Vive Les Vacances

Je m’appelle Blandine, j’ai 22 ans et je suis d’après ce que mon entourage dit, très belle. Les hommes se retournent souvent sur moi. Je suis une petite brune, avec de petits seins 80 B et une taille très fine, et de belles petites fesses bombées…

Je suis actuellement en centre de rééducation après un accident à une cheville. J’ai la chance d’être tombé sur une kiné sympa, grande au moins un mètre quatre-vingts, très mince, une belle petite poitrine. Elle a un joli petit cul très agréable à regarder et je pense que c’est une adepte des strings, elle est blonde, des cheveux courts et un grand sourire toujours aux lèvres avec de superbe dents blanches.
Nous avons bien sympathisé et je lui ai fait du gringue pendant un mois, mise à part un sourire je n’ai rien obtenu, si ce n’est qu’elle est mariée avec deux petits bouts de choux.
La dernière semaine, le soir après le repas de 18h00, elle est venue dans ma chambre pour discuter et m’expliquer que par raison déontologique elle ne pouvait pas flirter avec un patient, mais que je lui plaisais beaucoup et que j’avais réveillé en elle un côté obscur qu’elle avait oubliée depuis le lycée. J’étais heureuse de son discours, je lui ai proposé de se revoir en dehors de son boulot et de devenir amie malgré notre différence d’âge : 10 ans, quand même ! Elle m’a souris et m’a dit que c’était ce qu’elle souhaiter aussi.
Toute souriante elle s’est approchée de moi pour me faire la bise et me dire au revoir, j’ai profité de ce moment pour lui déposer un baiser sur les lèvres. Elle a appuyé ses lèvres sur les miennes et nos langues se sont entremêlées, c’était court mais divin. Elle m’a souhaité une bonne nuit et elle est repartie, comme elle était venue. J’ai pensé à elle toute la nuit et je n’ai pas pût m’empêcher de me caresser seule dans mon lit.
Le lendemain lors de ma séance de Kiné, elle m’a proposé de faire les magasins avec elle car elle devait partir en vacance la semaine suivante.

J’ai accepté avec plaisir car cela me permettra de la voir en dehors de son taf.
Le samedi après-midi nous nous sommes retrouvées à Sisteron pour faire les boutiques, elle était dans une petite robe fleurie avec de fines bretelles qui descendait au milieu des cuisses, avec une ouverture boutonnée du bas de la robe jusqu’en haut, adorable. Elle m’a expliqué qu’elle chercher des petites robes pour émoustiller son mari pendant les vacances car depuis son deuxième il n’est plus trop porté sur la bagatelle et ça la démange de plus en plus.
Nous sommes entrées dans une petite boutique déserte où il y avait plein de choix de robes. J’en ai perso choisie deux quand elle, en a pris au moins cinq. Nous nous sommes dirigées vers les cabines d’essayage pour un moment de joie, car c’est toujours agréable d’essayer une nouvelle robe.
Nos cabines étaient face à face et il n’y en avait que deux, ce qui est beaucoup pour un petit magasin. Je ne sais pas si c’est volontaire où pas mais elle a laissé son rideau légèrement entre ouvert, et j’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher de la regarder se déshabiller, je me suis rendu compte qu’elle portait un string dentelle noir et qu’elle avait des fesses adorables. La première robe était une robe bustier, elle a enlevé son soutif et j’ai pu admirer sa magnifique poitrine en poire. Elle a enfilé sa robe, elle s’est retourné et m’a dit « alors petite coquine tu ne devrais pas essayer tes robes au lieu de me mater ». J’ai rougi de mettre fait prendre sur le fait, telle une petite fille qui se fait attr avec la main dans le pot de confiture.
Je lui ai simplement répondu « tu es tellement belle » elle m’a souri et elle s’est mise à se regarder dans le grand miroir qui se trouvait entre les deux cabines. Je lui ai dit : « tu es très belle et très excitante dans cette robe »
Elle a rougi et a haussé les épaules. Je lui ai dit si ce n’était que moi je te sauterais dessus pour te faire l’amour.
Elle s’est retournée et m’a dit « calme toi et essaye tes robes ».

