Un Trio

Ceci est un récit inspiré par l'aventure que m'a raconté un ami :

Une copine de ma sœur

Nul doute que pour me rendre service, ma sœur aurait bien voulu que je sorte avec sa
meilleure copine mais je n’étais pas très enthousiaste. Non pas que cette fille était
moche, au contraire, elle était belle avec son visage magnifique et ses longs cheveux
dont elle faisait souvent un chignon, mais je la trouvais un peu trop grosse, presque
obèse. Une obèse aux proportions magnifiques.
J’avais dansé avec elle lors que la soirée d’anniversaire de ma sœur et j’avais eu
l’impression de danser avec un gros bonbon rose. Elle était grosse mais très bien
proportionnée et je m’étais même surpris à penser à elle en me masturbant, puis un
soir que j’avais invité ma sœur chez moi, elle était venue avec sa copine. Ça sentait
le complot. Tout à coup, je me suis retrouvé seul avec Sarah. Ma sœur avait disparu je
ne sais où dans l’appartement.
- Tu ne veux pas essayer de m’embrasser, m’a demandé Sarah ?
Elle était assise à côté de moi. Je réalisais qu’elle avait coupé ses cheveux et
qu’elle les avait fait friser et que ça lui allait très bien.
- Je te propose, a insisté la copine de ma sœur ! Tu n’as qu’à essayer, je ne te force
à rien !
Elle sentait bon et maintenant nos visage n’étaient plus très loin. J’ai tourné la
tête vers elle et ses lèvres se sont collées sur les miennes et si j’avais connu
plusieurs filles, c’était la première fois que je trouvais aussi agréable de les
embrasser et nous avons continué à nous embrasser pendant un bon moment jusqu’à ce
qu’on se décolle.
- Tu veux pas qu’on fasse l’amour, a insisté Sarah ? J’ai envie de toi ! Passe ta main
sous ma robe !
J’ai passé la main sous sa robe.
- Non, pas maintenant, m’a dit la copine de ma sœur quand j’ai touché son minou !
Touche-moi les seins !
J’ai glissé la main sur son ventre plat puis je suis arrivé sous sa poitrine.


- Retire-moi mon soutien-gorge, a insisté Sarah !
Elle s’est tournée face à moi et j’ai glissé les mains de chaque côté de son torse
jusqu’à pouvoir dégrafer le soutif puis j’ai ramené une main sur son ventre et j’ai
rattaqué l’ascension jusqu’à arriver au soutif qui s’est escamoté tout seul.
- Si tu ne veux pas, ça ne fait rien, a ajouté l’amie de ma sœur !
Se doutait-elle que j’avais déjà une sacré trique ? Et ma sœur qui avait disparu !
J’ai fait monter mes mains et mes doigts étaient sous les seins, écrasés par leur
poids. De sacré gros nichons dont j’avais longtemps essayé de deviner la forme et ils
étaient gros et pointus et si lourds qu’ils ne semblaient plus tenir à son buste que
par une infime partie.
- Ça te plaît, m’a demandé Sarah ?
Ça me plaisait beaucoup mais je ne pouvais pas le lui dire et pourtant je pétrissais
sa poitrine sans qu’elle ne se plaigne et c’est tout juste si elle a poussé un cri
quand je lui ai tortillé les mamelons.
- Tu bandes ?
Je ne m’étais même pas rendu compte que la femme avait posé ses doigts sur mon
pantalon et qu’elle dézippait ma braguette pour m’extraire la bite et les couilles
puis elle m’a branlé tout doucement avant de me dire que j’avais une belle bite.
- Tu veux me prendre, maintenant, m’a demandé Sarah ?
