Judith La Recrue

Travaillant dans un métier de service, cela faisait 4 années maintenant que j’avais
rejoint une agence en Ile de France.
Je passais mes semaines à Paris et je rejoignais mon épouse le W.E. en province.
Les premières années, les retrouvailles de fin de semaine étaient autant d’occasion de
partager des moments de tendresse et d’intimité relativement torrides avec ma femme,
mais au fil du temps la fatigue accumulée au cours des voyages émoussa un peu le
désir.
Ayant dû faire face à un départ dans son équipe, ma directrice commerciale recruta en
mutation, Judith pour l’assister en début d’année 2011.
Ma directrice commerciale partit en congé maternité au milieu de l’été et c’est tout
naturellement à cette jolie blonde, qui avait déjà travaillé dans une autre filiale
du groupe, que je demandais d’assurer l’intérim.
Elle rejoint le Comité de Direction et au fur et à mesure où le temps s’écoulait, les
Monsieur furent remplacés par mon Prénom et une certaine proximité s’installa.
Elle ne rentrait jamais dans mon bureau pour me saluer, sans appuyer son bonjour d’un
sourire gourmand et sans abandonner ma main avec un mouvement de retrait qui
ressemblait quasiment à une caresse et elle ne me croisait jamais dans certains
couloirs exigus de l’agence sans appuyer ostensiblement sa poitrine sur la partie de
mon corps en contact à ce moment là.
Alors que j’avais la tête accaparée par les objectifs à réaliser, je ne répondais pas
à ces quasis avances et elle décida de passer à la vitesse supérieure.
La fin d’année s’était clôturée admirablement et le budget avait été atteint, je
décidais d’emmener mon Comité de Direction pour un Séminaire de lancement de la
nouvelle année et nous nous retrouvâmes tous dans un hôtel 4* équipé d’un Spa, et je
pensais ainsi que cette équipe de 8 personnes pourrait allier travail et plaisir
pendant ces 4 journées de réunion……je ne croyais pas si bien faire.


Après une première journée à faire le bilan de l’année écoulée, nous prîmes un dîner
convivial et nous nous quittâmes pour une nuit réparatrice.
Alors que je m’apprêtais à entrer dans ma chambre, un message apparut sur l’écran de
mon portable :
-« Je suis chaude aussi à l’intérieur, voulez-vous en profiter ?………Judith »
Regardant un peu gêné autour de moi, je répondis :
- « Il faut voir…je suis bien tenté »
Immédiatement la réponse fusa
- « J’arrive, quel numéro votre chambre ? »
- …..« 368 ! »
Deux minutes, à peine et Judith écrasait à nouveau sa généreuse poitrine sur ma
cravate, s’emparait de ma bouche et dégrafait aussi bien sa jupe que mon pantalon.
J’étais bouche bée, et alors qu’elle retirait tous ses vêtements, il ne resta plus
qu’un soutien-gorge et qu’un string parfait qui me fit, une fois enlevé, découvrir un
sexe de blonde, ce que je n’avais jamais eu l’occasion d’admirer auparavant.
Ces petites lèvres roses parfaitement dessinées, encadrées d’une jolie touffe de poils
dans lesquels je passais la main, furent rapidement délaissées au profit des deux
bombes qu’elle fît apparaître quand je fis sauter la fermeture de son soutien gorge.
Je commençais toutefois par masser avec le pouce la zone, où son petit bouton
commençait à grossir, et incérait deux puis trois doigts dans une grotte aussi
lubrifiée que désireuse d’être visitée.
Elle me fit allonger sur le lit, s’installa tête bêche sur moi, plaquant son sexe sur
ma bouche et englobant le mien avec un appétit d’experte tout en massant mes
testicules et en imprimant des va et vient gourmand sur ma bite dressée et prête à
rendre l’âme à tout moment. Je ne réalisais pas ce qui m’arrivait, mais cela
m’arrivait !
Je pris pour ma part ces deux magnifiques fesses dans mes deux mains et écartant ces
deux globes bien fermes, je me mis à masser doucement, avec le majeur légèrement
lubrifié, ce petit anneau qui s’entrouvrait peu à peu et qu’elle ne défendait à priori
absolument pas.

Jugeant que mon érection lui convenait, elle stoppa les réjouissances et se
retournant, elle me dit sans détour :
« Je vais t’épuiser et tu ne pourras plus te passer de moi »
Ce positionnant quasiment assise sur moi, comme si elle allait uriner, elle s’empara
de mon sexe dressé et me chevaucha comme une diablesse.
Je sentais sa chatte tout lubrifiée taper contre mon ventre et j’entendais ces petits
bruits de succion que le frottement de nos deux organes produisait.
Qu’il était doux de se faire baiser, qu’elle était douce malgré sa fougue.
Après 2 minutes dans cette position, je sentis son sexe se contracter et elle partit
dans un orgasme tout en soubresauts qui semblait sincère.
Etonnamment, je n’avais pas joui, mais j’avais la bite toute dressée et je décidais de
reprendre « la main » et de continuer là ou mon majeur avait commencé la découverte.
Je la repositionnai lentement sur le dos, l’approchai au bord du lit et soulevai ces
chambres tout en les écartant.
Je découvris ce petit anus qui avait été une fois dilaté et positionnait ma bite au
bord du précipice.
Qu’il fut doux de rentrer entre ses fesses et qu’il fut agréable d’imprimer des
mouvements réguliers en tapant en ses cuisses à chaque fois que mon sexe s’enfonçait
entièrement.
Elle râlait et j’accompagnais ses râles en faisant se dresser entre mes doigts ce gros
clitoris qui sortait légèrement de son logement comme s’il voulait prouver qu’il
pouvait rivaliser avec ma bite.
Comme je m’apprêtai à jouir, je sentis à nouveau cette petite contraction qui
annonçait chez elle un orgasme imminent, et je parti en premier, en laissant s’écouler
de longs jets de sperme dans son conduit anal, ce qui déclencha semble-t-il chez elle,
une deuxième vague de plaisir sans limites.
J’étais fourbu, elle avait un sourire carnassier….elle souhaitait que la nuit soit
longue, je n’étais pas sûr de pouvoir suivre, mais les images de notre dernière
étreinte laissait augurer de jeux d’adultes qui pouvaient être très intéressants….
et
de vrais découvertes pour moi.

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