’étaient rencontrés et elle avait eu envie de faire l’amour avec ce
type et le résultat était là.
- Et les grands-parents, qu’est-ce qu’ils pensent, eux, ai-je encore insisté ?
- La même chose, m’a répondu Isabelle ! Ils m’ont dit que le mieux serait que j’aille
faire la putain à la ville !
Nous étions arrivées à la ferme et nous nous sommes séparées en nous promettant de
nous voir le lendemain pour aller faire une promenade ensemble. Quand j’ai tenté de
parler d’Isabelle, je n’ai rencontré aucun écho et je n’en ai plus rien dit. Le
lendemain après-midi, je suis allée me promener dans les champs et les bois avec ma
cousine et nous sommes revenues de notre promenade en longeant le canal. J’ai reconnu
notre petit coin même si la rive s’était un peu éboulée dans l’eau. Nous nous sommes
assises dans l’herbe et nous avons continué à discuter. Il était temps… Je me disais
qu’il était temps mais je ne savais pas de quoi et c’est Isabelle qui sans le vouloir
est venue à mon secours.

- Tu veux voir mon ventre ?
J’ai rougi. Isabelle avait déjà relevé sa robe et j’ai vu son ventre si arrondi. Quand
je lui ai demandé si elle avait déjà vu le médecin, ma cousine m’a raconté qu’elle
n’en avait pas besoin et que sa mère l’aiderait et que ça se passerait tout seul. Je
n’en revenais pas de tant d’assurance. Elle m’a ensuite encouragé à poser la main sur
son ventre. J’ai fait courir ma main sur son ventre et je suis repassée en tous sens
tellement c’était vraiment agréable.
- Si tu avais été un garçon, a poursuivi ma cousine, c’est avec toi que j’aurais fait
l’amour !
Elle s’était penchée en arrière et elle s’appuyait sur son coude, ce qui faisait
encore plus rebondir son ventre et j’avais encore la main sur son ventre quand elle
m’a demandé si j’avais déjà fait l’amour avec une fille.
- Avec une fille, non, lui ai-je répondu ! Et encore moins avec un garçon !
- Tu te masturbes ? Ne ments pas, je le sais, a ajouté ma cousine ! Touches-moi !
- Tu veux que je te touche, lui ai-je demandé ?
- Tu crois que c’est pratique avec ma baudruche, m’a répondu Isabelle ? Fais-ça pour
moi ! J’ai tellement envie de jouir !
Elle a ajouté qu’elle avait attendu ma venue avec impatience. J’avais les doigts sur
son nombril et je m’étais amusée à le titiller du bout de mon index.
- S’il te plaît, m’a supplié ma cousine !
J’ai descendu mes doigts sur son ventre. Elle n’avait pas de culotte et j’ai aussi
découvert que ses poils étaient raides alors que les miens bouclaient du mieux qu’ils
pouvaient.
- Regarde-moi, m’a intimé Isabelle !
Elle a ouvert ses cuisses et mes doigts ont glissé sur sa vulve. Ses lèvres était
humides et chaudes.
- Tu sais, je crois bien que je suis une putain, a-t-elle ajouté… Ah, j’aime ça ! Tu
me crois si je te dis que je me frotte partout, sur le coin d’une table, sur une
poutre dans la grange ! Ah, c’est bien ! Continue ! Va doucement !
J’allais aussi doucement que possible parce qu’avec moi, c’est à chaque fois la course
afin de jouir le plus vite possible.
- Regarde-moi, a insisté ma cousine ! C’est vrai que je suis une putain ?
J’ai essayé de la convaincre que non. Elle tenait mon autre bras tout en me demandant
d’enfoncer mes doigts dans son vagin. Son visage était écarlate et sa bouche grande
ouverte.
- Faut que je baise, se mit-elle à hurler ! Faut que je baise ! Tu veux voir mes
seins ?
Isabelle était fébrile et j’ai arrêté de la caresser pour l’aider à passer sa robe par
dessus sa poitrine et ses seins ont giclé tout à coup avec leurs aréoles immenses et
leurs mamelons plus gros que des dés à coudre.
- Qu’est-ce que tu en penses, a-t-elle ajouté ? Tu peux les téter !