Elle m’avait parlé tout doucement, à mi-voix puis elle a ajouté que je pouvais la
toucher maintenant et j’ai descendu la main sur son ventre. Je n’avais pas vu tout-à-
l’heure qu’elle n’avait plus qu’un minuscule triangle de poils sur le ventre. Sa vulve
était trempée de désir et ses petites lèvres gorgées de sang. J’ai branlé son clitoris
puis j’ai enfoncé un doigt dans son vagin et elle m’a dit que je pouvais faire ce que
je voulais mais avant que je je puisse répondre, Sarah m’avait demandé de la prendre.
- Baise-moi, a-t-elle ajouté ! Il y a si longtemps que j’ai envie que tu me baises !
Je lui ai demandé si elle voulait me sucer et elle m’a traité de cochon mais elle
s’est quand même penchée sur ma bite avant de l’engloutir au fond de sa bouche.
Je
n’avais jamais été aussi bien sucé mais ça n’a duré que quelques minutes avant que
Sarah ne me suggère de m’allonger sur le tapis.
Je me suis allongé et elle s’est assise sur moi puis elle s’est empalée sur ma bite et
après ça elle s’est penchée sur moi pour me balancer ses seins sur le visage et quand
elle s’est calmée, elle m’a demandé si j’aimais sa poitrine. Je lui ai répondu que je
la détestais et pour me faire taire, elle m’a écrasé un sein sur le visage et j’ai
failli .
- C’est moi qui commande, a-t-elle ajouté quand elle m’a libéré ! Et chaque fois que
tu seras méchant avec moi, je te ferais manger ma poitrine !
Elle a agrippé ses mains sur mes bras et elle a commencé à me pomper. Je n’avais
jamais rencontré de chatte aussi gourmande qui m’aspirait la bite aussi énergiquement
et qui retroussait aussi bien mon prépuce. J’étais près à capituler et quand j’ai dit
que j’étais prêt à éjaculé, Sarah s’est arrêtée de pomper et ma bite s’est calmée.
- J’veux qu’on jouisse ensemble, a-t-elle encore ajouté ! Je ferais tout ce que tu
voudras si tu me fais jouir avec toi !
J’ai profité de la pause pour caresser ses seins et pour discuter. Sarah tenait
absolument à savoir si je ne trouvais pas ses seins trop gros, si ses aréoles
n’étaient pas trop sombres et trop larges.
- Attends, a-t-elle fini par me dire, je vais me mettre sur toi !
Elle s’est retirée de mon pal et elle m’a tourné le dos avant de s’asseoir sur mon
visage pour que j’ai sa chatte juste sur ma bouche. Ça je l’avais déjà fait même si
les filles n’avaient pas aimé et l’une d’entre elles m’avait même expliqué qu’il n’y
avait que les femmes pour bien lécher les femmes, mais Sarah semblait bien aimer ce
que je lui faisais.
C’était juste à la bonne distance pour que je puisse la fourrer avec ma langue et elle
semblait l’apprécier si bien qu’elle a fini par me dire de continuer et de la faire
jouir.
Je sentais bien qu’elle se caressait les seins et qu’elle les soulevait en
tirant sur les mamelons pour mieux les relâcher. Ils claquaient sur ses côtes puis
elle s’est mise à hurler de ne pas arrêter et j’ai bien vu qu’elle avait eu un orgasme
puis elle est restée sans bouger, sa chatte à quelques centimètres de mes lèvres et
son clitoris raidi. Sarah s’est mise à dire qu’elle voulait un mari aussi gentil que
moi qui serait un bon amant, qu’elle ne s’opposerait pas à ce qu’il ma mette enceinte.
- T’as déjà fait l’amour avec une femme enceinte, a-t-elle fini par me demander ?
Bien sûr, ça ne m’était pas encore arrivé. Elle m’a encore demandé si elle me
plaisait. Je ne savais trop quoi répondre. Bien sûr, c’était tentant d’avoir cette
fille dans mon lit tous les soirs mais j’avais peur qu’elle ne grossisse encore plus.