Sans fermer le rideau je me suis déshabillée en la regardant et je me suis retrouvé nue en face d’elle car je ne porte aucun sous-vêtements, il fait trop chaud. Maintenant c’est elle qui me contemplait, rougissant devant ma nudité. Elle m’a retourné le compliment en me disant que j’étais très belle et désirable. Elle me fit la remarque qu’elle adorait mon pubis entièrement rasé et que ça devait être très doux à caresser. Je lui demandais si elle voulait essayer de suite, elle rigola et haussa les épaules. Et elle me dit qu’elle n’oserait jamais se promener nue en ville. Nous avons passé un bon moment à essayer nos robes respectives, à nous admirer nues ou à moitié nue, pour elle, et à la fin je l’ai mise au défi d’enlever son string et de se promener nue sous sa robe, en ville avec moi. Après quelque tergiversation, elle a rigolé et m’a répondu « chiche ». J’ai découvert son sexe, blond, poilu, dessus et entrejambe, je lui ai fait remarquer que ça mériterait un bon débroussaillage et elle m’a dit qu’elle avait rendez-vous avec l’esthéticienne le mercredi suivant.
Nous avons acheté deux robes pour moi et trois pour elle dont une noire identique, très courte petit décolleté hyper sexy.
Nous sommes partie continuer nos emplettes, et nous nous sommes arrêtées pour acheter des chaussures. C’est au moment où elle s’est assise qu’elle s’est rappelée qu’elle ne portait plus de culotte. Elle s’est mise à rougir, intensément. Le vendeur se demandait ce qu’il se passer, il s’est accroupi devant elle, lui a fait essayer une puis sa deuxième chaussure et là, lorsqu’il lui a soulevé légèrement la jambe pour passer la chaussure, il n’a pu s’empêcher de regarder son entre jambe est a admiré son sexe nu face à lui. Il en a rougit, alors qu’elle s’empressait de serrer ses cuisses. Nous avons continué à pied en déambuler dans les rues à la recherche d’habits sexy et improbables.
J’ai passé l’Après-midi à la complimenter, lui caresser le bras, la main, la prendre par la taille, lui sourire le plus souvent, j’ai tout fait pour l’excitée.

Au moment de notre séparation je lui ai proposé de venir en boîte avec moi le soir pour se défouler après une semaine bien remplie, elle m’a répondu :
« Avec mes s ça sera compliqué, mais je t’appelle si jamais je peux me libérer ».
Deux heures après elle m’appelait pour me dire que son mari gardait les s et qu’on allait pouvoir s’amuser.