Ma cousine haletait et elle avait du mal à respirer et j’ai baissé la tête et j’ai
embouché son sein droit. Depuis qu’elle m’avait dit qu’elle ne savait pas si elle
avait déjà du lait, je me suis mise à téter furieusement et j’ai récupéré quelques
gouttes.
- Fais-moi jouir, chérie, m’a hurlé Isabelle ! Fais-moi jouir ! J’en peux plus !
J’ai bloqué mes yeux dans ses yeux et j’ai repris mes caresses et j’aurais bien voulu
continuer à téter ma cousine mais je ne pouvais pas cesser de regarder son visage.
- Ah, ça vient, chérie, a-t-elle fini par gémir ! N’arrête pas !
Je n’ai pas arrêté et tout à coup, mes doigts ont été inondés par son plaisir et ma
cousine a éclaté de rire et elle a gémit que c’était bon. J’ai lâché ses yeux et j’ai
penché la tête vers ses cuisses et j’ai vu la vallée profonde qui avait remplacé la
mince fente et le trou du vagin et tout en haut des petites lèvres triomphait le
clitoris.
- Ah, c’est si bon, a continué Isabelle ! J’en avais tant envie !
Elle s’est penchée sur son ventre et elle a regardé le résultat de mon travail avant
de se toucher à son tour du bout de ses doigts.
- Hein, que je ne suis pas une putain, m’a-t-elle ensuite demandé.
Je l’ai rassurée en me penchant sur elle et en l’embrassant sur le front, les cheveux,
les oreilles quand un cri a surgi de l’autre côté du canal :
- Alors, les filles, on se gouine !
Je me suis retournée et j’ai regardée de l’autre côté en même temps qu’Isabelle. Il y
avait un type à cheval sur une bicyclette et il avait sorti sa bite et j’ai compris
qu’il s’était branlé en nous regardant. Ma cousine a repoussé sa robe sur son ventre
et je l’ai aidée à se relever et nous nous sommes enfuies dans le chemin.

- C’est qui ? Tu le connais, ai-je demandé à ma cousine quand nous fûmes éloignées du
canal ?
Elle m’a répondu que c’était le fils Machin, le fils de la grande ferme dont les
parents voulaient racheter les terres de notre grand-père.
- Tu le connais comment, ai-je insisté ? Tu as déjà fait l’amour avec lui ?
Isabelle m’a répondu qu’il aurait bien voulu mais qu’elle n’avait fait l’amour qu’une
seule fois. J’ai ajouté qu’elle aurait mieux fait de le faire avec ce type-là qu’avec
l’autre et elle m’a répondu qu’elle préférait rester célibataire plutôt que de se
marier avec lui.
- Demain, a ajouté Isabelle, je voudrais que tu me fasse un fist et je t’en ferais un
moi aussi !
J’ignorais ce que c’était et ma cousine m’a expliqué et ça m’a paru démoniaque de
faire ça mais elle a ajouté qu’elle avait vu ça dans son livre à secrets et ça m’a
donné envie de le lire à mon tour. En arrivant à la ferme, nous sommes passés chez
elle et comme ses parents n’étaient pas rentrés, elle m’a passé le bouquin et je l’ai
caché dans ma petite culotte puis elle a voulu me faire promette que nous ferions
l’amour tous les jours. C’était la dernière année où je pouvais passer d’aussi longues
vacances parce qu’à la rentrée j’allais entrer dans une école de secrétariat et c’en
serait fini pour moi de l’insouciance.
Une fois dans ma chambre, j’ai caché le livre sous mon matelas et je suis redescendu
voir mes grands-parents dans la cour. Ce soir-là, j’ai feuilleté toutes les pages et
il était deux heures du matin quand j’ai éteint la lumière. Chaque façon de faire
était illustrée par le dessin d’un couple et l’homme avait un sexe aussi grand que son
avant-bras et la femme une vulve qui lui arrivait presque au nombril. J’ai pensé à cet
arbre mort qui était le long d’un ruisseau dans les champs et qu’un artisan habile
avait transformé en sexe lui aussi. Ça avait été un saule et après le tronc qui
montait du sol, il y avait un renflement qui faisait penser aux couilles et le tronc
continuait sur un mètre et un gland avait été sculpté soigneusement et même avec la
petite fente de l’uréthre.