Il y avait bien ses seins. J’avais toujours aimé les gros seins, peut-être parce que
ma mère n’avait pas cessé de me dire qu’elle n’avait pu m’allaiter et qu’elle avait dû
embaucher une nourrice. Elle ajoutait toujours que je tétais comme un goulu et bien
sûr, elle racontait ça à mes tantes quand elles étaient enceintes et j’avais honte.
- Prends-moi, maintenant, m’a dit Sarah en se relevant !
Elle s’est penchée sur la table du salon et je n’ai pas eu besoin de dessin pour
comprendre ce que je devais faire. Je me suis mis derrière elle.
- Tu veux que je t’encule, lui ai-je demandé quand j’ai vu la parfaite rosace de son
anus ?
Elle n’a pas voulu au début, mais elle a fini par me dire que je pouvais essayer à
condition de ne pas lui faire du mal mais ce ne fut pas facile de le pénétrer parce
qu’elle devait encore être vierge de ce côté-là. J’ai juste enfoncé mon gland puis je
me suis retiré en lui disant qu’on essaierait un peu plus à chaque fois qu’on ferait
l’amour et ça a semblé lui convenir. Ne restait plus que sa chatte.

- Ah, baise-moi, m’a-t-elle supplié quand j’ai été bien au fond !
J’ai attrapé les hanches de Sarah et j’ai commencé à limer. Ses seins étaient coincés
par le bord de la table et à chacune de mes poussées, ils s’allongeaient un peu plus
et j’ai limé pendant dix bonnes minutes jusqu’à ce que j’avertisse ma copine que
j’allais jouir. Elle m’a dit que ça venait pour elle aussi et j’ai insisté. J’ai eu
l’impression qu’on m’arrachait les couilles tellement la dose était forte.
- T’es content, m’a dit Sarah en se redressant. Elle a mis une main entre ses cuisses.
Elle a ajouté que j’étais un cochon puis elle m’a demandé quand on recommencerait.
Je n’en pouvais plus. Je l’ai accompagnée jusqu’à la salle de bains puis je lui ai
donné un gant et une serviette et j’allais sortir quand elle m’a dit d’attendre. Elle
tenait absolument à me laver la bite et les couilles et quand ça été propre, elle m’a
dit que je pouvais sortir. Je l’ai laissée seule. L’eau a coulé un bon moment. J’étais
allé rechercher ses vêtements mais Sarah m’a dit que c’était ma sœur qui l’a
raccompagnait.
Tiens, celle-là, où était-elle ?
J’ai poussé la porte de la chambre. Ma sœur dormait sur mon lit et quand j’ai voulu la
réveiller, Sarah m’a dit que ce n’était pas la peine et qu’elle pouvait coucher là.
- Là, dans mon lit, lui ai-je répondu ?
- Si tu préfères aller dans le fauteuil m’a répondu Sarah ? Euh, je voudrais te dire à
propos de ta sœur…
Je n’avais pas le temps car j’avais sommeil et je me suis allongé à côté de ma sœur
sur mon lit. J’étais nu. Elle était habillée. Sarah était nue elle aussi. Le lendemain
matin, elles dormaient encore toutes les deux mais ma sœur était nue et elles étaient
emmêlées toutes les deux. Quand ma sœur m’a rejoint dans la cuisine, elle semblait
gênée.
- Qu’est-ce qu’il y a, lui ai-je demandé pour la forcer à me parler ?
- Il y a que moi et Sarah, nous aimons autant les femmes que les hommes ! Tu comprends
? On est bisexuelles !
Je comprenais mais c’était comme un coup de poing en pleine figure que je recevais.
Sarah est arrivée à son tour elle m’a fait un sourire avant de me dire qu’elle voulait
me le dire hier au soir et elle a ajouté que je baisais aussi bien que ma sœur. Pas
besoin de réfléchir longtemps. Je voulais qu’elles restent.
- Tu veux dire que tu veux qu’on reste, s’est étonnée ma sœur ? Tu veux qu’on baise
devant toi ?