On a décidé de mettre nos jolies robes noires achetés l’après-midi. Elle vient me chercher dans sa jolie Mini rouge avec le toit blanc. Lorsque je m’approche de la voiture je m’aperçois que sa robe monte haut et que si on ne met rien dessous on nous verra la foufoune.
Notre arrivée a était remarqué par les nombreux jeunes hommes en rut devant et dans la boite de nuit. Nous avons dansé, au milieu de la piste, et le contraste de la blonde et la brune a attiré tous les beaux males.
Après un long moment de danse nous sommes allées boire un coup, ignorant au passage tous les hommes qui nous invitaient sans cesse. Puis après avoir bu deux mojito, nous avons pris la direction des banquettes avec le troisième en main. Nous avons trouvés place dans un canapé un peu éloigné de la piste dans une légère pénombre, nous étions entourées de jeunes gens qui se bécotaient, voire plus.
Elle est si belle et provocante dans sa robe sexy qui semblait plus courte encore que la mienne. Son envie de moi était puissante. Mon envie d’elle aussi, je n'ai pas résisté longtemps... j'ai cédé à la tentation... Nous nous sommes embrassées, puis nos langues se sont entremêlées, ça a duré un moment puis j’ai osé lui caresser un sein, elle s’est laissé faire, puis ma main est descendu, a glissé sur sa robe, puis est arrivée sur ses cuisses entièrement nue, ma main a câliner l’intérieur de sa cuisse ce qui lui a fait les écarter. J’ai glissé ma main dans son entrejambe et j’ai commencé à lui titiller le bouton au-dessus du string. Elle gémissait de plaisir.
Mon doigt est passé sous le tissus, pendant que mon majeur entré dans sa grotte, mon pouce lui agacé le clito.
Ma caresse s’accélérait, elle gigotait sur son fauteuil, elle me laissait faire. Puis son plaisir fût à la hauteur de ma longue attente. Elle a eu un gros spasme et une intense jouissance, celle d’une femme oubliée par son plaisir charnel.
J’en ai profité pour lui enlever son string, car je voulais qu’elle soit libre, et je voulais pouvoir la pénétré où et quand je voulais.
Elle me remercia dix fois de cette caresse, et son regard se fixa dans mes yeux et elle me dit à toi ma belle. Elle me caressa les deux seins, elle fit descendre ma robe et ma poitrine se trouvait nue à la vue de tous, heureusement qu’il faisait sombre. Une de ses mains vint me caresser les jambes et elle me chuchota à l’oreille :
« Pas chiche d’enlever ton string »
Ni une ni deux je soulevais mes fesses et j’enlevais mon string devant tout le monde, j’en avais tellement envie. J’écartais mes cuisses et sa main venait prendre possession de ma chatte, elle flattait mon clito tout en me pénétrant avec deux de ses doigts, une experte, je pense qu’elle devait s’astiquer souvent, comme moi d’ailleurs. Sa bouche lâchait mes lèvres pour prendre mon téton qui était déjà en érection, puis elle descendit, se mis entre mes jambes et commença à me lécher le bouton. Elle la femme prude de la boutique se lâchait complètement.
Sa caresse était bonne, elle alterné la succion et le léchage, c’était très doux et en même très rapide et saccadé. J’ai joui rapidement dans sa bouche.
Dans cette boîte de nuit, à la vue de tous, elle me fît succomber, je fus sa première expérience...
Alors qu’on se bécotait gentiment, deux jeunes hommes, nous ont apportés un mojito en nous disant qu’avec toutes ces câlineries on devait avoir soif. Ils se sont installés de part et d’autre, nous entourant tel du jambon entre deux tranches de pain. Ils étaient sympas et souriants. Alors qu’ils nous chuchotaient des propos doux et un peu salace aux oreilles j’ai entendu ma voisine dire, oui c’est vrai, mais alors vite fait sur le parking. Elle me prit la main et m’entraina dehors, je ne savais pas du tout ce qu’ils s’étaient dit. Les deux comparses nous suivaient de pré.
Nous avons pris la direction de sa voiture qui était au fond du parking, elle s’est retournée et à dit au premier jeune homme, tu as un préservatif ? Il sortit le sachet de sa poche, pendant qu’elle remontait sa robe sur la taille, elle se penchait en avant et il a commencé à la prendre en levrette. Excité par la situation, j’ai dégrafé le pantalon du deuxième larron, je me suis agenouillée devant lui et je lui ai tiré une pipe. Les deux était tellement excité que ça n’a pas duré longtemps. Tout penaud ils ont remontés leur pantalon, ils nous ont invité à boire un coup, mais nous avons décliné l’invitation et ils sont repartis aussi vite fait que ce qu’ils ont joui. Elle m’a avoué qu’elle avait eu besoin d’une queue et de se faire ramoner la chatte.
Elle m’a raccompagné à la maison et après l’échange d’un très long baiser, nous nous sommes quittés.
