La Rechute

Mon homme m’a donné la liberté de faire l’amour, ou plutôt d’avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes, soit en club, soit les recevant à la maison. Il aime me voir jouir sous leurs assauts, le plus souvent en étant voyeur, mais toujours me prenant ensuite fougueusement ; j’avais alors ainsi la possibilité de satisfaire ma libido ; sans être nymphomane, j’avais cependant de gros besoin et cette situation nous convenait pleinement tous les deux, lui candauliste, moi pleinement comblée.
Depuis quelques mois la situation a évolué ; il me fallait trouver une solution. En effet suite à un traitement médical, il a moins de besoin, et même s’il me fait merveillement jouir une à deux fois par semaine, cela ne me suffit pas ; par comble de malheur, en raison du covid, la majorité des clubs sont fermés, et il est plus difficile de trouver des contacts sur les sites libertins, ce qui se comprend. A son insu, il y a trois ans j’avais eu un amant, pour le fun, le plaisir d’appartenir à un autre, mais quand il l’a su, cela a failli remettre en question notre couple ; il a fallu beaucoup de temps et de tolérance pour jean, pour que notre vie à la fois familiale ou libertine reprenne le bon chemin ; je lui en suis très reconnaissante ; je l’aime passionnément et je n’ai aucune envie de recommencer, malgré ma frustration actuelle. Il en est conscient, sans pour cela en trouver une solution.
Lors d’un stage de formation, il m’était arrivé un petit accident vertébral et grâce au kiné de l’établissement, j’avais non seulement été soulagé, mais aussi comblée, car il avait su me satisfaire pleinement. Par la suite, je l’avais revu une seconde fois, et à nouveau, la séance s’était terminée par une possession puissante de sa part. A chaque fois, jean en avait été informé, et il m’avait prouvé son plaisir en me possédant à son tour alors que je lui racontais mon aventure. Par la suite, je ne l’ai jamais revu.
En consultant les annonces sur un site bien connu, sans grand espoir, j’ai reconnu son assistant et après quelques contacts téléphoniques, jean étant au courant, je l’ai rencontré dans un bar pour faire plus connaissance.

Si le feeling n’a pas été au rendez-vous, cela m’a permis d’avoir des nouvelles de son patron et de savoir qu’il avait un très bon souvenir de moi, ce qui fait toujours plaisir et que sans aucun doute cela lui plairait de me revoir.
Lorsque le soir j’ai raconté ma déconvenue avec l’assistant, tout en soulignant l’anecdocte du kiné, jean m’a proposé de le rencontrer, si j’avais envie de me faire prendre par lui. J’avoue que le souvenir de ses possessions puissantes et performantes a vite eu raison de mes réticences, ne voulant pas reprovoquer un problème. D’autant plus que jean m’y a encouragé, tout en me rappelant nos conventions.
Alors que jean était resté à La Rochelle, j’ai repris contact avec lui et sans aucune hésitation, il m’a invité le soir même à diner ; petit repas dans une auberge un peu retirée, où il lui était possible de me caresser pendant le repas, d’autant plus que ce jour, je n’avais en tout et pour tout qu’un chemisier transparent et une jupe portefeuille, sans string, tellement j’étais excitée de le retrouver. Pendant le repas, sans aucun doute le serveur a profité de la vue de mon sein sorti du corsage, mais aussi de ma petite chatte car marc ne se gênait pas d’ouvrir les pans de ma jupe, dévoilant ainsi la vue sur mon intimité ; et la marque de la bosse dans son pantalon en était la preuve, ainsi d’ailleurs que ses fréquentes venues auprès de nous pour savoir si tout allait bien. Alors que le repas se terminait, le serveur nous a offert un café ; nous étions à l’écart et la salle était pratiquement déserte ; sur l’invitation de marc, il s’est assis avec nous, profitant sans vergogne du spectacle de Marc me caressant la chatte, enfonçant deux doigts puis les ressortant pour lui montrer ma cyprine ; il est vrai que très certainement j’ai taché le siège, tellement mon excitation était grande
Tout en réglant l’addition, marc l’a invité à nous rejoindre à la voiture ; en y arrivant, il m’a plaqué contre le capot et retirant ma jupe, il m’a offert au serveur, qui trop content de l’aubaine, m’a percuté la chatte, le pantalon sur les chevilles, par son sexe non seulement bien bandé, mais aussi assez épais ; à chaque coup de butoir, son vit me dilatait les parois et finissait contre le fond de ma matrice ; malheureusement sans aucun doute trop excité par l’occasion de ce faire une petite salope , comme m’appelait marc, il n’a pas tardé à jouir, me remplissant le ventre de sa semence, avant que j’ai pu le retenir.