- Moi, je crois plutôt qu’il veut baiser avec nous deux et surtout avec toi, a ajouté
Sarah !
Ma soeur a ajouté que j’étais un cochon et elle a aussi dit qu’il fallait que je le
mérite. Après le petit déjeuner, elles sont allées se laver et s’habiller.
- Dis-moi que tu as envie de moi, m’a demandé Sarah au moment de partir ! J’ai
beaucoup aimer et je voudrais qu’on recommence !
Ma sœur a ajouté qu’elle était jalouse de moi parce que son amie était amoureuse de
moi puis elle a dit que je n’avais qu’à passer un coup de fil. Je suis retourné dans
ma chambre pour faire le ménage et quand j’ai vu la mini-cassette sur la cheminée, je
me suis demandé qui avait fouillé dans mes affaires mais il n’y avait rien d’écrit sur
l’étiquette puis j’ai vu que ma caméra n’était plus à la même place sur l’étagère.
J’ai mis la cassette dedans et j’ai commencé à regarder mais l’écran était trop petit
et je me suis branché sur la caméra pour voir le film.
Ça commençait bien : Sarah et ma sœur était assises, nues, côte-à-côte puis elles se
sont mises à parler en disant que ce petit bout de film était pour me prouver qu’elles
étaient sincères avec moi. Ensuite, elle s’embrassaient sur la bouche, puis sur les
seins et elles ont fait un soixante-neuf. Elles ont terminé en disant que si elles
étaient amies ce n’était pas seulement pour le sexe. Ma sœur a ensuite enchaîné en
disant que son amie était amoureuse de moi et qu’elle espérait que je le serais aussi
en retour et je croyais que c’était la fin quand j’ai reconnu mon salon et tout ce qui
a suivi c’était moi et Sarah quand nous avions fait l’amour.
J’avais été si captivé que je ne m’étais pas aperçu que ma sœur nous filmait. J’ai
tout regardé jusqu’à la fin. Ça me faisait chaud au cœur d’entendre la voix de Sarah
me demander ce que je pensais de sa poitrine, me demnader si ça me plaisait de faire
l’amour avec elle.
- Les garces, me suis-je dit à haute voix !
J’avais envie d’en savoir plus. J’étais sûr qu’elle allaient draguer des femmes dans
des bars de gouines et ce que je craignais était qu’elles aillent aussi draguer des
mecs pour baiser avec eux. J’en bandais et je me suis branlé plusieurs fois en
regardant la vidéo. Après, j’ai appelé ma sœur. Elle n’était pas chez elle. J’ai
cherché le téléphone de Sarah dans l’annuaire et je l’ai appelée.
- Ah, c’est toi, m’a fait la voix de Sarah ! Tu veux venir ?
Bien sûr que je voulais venir. Elle m’a dit de ne pas oublier de prendre la caméra.
J’ai pris plusieurs cassettes vierges et j’ai pris le pied au cas où. A trente ans, il
était temps que je m’amuse enfin, et surtout avec ces deux filles qui n’en ont que
vingt-cinq ! Quand Sarah m’a ouvert sa porte, elle n’avait qu’un peignoir sur elle. Je
lui ai demandé si ma sœur était là.
- Où veux-tu qu’elle soit, m’a répondu Sarah ?
Ma sœur était allongée, nue, sur le lit.
- Tu veux la baiser, m’a demandé Sarah ?
J’étais hésitant. Elle m’a murmuré à l’oreille qu’elle m’aiderait. Je me suis
déshabillé et je suis monté sur le lit. Sarah a suggéré à ma sœur de me sucer la bite
et ma sœur m’a sucé jusqu’à ce que j’éjacule. J’avais été incapable de me retenir et
les deux femmes se sont gentiment moqué de moi.
- Je suis sûr que tu la matais dans la salle de bains, a ajouté Sarah !