Le lendemain elle m’a appelé et m’a proposé de partir en vacance avec son mari et ses s, ils avaient loué une villa avec piscine à Sainte Maxime….
La semaine a était longue et je me languissais de les rejoindre pour le départ. Nous sommes partis avec leur Espace, la voiture était assez grande pour loger tout le monde, sauf que je me suis retrouvé au milieu et que ce n’est pas la plus confortable. Bien sûr on a eu droit aux sempiternels bouchons, mais pourquoi tout le monde part le même jour ? Enfin je me suis aperçu que pendant le voyage, son mari matait en douce mon entrejambe dans le rétro pour les s, heureusement que j’avais mis un short pour les voyage.
Enfin nous sommes arrivés, superbe maison en milieu de colline face à la bais de ST Tropez, une merveille de bicoque et de vue. Grande maison chacun sa chambre, toutes équipées de douche et sanitaire, magnifique. Ni une ni deux j’ai sauté dans mon maillot, une pièce et j’ai sauté dans la piscine. Les deux s mon rejoints pendant que les parents défaisaient les bagages. Ils sont venus tous les deux nous rejoindre par la suite.
Monsieur m’a expliqué que pour lui les vacances c’était le golf et la pêche sur son bateau, il n’y a que ça pour me détendre. Je pensais qu’une petite pipe ou une petite levrette à sa femme aurait peut-être le même effet, ça m’a fait sourire. Elle me demanda pourquoi je souriais bêtement, je lui disais que je pensais à quelque chose de drôle.
Elle fit souper les s et les coucha rapidement car ils étaient cuits.
Le soir pendant le repas, je m’étais changée j’avais mis une minijupe et un teeshirt échancré sans soutif, pour exciter mes hôtes, elle m'a mise au défi. Elle s’approcha de moi et me chuchota à l’oreille.
Elle m'a demandé d'aller aux toilettes, retiré mon string, de venir me rasseoir face à elle et me caresser jusqu'à l'orgasme.
La gêne et la maladresse ont laissé place à une extrême excitation. Monsieur était sur son smartphone et ne levait jamais la tête.
Une fois revenue, je me suis assise face à elle, j’ai écarté mes cuisses et j’ai commencé à me caresser. Je la fixais du regard et elle me souriait. La pression devenait intense, son mari à trois mètres de moi ne pipait pas mot de ce qui se passait. J’ai accéléré mes caresses, fermé les yeux et j'ai joui.
Elle s’est rapproché de moi, elle a glissé sa main sous ma robe, ma gentiment caresser mon clito, elle m’a enlevé mon teeshirt, puis a commencé à me lécher le corps, puis à descendre sur mon ventre, puis mon pubis et elle s’est glissé entre mes jambes pour me lécher. J’ai gémis à cause de cette succion tellement pleine de douceur et d’érotisme. Je me suis offerte à elle.
Son homme est rentré dans le jeu, il a levé la tête, et à regarder sa femme me lécher le minou, ses yeux sortaient de ses orbites, il était subjugué de voir sa femme en léché une autre. Sa femme prenait autant de plaisir qu’elle m’en donnait. Il s’est levé, à baisser son short et son caleçon, sa queue est apparu tendu comme un arc, il s’est approché de moi, je ne savais pas si je devais, ou pas, prendre cette queue qui était maintenant à dix centimètres de mon visage. L’excitation étant à son comble j’ai joui comme une folle dans sa bouche, une vrai fontaine à débordement, elle n’en croyait pas ses yeux. Elle est sortie de dessous la table, elle a enlevé ses habits, elle s’est assise dans un fauteuil, a écarté les cuisses et m’a inviter à lui rendre la pareille. Je me suis levé, j’ai pris un coussin pour mettre sous mes genoux et j’ai commencé à la laper.
Elle a regardé son mari, et lui a dit ; « vue que tu n’as pas arrêté de lui mater sa chatte pendant le trajet maintenant tu peux l’honorer. Mais ne jouit pas car après il faudra me prendre aussi».
Il s’est agenouillé derrière moi et il a commencé un doux aller-retour. Je n’avais pas remarqué mais il avait un sacré engin, surtout très large, il me remplissait bien. Pendant que je la doigté et lui sucer le clito il me prenait en levrette dans un rythme lent qui faisait que sa bite venait frapper le fond de mon vagin. Elle a joui dans ma bouche, elle a serré les cuisses si fort que j’avais du mal a respiré, lorsqu’elle a desserré son étreinte j’ai joui à mon tour.
Elle s’est redressé, a demander à son mari de s’allonger et elle est venue s’empaler sur sa queue. Son mari m’a demandé de venir m’accroupir sur lui pour qu’il me lèche mon minou.
Nous étions face à face, nous nous sommes caressées les seins et le clito et embrassées à pleine bouche, le résultat n’a pas était long à venir nous avons encore joui ensemble et cette fois ci elle a était une vrai fontaine.
Les vacances commençaient bien…

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