Mais ma jouissance était là, étouffée par la main de mon pourfendeur et quand il s’est retiré, un mélange de nos deux jouissances s’est écoulé le long de mes cuisses. Alors que je voulais m’essuyer, Marc m’a retenu :
« Je veux que tu restes ainsi jusqu’à chez toi »
A mon arrivée à la maison, j’ai appelé jean, lui racontant la soirée, en omettant de lui dire qu’il était encore avec moi, voulant que je passe la nuit avec lui. Je savais que si j’acceptais, je ne pourrais plus faire machine arrière et qu’il me serait difficile de me passer de lui ; le souvenir de ses possessions puissantes et nombreuses étaient dans ma tête et mon ventre réclamait sa queue, épaisse et performante. J’avais envie qu’à nouveau il me féconde, même si je devais devenir sa maitresse, avec tous les dangers que cela comportait.
A peine arrivés à la maison, je me suis retrouvée nue, penchée sur le bras du canapé, sa queue dans mon ventre ; pas besoin de préliminaire, ma chatte, béante a englouti son chibre, subissant par la suite ses puissants et nombreux coups de butoirs. Mon vagin, dilaté, subissant les à-coups, ne cessait de couler, tant mon plaisir déclenchait mes sécrétions de femme fontaine. Son gland venait frapper le fond de ma matrice, provoquant à chaque fois une onde puissante dans mon ventre ; plusieurs fois ainsi il m’a fait jouir, se retirant quand son plaisir était trop fort pour éviter d’éjaculer, avant de me pourfendre à nouveau, jusqu’à ce qu’il me remplisse de son jus, de puissants et nombreux jets me fécondant pour mon plus grand plaisir.
Une bonne partie de la nuit, je lui ai appartenue, non seulement par des possessions torrides, mais aussi alors qu’il récupérait, par des cunis qui me transportaient à chaque fois. Ma bouche et ma langue se chargeaient de lui redonner vigueur, sucette que j’accompagnais de visite dans son fondement, ce qui le faisait rapidement rebander. Une dernière fois, alors que le jour se levait, il m’a possédée sur la table de la cuisse, relevant mes jambes pour me pénétrer, mais surtout pour avoir accès à mon petit trou, me le dilatant avec ma semence, avant de me sodomiser d’une seule poussée ; la douleur m’a transpercée, avant petit à petit de s’estomper, puis finalement cette sodomie, la première avec lui, a déclenché une nouvelle jouissance, ma chatte l’aspergeant d’un jet traduisant mon plaisir et lui inondant le ventre.
Avant de partir il m’a dit :
« Je sais que tu as envie de ma queue ; je veux que tu m’appartiennes, que tu sois ma maitresse, ma petite salope ; arranges toi avec ton homme » puis me laissant avec mes envies et mes craintes, il s’en est allé.
Tôt le matin jean m’a appellé :
« Tu as passé une bonne nuit ? (Silence de ma part). Je suppose qu’il a su te faire jouir plusieurs fois ; rassures toi, je savais que tu lui appartiendrais, mais j’aurais aimé que tu me dises hier soir qu’il passait la nuit chez nous, car quand tu m’as appelé de la maison, je suppose que tu le savais déjà »
J’avoue que je ne savais plus quoi dire ; à nouveau, il me prenait en faute, mais je ne pouvais lui dire que j’avis besoin de le sentir en moi, de lui appartenir totalement, sans qu’il le sache, d’être sa maitresse, car c’était le cas. Je savais que j’allais lui appartenir totalement me pliant à toutes ses envies, tout en sachant que jean, s’il n’en avait pas la preuve, saurait que je le trompais.
A son retour, je lui ai raconté ma nuit, sans rien oublier de mon plaisir, de mes jouissances à répétitions, de ses possessions puissantes et performantes, en omettant cependant de lui dire qu’il m’avait sodomiser, ce que je lui refuse, mais surtout en me taisant sur mes envies de le revoir et de lui appartenir. cependant, une phrase m’a laissé un peu perplexe :
« je suis heureux que tu te sois fait plaisir, avec cependant quelques soucis pour l’avenir ».
mais c’est une autre histoire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!