Elle avait raison. D’ailleurs je m’étais souvent masturbé en pensant à ma sœur. Sarah
a ajouté qu’elle avait toujours rêvé d’avoir un frère comme moi et que ça n’aurait pas
duré si longtemps avant que… J’étais vidé et j’avais la queue en berne. Sarah a crispé
ses doigts sur mes couilles jusqu’à me faire mal puis elle a ajouté qu’elles me
laissaient le temps de retrouver la forme pendant qu’elles s’amusaient toutes les
deux.
Je n’avais jamais imaginé ma sœur en train de faire l’amour avec un mec et encore
moins avec une femme. Peut-être qu’inconsciemment je la voulais pour moi seul ? Et
puis nos parents n’étaient plus là pour s’y opposer. Je me suis recroquevillé dans mon
coin et j’ai regardé faire les deux filles. Ça m’était difficile d’admettre que ces
deux femmes étaient faites l’une pour l’autre et c’était pourtant le cas. Elles
s’accordaient si bien. Quand Sarah a dit à ma sœur qu’elle allait jouir, je me suis
rapproché et j’étais aux premières loges quand les doigts se sont enfoncés dans le
vagin et le pouce qui écrasait le clitoris et la main sur le sein et ma sœur qui
tétait son autre mamelon.
- Fais-moi jouir, supplia-t-elle son amie Sarah !
J’ai cru que ma sœur allait s’ tellement son orgasme était violent. Elle avait
du mal à retrouver son souffle et je n’ai pas vu la main de Sarah qui se posait sur ma
bite.
- Viens, m’a-t-elle dit aussi ! C’est à toi ! Elle est prête !
Ma sœur était là, sous moi, cuisses ouvertes. Je me suis enfoncé.
- Fais-moi jouir, a-t-elle ajouté !
Une fois encore, la caméra a tourné. Sarah avait mis l’appareil sur le pied et elle
l’avait réglé pour ne plus avoir à intervenir.
- C’est bien que tu me baises, a ajouté ma sœur ! Touche-moi les seins !
Je lui ai touché les seins et elle a ajouté que ce serait bien si on restait tous les
trois et elle a fini par hurler que ça y était. Sarah avait planté ses ongles dans mes
couilles et elle les serrait comme si elle voulait empêcher mon foutre de jaillir mais
il n’y avait rien à faire. Mon foutre a envahi le vagin de ma sœur.
- Oublie que c’est ta sœur, a ajouté Sarah quand tout fut terminé ! Je suis contente
que tu la baises !
Moi aussi j’étais content, mais j’étais une fois de plus vidé.
- Tu passes tout le week-end, m’a demandé Sarah ? De toute façon, on t’empêchera de
repartir !
Je n’ai pas protesté. J’ai juste demandé si elles ne risquaient pas d’être enceinte de
moi et elle m’a répondu qu’elles prenaient la pilule toutes les deux. Notre vie à
trois a duré presque deux ans et le seul truc que je ne suis jamais arrivé à faire a
été d’embrasser ma sœur sur la bouche. J’ai bien essayé mais je n’ai jamais pu m’y
faire et je crois que ça lui allait comme ça mais la vie a parfois des surprises.
Sarah a eu une bonne proposition et elle est partie à l’autre bout de la France. Ma
sœur a suivi quelques temps plus tard et de faire ça avec elle seule n’avait plus
d’intérêt et j’ai mis un bon moment avant de comprendre qu’elle était partie rejoindre
son amie. Je n’avais plus qu’à démissionner et à me trouver un autre boulot pour
pouvoir les retrouver.
Je pars demain et pour avoir les couilles bien pleines, j’ai arrêté de me branler. Ce
que je vais faire ? Ma sœur et Sarah gagne très bien leur vie et elles sont d’accord
pour que je sois leur homme de chambre. Tout ce qu’elles veulent c’est que je sois
prêt quand elles auront besoin de moi et puis je sais que Sarah a perdu dix kilos mais
qu’elle a gardé sa poitrine…

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