Quand nous sommes repassés devant avec ma cousine, le tronc avait été renversé dans le
fossé mais il ressemblait toujours à une bite et ses couilles. Nous avons essayé de le
redresser mais il n’y avait rien à faire et nous l’avons laissé là puis nous nous
sommes demandé quelle géante pourrait avoir du plaisir avec puis nous avons pressé le
pas pour retourner au bord du canal et quand nous sommes arrivés, le fils de la ferme
voisine était là, avec son vélo appuyé contre un tronc d’arbre.
Il a commencé par nous faire un sourire puis il nous a demandé si nous étions vraiment
des lesbiennes. Il avait l’air de savoir de quoi il parlait et il a fait la grimace
quand Isabelle lui a répondu que si nous en étions lui était un pédé et je me suis
mise à rire mais il nous barrait le chemin. On aurait pu faire demi-tour mais il a
sorti sa bite et j’ai eu l’impression que c’était celle qui était dessiné dans le
livre de ma cousine car elle était si longue qu’elle semblait surnaturelle.
Le type s’est approché de nous et il nous a demandé si on voulait goûter puis il a
ajouté :
- Toi, la pute, a-t-il dit à ma cousine, tu me dégoûte avec ton gros bide !
Et il s’est tourné vers moi et il m’a pris la main pour me la poser sur sa bite qui
était encore flasque et pendait en forme de banane entre les cuisses.
- Tu me suces, a-t-il insisté ? J’ai l’impression que tu ne demandes que ça avec ta
bouche à faire des pipes !
Après, je ne sais plus si c’est lui qui m’a fait agenouiller ou si je suis tombée
toute seule à genoux. Quand j’ai rouvert les yeux, Isabelle était assise sur l’herbe
et ses bras entouraient son gros ventre. J’en avais plein la bouche et la bite
raidissait de plus en plus jusqu’à m’ puis le type a dit que personne ne le
croirait s’il racontait qu’il avait baisé deux femmes au long du canal. Après ça, il
m’a fait sortir mes seins de ma robe et il m’a fait l’amour entre les seins jusqu’à ce
qu’il se mette à crier que ça venait et j’ai pris une giclée de sperme sous le menton
et le reste sur ma poitrine.
Je n’ai compris qu’en écrivant ce récit qu’il avait ajouté que j’étais bonne, preuve
que cette expression se disait déjà à l’époque et en remballant son attirail, il m’a
donné rendez-vous pour le lendemain. Le lendemain, nous étions de retour au bord du
canal bien qu’Isabelle m’ait mise en garde. Le type est arrivé. Le problème était que
je commençais à avoir mes règles et quand le type a vu ça, il s’est tournée vers ma
cousine et elle s’est laissée entraîner dans les bois où je les ai suivis. Elle était
en levrette et le type à genoux derrière elle.
- Je te baise, salope, lui répétait-il !
- Baise-moi, lui répondait ma cousine !
Je les ai regardés s’accoupler puis Isabelle s’est déshabillée complètement et quand
elle s’est à nouveau mise à quatre pattes, son baiseur l’a traitée de truie. Elle lui
a répondu qu’il n’était qu’un verrat. Ma connaissance des animaux de la ferme ne me
permettait pas de tout comprendre. Il s’enfonçait en elle et quand il s’arrêtait, il
lui caressait le ventre et les seins et il lui mettait même les doigts dans la bouche
et visiblement ma cousine aimait ça.
Ils se sont accouplés pendant presqu’une heure et quand le type s’est retiré, le
sperme s’est écoulé du vagin dans l’herbe et ma cousine est restée là, sur le flanc.
Elle semblait incapable de se relever même quand je l’ai aidée puis elle m’a dit qu’il
fallait que je la ramène chez elle. Son baiseur était déjà reparti. J’ai aidé Isabelle
à se relever puis à se rhabiller et nous sommes rentrées tant bien que mal. J’avais
encore à l’oreille ce qu’il avait dit avant de partir, que demain il m’enculerait mais
il n’en a pas eu l’occasion. A peine étions-nous de retour qu’il a fallu appeler une
ambulance et le lendemain quand je suis allée voir Isabelle à la clinique, elle était
seule dans la chambre.
- Je l’ai donné, m’a-t-elle dit en me parlant de son bébé ! Plus jamais je n’en aurai
d’autre, a-t-elle insisté !
Je ne sais pas si elle a tenu parole. Je suis restée deux jours encore chez mes
grands-parents et je suis rentrée chez moi.

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